ARCHEVÊQUE CARLO MARIA VIGANÒ
Le document d’étude du Dicastère pour la promotion de l’unité des chrétiens « L’évêque de Rome.
Primauté et synodalité dans les dialogues œcuméniques et dans les réponses à l’encyclique Ut unum sint » est l’application cohérente des prémisses subversives posées par Vatican II et les « papes conciliaires » :
– La messe a été falsifiée sur le modèle de la Cène protestante ;
– Le prêtre est devenu le « président » d’une assemblée ;
– Les évêques ont vu leur autorité retirée par les conférences épiscopales et le synode, qui se l’ont appropriée au nom de la collégialité ;
– Maintenant le Pape doit devenir le « primus inter pares » des sectes chrétiennes, il doit trahir le mandat confié par le Christ à Pierre et à ses successeurs et abdiquer le rôle de Vicaire du Christ.
La secte bergoglienne s’apprête à rejoindre les autres communautés schismatiques et hérétiques, après avoir embrassé leurs erreurs. Bref, le futur chef de la nouvelle Religion de l’Humanité voulu par l’élite maçonnique du Nouvel Ordre Mondial se dessine déjà.
Ce plan a nécessité des décennies de préparation et a utilisé la démission de Benoît XVI comme un élément supplémentaire pour démolir la papauté, face à l’action destructrice du jésuite argentin.
La trahison commence au sommet de l’institution, et elle n’a pas commencé avec Bergoglio : ce document d’étude n’est rien d’autre que la reproposition de ce que Jean-Paul II espérait dans l’encyclique Ut unum sint, qui à son tour fait référence au Vatican. Concile II. La trahison était déjà inhérente à l’œcuménisme, proposée à nouveau dans la période post-conciliaire dans les mêmes termes avec lesquels elle avait été condamnée auparavant.
L’usurpateur Bergoglio utilise le pouvoir de la Papauté pour la discréditer, l’humilier et déformer définitivement son essence immuable voulue par le Christ lui-même. Et sans changer officiellement (doctrinalement) l’institution monarchique de l’Église, en fait (pastoralement) Bergoglio la renverse, en faisant une institution synodale seulement apparemment démocratique dans laquelle l’Église profonde est une alliée de l’État profond dans l’établissement de l’anti- Dictature du Christ du Nouvel Ordre Mondial.
Bergoglio a usurpé la papauté avec l’intention perverse de détruire ce qui restait de l’Église catholique : muter génétiquement la papauté afin de la soumettre totalement à l’idéologie mondialiste.
Bergoglio abuse du pouvoir suprême dans l’Église pour démolir l’Église, exactement comme dans la sphère civile d’autres subversifs abusent de leur autorité pour effacer la souveraineté et l’identité même des peuples.
La révolution conciliaire suit le même schéma subversif que l’on a vu appliqué dans la sphère civile depuis la Révolution française et qui nous est à nouveau proposé aujourd’hui avec le coup d’État de l’Agenda 2030.
Bergoglio est le syndic de faillite d’un plan diabolique planifié il y a plus de soixante ans.
http://www.christianunity.va/content/unitacristiani/it.html