Elections et moindre mal

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Bonjour à tous

Ce message ponctuel qui déroge à ma décision, vise à mettre les catholiques du forum en face de leur responsabilité concernant les élections présidentielles maintenant très proches.

L’élection au suffrage universel est une tromperie qui faisait dire au Pape Pie IX « suffrage universel = mensonge universel. »

En effet, dans les systèmes démocratiques le pouvoir REEL n’appartient pas à ceux que nous élisons mais au pouvoir occulte des oligarchies financières.
Les prétendants à la présidence, instruments conscients ou inconscients du pouvoir occulte, sont jetables au gré des humeurs électorales, mais le pouvoir occulte perdure en coulisse de manière dynastique et s’accommode de toutes les tendances politiques favorisant financièrement ou médiatiquement tantôt l’une, tantôt l’autre des composantes politiques, selon les objectifs à atteindre.
Les vrais dirigeants ne se présentent pas à l’élection. Ils n’ont pas besoin de solliciter le pouvoir car ils le possèdent déjà : celui que donne l’abondance d’or et d’argent.

Comprendre cela, évitera aux catholiques de toujours se fourvoyer en favorisant, élection après élection, l’avancement de la Révolution, car, terrible constat, c’est bien dans un pays à très forte majorité catholique que des hommes choisis au suffrage universel pour gouverner la France l’ont dotée de lois iniques telles que le divorce, l’avortement, la banalisation de l’homosexualité, etc…en attendant les futures iniquités. Ce qui dénote le flair et l’illusion de beaucoup de catholiques dans leurs ‘’choix’’ électoraux. Les catholiques votent : la Révolution avance toujours plus et, maintenant, nous a fait pénétrer dans Sodome.

Certains diront « Il faut bien aller voter et choisir le moindre mal ». Raisonner ainsi se conçoit lorsqu’il s’agit de choix entre deux maux non peccamineux, comme par exemple : couper les doigts de la main ou bien perdre son bras. IL n’y a pas péché en la matière
Mais dans l’affaire qui nous occupe, choisir le moindre mal ne se conçoit chrétiennement que s’il n’implique le moindre péché, si petit soit-il.
Or, qu’en est-il ? Depuis 1958 la France s’est dotée d’une Constitution laïque (article 2) et donc apostate, c’est-à-dire qui exclut Dieu de la conduite morale de l’Etat. En clair refus de voir Notre Seigneur régner sur les hommes de ce pays.

Jésus-Christ rejeter au niveau des Mahomet, Bouddha, Confucius…. De ce fait, c’est l’Etat qui accapare avec sa ‘’prêtrise’’ laïque (députés et sénateurs) le pouvoir de légiférer sur le bien et le mal avec les résultats susmentionnés.

Tous les candidats (catholiques ou non) qui se présentent au suffrage universel, qu’ils soient investis par un parti politique ou qui se présentent ‘’sans étiquette’’ sont obligés de prêter le serment de suivre et de protéger cette Constitution inique et apostate.
Aujourd’hui, voter pour un candidat à quelque parti qu’il appartienne, c’est voter pour un apostat qui jure de suivre et de protéger une Constitution impie.

Il ne peut y avoir de « moindre mal » là où on rejette le Christ et participe, in fine, à la destruction de la Fille aînée de l’Eglise, en entrant dans le jeu électoral qui maintient le système démocratique, cette machine infernale, créée par le pouvoir occulte et entre ses mains, dont les visées sont toutes autres que la christianisation de la France. Ce qui devrait être patent pour tous.
Ici, « le moindre mal » est revêtu d’un caractère peccamineux.

Ne me dîtes pas « Mr un Tel est catholique, je vote donc pour lui » Comme si un Catholique digne de ce nom pouvait se prêter à cette mascarade qui consiste à suivre et à protéger une telle Constitution qui est la négation même du fondement du bien commun temporel et spirituel.
Présentement, il n’y a plus de candidats catholiques soucieux conjointement (car tout est lié) des intérêts de Notre Seigneur, de son Eglise et de la France. Dans l’ordre de la foi, c’est à ce niveau que ça se situe.
Par contre, il y a d’innombrables catholiques libéraux qui ont déjà (ou sont prêts à) signifier, leur apostasie – tout en prétendant être catholique - aussi bien chez les prétendants que chez les électeurs, avec les encouragements du clergé et des ‘’biens pensants’’ laïques.

On note aussi une inquiétude concernant le vote musulman. Le vote musulman n’a rien à voir avec le fait que le divorce existe (1884), que l’avortement (1975) soit considérée comme ‘’une avancée sociale ’’ et que «la Fille aînée » se soit dotée d’une législation impie (1958). Toutes ces lois sont antérieures à toute influence d’un vote musulman. Elles ne font que souligner l’apostasie de notre pays bien avant toute considération musulmane.

Les musulmans, comme les Catholiques, ont aussi leurs marranes (les dunmehs) et bien que victimes eux-mêmes, ils semblent être l’un des instruments de Dieu pour châtier la France de son apostasie. Car Dieu châtie toujours durement l’apostasie d’une nation. L’histoire ancienne des rois d’Israël (faite d’apostasie) et plus récente (le déicide et l’obstination continuelle des Juifs à l’égard de Jésus-Christ Fils de Dieu) est là pour en témoigner. Cependant nous savons qu’à terme la victoire sera pour Notre Seigneur et sa Sainte Mère.

Ils opéreront, pour un temps, la restauration de la France non par la démocratie et la République qui sont illégitimes dans notre pays, mais par le Saint Pape et le Grand Monarque avec la Monarchie, régime originel voulu par Dieu pour la France et conférée par l’Eglise.
Le Pape exerçant le pouvoir spirituel, le Roi le pouvoir temporel avec subordination du temporel au spirituel. Etant les représentants de Notre Seigneur sur la terre, ils se partagent le Sacerdoce et la Royauté qui en Jésus Christ sont réunis. C’est ce qu’on appelle la doctrine des deux glaives (spirituel et temporel) dont on ne parle plus aujourd’hui, car rangés au rayon des accessoires antiques.
Ces deux pouvoirs sont analogues aux deux puissances de l’âme que sont : l’intelligence et la volonté. Dans l’analogie, le Pape représentant l’intelligence, le Roi la volonté.

Espérer en la droite - pas plus décidée que les autres à « tout restaurer dans le Christ » (la seule clé du problème français et du monde) comme le demandait saint Pie X - pour éradiquer ou atténuer cette crainte, c’est ne plus considérer les choses selon la foi mais selon une sagesse purement humaine.

On ne peut raisonnablement apporter son soutien à une personne ou a un parti politique qui s’appuie sur cette cause formelle erronée des « immortels principes de 1789 » qui aboutira à cette Constitution scélérate et apostate de 1958.

On ne peut raisonnablement apporter son soutien à une personne ou à un parti politique qui, en se montrant adversaire du régime social et politique de la France tel que Dieu et l’Eglise l’avaient voulu, se constitue, par le fait même, ennemi de l’Eglise et de Jésus-Christ.

Toujours cette incroyable cohabitation de principes contraires qui, élection après élection, aura fait et continue toujours à faire rouler plus avant vers l’abîme notre pays (et les autres aussi) à mesure de sa décomposition morale, intellectuelle et spirituelle.

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Le degré de laïcisation des esprits et le libéralisme ambiant (création juive, au même titre que la FM, le communisme et le mondialisme) sont tels que nous n’éviterons pas ce qui fut prophétisé par la Sainte Vierge à la Salette, à savoir la guerre civile :

« La France, L’Italie, l’Espagne et l’Angleterre seront en guerre ; le sang coulera dans les rues ; le français se battra avec le français, l’italien avec l’italien, ensuite il y aura une guerre générale qui sera épouvantable. Pour un temps, Dieu ne se souviendra plus de la France, ni de l’Italie, parce que l’Evangile de Jésus-Christ n’est plus connu. Les méchants déploieront toute leur malice ; on se tuera, on se massacrera mutuellement jusque dans les maisons »

Paroles qui contrastent singulièrement avec les messages suaves et à l’eau de rose de soi-disant messagers ou messagères de Notre Seigneur et de la Sainte Vierge, alors que la situation morale et spirituelle est pire qu’à l’époque du Message de La Salette.

Ceci dit, et jusqu’à preuve du contraire, je ne mets pas en cause la bonne foi de ceux qui ‘’prophétisent’’ ni celle de ceux ou celles qui en font l’apologie.

La déferlante séduction ‘’paraclétique’’ est à son comble depuis l’abrogation par l’église conciliaire des canons 1399 et 2318 du Droit canon préparé par Saint Pie X et publié par le Pape Benoît XV. Séduction entretenue par le biais du mouvement charismatique catholique (et même non catholique pourvu que ce soit suave et maternant) qui n’est autre que la branche catholique né, par imposition des mains, du pentecôtisme protestant, et encouragé par les plus hautes autorités de l’Eglise, des personnalités religieuses et divers organes de presse catholique.

- Canon 1399 qui interdisait de publier tout ce qui avait trait à des révélations, apparitions, prophéties et miracles. L’étude de ces faits en étant réservée à ceux qui dans la hiérarchie de l’Eglise, avaient reçu de Dieu le pouvoir du discernement des esprits

- Canon 2318 qui visait les censures ecclésiastiques applicables à ceux qui publiaient leurs ‘’faits mystiques’’ sans autorisation de la hiérarchie de l’Eglise ; et à ceux qui se rendaient sur les lieux mêmes d’apparitions non reconnues par l’Eglise et d’y organiser des ‘’prières publiques’’.

Après cette digression….

En matière politique, le Pape (dans la mesure où il se conforme lui-même aux documents du Magistère Pontifical Ordinaire de ses prédécesseurs) est seul habilité pour juger si une action politique et moralement bonne ou pas. Le clergé, s’il est vraiment catholique, et tout aussi respectueux des Encycliques préconciliaires, se conformera en matière politique aux directives papales. Car le Saint-Esprit ne peut pas dire une chose et son contraire (principe de non-contradiction) en des matières qui relèvent ou sont connexes à la foi et à la morale.

Il y a eu une phase maçonnique dans la société (encore à l’œuvre mais plus pour très longtemps semble-t-il), celle de la FM bleue des goïm, pour laïciser les esprits et construire la société idéale, et dans l’Eglise pour la rendre imbue de principes modernistes et la faire rompre avec son passé (tout en prétendant rester fidèle à la Tradition car il n’y aurait qu’une mauvaise application des directives et textes conciliaires) et lui ouvrir une autre perspective.

Désormais, après la judaïsation sociale, les adeptes de la haute maçonnerie juive, ayant atteint les hauts sommets de l’Eglise, et investis les chaires de théologie et de philosophie, ont pris le relais et entreprennent la construction du Temple de l’Humanité par la judaïsation talmudique de l’Eglise, afin d’accueillir avec les Juifs la venue du Messie (pour les Catholiques il est déjà venu, ils attendent son retour) qui doit mener à terme, en réalité, à l’accueil de l’Antechrist.(qui vient avant le Christ) par toutes sortes de prodiges et de faits miraculeux au point de « séduire les élus eux-mêmes » (c’est dire).

Le milieu ambiant catholique est déjà bien prédisposé au merveilleux, au senti, au ressenti, à l’impression, au vécu, à l’expérience…..par l’intermédiaire du mouvement charismatique.

Pour la judaïsation talmudique rampante de l’Eglise catholique voir le document du ‘’cardinal’’ Joseph Ratzinger « Le peuple juif et ses saintes écritures dans la bible chrétienne » mais aussi l’Encyclique « Deus caritas est » qui s’éclaire après lecture de la précédente.

Les élections (présidentielles ou autres) étant très proches il vous appartient maintenant de juger moralement et sur le plan de la foi si un vote est compatible avec la profession que vous faîtes d’être au service du Christ et de sa Sainte Mère dans un système politique qui rejette l’un et l’autre.

Car, n’en déplaise aux évêques (honte à eux) qui à l’époque encouragèrent les catholiques à voter cette Constitution scélérate visant à éjecter Jésus-Christ de la vie sociale et politique, pour n’en faire qu’une affaire de cœur ou privée, Notre Seigneur est Roi de tout l’univers visible et invisible « Tout pouvoir m’a été donné au Ciel et sur la terre » (St Matth XXVIII, 18, et il détient les trois pouvoirs : législatif, judiciaire et exécutif condition essentielle de toute royauté (Encyclique Quas Primas)

Je rappelle l’acte de foi « Mon Dieu, je crois fermement toutes les vérités que vous avez révélées, et que vous nous enseignez par votre Eglise, parce que, étant la Vérité-même, vous ne pouvez ni vous tromper, ni nous tromper »

En matière politique, de nombreuses Encycliques sont parues pour dénoncer et condamner tout ce qui était néfaste.

Fraternellement en Christ-Roi

René 54

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C'est plus logique de le mettre ici dans la continuité

Ce Principe et Fondement de Saint Ignace de Loyola pour compléter ce que j’ai écrit et apporter un élément d’appréciation supplémentaire pour votre décision finale, si elle n’est pas déjà prise.

« L’homme est créé pour louer, honorer et servir Dieu, Notre Seigneur et, par ce moyen, sauver son âme. Et les autres choses qui sont sur la terre sont créées à cause de l’homme et l’aider dans sa poursuite de la fin que Dieu lui a marqué en le créant. D’où il suit qu’il doit en faire usage autant qu’elles le conduisent vers sa fin et qu’il doit s’en dégager autant qu’elles l’en détournent.

Pour cela, il est nécessaire de nous rendre indifférents à l’égard de tous les objets créés, en tout ce qui est laissé au choix de notre libre arbitre et ne lui est pas défendu ; en sorte que, de notre côté, nous ne voulions pas plus la santé que la maladie, les richesses que la pauvreté, l’honneur que le mépris, une longue vie qu’une courte, et ainsi de tout le reste, désirant et choisissant uniquement ce qui nous conduit plus sûrement à la fin pour laquelle nous sommes créés. »

René 54

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Qui pouvait prédire que des français issus de l’immigration allaient voter Front National ?

La deuxième génération de français issus de l’immigration trouble et perturbe le jeu politique à la veille des Présidentielles. Voilà des individus citoyens légalement français, dont les parents sont originellement maghrébins ou africains et qui vont voter massivement Jean-Marie Le Pen, candidat du Front National.

Un Front National qui semble d’ailleurs épuré, rénové, objectif, autour d’une ligne politique beaucoup plus respectueuse des uns et des autres et où évoluent des idées sociales et économiques innovantes et à priori réalistes, un mouvement politique qui incarne désormais ce que j’appelle le nationalisme moderne, fédérateur.

Un Front National qui se déclare ni de droite ni de gauche, et encore moins d’extrême droite, et qui se positionne “hors système”.

Écoutez les messages et les arguments crédibles d’Ahmed (“La banlieue s’exprime”, labanlieuesexprime.org) ou encore de Farid Smahi (cadre Front National), ils revendiquent clairement leur identité française, leur appartenance à la France, leur Nationalité Française et l’idée qu’ils se font de la France, au point qu’un Gaulois pourrait parler comme eux, eux-mêmes parlent comme des Gaulois. N’est-ce pas suffisamment perturbant pour ne pas qu’on y attache un certain regard ? N’est-ce pas l’idéal absolu en matière d’intégration ?

Ahmed ou Farid représentent des dizaines de milliers de français issus de l’immigration, qui sont plein de bonne volonté, mais écrasés, désabusés et engloutis par un système mal pensé et mal conçu qui laisse définitivement certaines catégories de personnes à l’écart.

Ce sont des français issus de l’immigration qui comprennent que la préférence nationale du programme de Jean-Marie Le Pen les protège vraiment plus qu’il ne les fragilise.

Rappelez-vous qu’il n’y a pas si longtemps, dans les médias les Nationalistes étaient fondamentalement des racistes, alors qu’ils s’épuisaient à nous répéter que non. On nous aurait manipulé et menti à ce sujet ?

Dans les banlieues, on sait comme partout ailleurs que seuls quatre candidats ont une réelle chance de gouverner un pays malade, au bord d’un de ses plus grands drames.

Objectivement, le raisonnement des laissés pour compte est cohérent voire indiscutable, il rejoint celui de nombre d’analystes sérieux et anonymes. Depuis des dizaines d’années, les gouvernements ont accumulé dans des ghettos autour des grandes villes des millions de gens leurrés par des espoirs et des promesses jamais tenues, qui sont globalement exploités et à qui on n’offre rien d’autre qu’une misérable vie d’individus devenus infréquentables.

Le résultat, c’est qu’aujourd’hui, ces millions de gens se voient en plus enfermés dans une sorte de ghetto mental qui se referme sur eux. Aucun de ceux-là ne pourrait renouveler sa confiance ni au PS, ni à l’UMP, ni à l’UDF, pour l’évidente raison que ce sont ces mouvements politiques qui sont à l’origine de leur misérable existence, ce qui curieusement n’empêche pas leurs dirigeants respectifs d’assurer que le mal est du côté du Front National et de son mentor Jean-Marie Le Pen.

Une seule chose est certaine, l’orientation politique des banlieues est stratégique, compte tenu du poids qu’elles représentent.

L’idéologie a évolué, et désormais il va falloir compter sur l’engagement républicain de millions de gens qu’on n’attendait pas là, dans toutes les banlieues de France.

Les gens sentent ou savent qu’on leur ment, que les promesses servent à les endormir.

Dans les banlieues, les gens ont peut-être cette qualité instinctive qui les démarquent des autres français, ils seront les premiers à avoir le courage d’aller au bout de la démarche, une démarche qui consiste à donner sa chance à un homme de valeurs et de convictions, qui aura donné sa vie au combat politique malgré les innombrables difficultés pour la sauvegarde d’une certaine France, qualitative, libre, juste, respectueuse, humaine et humaniste, centrale dans le monde, à l’intérieur d’une autre Europe qui s’alignerait sur les mêmes valeurs.

D’une certaine manière, le combat de Jean-Marie Le Pen a fini par croiser celui des populations des banlieues. Leur rencontre même si elle apparaissait comme improbable, devient légitime et se renforce.

La nouveauté c’est qu’ils dialoguent, ils se surprennent à se comprendre et découvrent qu’ils ne sont pas ni opposés, ni ennemis ... au contraire.

Olivier RIMMEL
Analyste

Source http://www.observabilis.com/

PS : c’est moi qui souligne dans le texte

Essayant une hypothèse pour la France, en partant de ce qui est certain

Ce qui est certain c’est le rêve de domination mondiale des Juifs politiquement et religieusement. Les guerres et révolutions ayant été suscitées dans ce but, par la haute finance juive, afin de dynamiter la chrétienté, et, ce faisant, l’affaiblir.

Les instruments utilisées pour atteindre cet objectif furent, pour ne considérer que les époques les plus récentes, dans l’ordre politique : la FM, le nazisme (et la Loge Thulé) et le communisme ont eu comme soubassement des cerveaux et des banquiers juifs pour se développer. Dans l’ordre religieux, les différentes sectes religieuses suscitées à l’intérieur du christianisme.

Cette phase de dislocation et de dissolution (Solve) étant accomplie à l’échelle des nations européennes, il faut passer à l’étape religieuse (coagula) qui était le but à atteindre. L’œcuménisme (condamné par Pie XI – Encyclique Mortalium Animos) à vu le jour dans cette véritable intention.

A ce stade, la Kahal est confronté, sur le plan international à un problème suscité par son propre instrument qui résiste : l’Islam (Mahomet, le fondateur avait pour épouse Fatima, une juive)

La solution, il faut que cet obstacle disparaisse. La méthode : la même que pour la chrétienté, l’amener à se détruire ou s’affaiblir, en suscitant le terrorisme plus en phase avec l’esprit guerrier du fondateur. N’oublions pas que les musulmans ont leurs propres marranes.

Pour la France

Ce qui est certain :

L’objectif de la La Kahal est la dissolution de ce qui est encore national (Education nationale, Justice, Santé, etc..) Ce qui bloque la dissolution de l’E.N et de la justice, ce sont les organisations de gauche et d’extrême gauche puisqu’elles les tiennent et ne veulent pas leur disparition). Il faut donc les faire bouger.

Hypothèse :

En politique, la multiplicité des parties de gauche dont certains savent qu’ils n’ont aucune chance, pas même de rentrer dans leurs frais de campagne, semble voulue pour réduire ou voir disparaître ces « enragés ou extrémistes de la République. »

]L’élimination des petits partis de gauche, tout en soutirant des voix au parti socialiste, pourrait ne laisser en présence que des partis de droite : soit droite dure (Sarkozy) ou nationaliste républicaine (Le Pen) ou l’un des deux avec Bayrou.

Il semble que le judaïsme politique ait davantage besoin d’un Le Pen au second tour, non pour qu'il gouverne, mais pour pouvoir casser l’extrême gauche, et entreprendre les réformes de dissolution, ci-dessus.

Un Le Pen, et un FN non plus diabolisés, mais présentés comme

Un Front National qui semble d’ailleurs épuré, rénové, objectif, autour d’une ligne politique beaucoup plus respectueuse des uns et des autres et où évoluent des idées sociales et économiques innovantes et à priori réalistes, un mouvement politique qui incarne désormais ce que j’appelle le nationalisme moderne, fédérateur.
Un Front National qui se déclare ni de droite ni de gauche, et encore moins d’extrême droite, et qui se positionne “hors systèm " pourrait aller en ce sens

Dans ce cas de figure les battus, et surtout l’extrême gauche, pourraient appeler à « la République en danger » ou « aux armes citoyens ! » avec attentats terroristes téléguidés.

René 54

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Bonjour à tous

Juste une rectification pour rétablir les faits.....et éviter une histoire dans la famille :

Fatima était une des filles de Mahomet et Kadidja sa femme (une riche marchande) était fille de rabbin.

Fraternellement en Christ-Roi

René 54

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Bonjour à tous, Fête de Saint Jean Canisius

Seconde intervention ponctuelle concernant le vote du 6 mai 2007

Tout acte humain a un aspect moral, une valeur morale, et relève sous un certain angle de la morale. C’est en fonction de cet aspect, valeur et angle que l’Eglise a le droit, le devoir et la charge de tout surveiller, notamment cette activité d’aspect moral qu’est le vote politique.

Concernant le vote, il ne faut pas confondre morale individualiste et morale politique. Cette morale individualiste reste dans les limites étroites de la conduite personnelle, mais ignore la morale politique.. Cette morale là fait fi de la morale politique de l’Eglise, que sont le Syllabus et Quanta Cura et ne gêne personne à voter pour des candidats opposés farouchement à cette morale politique. Deux textes (non exhaustifs) pour montrer les graves inconséquences auxquelles s’expose le votant :

« Il s’en trouve aujourd’hui pour appliquer à la société civile le principe absurde et impie du naturalisme, comme ils l’appellent, et pour enseigner que le meilleur régime politique et le progrès de la vie civile exigent absolument que la société humaine soit constituée et gouvernée sans plus tenir compte de la Religion que si elle n’existait pas, ou du moins sans faire aucune différence entre la vraie et les fausses religions…. » (Pie IX – Quanta cura, 8/12/1864)

« Toutes les fois que par ‘’laïcité’’, on entend un sentiment ou une intention contraire ou étrangère à Dieu et à la religion, nous réprouvons cette ‘’laïcité’’ et nous déclarons hautement qu’elle doit être réprouvée » (Pie XI – Maximum Gravissimamque 18/01/1924)

Tous les candidats présidentiables, sans aucune exception, tombaient sous le coup de ces textes de morale politique.

Est-il plus grave d’enfreindre la morale individuelle que la morale politique ? La gravité d’une offense est proportionnelle à la dignité de la personne offensée.

Dans la morale individuelle, par exemple dans les péchés comme l’avortement, le divorce, le mensonge, etc, c’est l’homme qui est directement offensé soit par rapport à lui-même, soit dans son prochain.

Dans la morale politique c’est Dieu qui est directement offensé (offense majeure, il ne peut y en avoir de plus grande) par son exclusion de la vie sociale et politique.

Sans faire les développements que cela impliquerait pour chacun des points, mais en restant dans les grandes lignes, voter en démocratie c’est :

Reconnaître, dans les faits, le principe du gouvernement du peuple par le peuple (condamné par Léon XIII – Encyclique Diuturnum illud )

En France, n’en déplaise à tous les démocrates et tous les révolutionnaires, la République avec sa forme dégradée la démocratie sont usurpatrices, seule la monarchie est de DROIT parce que :

1- C’est la forme de gouvernement voulu par Dieu pour la France (dans la personne de Clovis après son baptême par St Rémy, Légat du Pape St Anastase II. C’est au nom de ce Pape que fut choisi Clovis pour en faire le premier Roi de la Fille Aînée de l’Eglise)

« Soyez glorieux et illustre fils, la joie de votre Mère et son rempart inexpugnable. Nos malheureux temps ont vu bien des défections, notre barque est assaillie….Mais nous espérons contre toute espérance et nous adressons nos hymnes d’action de grâces au Seigneur Jésus, qui vous a arraché à la puissance des ténèbres. En donnant à l’Eglise un tel roi que vous, Il envoie un protecteur capable de la soutenir et de la défendre… » (St Anasthase II, lettre à Clovis à l’occasion de son sacre)

2 – Ce gouvernement de la France, voulu par Dieu, fut choisi par l’Eglise : la monarchie catholique est établie en France par un droit conféré par l’Eglise, Maîtresse des nations.

« Dieu, auquel obéissent les légions célestes, ayant établi, ici-bas, des royaumes différents suivant la diversité des langues et des climats, a conféré à un grand nombre de gouvernements des missions spéciales pour l’accomplissement de ses desseins. Et comme autrefois il préféra la tribu de Juda à celle des autres fils de Jacob, et comme Il la glorifia de bénédictions spéciales, ainsi Il choisit la France de préférence à toutes les autres nations de la terre pour la protection de la foi catholique et pour la défense de la liberté religieuse. Pour ce motif, la France est le royaume de Dieu même, les ennemis de la France sont les ennemis du Christ. Pour ce motif, Dieu aime la France parce qu’Il aime l’Eglise qui traverse les siècles et recrute les légions pour l’éternité… » (St Pie X – Allocution lors de la Béatification de Jeanne D’Arc)

3 – Un état catholique ne peut changer de religion d’Etat : une nation chrétienne ne peut légitimement changer son gouvernement catholique pour un gouvernement non catholique.

La candidature de Mme Royal étant un non-sens pour un catholique, on peut y ajouter aussi celle de Mr Sarkozy dont les principes ‘’moraux’’ sont parfaitement connus, ainsi que sa profession de foi judéo-islamo-catholique « l’Islam est une religion française » dit-il. C’est sûr qu’il va nous protéger.

« A notre époque, il n’y a plus d’intérêt à ce que la religion catholique soit considérée comme l’unique religion d’Etat, à l’exclusion de tous les autres cultes « Proposition condamnée – Pie IX, - Syllabus N° 77 ) »

4 – Le changement de régime fut illégitime. La République, fille de la Révolution est illégitime car ce qu’elle voulut détruire, avant tout autre chose, c’est le principe de chrétienté de la Royauté française

« Les hommes de la convention voulurent frapper en Louis XVI non pas seulement un Roi juste, mais le Christ Lui-même dont il était le ministre, mais la chrétienté dont il était le chef. Ce qu’ils voulurent abattre avec sa tête, c’était la foi de Clovis, de Charlemagne et de St Louis ; c’était le représentant le plus élevé, après le Pape, du droit divin qu’ils se flattaient de détruire. Ils voulaient décatholiser non moins que démonarchiser la France. » (Mgr Delassus – La conjuration antichrétienne). Tout cela est patent.

5 – Le régime républicain, tel que pratiqué aujourd’hui est intrinsèquement pervers, pour les raisons suivantes :

a) la séparation des pouvoirs (au lieu de distinction des pouvoirs et non séparation)

b) les assemblées Sociétés de pensée dont le fonctionnement sociologique n’impose aucun critère objectif de vérité (favorisant le noyautage, et paravent de noyaux de dirigeants occultes, mécanisme très bien analysé par Augustin Cochin)

c) Régime de l’arbitraire et du privilège. Les Républiques successives n’ont été proclamées que dans des bains de sang : 1792 (800 000 morts avoués) – 1848 – 1870 – 1945 ‘’épuration’’ (150 000 exécutés) et la 5é officialisant l’apostasie de la France avec l’appui de plus de deux tiers des catholiques trompés par leurs évêques.

d) On cherche vainement dans tout l’enseignement de l’Eglise, la trace de cette obligation de vote. Elle figurait dans certains catéchismes d’un clergé français dans la foi est la forme la plus évoluée du gallicanisme.

Pour conclure sur cette pression ecclésiastique visant à donner mauvaise conscience voici ce que disait un Saint (pas un Gallican)

« Les démocrates chrétiens d’Italie devront s’abstenir complètement de participer à une action politique quelconque, qui, dans les circonstances présentes[color=black], pour des raisons d’un ordre très élevé, est interdite à tout catholique » (Saint Pie X , Motu Proprio sur l’Action Populaire Chrétienne - 18/12/1903)

e) le laïcisme de la République (condamné par de nombreuses encycliques)

(à suivre)

Fraternellement en Christ-Roi

René 54

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Fête de Saint Paul de la Croix

Bonjour à tous,

Voici ce que St Thomas nous dit concernant les verts morales et les vertus intellectuelles, dans son développement de la vérité sur ce point.

« Je réponds en disant que, quelque chose peut être dit plus grand ou plus petit de deux manières : simplement ou accidentellement. Car rien n’empêche quelque chose d’être dit meilleur simplement, comme philosopher de la nécessité de souffrir la pauvreté, que d’en pâtir effectivement, qui est meilleur accidentellement. Mais considérer chaque chose simplement, c’est la considérer selon la raison propre de son espèce. Or l’espèce de la vertu découle de son objet…aussi en parlant simplement, la vertu la plus noble est celle qui possède l’objet le plus élevé. Mais il est manifeste que l’objet de la raison (ou intelligence) est plus noble que celui de l’appétit (ou volonté) ; car la raison appréhende les choses dans l’universel, tandis que l’appétit tend vers elles dans leur état particulier : de là, en parlant simplement, les vertus intellectuelles, qui perfectionnent la raison, sont plus nobles que les vertus morales, qui perfectionnent l’appétit. Mais si l’on considère la vertu dans son ordre à l’action, alors la vertu morale qui perfectionne l’appétit, dont le propre est de mouvoir les autres puissances à l’acte, comme cela a été dit, est plus noble. Et parce que la vertu est dite de ce qu’elle est le principe d’un acte, la raison de vertu convient davantage aux vertus morales qu’aux vertus intellectuelles ; bien que, simplement parlant, les vertus intellectuelles soient des habitus plus nobles. »

Sur le plan pratique, elles expliquent les différences d’appréciation entre ceux qui, à cette époque, en obéissance aux directives de St Pie X, militèrent pour le rétablissement monarchique en France, tout en admettant le libéralisme économique avec ses conséquences et accordant moins d’importance aux vertus morales ; et ceux, qui, plus portés vers le « cœur », excellant même dans les œuvres caritatives temporelles, combattirent le « politique d’abord » de leurs frères, qu’ils ne pouvaient comprendre.

Le Kahal (Gouvernement occulte des Juifs dispersés) joua sur cette opposition, pour monter son piège dialectique sur une fausse opposition bolchévisme/nazisme, tous deux d’inspiration et de financement judaïques, qui divisa les Catholiques, attirant les uns à faire barrage au communisme, les autres au nazisme.

C’est le même piège qui est tendu aux Catholiques aujourd’hui à propos de la confrontation Israël/Etats-Unis/Islam. Au sein de l’Islam, les partisans du califat seraient les ‘’catholiques de droite’’ pendant que les collaborateurs avec le ‘’grand Satan’’ les Etats-Unis, seraient les ‘’catholiques de gauche’’

Le piège fonctionnant moins bien avec les musulmans, qu’avec les catholiques, malgré qu’on ‘’casse de l’arabe’’ alors le Kahal cherche à mobiliser les Catholiques (et les chrétiens en général) à côté de lui contre l’Islam.

En tant que Catholique la seule réponse est celle des Apôtres, leur refus, lorsque Barchochébas leur demanda, très certainement, de combattre avec lui contre la Rome impériale. De la même manière, pour nous aujourd’hui, la répone est « L’islam c’est vous qui l’avez suscité, et ensuite infiltré avec les Dunmehs, - au même titre que vous avez suscité le bolchévisme et autres mouvements révolutionnaires sanglants de l’histoire par FM interposée - débrouillez-vous avec ! »

Fuir prêtres et évêques, ensoutanés ou désoutanés, en matière de principes généraux, surtout dans le social et le politique. Ne leur demander que les sacrements.

Ne tombons pas dans les provocations ecclésiales (visant à faire prendre position pour l’un au détriment de l’autre) dont on a pu mesurer le discernement et les performances depuis 1958. Ne vous joignez pas aux manifestations de masse et prendre le risque de prendre des coups ou une balle perdue pour une cause qui ne vise en aucune manière la restauration catholique et monarchique.

Désormais ce n’est plus entre nos mains mais dans celles de Dieu, selon les instruments qu’Il s’est choisi. La France n’évitera pas son châtiment amplement mérité par deux siècles d’ignominies et d’apostasies consommées. Cette forte participation électorale en étant une nouvelle preuve. Rien ! Mais absolument rien à espérer de ce christianisme là, véritable monument d’incohérence et d’hypocrisie.

Que ces ecclésiastiques se consacrent et soient tout entier à leurs tâches spirituelles, comme le conseillait déjà St Pie X à leurs ‘’pères’’ « Allez lire votre bréviaire ! »

Pour notre part,

- continuons de nous sanctifier en usant de tous les instruments mis à notre disposition par Dieu et son Eglise, en se rappelant que tous les saints se sont sanctifiés en combattant contre l’hérésie du jour et non celle refroidie d’hier. Qu’est cette hérésie actuelle ? Elle est multiple puisque saint Pie X a pu dire que « Le modernisme était l’égout collecteur de toutes les hérésies » Parmi toutes, il en est une que le monde moderne y compris la Rome actuelle - apostate et judaïsée, avec une très large frange de son clergé - ont avalisé avec force, c’est le refus opiniâtre de la proclamation urbi et orbi, de la Royauté de Notre Seigneur sur les institutions politiques.

« Lorsque les cités et les républiques auront tenu à suivre les enseignements et les préceptes de Jésus-Christ dans les affaires intérieures et étrangères, alors, enfin, elles auront dans leur sein la vraie paix…..La paix digne de ce nom, c’est-à-dire la désirable paix du Christ n’existera jamais si les doctrines, les préceptes et les exemples du Christ ne sont gardés par tous, dans la vie publique et dans la vie privée, et si l’Eglise, dans une société ainsi ordonnée, n’exerce, enfin, sa divine fonction, protégeant tous les droits de Dieu sur les individus et sur les peuples. C’est en cela que consiste ce que nous appelons d’un mot : le règne du Christ. » (Pie XI – Encyclique Ubi Arcano Dei, 23/12/1922 )

Contraste saisissant avec les discours des hommes d’Eglise actuels, véritables diarrhées sur l’homme et les droits de l’homme, jusqu’à la nausée. Honte à ses traîtres, sépulcres blanchis, véritables suppôts de Satan déguisés en ministres du Christ. Demain, à l’image des Pharisiens, leurs pères spirituels, ils se feront complices des persécuteurs de ceux qui voudront rester fidèles, sans compromission aucune, à Notre Seigneur et à son Eglise.

- Travaillons à la réforme de nos intelligences - et de celles nos entourages - métastasées par deux siècles d’école laïque et de formatage aux principes républicains.

- Soyons prêts à répondre à l’appel des instruments choisis par Dieu pour restaurer la France, s’Il nous fait la grâce d’être encore en vie, lorsqu’ils se présenteront à la face du monde.

Quant aux catholiques libéraux ou teintés de libéralisme, toutes hiérarchies confondues, ils pourront continuer de chanter le dimanche « Alléluia, Alléluia », implorer frénétiquement « Viens, viens, Seigneur Jésus » et prier quotidiennement « Que ton règne vienne sur la terre… » tout en allant voter pour des apostats prêtant serment sur une Constitution qui fait, avec pertinacité, barrage à toutes ces demandes (cohabitation manifeste de principes contraires en même temps qu’immense tartufferie religieuse)

A ceux qui sont moins fermes, il faut rappeler que « Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu…. » (Hébreux XI, 6 )

Si malgré tout ce que j’ai pu écrire sur ce sujet depuis « Qu’est-ce que la Révolution ? » et boudé à cause de la faiblesse de mon argumentation, ou méprisé (il y en a sur ce forum) à cause de ma personne, entendez au moins ces paroles des Papes (avec, au passage, encore et toujours le décalage, l’opposition per diametrum, avec la hiérarchie actuelle

« Que chacun évite toute liaison…avec ceux qui se déguisent sous le masque de la tolérance universelle, du respect pour toutes les religions, de la manie de concilier les maximes de l’Evangile avec celles de la Révolution, le Christ avec Bélial, l’Eglise de Dieu avec l’Etat sans Dieu » (Léon XIII – Encyclique Inimica vis, 8/12/1892)

« Ne mettons pas les pieds dans le camp adverse parce que nous donnerions ainsi à l’ennemi une preuve de notre faiblesse, qu’il essaierait d’interpréter comme un signe et une marque de complicité » (St Pie X – Discours du 16/04/1910)

« Les timides et les embusqués sont bien près de devenir des déserteurs et des traîtres. Déserteur et traître, quiconque accorderait sa collaboration matérielle, ses services, ses talents, son aide, son vote politique, à des partis et à des pouvoirs qui nient Dieu, qui substituent la force au droit, la menace et la terreur à la liberté, qui font du mensonge, des conflits, du soulèvement des masses, autant d’armes de leur politique et qui rendent impossible la paix intérieure des pays et entre les nations » (Pie XII – Discours à la jeunesse romaine d’Action Catholique, 8/12/1947)

A bon entendeur…………..

Fraternellement en Christ-Roi

René 54

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