L’Existence de Joseph fils de Jacob scientifiquement prouvée par les Hiéroglyphe

Notre Bien aimé Frère Jonas nous écrivait dernièrement : « l’existence historique de Joseph, fils de Jacob, est plus que sujette à caution ; et son statut de « vice Pharaon » encore plus ! Sa création de l’alphabet hébreu l’est donc tout autant. Quels arguments précis M. Crémieux invoque-t-il à l’appui des ses dires ? Je crois d'ailleurs qu'on n'a pas de texte hébreu antérieur au Xe siècle avant J-C."

Question pertinente dont voici la réponse en Egyptien.

Il existe plusieurs hiéroglyphes qui déterminent un personnage aussi important qu’un « Vice Pharaon » duquel il est écrit qu’il « régnait à l’orient de la basse Egypte »

Ce Hiéroglyphe semble à première vue représenter deux yeux (de profil) face à face, au dessus de ce qui ressemble à deux coupes. Les Deux yeux en vis à vis sont séparés en leur centre par une sorte de croix de Lorraine dont le piédestal est une figure de larme inversée. Au dessus de la croix, on aperçoit un cercle pointé d’un point noir en son centre. Ce qui, d’après les experts, constitue la base de l’alphabet primitif hébreux amplement démontré par « LE LIVRE des NOMS des ROIS D’Egypte » Ouvrage que les plus grands ne contestent plus.

Ce hiéroglyphe est en fait une signature. Ou il est possible de lire :
Yod = valeur DJ
Waw = valeur OU
Zaïn = se prononce Zaï
Et : Phé

Donnant en décomposition : Djouzaïphé ( Djouzèph)

Le Signe et son symétrique considérés comme hiéroglyphe égyptiens, se lisent : Saphéahenos Paaohnhêhik. Ce qui n’est autre qu’une variante du surnom donné à Joseph (fils de Jacob) par Apophis le Grand : çâphenath Pahenêach.

Qui prouve indéniablement la présence d’un Vice Pharaon régnant à l’orient de la basse Egypte, et qui se nommait en Hébreux, comme le confirme la Bible : Djouzaïphé .

Fraternellement

Séraphin

Source : « La révélation de la Révélation ». Tome 1. Page 26. Fernand Crombette.

Bien cher Séraphin, merci pour le qualificatif de bien-aimé que vous m'octroyez ; ça me change d'hier soir !
J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre contribution sur Joseph.
Je connais un peu la théorie, en particulier de Fernand Crombette, sur l'existence de Joseph.
Vous la justifiez (en suivant crombette, je suppose) par des hiéroglyphes égyptiens.
La "verion hébraïque" (Genèse 30, 24-24) est ce que s'écrie Rachel au moment de le mettre au monde : "Que Dieu m'ajoute (hébreu : yoseph) un fils".
Ce Yoseph ressemble quand même d'un peu loin à votre Djouzaïphé.

On trouve ensuite en Genèse 41,45 le fameux verset du mariage de Joseph, à qui Pharaon impose de s'appeler dorénavant Tsaphnat-Pa'neach, avec un femme appelée 'Asnat, fille de Potyi-Phéra', prêtre de 'On.
Le sens de ce Tsaphnat-Pa'neach est inconnu, semble-t-il, à moins que vous ayez des lumières à m'apporter.Pour la tradition juive, d'après le fameux commentateur Rachi (de Troyes), ce nom signifierait Qui explique les chose cachées (hébreu tsaphan et pa'néach), allusion à sa faculté d'expliquer les rêves (épisode bien connu).
La Vulgate (texte latin) traduit par : sauveur du monde.
La Targum raconte aussi que celle qu'il épouse n'est autre que la fille que Dinah, la seule fille de Jacob, et donc sa demi-soeur, avait eue après son viol par Sichem...
Mais tout cela est incertain...

Jonas a écrit:

Bien cher Séraphin, merci pour le qualificatif de bien-aimé que vous m'octroyez ; ça me change d'hier soir !
J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre contribution sur Joseph.
Je connais un peu la théorie, en particulier de Fernand Crombette, sur l'existence de Joseph.
Vous la justifiez (en suivant crombette, je suppose) par des hiéroglyphes égyptiens.

...

Oui Cher Jonas, un enfant érudit, même si parfois il est contradictoire, reste toujours "bien aimé" pour ses parents et pour ses freres et soeurs.

Effectivement, j'utilise les écrits de Fernand Crombette et de ses successeurs .

Bien Fraternellement

Séraphin