« A un certain moment, quand j’étais chez ce peintre chargé de peindre ce tableau, j’ai vu qu’il n’était pas aussi beau que l’est Jésus – j’en ai été beaucoup peinée, mais j’ai caché ma déception profondément dans mon coeur. (...) la mère supérieure resta en ville pour diverses affaires, moi je suis revenue seule à la maison. Je suis allée aussitôt à la chapelle où j’ai beaucoup pleuré. J’ai dit au Seigneur: Qui Te peindra aussi beau que Tu l’es? Soudain j’ai entendu ces paroles: Ce n’est ni dans la beauté des couleurs, ni dans celle du coup de pinceau que réside la grandeur de ce tableau, mais dans Ma grâce » (PJ 313).