Sujet: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Dim 01 Mar 2015, 13:40
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Dernière édition par Raphaël de l'Enfant Jésus le Mar 28 Mar 2017, 23:02, édité 1 fois
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Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Jeu 25 Fév 2016, 10:54
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Jeudi 25 Février 2016
De la férie
2ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Jérémie 17 : 5 à 10
« Maudit soit l’homme qui met sa foi dans un mortel. Béni soit l’homme qui met sa foi dans le SEIGNEUR »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR : Maudit soit l’homme qui met sa foi dans un mortel, qui s’appuie sur un être de chair, tandis que son cœur se détourne du SEIGNEUR. Il sera comme un buisson sur une terre désolée, il ne verra pas venir le bonheur. Il aura pour demeure les lieux arides du désert, une terre salée, inhabitable.
Béni soit l’homme qui met sa foi dans le SEIGNEUR, dont le SEIGNEUR est la confiance. Il sera comme un arbre, planté près des eaux, qui pousse, vers le courant, ses racines. Il ne craint pas quand vient la chaleur : son feuillage reste vert. L’année de la sécheresse, il est sans inquiétude : il ne manque pas de porter du fruit.
Rien n’est plus faux que le cœur de l’homme, il est incurable. Qui peut le connaître ? Moi, le SEIGNEUR, qui pénètre les cœurs et qui scrute les reins, afin de rendre à chacun selon sa conduite, selon le fruit de ses actes.
R/ Heureux est l’homme qui met sa foi dans le SEIGNEUR.
Heureux est l’homme qui n’entre pas au conseil des méchants, qui ne suit pas le chemin des pécheurs, ne siège pas avec ceux qui ricanent, mais se plaît dans la LOI du SEIGNEUR et murmure SA LOI jour et nuit ! R/
Il est comme un arbre planté près d’un ruisseau, qui donne du fruit en son temps, et jamais son feuillage ne meurt ; tout ce qu’il entreprend réussira. Tel n’est pas le sort des méchants. R/
Mais ils sont comme la paille balayée par le vent. Le SEIGNEUR connaît le chemin des justes, mais le chemin des méchants se perdra. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Luc 16 : 19 à 31
Acclamation de l’Évangile : TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE. Heureux ceux qui ont entendu la PAROLE dans un cœur bon et généreux, qui la retiennent et portent du fruit par leur persévérance. TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE. (cf. Lc 8, 15)
« Tu as reçu le bonheur, et Lazare, le malheur. Maintenant, lui, il trouve ici la consolation, et toi, la souffrance »
En ce temps-là, JÉSUS disait aux pharisiens : « Il y avait un homme riche, vêtu de pourpre et de lin fin, qui faisait chaque jour des festins somptueux. Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare, qui était couvert d’ulcères. Il aurait bien voulu se rassasier de ce qui tombait de la table du riche ; mais les chiens, eux, venaient lécher ses ulcères. Or le pauvre mourut, et les Anges l’emportèrent auprès d’Abraham. Le riche mourut aussi, et on l’enterra. Au séjour des morts, il était en proie à la torture ; levant les yeux, il vit Abraham de loin et Lazare tout près de lui. Alors il cria : “Père Abraham, prends pitié de moi et envoie Lazare tremper le bout de son doigt dans l’eau pour me rafraîchir la langue, car je souffre terriblement dans cette fournaise. – Mon enfant, répondit Abraham, rappelle- toi : tu as reçu le bonheur pendant ta vie, et Lazare, le malheur pendant la sienne. Maintenant, lui, il trouve ici la consolation, et toi, la souffrance. Et en plus de tout cela, un grand abîme a été établi entre vous et nous, pour que ceux qui voudraient passer vers vous ne le puissent pas, et que, de là-bas non plus, on ne traverse pas vers nous.” Le riche répliqua : “Eh bien ! père, je te prie d’envoyer Lazare dans la maison de mon père. En effet, j’ai cinq frères : qu’il leur porte son témoignage, de peur qu’eux aussi ne viennent dans ce lieu de torture !” Abraham lui dit : “Ils ont Moïse et les Prophètes : qu’ils les écoutent ! – Non, père Abraham, dit- il, mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver, ils se convertiront.” Abraham répondit : “S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes, quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts : ils ne seront pas convaincus.” »
(Première lecture) Livre de l’Exode 3 : 1 à 8a, 10, 13 à 15
« CELUI qui m’a envoyé vers vous, c’est : JE-SUIS »
En ces jours-là, Moïse était berger du troupeau de son beau-père Jéthro, prêtre de Madiane. Il mena le troupeau au-delà du désert et parvint à la MONTAGNE DE DIEU, à l’Horeb. L’Ange du SEIGNEUR lui apparut dans la flamme d’un buisson en feu. Moïse regarda : le buisson brûlait sans se consumer. Moïse se dit alors : « Je vais faire un détour pour voir cette chose extraordinaire : pourquoi le buisson ne se consume-t-il pas ? » Le SEIGNEUR vit qu’il avait fait un détour pour voir, et DIEU l’appela du milieu du buisson : « Moïse ! Moïse ! » Il dit : « Me voici ! » DIEU dit alors : « N’approche pas d’ici ! Retire les sandales de tes pieds, car le LIEU où tu te tiens est une TERRE SAINTE ! » Et il déclara : « JE SUIS LE DIEU de ton père, le DIEU d’Abraham, le DIEU d’Isaac, le DIEU de Jacob. » Moïse se voila le visage car il craignait de porter son regard sur DIEU. Le SEIGNEUR dit : « J’ai vu, oui, J’ai vu la misère de Mon Peuple qui est en Égypte, et J’ai entendu ses cris sous les coups des surveillants. Oui, Je connais ses souffrances. Je suis descendu pour le délivrer de la main des Égyptiens et le faire monter de ce pays vers un beau et vaste pays, vers un pays, ruisselant de lait et de miel. Maintenant donc, va ! Je t’envoie chez Pharaon : tu feras sortir d’Égypte Mon Peuple, les fils d’Israël. » Moïse répondit à DIEU : « J’irai donc trouver les fils d’Israël, et je leur dirai : ‘Le DIEU de vos pères m’a envoyé vers vous.’ Ils vont me demander quel est SON NOM ; que leur répondrai-je ? » DIEU dit à Moïse : « JE SUIS QUI JE SUIS. Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : ‘CELUI qui m’a envoyé vers vous, c’est : JE-SUIS’. » DIEU dit encore à Moïse : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : ‘CELUI qui m’a envoyé vers vous, c’est LE SEIGNEUR, le DIEU de vos pères, le DIEU d’Abraham, le DIEU d’Isaac, le DIEU de Jacob’. C’est là MON NOM pour toujours, c’est par LUI que vous ferez mémoire de Moi, d’âge en d’âge. »
(Deuxième lecture) Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens 10 : 1 à 6, 10 à 12
La vie de Moïse avec le peuple au désert, l’Écriture l’a racontée pour nous avertir
Frères, je ne voudrais pas vous laisser ignorer que, lors de la sortie d’Égypte, nos pères étaient tous sous la protection de la nuée, et que tous ont passé à travers la mer. Tous, ils ont été unis à Moïse par un baptême dans la nuée et dans la mer ; tous, ils ont mangé la même nourriture spirituelle ; tous, ils ont bu la même boisson spirituelle ; car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher, c’était le Christ. Cependant, la plupart n’ont pas su plaire à Dieu : leurs ossements, en effet, jonchèrent le désert. Ces événements devaient nous servir d’exemple, pour nous empêcher de désirer ce qui est mal comme l’ont fait ces gens-là. Cessez de récriminer comme l’ont fait certains d’entre eux : ils ont été exterminés. Ce qui leur est arrivé devait servir d’exemple, et l’Écriture l’a raconté pour nous avertir, nous qui nous trouvons à la fin des temps. Ainsi donc, celui qui se croit solide, qu’il fasse attention à ne pas tomber.
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Luc 13 : 1 à 9
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE AU CHRIST, SAGESSE ÉTERNELLE DU DIEU VIVANT. GLOIRE À TOI, SEIGNEUR.
Convertissez-vous, dit le SEIGNEUR, car le Royaume des Cieux est tout proche.
GLOIRE AU CHRIST, SAGESSE ÉTERNELLE DU DIEU VIVANT. GLOIRE À TOI, SEIGNEUR. (Mt 4, 17)
« Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même »
Un jour, des gens rapportèrent à JÉSUS l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient. JÉSUS leur répondit : « Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Eh bien, Je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. » JÉSUS disait encore cette parabole : « Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas. Il dit alors à son vigneron : ‘Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?’ Mais le vigneron lui répondit : ‘Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier. Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas.’ »
Textes du jour, lu sur : Les services de la liturgie Catholique http://www.aelf.org/office-messe?date_my=28/02/2016
Liens : http://www.aelf.org/office-messe http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement Nicolas
Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Dim 28 Fév 2016, 19:06
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Lundi 29 Février 2016
De la férie
3ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Deuxième Livre des Rois 5 : 1 à 15a
« Il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien »
En ces jours- là, Naaman, général de l’armée du roi d’Aram, était un homme de grande valeur et hautement estimé par son maître, car c’est par lui que le SEIGNEUR avait donné la victoire au royaume d’Aram. Or, ce vaillant guerrier était lépreux. Des Araméens, au cours d’une expédition en terre d’Israël, avaient fait prisonnière une fillette qui fut mise au service de la femme de Naaman. Elle dit à sa maîtresse : « Ah ! si mon maître s’adressait au Prophète qui est à Samarie, celui-ci le délivrerait de sa lèpre. » Naaman alla auprès du roi et lui dit : « Voilà ce que la jeune fille d’Israël a déclaré. » Le roi d’Aram lui répondit : « Va, mets-toi en route. J’envoie une lettre au roi d’Israël. » Naaman partit donc ; il emportait dix lingots d’argent, six mille pièces d’or et dix vêtements de fête. Il remit la lettre au roi d’Israël. Celle-ci portait : « En même temps que te parvient cette lettre, je t’envoie Naaman mon serviteur, pour que tu le délivres de sa lèpre. » Quand le roi d’Israël lut ce message, il déchira ses vêtements et s’écria : « Est-ce que je suis DIEU, MAÎTRE de la vie et de la mort ? Ce roi m’envoie un homme pour que je le délivre de sa lèpre ! Vous le voyez bien : c’est une provocation ! » Quand Élisée, l’homme de DIEU, apprit que le roi d’Israël avait déchiré ses vêtements, il lui fit dire : « Pourquoi as-tu déchiré tes vêtements ? Que cet homme vienne à moi, et il saura qu’il y a un Prophète en Israël. »
Naaman arriva avec ses chevaux et son char, et s’arrêta à la porte de la maison d’Élisée. Élisée envoya un messager lui dire : « Va te baigner sept fois dans le Jourdain, et ta chair redeviendra nette, tu seras purifié. » Naaman se mit en colère et s’éloigna en disant : « Je m’étais dit : Sûrement il va sortir, et se tenir debout pour invoquer le NOM du SEIGNEUR son DIEU ; puis il agitera sa main au-dessus de l’endroit malade et guérira ma lèpre. Est-ce que les fleuves de Damas, l’Abana et le Parpar, ne valent pas mieux que toutes les eaux d’Israël ? Si je m’y baignais, est-ce que je ne serais pas purifié ? » Il tourna bride et partit en colère. Mais ses serviteurs s’approchèrent pour lui dire : « Père ! Si le Prophète t’avait ordonné quelque chose de difficile, tu l’aurais fait, n’est-ce pas ? Combien plus, lorsqu’il te dit : “Baigne-toi, et tu seras purifié.” » Il descendit jusqu’au Jourdain et s’y plongea sept fois, pour obéir à la Parole de l’homme de DIEU ; alors sa chair redevint semblable à celle d’un petit enfant : il était purifié ! Il retourna chez l’homme de DIEU avec toute son escorte ; il entra, se présenta devant lui et déclara : « Désormais, je le sais : il n’y a pas d’autre DIEU, sur toute la Terre, que CELUI d’Israël ! »
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Luc 4 : 24 à 30
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE AU CHRIST, SAGESSE ÉTERNELLE DU DIEU VIVANT. GLOIRE À TOI, SEIGNEUR. J’espère le SEIGNEUR, et j’attends SA PAROLE près du SEIGNEUR EST L’AMOUR, l’abondance du rachat. GLOIRE AU CHRIST, SAGESSE ÉTERNELLE DU DIEU VIVANT. GLOIRE À TOI, SEIGNEUR. (Ps 129, 5.7)
JÉSUS, comme Élie et Élisée, n’est pas envoyé qu’aux seuls Juifs
Dans la synagogue de Nazareth, JÉSUS déclara : « AMEN, Je vous le dis : aucun Prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays. En vérité, Je vous le dis : Au temps du Prophète Élie, lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie, et qu’une grande famine se produisit sur toute la Terre, il y avait beaucoup de veuves en Israël ; pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d’entre elles, mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon, chez une veuve étrangère. Au temps du Prophète Élisée, il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien. »
À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux. Ils se levèrent, poussèrent JÉSUS hors de la ville, et LE menèrent jusqu’à un escarpement de la colline où leur ville est construite, pour LE précipiter en bas. Mais LUI, passant au milieu d’eux, allait SON CHEMIN.
Textes du jour, lu sur : Les services de la liturgie Catholique http://www.aelf.org/office-messe?date_my=29/02/2016
Liens : http://www.aelf.org/office-messe http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement Nicolas
Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Lun 29 Fév 2016, 18:54
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Mardi 1er Mars 2016
De la férie
3ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Daniel 3 : 25, 34 à 43
« Avec nos cœurs brisés, nos esprits humiliés, reçois- nous »
En ces jours- là, Azarias, debout, priait ainsi ; au milieu du feu, ouvrant la bouche, il dit : À cause de TON NOM, ne nous livre pas pour toujours et ne romps pas TON ALLIANCE. Ne nous retire pas TA MISÉRICORDE, à cause d’Abraham, Ton ami, d’Isaac, Ton serviteur, et d’Israël que TU as consacré. TU as dit que TU rendrais leur descendance aussi nombreuse que les astres du ciel, que le sable au rivage des mers.
Or nous voici, Ô MAÎTRE, le moins nombreux de tous les peuples, humiliés aujourd’hui sur toute la Terre, à cause de nos péchés. Il n’est plus, en ce temps, ni prince ni chef ni Prophète, plus d’holocauste ni de sacrifice, plus d’oblation ni d’offrande d’encens, plus de lieu où T’offrir nos prémices pour obtenir TA MISÉRICORDE. Mais, avec nos cœurs brisés, nos esprits humiliés, reçois-nous, comme un holocauste de béliers, de taureaux, d’agneaux gras par milliers. Que notre sacrifice, en ce jour, trouve grâce devant TOI, car il n’est pas de honte pour qui espère en TOI.
Et maintenant, de tout cœur, nous TE suivons, nous TE craignons et nous cherchons TA FACE. Ne nous laisse pas dans la honte, agis envers nous selon TON INDULGENCE et l’abondance de TA MISÉRICORDE. Délivre-nous en renouvelant TES MERVEILLES, GLORIFIE TON NOM, SEIGNEUR.
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Matthieu 18 : 21 à 35
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ ! Maintenant, dit le SEIGNEUR, revenez à Moi de tout votre cœur, car JE SUIS TENDRE ET MISÉRICORDIEUX. GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ ! (cf. Jl 2, 12-13)
« C’est ainsi que MON PÈRE DU CIEL vous traitera, si chacun de vous ne pardonne pas à son frère »
En ce temps- là, Pierre s’approcha de JÉSUS pour LUI demander : « SEIGNEUR, lorsque mon frère commettra des fautes contre moi, combien de fois dois-je lui pardonner ? Jusqu’à sept fois ? » JÉSUS lui répondit : « Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à 70 fois sept fois. Ainsi, le Royaume des Cieux est comparable à un roi qui voulut régler ses comptes avec ses serviteurs. Il commençait, quand on lui amena quelqu’un qui lui devait dix mille talents (c’est-à-dire soixante millions de pièces d’argent). Comme cet homme n’avait pas de quoi rembourser, le maître ordonna de le vendre, avec sa femme, ses enfants et tous ses biens, en remboursement de sa dette. Alors, tombant à ses pieds, le serviteur demeurait prosterné et disait : “Prends patience envers moi, et je te rembourserai tout.” Saisi de compassion, le maître de ce serviteur le laissa partir et lui remit sa dette.
Mais, en sortant, ce serviteur trouva un de ses compagnons qui lui devait cent pièces d’argent. Il se jeta sur lui pour l’étrangler, en disant : “Rembourse ta dette !” Alors, tombant à ses pieds, son compagnon le suppliait : “Prends patience envers moi, et je te rembourserai.” Mais l’autre refusa et le fit jeter en prison jusqu’à ce qu’il ait remboursé ce qu’il devait. Ses compagnons, voyant cela, furent profondément attristés et allèrent raconter à leur maître tout ce qui s’était passé. Alors celui-ci le fit appeler et lui dit : “Serviteur mauvais ! je t’avais remis toute cette dette parce que tu m’avais supplié. Ne devais-tu pas, à ton tour, avoir pitié de ton compagnon, comme moi-même j’avais eu pitié de toi ?” Dans sa colère, son maître le livra aux bourreaux jusqu’à ce qu’il eût remboursé tout ce qu’il devait.
C’est ainsi que MON PÈRE DU CIEL vous traitera, si chacun de vous ne pardonne pas à son frère du fond du cœur. »
Textes du jour, lu sur : Les services de la liturgie Catholique http://www.aelf.org/office-messe?date_my=01/03/2016
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Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Mar 01 Mar 2016, 18:56
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Mercredi 2 Mars 2016
De la férie
3ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Deutéronome 4 : 1, 5 à 9
« Vous garderez MES DÉCRETS, vous Les mettrez en pratique »
Moïse disait au peuple : « Maintenant, Israël, écoute les DÉCRETS et les ORDONNANCES que je vous enseigne pour que vous Les mettiez en pratique. Ainsi vous vivrez, vous entrerez, pour en prendre possession, dans le pays que vous donne le SEIGNEUR, le DIEU de vos pères. Voyez, je vous enseigne les DÉCRETS et les ORDONNANCES que le SEIGNEUR mon DIEU m’a donnés pour vous, afin que vous Les mettiez en pratique dans le pays où vous allez entrer pour en prendre possession. Vous Les garderez, vous Les mettrez en pratique ; ils seront votre SAGESSE et votre INTELLIGENCE aux yeux de tous les peuples. Quand ceux-ci entendront parler de tous CES DÉCRETS, ils s’écrieront : “Il n’y a pas un peuple sage et intelligent comme cette grande nation !” Quelle est en effet la grande nation dont les dieux soient aussi proches que le SEIGNEUR notre DIEU est proche de nous chaque fois que nous L’invoquons ? Et quelle est la grande nation dont les DÉCRETS et les ORDONNANCES soient aussi JUSTES que toute cette Loi que je vous donne aujourd’hui ? Mais prends garde à toi : garde-toi de jamais oublier ce que tes yeux ont vu ; ne le laisse pas sortir de ton cœur un seul jour. Enseigne-le à tes fils, et aux fils de tes fils. »
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Matthieu 5 : 17 à 19
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, FILS DU DIEU VIVANT ! TES PAROLES, SEIGNEUR, sont ESPRIT et elles sont vie ; TU as les PAROLES DE LA VIE ÉTERNELLE. GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, FILS DU DIEU VIVANT ! (cf. Jn 6, 63c.68c)
« Celui qui les observera et les enseignera, celui-là sera déclaré grand »
En ce temps-là, JÉSUS disait à Ses Disciples : « Ne pensez pas que Je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes : Je ne suis pas venu abolir, mais accomplir. AMEN, Je vous le dis : Avant que le ciel et la Terre disparaissent, pas un seul iota, pas un seul trait ne disparaîtra de la Loi jusqu’à ce que tout se réalise. Donc, celui qui rejettera un seul de ces plus petits COMMANDEMENTS, et qui enseignera aux hommes à faire ainsi, sera déclaré le plus petit dans le Royaume des Cieux. Mais celui qui les observera et les enseignera, celui-là sera déclaré grand dans le Royaume des Cieux. »
Textes du jour, lu sur : Les services de la liturgie Catholique http://www.aelf.org/office-messe?date_my=02/03/2016
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Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Mer 02 Mar 2016, 18:47
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Jeudi 3 Mars 2016
De la férie
3ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Jérémie 7 : 23 à 28
« Voilà bien la nation qui n’a pas écouté la VOIX du SEIGNEUR son DIEU »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR : Voici l’ORDRE que J’ai donné à vos pères : « Écoutez MA VOIX : Je serai votre DIEU, et vous, vous serez Mon Peuple ; vous suivrez tous les CHEMINS que Je vous PRESCRIS, afin que vous soyez heureux. » Mais ils n’ont pas écouté, ils n’ont pas prêté l’oreille, ils ont suivi les mauvais penchants de leur cœur endurci ; ils ont tourné leur dos et non leur visage. Depuis le jour où vos pères sont sortis du pays d’Égypte jusqu’à ce jour, J’ai envoyé vers vous, inlassablement, tous Mes Serviteurs les Prophètes. Mais ils ne m’ont pas écouté, ils n’ont pas prêté l’oreille, ils ont raidi leur nuque, ils ont été pires que leurs pères. Tu leur diras toutes CES PAROLES, et ils ne t’écouteront pas. Tu les appelleras, et ils ne te répondront pas. Alors, tu leur diras : « Voilà bien la nation qui n’a pas écouté la VOIX du SEIGNEUR son DIEU, et n’a pas accepté de leçon ! La VÉRITÉ s’est perdue, elle a disparu de leur bouche. »
R/ Aujourd’hui, ne fermez pas votre cœur, mais écoutez la VOIX du SEIGNEUR.
Venez, crions de joie pour le SEIGNEUR, acclamons notre ROCHER, notre SALUT ! Allons jusqu’à LUI en rendant grâce, par nos hymnes de fête acclamons-LE ! R/
Entrez, inclinez-vous, prosternez-vous, adorons le SEIGNEUR qui nous a faits. Oui, IL est notre DIEU ; nous sommes le Peuple qu’IL conduit. R/
Aujourd’hui écouterez-vous SA PAROLE ? « Ne fermez pas votre cœur comme au désert, comme au jour de tentation et de défi, où vos pères M’ont tenté et provoqué. » R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Luc 11 : 14 à 23
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ ! Maintenant, dit le SEIGNEUR, revenez à Moi de tout votre cœur, car JE SUIS TENDRE ET MISÉRICORDIEUX. GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ ! (cf. Jl 2, 12-13)
« Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi »
En ce temps-là, JÉSUS expulsait un démon qui rendait un homme muet. Lorsque le démon fut sorti, le muet se mit à parler, et les foules furent dans l’admiration. Mais certains d’entre eux dirent : « C’est par Béelzéboul, le chef des démons, qu’IL expulse les démons. » D’autres, pour LE mettre à l’épreuve, cherchaient à obtenir de LUI un signe venant du Ciel. JÉSUS, connaissant leurs pensées, leur dit : « Tout royaume divisé contre lui-même devient désert, ses maisons s’écroulent les unes sur les autres. Si Satan, lui aussi, est divisé contre lui-même, comment son royaume tiendra-t-il ? Vous dites en effet que c’est par Béelzéboul que J’expulse les démons. Mais si c’est par Béelzéboul que Moi, Je les expulse, vos disciples, par qui les expulsent-ils ? Dès lors, ils seront eux-mêmes vos juges. En revanche, si c’est par le DOIGT DE DIEU queJ’expulse les démons, c’est donc que le RÈGNE DE DIEU est venu jusqu’à vous. Quand l’homme fort, et bien armé, garde son palais, tout ce qui lui appartient est en sécurité. Mais si un plus fort survient et triomphe de lui, il lui enlève son armement, auquel il se fiait, et il distribue tout ce dont il l’a dépouillé. Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi ; celui qui ne rassemble pas avec Moi disperse. »
Textes du jour, lu sur : Les services de la liturgie Catholique http://www.aelf.org/office-messe?date_my=03/03/2016
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Amicalement, fraternellement Nicolas
Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Jeu 03 Mar 2016, 19:04
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Vendredi 4 Mars 2016
Saint Casimir
3ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Osée 14 : 2 à 10
« Nous ne dirons plus à l’ouvrage de nos mains : “TU es notre DIEU” »
Aisnsi PARLE le SEIGNEUR : Reviens, Israël, au SEIGNEUR ton DIEU ; car tu t’es effondré par suite de tes fautes. Revenez au SEIGNEUR en LUI présentant ces paroles : « Enlève toutes les fautes, et accepte ce qui est bon. Au lieu de taureaux, nous T’offrons en sacrifice les paroles de nos lèvres. Puisque les Assyriens ne peuvent pas nous sauver, nous ne monterons plus sur des chevaux, et nous ne dirons plus à l’ouvrage de nos mains : “TU es notre DIEU”, car de TOI SEUL l’orphelin reçoit de la TENDRESSE. »
Voici la RÉPONSE du SEIGNEUR : Je les guérirai de leur infidélité, Je les aimerai d’un amour gratuit, car Ma Colère s’est détournée d’Israël. Je serai pour Israël comme la rosée, il fleurira comme le lis, il étendra ses racines comme les arbres du Liban. Ses jeunes pousses vont grandir, sa parure sera comme celle de l’olivier, son parfum, comme celui de la forêt du Liban. Ils reviendront s’asseoir à son ombre, ils feront revivre le froment, ils fleuriront comme la vigne, ils seront renommés comme le vin du Liban. Éphraïm ! Peux-tu Me confondre avec les idoles ? C’est Moi qui te réponds et qui te regarde. Je suis comme le cyprès toujours vert, c’est Moi qui te donne ton fruit.
Qui donc est assez sage pour comprendre ces choses, assez pénétrant pour les saisir ? Oui, les CHEMINS du SEIGNEUR sont DROITS : les justes y avancent, mais les pécheurs y trébuchent.
Du répertoire du chef de chorale et du recueil d’Assaf. Accompagnement sur la harpe de Gat.
[Psaume 80 (81) ; entièrement]
Psaume 80 (81) : 6c et 8a, 8bc et 9, 10 et 11ab, 14 et 17
R/ C’est Moi, le SEIGNEUR ton DIEU, écoute Ma VOIX.
J’entends des mots qui M’étaient inconnus : « J’ai ôté le poids qui chargeait ses épaules ; ses mains ont déposé le fardeau. Quand tu criais sous l’oppression, Je t’ai sauvé. R/
« Je répondais, caché dans l’orage, je t’éprouvais près des eaux de Mériba. Écoute, Je t’adjure, ô mon peuple ; vas-tu M’écouter, Israël ? R/
« Tu n’auras pas chez toi d’autres dieux, tu ne serviras aucun dieu étranger. C’est Moi, le SEIGNEUR ton DIEU, qui t’ai fait monter de la terre d’Égypte ! R/
« Ah ! Si Mon Peuple M’écoutait, Israël, s’il allait sur MES CHEMINS ! Je le nourrirais de la fleur du froment, Je le rassasierais avec le miel du rocher ! » R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Marc 12 : 28b à 34
Acclamation de l’Évangile : TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ ET TA LOI, DÉLIVRANCE. Convertissez-vous, dit le SEIGNEUR, car le Royaume des Cieux est tout proche. TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ ET TA LOI, DÉLIVRANCE. (Mt 4, 17)
« Le SEIGNEUR notre DIEU est l’UNIQUE SEIGNEUR : tu L’aimeras »
En ce temps- là, un scribe s’avança vers JÉSUS pour LUI demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? » JÉSUS lui fit cette réponse : « Voici le premier :
Écoute, Israël : le SEIGNEUR notre DIEU est l’UNIQUE SEIGNEUR. Tu aimeras le SEIGNEUR ton DIEU de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force.
Et voici le second :
Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux- là. » Le scribe reprit : « Fort bien, MAÎTRE, TU as dit vrai : DIEU EST L’UNIQUE et il n’y en a pas d’autre que LUI. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. » JÉSUS, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du Royaume de DIEU. » Et personne n’osait plus L’interroger.
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Ven 04 Mar 2016, 18:53
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Samedi 5 Mars 2016
De la férie
3ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Osée 6 : 1 à 6
« Je veux la fidélité, non le sacrifice »
Venez, retournons vers le SEIGNEUR ! IL a blessé, mais IL nous guérira ; IL a frappé, mais IL nous soignera. Après deux jours, IL nous rendra la vie ; IL nous relèvera le troisième jour : alors, nous vivrons devant SA FACE.
Efforçons-nous de connaître le SEIGNEUR : SON LEVER est aussi sûr que l’aurore ; IL nous viendra comme la pluie, l’ondée qui arrose la terre. – Que ferai-Je de toi, Éphraïm ? Que ferai-Je de toi, Juda ? Votre fidélité, une brume du matin, une rosée d’aurore qui s’en va. Voilà pourquoi J’ai frappé par Mes Prophètes, donné la mort par les PAROLES de Ma BOUCHE : Mon JUGEMENT jaillit comme la LUMIÈRE. Je veux la Fidélité, non le sacrifice, la Connaissance de DIEU plus que les holocaustes.
Psaume appartenant au répertoire du chef de chorale et au recueil de David. Il fait allusion à la visite que le Prophète Natan rendit à David après que celui-ci eut commis adultère avec Bethsabée ( Batchéba).
[Psaume 50 (51) ; entièrement]
Psaume 50 (51) : 3 et 4, 18 et 19, 20 et 21ab
R/ TU veux la Fidélité, SEIGNEUR, non le sacrifice.
Pitié pour moi, mon DIEU, dans TON AMOUR, selon TA GRANDE MISÉRICORDE, efface mon péché. Lave-moi tout entier de ma faute, purifie-moi de mon offense. R/
Si j’offre un sacrifice, TU n’en veux pas, TU n’acceptes pas d’holocauste. Le sacrifice qui plaît à DIEU, c’est un Esprit Brisé ; TU ne repousses pas, ô mon DIEU, un Cœur Brisé et Broyé. R/
Accorde à Sion le bonheur, relève les murs de Jérusalem. Alors TU accepteras de justes sacrifices, oblations et holocaustes sur Ton Autel. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Luc 18 : 9 à 14
Acclamation de l’Évangile : TES PAROLES, SEIGNEUR, SONT ESPRIT ET ELLES SONT VIE. Aujourd’hui, ne fermez pas votre cœur, mais écoutez la VOIX du SEIGNEUR. TES PAROLES, SEIGNEUR, SONT ESPRIT ET ELLES SONT VIE. (cf. Ps 94, 8a.7d)
« Le publicain était devenu un homme juste, plutôt que l’autre »
En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, JÉSUS dit la parabole que voici : « Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts). Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : “Mon DIEU, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –, ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne.” Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le Ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon DIEU, montre-TOI favorable au pécheur que je suis !” Je vous le déclare : quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé. »
(Première lecture) Livre de Josué 5 : 9a et 10 à 12
L’arrivée du Peuple de DIEU en Terre Promise et la célébration de la Pâque
En ces jours-là, le SEIGNEUR dit à Josué : « Aujourd'hui, j'ai enlevé de vous le déshonneur de l'Égypte. » Les fils d’Israël campèrent à Guilgal et célébrèrent la Pâque le quatorzième jour du mois, vers le soir, dans la plaine de Jéricho. Le lendemain de la Pâque, en ce jour même, ils mangèrent les produits de cette terre : des pains sans levain et des épis grillés. À partir de ce jour, la manne cessa de tomber, puisqu’ils mangeaient des produits de la terre. Il n’y avait plus de manne pour les fils d’Israël, qui mangèrent cette année-là ce qu’ils récoltèrent sur la terre de Canaan.
Du recueil de David. Devant Abimélek, David s’était fait passer pour fou. Après avoir été mis à la porte par celui-ci, il prononça les paroles que voici.
Psaume 33 (34) , entièrement
Psaume 33 (34) : 2 et 3, 4 et 5, 6 et 7
R/ Goûtez et voyez comme est BON le SEIGNEUR !
Je bénirai le SEIGNEUR en tout temps, SA LOUANGE sans cesse à mes lèvres. Je me glorifierai dans le SEIGNEUR : que les pauvres m’entendent et soient en fête ! R/
Magnifiez avec moi le SEIGNEUR, exaltons tous ensemble SON NOM. Je cherche le SEIGNEUR, IL me répond : de toutes mes frayeurs, IL me délivre. R/
Qui regarde vers LUI resplendira, sans ombre ni trouble au visage. Un pauvre crie ; le SEIGNEUR entend : IL le sauve de toutes ses angoisses. R/
(Deuxième lecture) Deuxième Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens 5 : 7 à 21
« DIEU nous a réconciliés avec LUI par le CHRIST »
Frères, si quelqu’un est dans le CHRIST, il est une Créature Nouvelle. Le monde ancien s’en est allé, un monde nouveau est déjà né. Tout cela vient de DIEU : IL nous a réconciliés avec LUI par le CHRIST, et IL nous a donné le ministère de la réconciliation. Car c’est bien DIEU qui, dans le CHRIST, réconciliait le monde avec LUI : IL n’a pas tenu compte des fautes, et IL a déposé en nous la PAROLE de la RÉCONCILIATION. Nous sommes donc les ambassadeurs du CHRIST, et par nous c’est DIEU LUI-MÊME qui lance un appel : nous le demandons au NOM DU CHRIST, laissez-vous réconcilier avec DIEU. CELUI qui n’a pas connu le péché, DIEU L’a pour nous identifié au péché, afin qu’en LUI nous devenions justes de la JUSTICE même de DIEU.
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Luc 15 : 1 à 3, 11 à 32
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS.
Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS. (Mt 4, 17)
« Ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie »
En ce temps-là, les publicains et les pécheurs venaient tous à JÉSUS pour L’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre LUI : « Cet Homme fait bon accueil aux pécheurs, et IL mange avec eux ! » Alors JÉSUS leur dit cette parabole : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : ‘Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.’ Et le père leur partagea ses biens. Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre. Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien. Alors il rentra en lui-même et se dit : ‘Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le Ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.’ Il se leva et s’en alla vers son père. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : ‘Père, j’ai péché contre le Ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.’ Mais le père dit à ses serviteurs : ‘Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé.’ Et ils commencèrent à festoyer.
Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait. Celui-ci répondit : ‘Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.’ Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier. Mais il répliqua à son père : ‘Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras !’ Le père répondit : ‘Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé ! »
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Dim 06 Mar 2016, 18:34
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Lundi 7 Mars 2016
Sainte Perpétue et Sainte Félicité, Martyres
4ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Isaïe 65 : 17 à 21
« On n’y entendra plus de pleurs ni de cris »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR : Oui, voici : Je vais créer un Ciel Nouveau et une Terre Nouvelle, on ne se souviendra plus du passé, il ne reviendra plus à l’esprit. Soyez plutôt dans la joie, exultez sans fin pour ce que Je crée. Car Je vais recréer Jérusalem, pour qu’elle soit exultation, et que son peuple devienne joie. J’exulterai en Jérusalem, Je trouverai Ma JOIE dans mon peuple. On n’y entendra plus de pleurs ni de cris. Là, plus de nourrisson emporté en quelques jours, ni d’homme qui ne parvienne au bout de sa vieillesse ; le plus jeune mourra centenaire, ne pas atteindre cent ans sera malédiction. On bâtira des maisons, on y habitera ; on plantera des vignes, on mangera leurs fruits.
Chant pour la consécration du temple, appartenant au recueil de David.
[Psaume 29 (30) ; entièrement]
Psaume 29 (30) : 2a et 3 et 4, 5 et 6, 9 et 12a et 13cd
R/ Je t’exalte, SEIGNEUR : TU m’as relevé.
Je T’exalte, SEIGNEUR : TU m’as relevé. Quand j’ai crié vers TOI, SEIGNEUR. SEIGNEUR, tu m’as fait remonter de l’abîme et revivre quand je descendais à la fosse. R/
Fêtez le SEIGNEUR, vous, Ses Fidèles, rendez grâce en rappelant SON NOM TRÈS SAINT. Sa colère ne dure qu’un instant, SA BONTÉ, toute la VIE ; avec le soir, viennent les larmes, mais au matin, les cris de joie. R/
Et j’ai crié vers TOI, SEIGNEUR, j’ai supplié mon DIEU. TU as changé mon deuil en une danse. Que sans fin, SEIGNEUR, mon DIEU, je TE rende grâce ! R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 4 : 43 à 54
Acclamation de l’Évangile : TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ ET TA LOI, DÉLIVRANCE. Cherchez le bien, non le mal, afin de vivre. Ainsi le SEIGNEUR sera avec vous. TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ ET TA LOI, DÉLIVRANCE. (cf. Am 5, 14)
« Va, ton fils est vivant »
En ce temps- là, après avoir passé deux jours chez les Samaritains, JÉSUS partit de là pour la Galilée. – LUI-MÊME avait témoigné qu’un Prophète n’est pas considéré dans son propre pays. IL arriva donc en Galilée ; les Galiléens LUI firent bon accueil, car ils avaient vu tout ce qu’IL avait fait à Jérusalem pendant la fête de la Pâque, puisqu’ils étaient allés eux aussi à cette fête. Ainsi donc JÉSUS revint à Cana de Galilée, où IL avait changé l’eau en vin. Or, il y avait un fonctionnaire royal, dont le fils était malade à Capharnaüm. Ayant appris que JÉSUS arrivait de Judée en Galilée, il alla LE trouver ; il LUI demandait de descendre à Capharnaüm pour guérir son fils qui était mourant. JÉSUS lui dit : « Si vous ne voyez pas de signes et de prodiges, vous ne croirez donc pas ! » Le fonctionnaire royal lui dit : « SEIGNEUR, descends, avant que mon enfant ne meure ! » JÉSUS lui répond : « Va, ton fils est vivant. » L’homme crut à la PAROLE que JÉSUS lui avait dite et il partit. Pendant qu’il descendait, ses serviteurs arrivèrent à sa rencontre et lui dirent que son enfant était vivant. Il voulut savoir à quelle heure il s’était trouvé mieux. Ils lui dirent : « C’est hier, à la septième heure (au début de l’après-midi), que la fièvre l’a quitté. » Le père se rendit compte que c’était justement l’heure où JÉSUS lui avait dit : « Ton fils est vivant. » Alors il crut, lui, ainsi que tous les gens de sa maison.
Tel fut le second signe que JÉSUS accomplit lorsqu’IL revint de Judée en Galilée.
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Lun 07 Mar 2016, 20:46
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Mardi 8 Mars 2016
Saint Jean de Dieu, Religieux
4ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Ézékiel 47 : 1 à 9, 12
J’ai vu l’eau qui jaillissait du Temple : tous ceux qu’elle touchait furent sauvés
En ces jours- là, au cours d’une vision reçue du SEIGNEUR, l’homme me fit revenir à l’entrée de la Maison, et voici : sous le seuil de la Maison, de l’eau jaillissait vers l’orient, puisque la façade de la Maison était du côté de l’orient.
L’eau descendait de dessous le côté droit de la Maison, au sud de l’autel. L’homme me fit sortir par la porte du nord et me fit faire le tour par l’extérieur, jusqu’à la porte qui fait face à l’orient, et là encore l’eau coulait du côté droit. L’homme s’éloigna vers l’orient, un cordeau à la main, et il mesura une distance de mille coudées ; alors il me fit traverser l’eau : j’en avais jusqu’aux chevilles. Il mesura encore mille coudées et me fit traverser l’eau : j’en avais jusqu’aux genoux. Il mesura encore mille coudées et me fit traverser : j’en avais jusqu’aux reins. Il en mesura encore mille : c’était un torrent que je ne pouvais traverser ; l’eau avait grossi, il aurait fallu nager : c’était un torrent infranchissable. Alors il me dit : « As-tu vu, fils d’homme ? » Puis il me ramena au bord du torrent. Quand il m’eut ramené, voici qu’il y avait au bord du torrent, de chaque côté, des arbres en grand nombre.
Il me dit : « Cette eau coule vers la région de l’orient, elle descend dans la vallée du Jourdain, et se déverse dans la mer Morte, dont elle assainit les eaux. En tout lieu où parviendra le torrent, tous les animaux pourront vivre et foisonner. Le poisson sera très abondant, car cette eau assainit tout ce qu’elle pénètre, et la vie apparaît en tout lieu où arrive le torrent. Au bord du torrent, sur les deux rives, toutes sortes d’arbres fruitiers pousseront ; leur feuillage ne se flétrira pas et leurs fruits ne manqueront pas. Chaque mois ils porteront des fruits nouveaux, car cette eau vient du sanctuaire. Les fruits seront une nourriture, et les feuilles un remède. »
Du répertoire du chef de chorale et du recueil de la confrérie de Coré. Accompagnement à l’aigu. Chant.
[Psaume 45 (46) ; entièrement]
Psaume 45 (46) : 2 et 3, 5 et 6, 8 et 9a et 10a
R/ IL est avec nous, le DIEU de l’Univers ; citadelle pour nous, le DIEU de Jacob !
DIEU est pour nous REFUGE et FORCE, secours dans la détresse, toujours offert. Nous serons sans crainte si la terre est secouée, si les montagnes s’effondrent au creux de la mer. R/
Le Fleuve, ses bras réjouissent la Ville de DIEU, la PLUS SAINTE des DEMEURES DU TRÈS- HAUT. DIEU s’y tient : elle est inébranlable ; quand renaît le matin, DIEU la secourt. R/
IL est avec nous, le SEIGNEUR de l’Univers ; citadelle pour nous, le DIEU de Jacob ! Venez et voyez les ACTES du SEIGNEUR, IL détruit la guerre jusqu’au bout du monde. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 5 : 1 à 16
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS ! Crée en moi un cœur pur, ô mon DIEU ; rends- moi la joie d’être sauvé. GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS ! (Ps 50, 12a.14a)
« Aussitôt l’homme fut guéri »
À l’occasion d’une fête juive, JÉSUS monta à Jérusalem. Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis, il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha. Elle a cinq colonnades, sous lesquelles étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents. Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans. JÉSUS, le voyant couché là, et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Veux-tu être guéri ? » Le malade LUI répondit : « SEIGNEUR, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l’eau bouillonne ; et pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. » JÉSUS lui dit : « Lève- toi, prends ton brancard, et marche. » Et aussitôt l’homme fut guéri. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat. Les Juifs dirent donc à cet homme que JÉSUS avait remis sur pied : « C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. » Il leur répliqua : « CELUI qui m’a guéri, c’est LUI qui m’a dit : “Prends ton brancard, et marche !” » Ils l’interrogèrent : « Quel est l’Homme qui t’a dit : “Prends ton brancard, et marche” ? » Mais celui qui avait été rétabli ne savait pas qui c’était ; en effet, JÉSUS s’était éloigné, car il y avait foule à cet endroit.
Plus tard, JÉSUS le retrouve dans le Temple et lui dit : « Te voilà guéri. Ne pèche plus, il pourrait t’arriver quelque chose de pire. » L’homme partit annoncer aux Juifs que c’était JÉSUS qui l’avait guéri. Et ceux-ci persécutaient JÉSUS parce qu’IL avait fait cela le jour du sabbat.
Textes du jour, lu sur : Les services de la liturgie Catholique http://www.aelf.org/office-messe?date_my=08/03/2016
Liens : http://www.aelf.org/office-messe http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement Nicolas
Nicolas Assidu
Nombre de messages : 6217 Age : 53 Localisation : Hérault (34)
Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Mar 08 Mar 2016, 20:47
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Mercredi 9 Mars 2016
Sainte Françoise Romaine, Religieuse
4ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Isaïe 49 : 8 à 15
« Je t’ai établi, pour que tu sois l’alliance du peuple, pour relever le pays »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR : Au temps favorable, Je t’ai exaucé, au jour du salut, Je t’ai secouru. Je t’ai façonné, établi, pour que tu sois l’alliance du peuple, pour relever le pays, restituer les héritages dévastés et dire aux prisonniers : « Sortez » ! aux captifs des ténèbres : « Montrez-vous » ! Au long des routes, ils pourront paître ; sur les hauteurs dénudées seront leurs pâturages. Ils n’auront ni faim ni soif ; le vent brûlant et le Soleil ne les frapperont plus. Lui, plein de compassion, les guidera, les conduira vers les eaux vives. De toutes mes montagnes, Je ferai un chemin, et Ma ROUTE sera rehaussée.
Les voici : ils viennent de loin, les uns du nord et du couchant, les autres des terres du sud. Cieux, criez de joie ! Terre, exulte ! Montagnes, éclatez en cris de joie ! Car le SEIGNEUR console Son Peuple ; de ses pauvres, IL a compassion.
Jérusalem disait : « Le SEIGNEUR m’a abandonnée, mon SEIGNEUR m’a oubliée. » Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, Moi, Je ne t’oublierai pas.
R/ Le SEIGNEUR est TENDRESSE et PITIÉ, lent à la colère et PLEIN D’AMOUR.
Le SEIGNEUR est TENDRESSE et PITIÉ, lent à la colère et PLEIN D’AMOUR ; la BONTÉ du SEIGNEUR est pour tous, SA TENDRESSE, pour toutes SES ŒUVRES. R/
Le SEIGNEUR EST VRAI en tout ce qu’IL dit, FIDÈLE en tout ce qu’IL fait. Le SEIGNEUR soutient tous ceux qui tombent, IL redresse tous les accablés. R/
Le SEIGNEUR EST JUSTE en toutes SES VOIES, FIDÈLE en tout ce qu’IL fait. IL est proche de ceux qui L’invoquent, de tous ceux qui L’invoquent en VÉRITÉ. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 5 : 17 à 30
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ ! Moi, JE SUIS LA RÉSURRECTION ET LA VIE, dit le SEIGNEUR. Celui qui croit en Moi ne mourra jamais. GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ ! (cf. Jn 11, 25a.26)
« Comme le PÈRE relève les morts et les fait vivre, ainsi le FILS fait vivre qui IL veut »
En ce temps-là, après avoir guéri le paralysé un jour de sabbat, JÉSUS déclara aux Juifs : « Mon PÈRE est toujours à l’ŒUVRE, et Moi aussi, Je suis à l’ŒUVRE. » C’est pourquoi, de plus en plus, les Juifs cherchaient à LE tuer, car non seulement IL ne respectait pas le sabbat, mais encore IL disait que DIEU était SON PROPRE PÈRE, et IL se faisait ainsi l’Égal de DIEU.
JÉSUS reprit donc la parole. IL leur déclarait : « AMEN, AMEN, Je vous le dis : le FILS ne peut rien faire de LUI-MÊME, IL fait seulement ce qu’IL voit faire par le PÈRE ; ce que fait CELUI-CI, le FILS le fait PAREILLEMENT. Car le PÈRE aime le FILS et LUI montre tout ce qu’IL fait. IL LUI montrera des ŒUVRES PLUS GRANDES ENCORE, si bien que vous serez dans l’étonnement. Comme le PÈRE, en effet, relève les morts et les fait vivre, ainsi le FILS, LUI aussi, fait vivre qui IL veut. Car le PÈRE ne juge personne : IL a donné au FILS tout pouvoir pour juger, afin que tous honorent le FILS comme ils honorent le PÈRE. Celui qui ne rend pas honneur au FILS ne rend pas non plus honneur au PÈRE, qui L’a envoyé. AMEN, AMEN, Je vous le dis : qui écoute MA PAROLE et croit en CELUI qui M’a envoyé, obtient la VIE ÉTERNELLE et il échappe au jugement, car déjà il passe de la mort à la vie.
AMEN, AMEN, Je vous le dis : l’heure vient – et c’est maintenant – où les morts entendront la VOIX DU FILS DE DIEU, et ceux qui l’auront entendue vivront. Comme le PÈRE, en effet, a la VIE EN LUI-MÊME, ainsi a-t-IL donné au FILS d’avoir, LUI aussi, la VIE EN LUI-MÊME ; et IL LUI a donné pouvoir d’exercer le jugement, parce qu’IL est le FILS de l’Homme. Ne soyez pas étonnés ; l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux entendront SA VOIX ; alors, ceux qui ont fait le bien sortiront pour ressusciter et vivre, ceux qui ont fait le mal, pour ressusciter et être jugés.
Moi, Je ne peux rien faire de MOI-MÊME ; Je rends Mon JUGEMENT d’après ce que J’entends, et Mon JUGEMENT EST JUSTE, parce que Je ne cherche pas à faire Ma Volonté, mais la VOLONTÉ de CELUI qui M’a envoyé. »
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Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Jeu 10 Mar 2016, 10:54
Bonjour Lumen,
Bonjour à toutes et à tous,
Jeudi 10 Mars 2016
Sainte Marie-Eugénie, Religieuse et Fondatrice
4ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre de l’Exode 32 : 7 à 14
« Renonce au mal que TU veux faire à Ton Peuple »
En ces jours-là, le SEIGNEUR parla à Moïse : « Va, descends, car ton peuple s’est corrompu, lui que tu as fait monter du pays d’Égypte. Ils n’auront pas mis longtemps à s’écarter du chemin que Je leur avais ordonné de suivre ! Ils se sont fait un veau en métal fondu et se sont prosternés devant lui. Ils lui ont offert des sacrifices en proclamant : “Israël, voici tes dieux, qui t’ont fait monter du pays d’Égypte.” »
Le SEIGNEUR dit encore à Moïse : « Je vois que ce peuple est un peuple à la nuque raide. Maintenant, laisse-Moi faire ; ma colère va s’enflammer contre eux et Je vais les exterminer ! Mais, de toi, Je ferai une grande nation. »
Moïse apaisa le VISAGE du SEIGNEUR son DIEU en disant : « Pourquoi, SEIGNEUR, ta colère s’enflammerait-elle contre Ton Peuple, que TU as fait sortir du pays d’Égypte par TA GRANDE FORCE et TA MAIN PUISSANTE ? Pourquoi donner aux Égyptiens l’occasion de dire : “C’est par méchanceté qu’IL les a fait sortir ; IL voulait les tuer dans les montagnes et les exterminer à la surface de la Terre” ? Reviens de l’ardeur de ta colère, renonce au mal que TU veux faire à Ton Peuple. Souviens-TOI de Tes Serviteurs, Abraham, Isaac et Israël, à qui TU as juré par TOI-MÊME : “Je multiplierai votre descendance comme les étoiles du ciel ; Je donnerai, comme Je l’ai dit, tout ce pays à vos descendants, et il sera pour toujours leur héritage.” »
Le SEIGNEUR renonça au mal qu’IL avait voulu faire à Son Peuple.
Psaume 105 (106) : 4ab et 6, 19 et 20, 21 et 22, 23
R/ Souviens-TOI de nous, SEIGNEUR, dans TA BIENVEILLANCE pour Ton Peuple.
Souviens-TOI de moi, SEIGNEUR, dans TA BIENVEILLANCE pour Ton Peuple. Avec nos pères, nous avons péché, nous avons failli et renié. R/
À l’Horeb ils fabriquent un veau, ils adorent un objet en métal : ils échangeaient ce qui était leur GLOIRE pour l’image d’un taureau, d’un ruminant. R/
Ils oublient le DIEU qui les sauve, qui a fait des PRODIGES en Égypte, des MIRACLES au pays de Cham, des actions terrifiantes sur la mer Rouge. R/
DIEU a décidé de les détruire. C’est alors que Moïse, Son Élu, surgit sur la brèche, devant LUI, pour empêcher que sa fureur les extermine. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 5 : 31 à 47
Acclamation de l’Évangile : LOUANGE À TOI, SEIGNEUR, ROI D’ÉTERNELLE GLOIRE ! DIEU a tellement aimé le monde qu’IL a donné SON FILS UNIQUE, afin que ceux qui croient en LUI aient la VIE ÉTERNELLE. LOUANGE À TOI, SEIGNEUR, ROI D’ÉTERNELLE GLOIRE ! (Jn 3, 16)
« Votre accusateur, c’est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance »
En ce temps-là, JÉSUS disait aux Juifs : « Si c’est Moi qui Me rends témoignage, Mon Témoignage n’est pas vrai ; c’est un autre qui Me rend TÉMOIGNAGE, et Je sais que le TÉMOIGNAGE qu’IL me rend est VRAI. Vous avez envoyé une délégation auprès de Jean le Baptiste, et il a rendu témoignage à la VÉRITÉ. Moi, ce n’est pas d’un homme que Je reçois le TÉMOIGNAGE, mais Je parle ainsi pour que vous soyez sauvés. Jean était la lampe qui brûle et qui brille, et vous avez voulu vous réjouir un moment à sa lumière. Mais J’ai pour Moi un TÉMOIGNAGE plus grand que celui de Jean : ce sont les ŒUVRES que le PÈRE M’a donné d’accomplir ; les ŒUVRES mêmes que Je fais témoignent que le PÈRE M’a envoyé. Et le PÈRE qui M’a envoyé, LUI, M’a rendu TÉMOIGNAGE. Vous n’avez jamais entendu SA VOIX, vous n’avez jamais vu SA FACE, et vous ne laissez pas SA PAROLE demeurer en vous, puisque vous ne croyez pas en CELUI que le PÈRE a envoyé. Vous scrutez les Écritures parce que vous pensez y trouver la VIE ÉTERNELLE ; or, ce sont les Écritures qui Me rendent TÉMOIGNAGE, et vous ne voulez pas venir à Moi pour avoir la VIE ! La GLOIRE, Je ne la reçois pas des hommes ; d’ailleurs Je vous connais : vous n’avez pas en vous l’AMOUR de DIEU. Moi, Je suis venu au NOM de MON PÈRE, et vous ne Me recevez pas ; qu’un autre vienne en son propre nom, celui-là, vous le recevrez ! Comment pourriez-vous croire, vous qui recevez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez pas la GLOIRE qui vient du DIEU UNIQUE ? Ne pensez pas que c’est Moi qui vous accuserai devant le PÈRE. Votre accusateur, c’est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance. Si vous croyiez Moïse, vous Me croiriez aussi, car c’est à MON SUJET qu’il a écrit. Mais si vous ne croyez pas Ses Écrits, comment croirez-vous Mes PAROLES ? »
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Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Jeu 10 Mar 2016, 19:04
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Vendredi 11 Mars 2016
De la férie
4ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre de la Sagesse 2 : 1a, 12 à 22
« Condamnons le juste à une mort infâme »
Les impies ne sont pas dans la vérité lorsqu’ils raisonnent ainsi en eux-mêmes : « Attirons le JUSTE dans un piège, car IL nous contrarie, IL s’oppose à nos entreprises, IL nous reproche de désobéir à la Loi de DIEU, et nous accuse d’infidélités à notre éducation. IL prétend posséder la CONNAISSANCE de DIEU, et se nomme LUI-MÊME ENFANT du SEIGNEUR. IL est un démenti pour nos idées, Sa Seule Présence nous pèse ; car IL mène une VIE en dehors du commun, SA CONDUITE est étrange. IL nous tient pour des gens douteux, se détourne de nos chemins comme de la boue. IL proclame heureux le sort final des justes et se vante d’avoir DIEU pour PÈRE. Voyons si SES PAROLES sont VRAIES, regardons comment IL en sortira. Si le JUSTE est FILS DE DIEU, DIEU L’assistera, et L’arrachera aux mains de ses adversaires. Soumettons-LE à des outrages et à des tourments ; nous saurons ce que vaut SA DOUCEUR, nous éprouverons SA PATIENCE. Condamnons-LE à une mort infâme, puisque, dit-IL, quelqu’un interviendra pour LUI. »
C’est ainsi que raisonnent ces gens- là, mais ils s’égarent ; leur méchanceté les a rendus aveugles. Ils ne connaissent pas les SECRETS de DIEU, ils n’espèrent pas que la sainteté puisse être récompensée, ils n’estiment pas qu’une âme irréprochable puisse être glorifiée.
Du recueil de David. Devant Abimélek, David s’était fait passer pour fou. Après avoir été mis à la porte par celui-ci, il prononça les paroles que voici.
[Psaume 33 (34) ; entièrement]
Psaume 33 (34) : 17 et 18, 19 et 20, 21 et 23
R/ Le SEIGNEUR est proche du cœur brisé.
Le SEIGNEUR affronte les méchants pour effacer de la Terre leur mémoire. Le SEIGNEUR entend ceux qui L’appellent : de toutes leurs angoisses, IL les délivre. R/
IL est proche du cœur brisé, IL sauve l’esprit abattu. Malheur sur malheur pour le juste, mais le SEIGNEUR chaque fois le délivre. R/
IL veille sur chacun de SES OS : pas un ne sera brisé. Le SEIGNEUR rachètera Ses Serviteurs : pas de châtiment pour qui trouve en LUI son REFUGE R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 7 : 1 et 2, 10, 14, 25 à 30
Acclamation de l’Évangile : TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE. L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute PAROLE qui sort de la BOUCHE de DIEU. TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE. (Mt 4, 4b)
« On cherchait à L’arrêter, mais SON HEURE n’était pas encore venue »
En ce temps-là, JÉSUS parcourait la Galilée : IL ne voulait pas parcourir la Judée car les Juifs cherchaient à LE tuer. La fête juive des Tentes était proche. Lorsque ses frères furent montés à Jérusalem pour la fête, IL y monta LUI aussi, non pas ostensiblement, mais en secret.
On était déjà au milieu de la semaine de la fête quand JÉSUS monta au Temple ; et là IL enseignait. Quelques habitants de Jérusalem disaient alors : « N’est-ce pas CELUI qu’on cherche à tuer ? LE voilà qui parle ouvertement, et personne ne LUI dit rien ! Nos chefs auraient-ils vraiment reconnu que c’est LUI le CHRIST ? Mais LUI, nous savons d’où IL est. Or, le CHRIST, quand IL viendra, personne ne saura d’où IL est. » JÉSUS, qui enseignait dans le Temple, s’écria : « Vous Me connaissez ? Et vous savez d’où Je suis ? Je ne suis pas venu de MOI-MÊME : mais IL EST VÉRIDIQUE, CELUI qui M’a envoyé, LUI que vous ne connaissez pas. Moi, Je LE connais parce que Je viens d’auprès de LUI, et c’est LUI qui M’a envoyé. »
On cherchait à L’arrêter, mais personne ne mit la main sur LUI parce que SON HEURE n’était pas encore venue.
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Ven 11 Mar 2016, 19:15
Bonsoir Lumen,
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Samedi 12 Mars 2016
De la férie
4ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Jérémie 11 : 18 à 20
« Moi, j’étais comme un agneau docile qu’on emmène à l’abattoir »
« SEIGNEUR, TU m’as fait savoir, et maintenant Je sais, TU m’as fait voir leurs manœuvres. moi, j’étais comme un agneau docile qu’on emmène à l’abattoir, et je ne savais pas qu’ils montaient un complot contre moi. Ils disaient : “Coupons l’arbre à la racine, retranchons-le de la Terre des vivants, afin qu’on oublie jusqu’à son nom.” SEIGNEUR de l’Univers, TOI qui juges avec JUSTICE, qui scrutes les reins et les cœurs, fais-moi voir la revanche que TU leur infligeras, car c’est à TOI que j’ai remis ma cause. »
Complainte chantée appartenant au recueil de David. Celui-ci l’adressa au SEIGNEUR à propos de Kouch le Benjaminite.
[Psaume 7 ; entièrement]
Psaume 7 : 2 et 3, 9bc et 10, 11 et 12a et 18b
R/ SEIGNEUR mon DIEU, TU es mon REFUGE.
SEIGNEUR mon DIEU, TU es mon REFUGE ! On me poursuit : sauve-moi, délivre-moi ! Sinon ils vont m’égorger, tous ces fauves, me déchirer, sans que personne me délivre. R/
Juge-moi, SEIGNEUR, sur ma justice : mon innocence parle pour moi. Mets fin à la rage des impies, affermis le juste, TOI qui scrutes les cœurs et les reins, DIEU, LE JUSTE. R/
J’aurai mon BOUCLIER auprès de DIEU, le SAUVEUR des Cœurs Droits. DIEU juge avec JUSTICE ; je chanterai le NOM DU SEIGNEUR, LE TRÈS-HAUT. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 7 : 40 à 53
Acclamation de l’Évangile : TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE. Heureux ceux qui ont entendu la PAROLE dans un cœur bon et généreux, qui La retiennent et portent du fruit par leur persévérance. TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE. (Mt 4, 4b)
« Est-ce de Galilée que vient le CHRIST ? »
En ce temps-là, JÉSUS enseignait au temple de Jérusalem. Dans la foule, on avait entendu SES PAROLES, et les uns disaient : « C’est vraiment LUI, le PROPHÈTE annoncé ! » D’autres disaient : « C’est LUI le CHRIST ! » Mais d’autres encore demandaient : « Le CHRIST peut-IL venir de Galilée ? L’Écriture ne dit-elle pas que c’est de la descendance de David et de Bethléem, le village de David, que vient le CHRIST ? » C’est ainsi que la foule se divisa à cause de LUI. Quelques-uns d’entre eux voulaient L’arrêter, mais personne ne mit la main sur LUI. Les gardes revinrent auprès des grands prêtres et des pharisiens, qui leur demandèrent : « Pourquoi ne L’avez-vous pas amené ? » Les gardes répondirent : « Jamais un Homme n’a parlé de la sorte ! » Les pharisiens leur répliquèrent : « Alors, vous aussi, vous vous êtes laissé égarer ? Parmi les chefs du peuple et les pharisiens, y en a-t-il un seul qui ait cru en LUI ? Quant à cette foule qui ne sait rien de la Loi, ce sont des maudits ! »
Nicodème, l’un d’entre eux, celui qui était allé précédemment trouver JÉSUS, leur dit : « Notre Loi permet-elle de juger un homme sans l’entendre d’abord pour savoir ce qu’il a fait ? » Ils lui répondirent : « Serais-tu, toi aussi, de Galilée ? Cherche bien, et tu verras que jamais aucun Prophète ne surgit de Galilée ! » Puis ils s’en allèrent chacun chez soi.
(Première lecture) Livre du Prophète Isaïe 43 : 16 à 21
« Voici que Je fais une chose nouvelle, Je vais désaltérer Mon Peuple »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR, LUI qui fit un chemin dans la mer, un sentier dans les eaux puissantes, LUI qui mit en campagne des chars et des chevaux, des troupes et de puissants guerriers ; les voilà tous couchés pour ne plus se relever, ils se sont éteints, consumés comme une mèche. Le SEIGNEUR dit : « Ne faites plus mémoire des événements passés, ne songez plus aux choses d’autrefois. Voici que Je fais une chose nouvelle : elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ? Oui, Je vais faire passer un chemin dans le désert, des fleuves dans les lieux arides. Les bêtes sauvages Me rendront gloire – les chacals et les autruches – parce que J’aurai fait couler de l’eau dans le désert, des fleuves dans les lieux arides, pour désaltérer Mon Peuple, celui que J’ai choisi. Ce peuple que Je Me suis façonné redira MA LOUANGE. »
R/ Quelles MERVEILLES le SEIGNEUR fit pour nous : nous étions en grande fête !
Quand le SEIGNEUR ramena les captifs à Sion, nous étions comme en rêve ! Alors notre bouche était pleine de rires, nous poussions des cris de joie. R/
Alors on disait parmi les nations : « Quelles MERVEILLES fait pour eux le SEIGNEUR ! » Quelles MERVEILLES le SEIGNEUR fit pour nous : nous étions en grande fête ! R/
Ramène, SEIGNEUR, nos captifs, comme les torrents au désert. Qui sème dans les larmes moissonne dans la joie. R/
Il s’en va, il s’en va en pleurant, il jette la semence ; il s’en vient, il s’en vient dans la joie, il rapporte les gerbes. R/
(Deuxième lecture) Lettre de Saint Paul apôtre aux Philippiens 3 : 8 à 14
« À cause du CHRIST, j’ai tout perdu, en devenant semblable à LUI dans sa mort »
Frères, tous les avantages que j’avais autrefois, je les considère comme une perte à cause de ce bien qui dépasse tout : la CONNAISSANCE DU CHRIST JÉSUS, mon SEIGNEUR. À cause de LUI, j’ai tout perdu ; je considère tout comme des ordures, afin de gagner un seul avantage, le CHRIST, et, en LUI, d’être reconnu juste, non pas de la justice venant de la Loi de Moïse mais de celle qui vient de la FOI AU CHRIST, la JUSTICE venant de DIEU, qui est fondée sur la foi. Il s’agit pour moi de connaître le CHRIST, d’éprouver la PUISSANCE DE SA RÉSURRECTION et de communier aux souffrances de SA PASSION, en devenant semblable à LUI dans sa mort, avec l’espoir de parvenir à la résurrection d’entre les morts. Certes, je n’ai pas encore obtenu cela, je n’ai pas encore atteint la perfection, mais je poursuis ma course pour tâcher de saisir, puisque j’ai moi-même été saisi par le CHRIST JÉSUS. Frères, quant à moi, je ne pense pas avoir déjà saisi cela. Une seule chose compte : oubliant ce qui est en arrière, et lancé vers l’avant, je cours vers le but en vue du prix auquel DIEU nous appelle LÀ-HAUT dans le CHRIST JÉSUS.
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 1 à 11
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE À TOI, SEIGNEUR. GLOIRE À TOI.
Maintenant, dit le SEIGNEUR, revenez à Moi de tout votre cœur, car JE SUIS TENDRE ET MISÉRICORDIEUX.
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR. GLOIRE À TOI. (cf. Jl 2, 12b.13c)
« Celui d’entre-vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à jeter une pierre »
En ce temps-là, JÉSUS s’en alla au mont des Oliviers. Dès l’aurore, IL retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à LUI, IL s’assit et se mit à enseigner. Les scribes et les pharisiens LUI amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à JÉSUS : « MAÎTRE, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et TOI, que dis-TU ? » Ils parlaient ainsi pour LE mettre à l’épreuve, afin de pouvoir L’accuser. Mais JÉSUS s’était baissé et, du doigt, IL écrivait sur la terre. Comme on persistait à L’interroger, IL se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » IL se baissa de nouveau et IL écrivait sur la terre. Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. JÉSUS resta seul avec la femme toujours là au milieu. IL se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, SEIGNEUR. » Et JÉSUS lui dit : « Moi non plus, Je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Dim 13 Mar 2016, 19:08
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Lundi 14 Mars 2016
De la férie
5ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Daniel 13 : 41c à 62
« Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait de tout cela »
En ces jours-là, le peuple venait de condamner à mort Suzanne. Alors elle cria d’une voix forte : « DIEU ÉTERNEL, TOI qui pénètres les secrets, TOI qui connais toutes choses avant qu’elles n’arrivent, TU sais qu’ils ont porté contre moi un faux témoignage. Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait de tout ce que leur méchanceté a imaginé contre moi. »
Le SEIGNEUR entendit sa voix. Comme on la conduisait à la mort, DIEU éveilla l’Esprit de Sainteté chez un tout jeune garçon nommé Daniel, qui se mit à crier d’une voix forte : « Je suis innocent de la mort de cette femme ! » Tout le peuple se tourna vers lui et on lui demanda : « Que signifie cette parole que tu as prononcée ? » Alors, debout au milieu du peuple, il leur dit : « Fils d’Israël, vous êtes donc fous ? Sans interrogatoire, sans recherche de la vérité, vous avez condamné une fille d’Israël. Revenez au tribunal, car ces gens-là ont porté contre elle un faux témoignage. »
Tout le peuple revint donc en hâte, et le collège des anciens dit à Daniel : « Viens siéger au milieu de nous et donne-nous des explications, car DIEU a déjà fait de toi un ancien. » Et Daniel leur dit : « Séparez-les bien l’un de l’autre, je vais les interroger. » Quand on les eut séparés, Daniel appela le premier et lui dit : « Toi qui as vieilli dans le mal, tu portes maintenant le poids des péchés que tu as commis autrefois en jugeant injustement : tu condamnais les innocents et tu acquittais les coupables, alors que le SEIGNEUR a dit : “Tu ne feras pas mourir l’innocent et le juste.” Eh bien ! si réellement tu as vu cette femme, dis-nous sous quel arbre tu les as vus se donner l’un à l’autre ? » Il répondit : « Sous un sycomore. » Daniel dit : « Voilà justement un mensonge qui te condamne : l’Ange de DIEU a reçu un ORDRE DE DIEU, et il va Te mettre à mort. » Daniel le renvoya, fit amener l’autre et lui dit : « Tu es de la race de Canaan et non de Juda ! La beauté t’a dévoyé et le désir a perverti ton cœur. C’est ainsi que vous traitiez les filles d’Israël, et, par crainte, elles se donnaient à vous. Mais une fille de Juda n’a pu consentir à votre crime. Dis-moi donc sous quel arbre tu les as vus se donner l’un à l’autre ? » Il répondit : « Sous un châtaignier. » Daniel lui dit : « Toi aussi, voilà justement un mensonge qui te condamne : l’Ange de DIEU attend, l’épée à la main, pour te châtier, et vous faire exterminer. »
Alors toute l’assemblée poussa une grande clameur et bénit DIEU qui sauve ceux qui espèrent en LUI. Puis elle se retourna contre les deux anciens que Daniel avait convaincus de faux témoignage par leur propre bouche. Conformément à la Loi de Moïse, on leur fit subir la peine que leur méchanceté avait imaginée contre leur prochain : on les mit à mort. Et ce jour-là, une vie innocente fut épargnée.
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 12 à 20
Acclamation de l’Évangile : TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE. Je ne prends pas plaisir à la mort du méchant, dit le SEIGNEUR. Qu’il se détourne de sa conduite, et qu’il vive ! TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE. (cf. Ez 33, 11)
« JE SUIS LA LUMIÈRE DU MONDE »
En ce temps-là, JÉSUS disait aux pharisiens : « Moi, JE SUIS LA LUMIÈRE DU MONDE. Celui qui Me suit ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la LUMIÈRE DE LA VIE. » Les pharisiens LUI dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même, ce n’est donc pas un vrai témoignage. » JÉSUS leur répondit : « Oui, Moi, Je me rends témoignage à MOI-MÊME, et pourtant MON TÉMOIGNAGE EST VRAI, car Je sais D’OÙ JE SUIS VENU, et où Je vais ; mais vous, vous ne savez ni d’où Je viens, ni où Je vais. Vous, vous jugez de façon purement humaine. Moi, Je ne juge personne. Et, s’il m’arrive de juger, MON JUGEMENT EST VRAI parce que JE NE SUIS PAS SEUL : J’ai avec Moi le PÈRE, qui M’a envoyé. Or, il est écrit dans votre Loi que, s’il y a deux témoins, c’est un vrai témoignage. Moi, JE SUIS À MOI-MÊME MON PROPRE TÉMOIN, et le PÈRE, qui M’a envoyé, témoigne aussi pour Moi. » Les pharisiens LUI disaient : « Où est-IL, TON PÈRE ? » JÉSUS répondit : « Vous ne connaissez ni Moi ni MON PÈRE ; si vous Me connaissiez, vous connaîtriez aussi MON PÈRE. »
IL prononça CES PAROLES alors qu’IL enseignait dans le Temple, à la salle du Trésor. Et personne ne L’arrêta, parce que SON HEURE n’était pas encore venue.
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Lun 14 Mar 2016, 18:59
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Mardi 15 Mars 2016
De la férie
5ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre des Nombres 21 : 4 à 9
« Tous ceux qui auront été mordus, qu’ils regardent le serpent, alors ils vivront ! »
En ces jours-là, les Hébreux quittèrent Hor-la-Montagne par la route de la mer des Roseaux en contournant le pays d’Édom. Mais en chemin, le peuple perdit courage. Il récrimina contre DIEU et contre Moïse : « Pourquoi nous avoir fait monter d’Égypte ? Était- ce pour nous faire mourir dans le désert, où il n’y a ni pain ni eau ? Nous sommes dégoûtés de cette nourriture misérable ! » Alors le SEIGNEUR envoya contre le peuple des serpents à la morsure brûlante, et beaucoup en moururent dans le peuple d’Israël. Le peuple vint vers Moïse et dit : « Nous avons péché, en récriminant contre le SEIGNEUR et contre toi. Intercède auprès du SEIGNEUR pour qu’IL éloigne de nous les serpents. » Moïse intercéda pour le peuple, et le SEIGNEUR dit à Moïse : « Fais-toi un serpent brûlant, et dresse-le au sommet d’un mât : tous ceux qui auront été mordus, qu’ils le regardent, alors ils vivront ! » Moïse fit un serpent de bronze et le dressa au sommet du mât. Quand un homme était mordu par un serpent, et qu’il regardait vers le serpent de bronze, il restait en vie !
Prière d’un malheureux à bout de force, qui expose sa plainte au SEIGNEUR.
[Psaume 101 (102) ; entièrement]
Psaume 101 (102) : 2 et 3, 16 à 18, 19 à 21
R/ SEIGNEUR, entends ma prière : que mon cri parvienne jusqu’à TOI !
SEIGNEUR, entends ma prière : que mon cri parvienne jusqu’à TOI ! Ne me cache pas TON VISAGE le jour où je suis en détresse ! Le jour où j’appelle, écoute- moi ; viens vite, réponds- moi ! R/
Les nations craindront le NOM DU SEIGNEUR, et tous les rois de la Terre, SA GLOIRE : quand le SEIGNEUR rebâtira Sion, quand IL apparaîtra dans SA GLOIRE, IL se tournera vers la prière du spolié, IL n’aura pas méprisé sa prière. R/
Que cela soit écrit pour l’âge à venir, et le peuple à nouveau créé chantera son DIEU : « Des Hauteurs, SON SANCTUAIRE, le SEIGNEUR s’est penché ; du Ciel, IL regarde la Terre pour entendre la plainte des captifs et libérer ceux qui devaient mourir. » R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 21 à 30
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS ! FILS de l’Homme, élevé sur la Croix, TU attires à TOI tous les hommes. GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS ! (cf. Ez 33, 11)
« Quand vous aurez élevé le FILS de l’Homme, alors vous comprendrez que Moi, JE SUIS »
En ce temps- là, JÉSUS disait aux Pharisiens : « Je m’en vais ; vous Me chercherez, et vous mourrez dans votre péché. Là où Moi Je vais, vous ne pouvez pas aller. » Les Juifs disaient : « Veut-IL donc se donner la mort, puisqu’IL dit : “Là où moi je vais, vous ne pouvez pas aller” ? » IL leur répondit : « Vous, vous êtes d’en bas ; Moi, JE SUIS D’EN HAUT. Vous, vous êtes de ce monde ; Moi, Je ne suis pas de ce monde. C’est pourquoi Je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés. En effet, si vous ne croyez pas que Moi, JE SUIS, vous mourrez dans vos péchés. » Alors, ils LUI demandaient : « TOI, qui es-TU ? » JÉSUS leur répondit : « Je n’ai pas cessé de vous le dire. À votre sujet, J’ai beaucoup à dire et à juger. D’ailleurs CELUI qui M’a envoyé dit la VÉRITÉ, et ce que J’ai entendu de LUI, Je le dis pour le monde. » Ils ne comprirent pas qu’IL leur parlait du PÈRE. JÉSUS leur déclara : « Quand vous aurez élevé le FILS de l’Homme, alors vous comprendrez que Moi, JE SUIS, et que Je ne fais rien de MOI-MÊME ; ce que Je dis là, Je le dis comme le PÈRE Me l’a enseigné. CELUI qui M’a envoyé est avec MOI ; IL ne M’a pas laissé seul, parce que Je fais toujours ce qui LUI est AGRÉABLE. » Sur CES PAROLES DE JÉSUS, beaucoup crurent en LUI.
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Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Mar 15 Mar 2016, 19:11
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Mercredi 16 Mars 2016
De la férie
5ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du prophète Daniel 3 : 14 à 20, 91 et 92, 95
« DIEU a envoyé SON ANGE et délivré Ses Serviteurs »
En ces jours-là, le roi Nabucodonosor parla ainsi : « Est-il vrai, Sidrac, Misac et Abdénago, que vous refusez de servir mes dieux et d’adorer la statue d’or que j’ai fait ériger ? Êtes-vous prêts, maintenant, à vous prosterner pour adorer la statue que j’ai faite, quand vous entendrez le son du cor, de la flûte, de la cithare, de la harpe, de la lyre, de la cornemuse et de toutes les sortes d’instruments ? Si vous n’adorez pas cette statue, vous serez immédiatement jetés dans la fournaise de feu ardent ; et quel est le dieu qui vous délivrera de ma main ? » Sidrac, Misac et Abdénago dirent au roi Nabucodonosor : « Ce n’est pas à nous de te répondre. Si notre DIEU, que nous servons, peut nous délivrer, IL nous délivrera de la fournaise de feu ardent et de ta main, ô roi. Et même s’IL ne le fait pas, sois-en bien sûr, ô roi : nous ne servirons pas tes dieux, nous n’adorerons pas la statue d’or que tu as érigée. » Alors Nabucodonosor fut rempli de fureur contre Sidrac, Misac et Abdénago, et son visage s’altéra. Il ordonna de chauffer la fournaise sept fois plus qu’à l’ordinaire. Puis il ordonna aux plus vigoureux de ses soldats de ligoter Sidrac, Misac et Abdénago et de les jeter dans la fournaise de feu ardent.
Le roi Nabucodonosor les entendit chanter. Stupéfait, il se leva précipitamment et dit à ses conseillers : « Nous avons bien jeté trois hommes, ligotés, au milieu du feu ? » Ils répondirent : « Assurément, ô roi. » Il reprit : « Eh bien moi, je vois quatre hommes qui se promènent librement au milieu du feu, ils sont parfaitement indemnes, et le quatrième ressemble à un être divin. » Et Nabucodonosor s’écria : « Béni soit le DIEU de Sidrac, Misac et Abdénago, qui a envoyé SON ANGE et délivré Sses Serviteurs ! Ils ont mis leur confiance en LUI, et ils ont désobéi à l’ordre du roi ; ils ont livré leur corps plutôt que de servir et d’adorer un autre dieu que leur DIEU. »
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 31 à 42
Acclamation de l’Évangile : TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ ET TA LOI, DÉLIVRANCE. Heureux ceux qui ont entendu la PAROLE dans un cœur bon et généreux, qui LA retiennent et portent du fruit par leur persévérance. TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ ET TA LOI, DÉLIVRANCE. (cf. Lc 8, 15)
« Si le FILS vous rend libres, réellement vous serez libres »
En ce temps-là, JÉSUS disait à ceux des Juifs qui croyaient en LUI : « Si vous demeurez fidèles à Ma PAROLE, vous êtes vraiment Mes Disciples ; alors vous connaîtrez LA VÉRITÉ, et LA VÉRITÉ vous rendra libres. » Ils LUI répliquèrent : « Nous sommes la descendance d’Abraham, et nous n’avons jamais été les esclaves de personne. Comment peux-TU dire : “Vous deviendrez libres” ? » JÉSUS leur répondit : « AMEN, AMEN, Je vous le dis : qui commet le péché est esclave du péché. L’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ; le fils, lui, y demeure pour toujours. Si donc le FILS vous rend libres, réellement vous serez libres. Je sais bien que vous êtes la descendance d’Abraham, et pourtant vous cherchez à Me tuer, parce que Ma PAROLE ne trouve pas sa place en vous. Je dis ce que Moi, J’ai vu auprès de MON PÈRE, et vous aussi, vous faites ce que vous avez entendu chez votre père. » Ils LUI répliquèrent : « Notre père, c’est Abraham. » JÉSUS leur dit : « Si vous étiez les enfants d’Abraham, vous feriez les œuvres d’Abraham. Mais maintenant, vous cherchez à Me tuer, Moi, un Homme qui vous ai dit LA VÉRITÉ que J’ai entendue de DIEU. Cela, Abraham ne l’a pas fait. Vous, vous faites les œuvres de votre père. » Ils LUI dirent : « Nous ne sommes pas nés de la prostitution ! Nous n’avons qu’un seul PÈRE : c’est DIEU. » JÉSUS leur dit : « Si DIEU était votre PÈRE, vous M’aimeriez, car Moi, c’est de DIEU QUE JE SUIS SORTI et que JE VIENS. Je ne suis pas venu de MOI-MÊME ; c’est LUI qui M’a envoyé. »
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Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Mer 16 Mar 2016, 18:57
Bonsoir Lumen,
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Jeudi 17 Mars 2016
Saint Patrice, Évêque
5ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre de la Genèse 17 : 3 à 9
« Tu deviendras le père d’une multitude de nations »
En ces jours-là, Abram tomba face contre terre et DIEU lui parla ainsi : « Moi, voici l’ALLIANCE que Je fais avec toi : tu deviendras le père d’une multitude de nations. Tu ne seras plus appelé du nom d’Abram, ton nom sera Abraham, car Je fais de toi le père d’une multitude de nations. Je te ferai porter des fruits à l’infini, de toi Je ferai des nations, et des rois sortiront de toi. J’établirai MON ALLIANCE entre Moi et toi, et après toi avec ta descendance, de génération en génération ; ce sera une ALLIANCE ÉTERNELLE ; ainsi Je serai ton DIEU et le DIEU de ta descendance après toi. À toi et à ta descendance après toi Je donnerai le pays où tu résides, tout le pays de Canaan en propriété perpétuelle, et Je serai leur DIEU. » DIEU dit à Abraham : « Toi, tu observeras MON ALLIANCE, toi et ta descendance après toi, de génération en génération. »
R/ Le SEIGNEUR s’est toujours souvenu de SON ALLIANCE.
Cherchez le SEIGNEUR et SA PUISSANCE, recherchez sans trêve SA FACE ; souvenez-vous des MERVEILLES qu’IL a faites, de SES PRODIGES, des JUGEMENTS qu’IL prononça. R/
Vous, la race d’Abraham son serviteur, les fils de Jacob, qu’IL a choisis. Le SEIGNEUR, c’est LUI notre DIEU : SES JUGEMENTS font LOI pour l’Univers. R/
IL s’est toujours souvenu de SON ALLIANCE, PAROLE édictée pour mille générations : PROMESSE faite à Abraham, GARANTIE par serment à Isaac. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 51 à 59
Acclamation de l’Évangile : TES PAROLES, SEIGNEUR, SONT ESPRIT ET ELLES SONT VIE. Aujourd’hui, ne fermez pas votre cœur, mais écoutez la VOIX DU SEIGNEUR. TES PAROLES, SEIGNEUR, SONT ESPRIT ET ELLES SONT VIE. (cf. Ps 94, 8a.7d)
« Abraham votre père a exulté, sachant qu’il verrait Mon JOUR »
En ce temps-là, JÉSUS disait aux Juifs : « AMEN, AMEN, Je vous le dis : si quelqu’un garde Ma PAROLE, jamais il ne verra la mort. » Les Juifs LUI dirent : « Maintenant nous savons bien que TU as un démon. Abraham est mort, les Prophètes aussi, et TOI, TU dis : “Si quelqu’un garde ma parole, il ne connaîtra jamais la mort.” Es-TU donc plus grand que notre père Abraham ? Il est mort, et les Prophètes aussi sont morts. Pour qui TE prends-TU ? » JÉSUS répondit : « Si Je Me glorifie MOI-MÊME, Ma GLOIRE n’est rien ; c’est MON PÈRE qui Me glorifie, LUI dont vous dites : “IL est notre DIEU”, alors que vous ne LE connaissez pas. Moi, Je LE connais et, si Je dis que Je ne LE connais pas, Je serai comme vous, un menteur. Mais Je LE connais, et SA PAROLE, Je LA garde. Abraham votre père a exulté, sachant qu’il verrait Mon JOUR. Il L’a vu, et il s’est réjoui. » Les Juifs LUI dirent alors : « TOI qui n’as pas encore cinquante ans, TU as vu Abraham ! » JÉSUS leur répondit : « AMEN, AMEN, Je vous le dis : avant qu’Abraham fût, Moi, JE SUIS. » Alors ils ramassèrent des pierres pour les LUI jeter. Mais JÉSUS, en se cachant, sortit du Temple.
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Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Jeu 17 Mar 2016, 19:02
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Vendredi 18 Mars 2016
Saint Cyrille, Évêque, Docteur de l'Église
5ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Jérémie 20 : 10 à 13
« Le SEIGNEUR est avec moi, tel un guerrier redoutable »
Moi, Jérémie, j’entends les calomnies de la foule : « Dénoncez-le ! Allons le dénoncer, celui-là, l’Épouvante-de-tous-côtés. » Tous mes amis guettent mes faux pas, ils disent : « Peut-être se laissera-t-il séduire… Nous réussirons, et nous prendrons sur lui notre revanche ! » Mais le SEIGNEUR est avec moi, tel un guerrier redoutable : mes persécuteurs trébucheront, ils ne réussiront pas. Leur défaite les couvrira de honte, d’une confusion éternelle, inoubliable.
SEIGNEUR de l’Univers, TOI qui scrutes l’homme juste, TOI qui vois les reins et les cœurs, fais-moi voir la revanche que TU leur infligeras, car c’est à TOI que j’ai remis ma cause. Chantez le SEIGNEUR, louez le SEIGNEUR : IL a délivré le malheureux de la main des méchants.
Du répertoire du chef de chorale. Chant appartenant au recueil de David, le serviteur du SEIGNEUR. David adressa ces paroles au SEIGNEUR quand CELUI-CI l’eut délivré de tous ses ennemis, en particulier de Saül.
[Psaume 17 (18) ; entièrement]
Psaume 17 (18) : 2 et 3, 4, 5 et 6, 7
R/ Dans mon angoisse, j’appelai le SEIGNEUR ; IL entend ma voix.
Je t’aime, SEIGNEUR, ma Force : SEIGNEUR, mon Roc, ma Forteresse, DIEU mon Libérateur, le Rocher qui m’abrite, mon Bouclier, mon Fort, mon Arme de Victoire ! R/
Louange à DIEU ! Quand je fais appel au SEIGNEUR, je suis sauvé de tous mes ennemis. R/
Les liens de la mort m’entouraient, le torrent fatal m’emportait ; des liens infernaux m’étreignaient : j’étais pris aux pièges de la mort. R/
Dans mon angoisse, j’appelai le SEIGNEUR ; vers mon DIEU, je lançai un cri ; de SON TEMPLE IL entend ma voix : mon cri parvient à SES OREILLES. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 10 : 31 à 42
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, FILS DU DIEU VIVANT ! TES PAROLES, SEIGNEUR, sont ESPRIT et elles sont VIE ; TU as les PAROLES de la VIE ÉTERNELLE. GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, FILS DU DIEU VIVANT ! (cf. Jn 6, 63c.68c)
« Ils cherchaient à L’arrêter, mais IL échappa à leurs mains »
En ce temps-là, de nouveau, des Juifs prient des pierres pour lapider JÉSUS. CELUI-CI reprit la PAROLE : « J’ai multiplié sous vos yeux les ŒUVRES BONNES qui viennent du PÈRE. Pour laquelle de ces ŒUVRES voulez-vous Me lapider ? » Ils LUI répondirent : « Ce n’est pas pour une œuvre bonne que nous voulons TE lapider, mais c’est pour un blasphème : TU n’es qu’un homme, et TU TE fais Dieu. » JÉSUS leur répliqua : « N’est-il pas écrit dans votre Loi : J’ai dit : Vous êtes des dieux ? Elle les appelle donc des dieux, ceux à qui la PAROLE de DIEU s’adressait, et l’Écriture ne peut pas être abolie. Or, CELUI que le PÈRE a consacré et envoyé dans le monde, vous LUI dites : “Tu blasphèmes”, parce que J’ai dit : “JE SUIS LE FILS DE DIEU”. Si Je ne fais pas les ŒUVRES de MON PÈRE, continuez à ne pas Me croire. Mais si Je Les fais, même si vous ne Me croyez pas, croyez les ŒUVRES. Ainsi vous reconnaîtrez, et de plus en plus, que le PÈRE est en Moi, et Moi dans le PÈRE. » Eux cherchaient de nouveau à L’arrêter, mais IL échappa à leurs mains.
IL repartit de l’autre côté du Jourdain, à l’endroit où, au début, Jean baptisait ; et IL y demeura. Beaucoup vinrent à LUI en déclarant : « Jean n’a pas accompli de signe ; mais tout ce que Jean a dit de CELUI-CI était VRAI. » Et là, beaucoup crurent en LUI.
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dvdenise Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Jeu 17 Mar 2016, 19:49
Comme il est écrit, c'est comme si Abraham avait tué Isaac.
car je sais maintenant que tu crains Dieu, toi qui n'as pas épargné ton fils bien-aimé pour moi. .......... Il aurait été préférable d'écrire: toi qui n'allais pas épargné ton fils bien-aimé pour moi. ........... Quant à Rm 8,2 c'est innommable l'amour que Dieu nous porte, car pour prouver jusqu'où il aimait l'Humanité; Lui notre Dieu d'Amour, n'a pas épargné à son Fils Jésus les souffrances et la mort sur la croix. C'est là que nous voyons jusqu'où peut aller l'immense Amour de Dieu pour nous, et je comprends pourquoi Jésus et Marie sont tellement tristes quand ils voient les nombreuses folies des hommes qui ne peuvent reconnaître cet Amour. .............................................................................................. Un filet jeté dans la mer pour UNE PÊCHE MIRACULEUSE.
Quand on assiste à la sainte Messe, faisons toujours cette demande au Père, à l'élévation de Jésus-Eucharistie.
Père, je vous offre le Corps et le Sang, l'Âme et la Divinité de votre fils bien-aimé Jésus, en réparation de nos péchés et pour la conversion des pécheurs dans le monde entier. Amen! .............................................................................................. Je vous invite à photocopier cette demande et à la distribuer aux prêtres. Et si vous avez leur permission, la distribuer aux gens qui assistent à la Messe, sans oublier les services funèbres.
Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Ven 18 Mar 2016, 19:14
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Bonsoir à toutes et à tous,
Samedi 19 Mars 2016
Saint Joseph, Époux de la Vierge Marie
5ième semaine du Temps de Carême (Couleur liturgique : Blanc ) Année C
(Première lecture) Deuxième Livre de Samuel 7 : 4 et 5a, 12 à 14a, 16
« Le SEIGNEUR DIEU LUI donnera le trône de David son père »
Cette nuit-là, la PAROLE DU SEIGNEUR fut adressée au Prophète Nathan : « Va dire à mon serviteur David : Ainsi PARLE le SEIGNEUR : Quand tes jours seront accomplis et que tu reposeras auprès de tes pères, Je te susciterai dans ta descendance UN SUCCESSEUR, qui naîtra de toi, et Je rendrai stable SA ROYAUTÉ. C’est LUI qui bâtira une maison pour MON NOM, et Je rendrai stable pour toujours SON TRÔNE ROYAL. Moi, Je serai pour LUI UN PÈRE ; et LUI sera pour MOI UN FILS. Ta maison et ta royauté subsisteront toujours devant Moi, ton trône sera stable pour toujours. »
L'Amour du SEIGNEUR, sans fin je le chante ; TA FIDÉLITÉ, je l'annonce d'âge en âge. Je le dis : C'est un Amour bâti pour toujours ; TA FIDÉLITÉ est plus stable que les Cieux. R/
« Avec MON ÉLU, J'ai fait une ALLIANCE, j'ai juré à David, mon serviteur : J'établirai ta dynastie pour toujours, Je te bâtis un trône pour la suite des âges. R/
« IL ME dira : TU ES MON PÈRE, MON DIEU, MON ROC ET MON SALUT ! Sans fin JE LUI garderai MON AMOUR, MON ALLIANCE avec LUI sera FIDÈLE. » R/
(Deuxième lecture) Lettre de Saint Paul Apôtre aux Romains 4 : 13, 16 à 18, 22
« Espérant contre toute espérance, il a cru »
Frères, ce n’est pas en vertu de la Loi que la promesse de recevoir le monde en héritage a été faite à Abraham et à sa descendance, mais en vertu de la justice obtenue par la foi. Voilà pourquoi on devient héritier par la foi : c’est une grâce, et la promesse demeure ferme pour tous les descendants d’Abraham, non pour ceux qui se rattachent à la Loi seulement, mais pour ceux qui se rattachent aussi à la foi d’Abraham, lui qui est notre père à tous. C’est bien ce qui est écrit :
J’ai fait de toi le père d’un grand nombre de nations.
Il est notre père devant DIEU en qui il a cru, DIEU qui donne la vie aux morts et qui appelle à l’existence ce qui n’existe pas. Espérant contre toute espérance, il a cru ; ainsi est-il devenu le père d’un grand nombre de nations, selon cette parole :
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Matthieu 1 : 16, 18 à 21, 24a
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS. Heureux les habitants de TA MAISON, SEIGNEUR : ils pourront TE chanter encore ! GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS. (Ps 83 (84), 5)
« JOSEPH fit ce que l’Ange du SEIGNEUR lui avait prescrit »
Jacob engendra JOSEPH, l’époux de MARIE, de laquelle fut engendré JÉSUS, que l’on appelle CHRIST.
Or, voici comment fut engendré JÉSUS CHRIST : MARIE, Sa Mère, avait été accordée en mariage à JOSEPH ; avant qu’ils aient habité ensemble, Elle fut enceinte par l’ACTION DE L’ESPRIT SAINT. JOSEPH, son époux, qui était un Homme Juste, et ne voulait pas La dénoncer publiquement, décida de La renvoyer en secret. Comme Il avait formé ce projet, voici que l’Ange du SEIGNEUR Lui apparut en songe et lui dit : « JOSEPH, fils de David, ne crains pas de prendre chez Toi MARIE, ton épouse, puisque l’ENFANT qui est engendré en Elle vient de l’ESPRIT SAINT ; Elle enfantera un FILS, et Tu LUI donneras le NOM de JÉSUS (c’est-à-dire : LE-SEIGNEUR-SAUVE), car c’est LUI qui sauvera son peuple de ses péchés. »
Quand JOSEPH se réveilla, Il fit ce que l’Ange du SEIGNEUR Lui avait prescrit.
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Sam 19 Mar 2016, 22:03
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Dimanche 20 Mars 2015
Dimanche des Rameaux
et de la PASSION du SEIGNEUR
(Couleur liturgique : Rouge ) Année C
L’Entrée Messianique du SEIGNEUR à Jérusalem
Procession et rituel
Gloire à TOI, SAUVEUR des hommes, notre CHEF et notre ROI ! Gloire à TOI pour TON ROYAUME qu’il advienne ! Hosanna !
Selon Saint Luc 19 : 28 à 40
En ce temps-là, Jésus partit en avant pour monter à Jérusalem. Lorsqu’il approcha de Bethphagé et de Béthanie, près de l’endroit appelé mont des Oliviers, il envoya deux de ses disciples, en disant : « Allez à ce village d’en face. À l’entrée, vous trouverez un petit âne attaché, sur lequel personne ne s’est encore assis. Détachez-le et amenez-le. Si l’on vous demande : ‘Pourquoi le détachez-vous ?’ vous répondrez : ‘Parce que le Seigneur en a besoin.’ » Les envoyés partirent et trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit. Alors qu’ils détachaient le petit âne, ses maîtres leur demandèrent : « Pourquoi détachez-vous l’âne ? » Ils répondirent : « Parce que le Seigneur en a besoin. » Ils amenèrent l’âne auprès de Jésus, jetèrent leurs manteaux dessus, et y firent monter Jésus. À mesure que Jésus avançait, les gens étendaient leurs manteaux sur le chemin. Alors que déjà Jésus approchait de la descente du mont des Oliviers, toute la foule des disciples, remplie de joie, se mit à louer Dieu à pleine voix pour tous les miracles qu’ils avaient vus, et ils disaient : « Béni soit celui qui vient, le Roi, au nom du Seigneur. Paix dans le ciel et gloire au plus haut des cieux ! » Quelques pharisiens, qui se trouvaient dans la foule, dirent à Jésus : « Maître, réprimande tes disciples ! » Mais il prit la parole en disant : « Je vous le dis : si eux se taisent, les pierres crieront. »
(Première lecture) Livre du Prophète Isaïe 50 : 4 à 7
« je n’ai pas caché ma face devant les outrages, je sais que je ne serai pas confondu » (troisième chant du serviteur du Seigneur)
le Seigneur mon Dieu m’a donné le langage des disciples, pour que je puisse, d’une parole, soutenir celui qui est épuisé. chaque matin, il éveille, il éveille mon oreille pour qu’en disciple, j’écoute. le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. j’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats. le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.
Tous ceux qui me voient Me bafouent, ils ricanent et hochent la tête : « IL comptait sur le SEIGNEUR : qu'IL LE délivre ! Qu'IL LE sauve, puisqu'IL est Son Ami ! » R/
Oui, des chiens Me cernent, une bande de vauriens M'entoure. Ils Me percent les Mains et les Pieds ; Je peux compter tous Mes Os. R/
Ils partagent entre eux Mes Habits et tirent au sort Mon Vêtement. Mais TOI, SEIGNEUR, ne sois pas loin : Ô Ma Force, viens vite à Mon Aide ! R/
Mais TU M'as répondu ! Et Je proclame Ton NOM devant Mes Frères, Je TE loue en pleine assemblée. Vous qui LE craignez, louez le SEIGNEUR. R/
le Christ Jésus, ayant la condition de Dieu, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à Dieu. mais il s’est anéanti, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux hommes. reconnu homme à son aspect, il s’est abaissé, devenant obéissant jusqu’à la mort, et la mort de la Croix. c’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au Nom de Jésus tout genou fléchisse au Ciel, sur Terre et aux enfers, et que toute langue proclame : « Jésus Christ est Seigneur » à la Gloire de Dieu le Père.
Pour nous, le CHRIST s'est fait Obéissant, jusqu'à la mort, et la mort sur une Croix. Voilà pourquoi DIEU L'a élevé SOUVERAINEMENT et LUI a donné le NOM qui est au-dessus de tout nom.
GLOIRE et LOUANGE à TOI, SEIGNEUR JÉSUS !
Indications pour la lecture dialoguée : Les sigles désignant les divers interlocuteurs sont les suivants : L = Lecteur X = Jésus D = Disciples et amis A = Autres personnages. F = Foule
L. Quand l’heure fut venue, Jésus prit place à table, et les Apôtres avec lui. Il leur dit :
X « J’ai désiré d’un grand désir manger cette Pâque avec vous avant de souffrir ! Car je vous le déclare : jamais plus je ne la mangerai jusqu’à ce qu’elle soit pleinement accomplie dans le royaume de Dieu. »
L. Alors, ayant reçu une coupe et rendu grâce, il dit :
X « Prenez ceci et partagez entre vous. Car je vous le déclare : désormais, jamais plus je ne boirai du fruit de la vigne jusqu’à ce que le royaume de Dieu soit venu. »
L. Puis, ayant pris du pain et rendu grâce, il le rompit et le leur donna, en disant :
X « Ceci est mon corps, donné pour vous. Faites cela en mémoire de moi. »
L. Et pour la coupe, après le repas, il fit de même, en disant :
X « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang répandu pour vous. Et cependant, voici que la main de celui qui me livre est à côté de moi sur la table. En effet, le Fils de l’homme s’en va selon ce qui a été fixé. Mais malheureux cet homme-là par qui il est livré ! »
L. Les Apôtres commencèrent à se demander les uns aux autres quel pourrait bien être, parmi eux, celui qui allait faire cela. Ils en arrivèrent à se quereller : lequel d’entre eux, à leur avis, était le plus grand ? Mais il leur dit :
X « Les rois des nations les commandent en maîtres, et ceux qui exercent le pouvoir sur elles se font appeler bienfaiteurs. Pour vous, rien de tel ! Au contraire, que le plus grand d’entre vous devienne comme le plus jeune, et le chef, comme celui qui sert. Quel est en effet le plus grand : celui qui est à table, ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est à table ? Eh bien moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert. Vous, vous avez tenu bon avec moi dans mes épreuves. Et moi, je dispose pour vous du Royaume, comme mon Père en a disposé pour moi. Ainsi vous mangerez et boirez à ma table dans mon Royaume, et vous siégerez sur des trônes pour juger les douze tribus d’Israël. Simon, Simon, voici que Satan vous a réclamés pour vous passer au crible comme le blé. Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas. Toi donc, quand tu sera revenu, affermis tes frères. »
L. Pierre lui dit :
D. « Seigneur, avec toi, je suis prêt à aller en prison et à la mort. »
L. Jésus reprit :
X « Je te le déclare, Pierre : le coq ne chantera pas aujourd’hui avant que toi, par trois fois, tu aies nié me connaître. »
L. Puis il leur dit :
X « Quand je vous ai envoyés sans bourse, ni sac, ni sandales, avez-vous donc manqué de quelque chose ? »
L. Ils lui répondirent :
D. « Non, de rien. »
L. Jésus leur dit :
X « Eh bien maintenant, celui qui a une bourse, qu’il la prenne, de même celui qui a un sac ; et celui qui n’a pas d’épée, qu’il vende son manteau pour en acheter une. Car, je vous le déclare : il faut que s’accomplisse en moi ce texte de l’Écriture :
Il a été compté avec les impies.
De fait, ce qui me concerne va trouver son accomplissement. »
L. Ils lui dirent :
D. « Seigneur, voici deux épées. »
L. Il leur répondit :
X « Cela suffit. »
L. Jésus sortit pour se rendre, selon son habitude, au mont des Oliviers, et ses disciples le suivirent. Arrivé en ce lieu, il leur dit :
X « Priez, pour ne pas entrer en tentation. »
L. Puis il s’écarta à la distance d’un jet de pierre environ. S’étant mis à genoux, il priait en disant :
X « Père, si tu le veux, éloigne de moi cette coupe ; cependant, que soit faite non pas ma volonté, mais la tienne. »
L. Alors, du ciel, lui apparut un ange qui le réconfortait. Entré en agonie, Jésus priait avec plus d’insistance, et sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient sur la terre. Puis Jésus se releva de sa prière et rejoignit ses disciples qu’il trouva endormis, accablés de tristesse. Il leur dit :
X « Pourquoi dormez-vous ? Relevez-vous et priez, pour ne pas entrer en tentation. »
L. Il parlait encore, quand parut une foule de gens. Celui qui s’appelait Judas, l’un des Douze, marchait à leur tête. Il s’approcha de Jésus pour lui donner un baiser. Jésus lui dit :
X « Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? »
L. Voyant ce qui allait se passer, ceux qui entouraient Jésus lui dirent :
D. « Seigneur, et si nous frappions avec l’épée ? »
L. L’un d’eux frappa le serviteur du grand prêtre et lui trancha l’oreille droite. Mais Jésus dit :
X « Restez-en là ! »
L. Et, touchant l’oreille de l’homme, il le guérit. Jésus dit alors à ceux qui étaient venus l’arrêter, grands prêtres, chefs des gardes du Temple et anciens :
X « Suis-je donc un bandit, pour que vous soyez venus avec des épées et des bâtons ? Chaque jour, j’étais avec vous dans le Temple, et vous n’avez pas porté la main sur moi. Mais c’est maintenant votre heure et le pouvoir des ténèbres. »
L. S’étant saisis de Jésus, ils l’emmenèrent et le firent entrer dans la résidence du grand prêtre. Pierre suivait à distance. On avait allumé un feu au milieu de la cour, et tous étaient assis là. Pierre vint s’asseoir au milieu d’eux. Une jeune servante le vit assis près du feu ; elle le dévisagea et dit :
A. « Celui-là aussi était avec lui. »
L. Mais il nia :
D. « Non, je ne le connais pas. »
L. Peu après, un autre dit en le voyant :
F. « Toi aussi, tu es l’un d’entre eux. »
L. Pierre répondit :
D. « Non, je ne le suis pas. »
L. Environ une heure plus tard, un autre insistait avec force :
F. « C’est tout à fait sûr ! Celui-là était avec lui, et d’ailleurs il est Galiléen. »
L. Pierre répondit :
D. « Je ne sais pas ce que tu veux dire. »
L. Et à l’instant même, comme il parlait encore, un coq chanta. Le Seigneur, se retournant, posa son regard sur Pierre. Alors Pierre se souvint de la parole que le Seigneur lui avait dite : « Avant que le coq chante aujourd’hui, tu m’auras renié trois fois. » Il sortit et, dehors, pleura amèrement.
Les hommes qui gardaient Jésus se moquaient de lui et le rouaient de coups. Ils lui avaient voilé le visage, et ils l’interrogeaient :
F. « Fais le prophète ! Qui est-ce qui t’a frappé ? »
L. Et ils proféraient contre lui beaucoup d’autres blasphèmes.
Lorsqu’il fit jour, se réunit le collège des anciens du peuple, grands prêtres et scribes, et on emmena Jésus devant leur conseil suprême. Ils lui dirent :
F. « Si tu es le Christ, dis-le nous. »
L. Il leur répondit :
X « Si je vous le dis, vous ne me croirez pas ; et si j’interroge, vous ne répondrez pas. Mais désormais le Fils de l’homme sera assis à la droite de la Puissance de Dieu. »
L. Tous lui dirent alors :
F. « Tu es donc le Fils de Dieu ? »
L. Il leur répondit :
X « Vous dites vous-mêmes que je le suis. »
L. Ils dirent alors :
F. « Pourquoi nous faut-il encore un témoignage ? Nous-mêmes, nous l’avons entendu de sa bouche. »
L. L’assemblée tout entière se leva, et on l’emmena chez Pilate.
On se mit alors à l’accuser :
F. « Nous avons trouvé cet homme en train de semer le trouble dans notre nation : il empêche de payer l’impôt à l’empereur, et il dit qu’il est le Christ, le Roi. »
L. Pilate l’interrogea :
A. « Es-tu le roi des Juifs ? »
L. Jésus répondit :
X « C’est toi-même qui le dis. »
L. Pilate s’adressa aux grands prêtres et aux foules :
A. « Je ne trouve chez cet homme aucun motif de condamnation. »
L. Mais ils insistaient avec force :
F. « Il soulève le peuple en enseignant dans toute la Judée ; après avoir commencé en Galilée, il est venu jusqu’ici. »
L. À ces mots, Pilate demanda si l’homme était Galiléen. Apprenant qu’il relevait de l’autorité d’Hérode, il le renvoya devant ce dernier, qui se trouvait lui aussi à Jérusalem en ces jours-là.
À la vue de Jésus, Hérode éprouva une joie extrême : en effet, depuis longtemps il désirait le voir à cause de ce qu’il entendait dire de lui, et il espérait lui voir faire un miracle. Il lui posa bon nombre de questions, mais Jésus ne lui répondit rien. Les grands prêtres et les scribes étaient là, et ils l’accusaient avec véhémence. Hérode, ainsi que ses soldats, le traita avec mépris et se moqua de lui : il le revêtit d’un manteau de couleur éclatante et le renvoya à Pilate. Ce jour-là, Hérode et Pilate devinrent des amis, alors qu’auparavant il y avait de l’hostilité entre eux.
Alors Pilate convoqua les grands prêtres, les chefs et le peuple. Il leur dit :
A. « Vous m’avez amené cet homme en l’accusant d’introduire la subversion dans le peuple. Or, j’ai moi-même instruit l’affaire devant vous et, parmi les faits dont vous l’accusez, je n’ai trouvé chez cet homme aucun motif de condamnation. D’ailleurs, Hérode non plus, puisqu’il nous l’a renvoyé. En somme, cet homme n’a rien fait qui mérite la mort. Je vais donc le relâcher après lui avoir fait donner une correction. »
L. Ils se mirent à crier tous ensemble :
F. « Mort à cet homme ! Relâche-nous Barabbas. »
L. Ce Barabbas avait été jeté en prison pour une émeute survenue dans la ville, et pour meurtre. Pilate, dans son désir de relâcher Jésus, leur adressa de nouveau la parole. Mais ils vociféraient :
F. « Crucifie-le ! Crucifie-le ! »
L. Pour la troisième fois, il leur dit :
A. « Quel mal a donc fait cet homme ? Je n’ai trouvé en lui aucun motif de condamnation à mort. Je vais donc le relâcher après lui avoir fait donner une correction. »
L. Mais ils insistaient à grands cris, réclamant qu’il soit crucifié ; et leurs cris s’amplifiaient. Alors Pilate décida de satisfaire leur requête. Il relâcha celui qu’ils réclamaient, le prisonnier condamné pour émeute et pour meurtre, et il livra Jésus à leur bon plaisir.
L. Comme ils l’emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix pour qu’il la porte derrière Jésus. Le peuple, en grande foule, le suivait, ainsi que des femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur Jésus. Il se retourna et leur dit :
X « Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants ! Voici venir des jours où l’on dira : ‘Heureuses les femmes stériles, celles qui n’ont pas enfanté, celles qui n’ont pas allaité !’ Alors on dira aux montagnes : ‘Tombez sur nous’, et aux collines : ‘Cachez-nous.’ Car si l’on traite ainsi l’arbre vert, que deviendra l’arbre sec ? »
L. Ils emmenaient aussi avec Jésus deux autres, des malfaiteurs, pour les exécuter. Lorsqu’ils furent arrivés au lieu dit : Le Crâne (ou Calvaire), là ils crucifièrent Jésus, avec les deux malfaiteurs, l’un à droite et l’autre à gauche. Jésus disait :
X « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font. »
L. Puis, ils partagèrent ses vêtements et les tirèrent au sort.
Le peuple restait là à observer. Les chefs tournaient Jésus en dérision et disaient :
F. « Il en a sauvé d’autres : qu’il se sauve lui-même, s’il est le Messie de Dieu, l’Élu ! »
L. Les soldats aussi se moquaient de lui ; s’approchant, ils lui présentaient de la boisson vinaigrée, en disant :
F. « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même ! »
L. Il y avait aussi une inscription au-dessus de lui : « Celui-ci est le roi des Juifs. »
L’un des malfaiteurs suspendus en croix l’injuriait :
A. « N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi ! »
L. Mais l’autre lui fit de vifs reproches :
A. « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi ! Et puis, pour nous, c’est juste : après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons. Mais lui, il n’a rien fait de mal. »
L. Et il disait :
A. « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. »
L. Jésus lui déclara :
X « Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. »
L. C’était déjà environ la sixième heure (c’est-à-dire : midi) ; l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure, car le soleil s’était caché. Le rideau du Sanctuaire se déchira par le milieu. Alors, Jésus poussa un grand cri :
X « Père, entre tes mains je remets mon esprit. »
L. Et après avoir dit cela, il expira.
(Ici, on fléchit les genoux et on s’arrête un instant.)
À la vue de ce qui s’était passé, le centurion rendit gloire à Dieu :
A. « Celui-ci était réellement un homme juste. »
L. Et toute la foule des gens qui s’étaient rassemblés pour ce spectacle, observant ce qui se passait, s’en retournaient en se frappant la poitrine. Tous ses amis, ainsi que les femmes qui le suivaient depuis la Galilée, se tenaient plus loin pour regarder.
Alors arriva un membre du Conseil, nommé Joseph ; c’était un homme bon et juste, qui n’avait donné son accord ni à leur délibération, ni à leurs actes. Il était d’Arimathie, ville de Judée, et il attendait le règne de Dieu. Il alla trouver Pilate et demanda le corps de Jésus. Puis il le descendit de la croix, l’enveloppa dans un linceul et le mit dans un tombeau taillé dans le roc, où personne encore n’avait été déposé. C’était le jour de la Préparation de la fête, et déjà brillaient les lumières du sabbat. Les femmes qui avaient accompagné Jésus depuis la Galilée suivirent Joseph. Elles regardèrent le tombeau pour voir comment le corps avait été placé. Puis elles s’en retournèrent et préparèrent aromates et parfums. Et, durant le sabbat, elles observèrent le repos prescrit.
Textes du jour, lu sur : Les services de la liturgie Catholique http://www.aelf.org/office-messe?date_my=20/03/2016
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Amicalement, fraternellement Nicolas
Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Dim 20 Mar 2016, 19:22
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Lundi 21 Mars 2016
Lundi Saint
(Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Isaïe 42 : 1 à 7
« IL ne criera pas, IL ne fera pas entendre Sa VOIX au-dehors »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR : « Voici Mon SERVITEUR que Je SOUTIENS, Mon ÉLU qui a toute Ma FAVEUR. J’ai fait reposer sur LUI Mon ESPRIT ; aux nations, IL proclamera le DROIT. IL ne criera pas, IL ne haussera pas le Ton, IL ne fera pas entendre Sa VOIX au-dehors. IL ne brisera pas le roseau qui fléchit, IL n’éteindra pas la mèche qui faiblit, IL proclamera le DROIT en VÉRITÉ. IL ne faiblira pas, IL ne fléchira pas, jusqu’à ce qu’IL établisse le DROIT sur la Terre, et que les îles lointaines aspirent à recevoir Ses LOIS. »
Ainsi PARLE DIEU, le SEIGNEUR, qui crée les Cieux et les déploie, qui affermit la terre et ce qu’elle produit ; IL donne le SOUFFLE au peuple qui L’habite, et l’ESPRIT à ceux qui LA parcourent : « Moi, le SEIGNEUR, Je T’ai appelé selon la JUSTICE ; Je TE saisis par la MAIN, Je TE façonne, Je fais de TOI l’ALLIANCE du peuple, la LUMIÈRE des nations : TU ouvriras les yeux des aveugles, TU feras sortir les captifs de leur prison, et, de leur cachot, ceux qui habitent les ténèbres. »
Le SEIGNEUR est ma LUMIÈRE et mon SALUT ; de qui aurais-je crainte ? Le SEIGNEUR est le REMPART de ma vie ; devant qui tremblerais-je ? R/
Si des méchants s'avancent contre moi pour me déchirer, ce sont eux, mes ennemis, mes adversaires, qui perdent pied et succombent. R/
Qu'une armée se déploie devant moi, mon cœur est sans crainte ; que la bataille s'engage contre moi, je garde confiance. R/
J'en suis sûr, je verrai les BONTÉS du SEIGNEUR sur la Terre des vivants. « Espère le SEIGNEUR, sois fort et prends courage ; espère le SEIGNEUR ! » R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 12 : 1 à 11
Acclamation de l’Évangile : LOUANGE à TOI, SEIGNEUR, ROI d'ÉTERNELLE GLOIRE ! Salut, Ô CHRIST, notre ROI : TOI SEUL as pris en pitié nos égarements. LOUANGE à TOI, SEIGNEUR, ROI d'ÉTERNELLE GLOIRE !
« Laisse-la observer cet usage en vue du jour de Mon ensevelissement ! »
Six jours avant la Pâque, JÉSUS vint à Béthanie où habitait Lazare, qu’IL avait réveillé d’entre les morts. On donna un repas en l’HONNEUR de JÉSUS. Marthe faisait le service, Lazare était parmi les convives avec JÉSUS. Or, Marie avait pris une livre d’un parfum très pur et de très grande valeur ; elle répandit le parfum sur les PIEDS de JÉSUS, qu’elle essuya avec ses cheveux ; la maison fut remplie de l’odeur du parfum. Judas Iscariote, l’un de Ses Disciples, celui qui allait LE livrer, dit alors : « Pourquoi n’a-t-on pas vendu ce parfum pour trois cents pièces d’argent, que l’on aurait données à des pauvres ? » Il parla ainsi, non par souci des pauvres, mais parce que c’était un voleur : comme il tenait la bourse commune, il prenait ce que l’on y mettait. JÉSUS lui dit : « Laisse-la observer cet usage en vue du jour de Mon ensevelissement ! Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, mais Moi, vous ne M’aurez pas toujours. »
Or, une grande foule de Juifs apprit que JÉSUS était là, et ils arrivèrent, non seulement à cause de JÉSUS, mais aussi pour voir ce Lazare qu’IL avait réveillé d’entre les morts. Les grands prêtres décidèrent alors de tuer aussi Lazare, parce que beaucoup de Juifs, à cause de lui, s’en allaient, et croyaient en JÉSUS.
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Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Lun 21 Mar 2016, 19:08
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Mardi 22 Mars 2016
Mardi Saint
(Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Isaïe 49 : 1 à 6
« Je fais de TOI la LUMIÈRE des nations, pour que Mon SALUT parvienne jusqu’aux extrémités de la Terre »
Écoutez-Moi, îles lointaines ! Peuples éloignés, soyez attentifs ! J’étais encore dans le sein maternel quand le SEIGNEUR M’a appelé ; J’étais encore dans les entrailles de Ma Mère quand IL a prononcé Mon NOM. IL a fait de Ma BOUCHE une ÉPÉE TRANCHANTE, IL M’a protégé par l’OMBRE de Sa MAIN ; IL a fait de Moi une FLÈCHE ACÉRÉE, IL M’a caché dans Son CARQUOIS. IL M’a dit : « Tu es mon serviteur, Israël, en toi je manifesterai ma splendeur. » Et moi, je disais : « Je me suis fatigué pour rien, c’est pour le néant, c’est en pure perte que j’ai usé mes forces. » Et pourtant, mon droit subsistait auprès du Seigneur, ma récompense, auprès de mon Dieu. Maintenant le Seigneur parle, lui qui m’a façonné dès le sein de ma mère pour que je sois son serviteur, que je lui ramène Jacob, que je lui rassemble Israël. Oui, j’ai de la valeur aux yeux du Seigneur, c’est mon Dieu qui est ma force. Et il dit : « C’est trop peu que tu sois mon serviteur pour relever les tribus de Jacob, ramener les rescapés d’Israël : je fais de toi la lumière des nations, pour que mon salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre. »
En TOI, SEIGNEUR, j'ai mon REFUGE : garde-moi d'être humilié pour toujours. Dans Ta JUSTICE, défends-moi, libère-moi, tends l'OREILLE vers moi, et sauve-moi. R/
Sois le ROCHER qui m'accueille, toujours accessible ; TU as résolu de me sauver : ma FORTERESSE et mon ROC, c'est TOI ! R/
SEIGNEUR mon DIEU, TU es mon ESPÉRANCE, TOI, mon SOUTIEN dès avant ma naissance, TU m'as choisi dès le ventre de ma mère ; TU seras ma LOUANGE toujours ! R/
Ma bouche annonce tout le jour Tes ACTES de JUSTICE et de SALUT ; Mon DIEU, tu m'as INSTRUIT dès ma jeunesse, jusqu'à présent, j'ai proclamé Tes MERVEILLES. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 13 : 21 à 33, 36 à 38
Acclamation de l’Évangile : LOUANGE à TOI, SEIGNEUR, ROI d'ÉTERNELLE GLOIRE ! Salut, ô CHRIST, notre ROI : obéissant au PÈRE ; comme l’agneau vers l’abattoir, TU TE laisses conduire à la Croix. LOUANGE à TOI, SEIGNEUR, ROI d'ÉTERNELLE GLOIRE !
« L’un de vous Me livrera… Le coq ne chantera pas avant que tu M’aies renié trois fois »
En ce temps-là, au cours du repas que JÉSUS prenait avec Ses Disciples, IL fut bouleversé en Son ESPRIT, et IL rendit ce TÉMOIGNAGE : « AMEN, AMEN, Je vous le dis : l’un de vous Me livrera. » Les Disciples se regardaient les uns les autres avec embarras, ne sachant pas de qui JÉSUS parlait. Il y avait à table, appuyé contre JÉSUS, l’un de Ses Disciples, celui que JÉSUS aimait. Simon-Pierre lui fait signe de demander à JÉSUS de qui IL veut parler. Le Disciple se penche donc sur la poitrine de JÉSUS et LUI dit : « SEIGNEUR, qui est-ce ? » JÉSUS lui répond : « C’est celui à qui Je donnerai la bouchée que Je vais tremper dans le plat. » IL trempe la bouchée, et la donne à Judas, fils de Simon l’Iscariote. Et, quand Judas eut pris la bouchée, Satan entra en lui. JÉSUS lui dit alors : « Ce que tu fais, fais-le vite. » Mais aucun des convives ne comprit pourquoi IL lui avait dit cela. Comme Judas tenait la bourse commune, certains pensèrent que JÉSUS voulait lui dire d’acheter ce qu’il fallait pour la fête, ou de donner quelque chose aux pauvres. Judas prit donc la bouchée, et sortit aussitôt. Or il faisait nuit.
Quand il fut sorti, JÉSUS déclara : « Maintenant le FILS de l’Homme est GLORIFIÉ, et DIEU est GLORIFIÉ en LUI. Si DIEU est GLORIFIÉ en LUI, DIEU aussi LE GLORIFIERA ; et IL LE GLORIFIERA bientôt.
Petits enfants, c’est pour peu de temps encore que Je suis avec vous. Vous Me chercherez, et, comme Je l’ai dit aux Juifs : “Là où Je vais, vous ne pouvez pas aller”, Je vous le dis maintenant à vous aussi. »
Simon-Pierre LUI dit : « SEIGNEUR, où vas-TU ? » JÉSUS lui répondit : « Là où Je vais, tu ne peux pas Me suivre maintenant ; tu Me suivras plus tard. » Pierre LUI dit : « SEIGNEUR, pourquoi ne puis-je pas TE suivre à présent ? Je donnerai ma vie pour TOI ! » JÉSUS réplique : « Tu donneras ta vie pour Moi ? Amen, amen, Je te le dis : le coq ne chantera pas avant que tu M’aies renié trois fois. »
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Mar 22 Mar 2016, 18:52
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Bonsoir à toutes et à tous,
Mercredi 23 Mars 2016
Mercredi Saint
(Couleur liturgique : Violet ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Isaïe 50 : 4 à 9a
« Je n’ai pas caché ma face devant les outrages »
Le SEIGNEUR mon DIEU m’a donné le langage des disciples, pour que je puisse, d’une parole, soutenir celui qui est épuisé. Chaque matin, IL éveille, IL éveille mon oreille pour qu’en disciple, j’écoute. Le SEIGNEUR mon DIEU m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats. Le SEIGNEUR mon DIEU vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu. IL est proche, CELUI qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ? Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi ! Voilà le SEIGNEUR mon DIEU, IL prend ma défense ; qui donc me condamnera ?
Du répertoire du chef de chorale et du recueil de David; accompagnement sur guitares. [Psaume 68 (69) ; entièrement ]
Psaume 68 (69) : 8 à 10, 21 et 22, 31 et 33 et 34
R/ Dans Ton GRAND AMOUR, mon DIEU, fais-moi grâce.
C'est pour TOI que J'endure l'insulte, que la honte Me couvre le visage : Je suis un étranger pour mes frères, un inconnu pour les fils de ma mère. L'amour de ta maison m'a perdu ; on t'insulte, et l'insulte retombe sur Moi. R/
L'insulte M'a broyé le cœur, le mal est incurable ; J’espérais un secours, mais en vain, des consolateurs, Je n'en ai pas trouvé. À mon pain, ils ont mêlé du poison ; quand J'avais soif, ils M'ont donné du Vinaigre. R/
Mais Je louerai le NOM de DIEU par un Cantique, Je vais LE MAGNIFIER, LUI rendre grâce. Les pauvres L'ont vu, ils sont en fête : « Vie et joie, à vous qui cherchez DIEU ! » Car le SEIGNEUR écoute les humbles, IL n'oublie pas les Siens emprisonnés. R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Matthieu 26 : 14 à 25
Acclamation de l’Évangile : LOUANGE à TOI, SEIGNEUR, ROI d'ÉTERNELLE GLOIRE ! Salut, ô CHRIST, notre ROI : obéissant au PÈRE ; comme l’agneau vers l’abattoir, TU TE laisses conduire à la Croix. LOUANGE à TOI, SEIGNEUR, ROI d'ÉTERNELLE GLOIRE !
« Le FILS de l’Homme s’en va, comme il est écrit ; mais malheureux celui par qui IL est livré ! »
En ce temps-là, l’un des Douze, nommé Judas Iscariote, se rendit chez les grands prêtres et leur dit : « Que voulez-vous me donner, si je vous LE livre ? » Ils lui remirent trente pièces d’argent. Et depuis, Judas cherchait une occasion favorable pour LE livrer.
Le premier jour de la fête des pains sans levain, les Disciples s’approchèrent et dirent à JÉSUS : « Où veux-TU que nous TE fassions les préparatifs pour manger la Pâque ? » IL leur dit : « Allez à la ville, chez untel, et dites-lui : “Le MAÎTRE te fait dire : Mon TEMPS est PROCHE ; c’est chez toi que Je veux célébrer la Pâque avec Mes Disciples.” » Les Disciples firent ce que JÉSUS leur avait prescrit et ils préparèrent la Pâque.
Le soir venu, JÉSUS se trouvait à table avec les Douze. Pendant le repas, IL déclara : « Amen, Je vous le dis : l’un de vous va Me livrer. » Profondément attristés, ils se mirent à LUI demander, chacun son tour : « Serait-ce moi, SEIGNEUR ? » Prenant la PAROLE, IL dit : « Celui qui s’est servi au plat en même temps que Moi, celui-là va Me livrer. Le FILS de l’Homme s’en va, comme il est écrit à Son SUJET ; mais malheureux celui par qui le FILS de l’Homme est livré ! Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ! » Judas, celui qui LE livrait, prit la parole : « RABBI, serait-ce moi ? » JÉSUS lui répond : « C’est toi-même qui l’as dit ! »
Textes du jour, lu sur : Les services de la liturgie Catholique http://www.aelf.org/office-messe?date_my=23/03/2016
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Mer 23 Mar 2016, 19:16
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Jeudi 24 Mars 2016
Jeudi Saint (Messe CHRISMALE)
(Couleur liturgique : Blanc ) Année C
(Première lecture) Livre du Prophète Isaïe 61 : 1 à 3a, 6a, 8b et 9
Le SEIGNEUR m’a consacré par l’Onction, IL m’a envoyé annoncer la bonne nouvelle aux humbles, et leur donner l’huile de joie
L’ESPRIT du SEIGNEUR DIEU est sur moi parce que le SEIGNEUR m’a consacré par l’Onction. IL m’a envoyé annoncer la bonne nouvelle aux humbles, guérir ceux qui ont le cœur brisé, proclamer aux captifs leur délivrance, aux prisonniers leur libération, proclamer une année de BIENFAITS accordée par le SEIGNEUR, et un jour de vengeance pour notre DIEU, consoler tous ceux qui sont en deuil, ceux qui sont en deuil dans Sion, mettre le diadème sur leur tête au lieu de la cendre, l’huile de joie au lieu du deuil, un habit de fête au lieu d’un esprit abattu. Vous serez appelés « Prêtres du SEIGNEUR » ; on vous dira « Servants de notre DIEU ». Loyalement, Je vous donnerai la récompense, Je conclurai avec vous une ALLIANCE ÉTERNELLE. Vos descendants seront connus parmi les nations, et votre postérité, au milieu des peuples. Qui les verra pourra reconnaître la descendance bénie du SEIGNEUR.
(Deuxième lecture) Apocalypse de saint Jean 1 : 5 à 8
« IL a fait de nous un royaume et des prêtres pour Son DIEU et PÈRE »
Que la GRÂCE et la PAIX vous soient données de la PART de JÉSUS CHRIST, le TÉMOIN FIDÈLE, le PREMIER-NÉ des morts, le PRINCE des Rois de la Terre.
À LUI qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par Son SANG, qui a fait de nous un royaume et des prêtres pour Son DIEU et PÈRE, à LUI, la GLOIRE et la SOUVERAINETÉ pour les siècles des siècles. Amen. Voici qu’IL vient avec les nuées, tout œil LE verra, ils LE verront, ceux qui L’ont transpercé ; et sur LUI se lamenteront toutes les tribus de la Terre. Oui ! Amen !
Moi, JE SUIS l’ALPHA et l’OMÉGA, dit le SEIGNEUR DIEU, CELUI qui EST, qui ÉTAIT et qui VIENT, le SOUVERAIN de l’Univers.
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Luc 4 : 16 à 21
Acclamation de l’Évangile : GLOIRE et LOUANGE à TOI, SEIGNEUR JÉSUS ! L’ESPRIT du SEIGNEUR est sur Moi : Il M’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres. GLOIRE et LOUANGE à TOI, SEIGNEUR JÉSUS ! (cf. Is 61, 1)
« L’ESPRIT du SEIGNEUR est sur Moi ; Il M’a consacré par l’Onction »
En ce temps-là, JÉSUS vint à Nazareth, où IL avait été élevé. Selon Son HABITUDE, IL entra dans la synagogue le jour du sabbat, et IL se leva pour faire la Lecture. On LUI remit le Livre du Prophète Isaïe. IL ouvrit le Livre et trouva le passage où il est écrit :
L’ESPRIT du SEIGNEUR est sur Moi parce que le SEIGNEUR M’a consacré par l’Onction. IL M’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le SEIGNEUR.
JÉSUS referma le Livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur LUI. Alors IL se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre. »
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Amicalement, fraternellement Nicolas
Nicolas Assidu
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Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Jeu 24 Mar 2016, 21:16
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Vendredi 25 Mars 2016
Vendredi SAINT
(Couleur liturgique : Rouge ) Année C
Célébration de la PASSION du SEIGNEUR
(Première lecture) Livre du Prophète Isaïe 52 : 13 à 15 et 53 : 1 à 12
« C’est à cause de nos fautes qu’IL a été broyé »
Mon SERVITEUR réussira, dit le SEIGNEUR ; IL montera, IL s’élèvera, IL sera exalté ! La multitude avait été consternée en LE voyant, car IL était si défiguré qu’IL ne ressemblait plus à un homme ; IL n’avait plus l’apparence d’un fils d’homme. IL étonnera de même une multitude de nations ; devant LUI les rois resteront bouche bée, car ils verront ce que, jamais, on ne leur avait dit, ils découvriront ce dont ils n’avaient jamais entendu parler.
Qui aurait cru ce que nous avons entendu ? Le BRAS PUISSANT du SEIGNEUR, à qui s’est-IL révélé ? Devant LUI, le SERVITEUR a poussé comme une plante chétive, une racine dans une terre aride ; IL était sans apparence ni beauté qui attire nos regards, SON ASPECT n’avait rien pour nous plaire. Méprisé, abandonné des hommes, homme de douleurs, familier de la souffrance, IL était pareil à celui devant qui on se voile la face ; et nous L’avons méprisé, compté pour rien. En fait, c’étaient nos souffrances qu’IL portait, nos douleurs dont IL était chargé. Et nous, nous pensions qu’IL était frappé, meurtri par DIEU, humilié. Or, c’est à cause de nos révoltes qu’IL a été transpercé, à cause de nos fautes qu’IL a été broyé. Le châtiment qui nous donne la Paix a pesé sur LUI : par SES BLESSURES, nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait son propre chemin. Mais le SEIGNEUR a fait retomber sur LUI nos fautes à nous tous.
Maltraité, IL s’humilie, IL n’ouvre pas la bouche : comme un agneau conduit à l’abattoir, comme une brebis muette devant les tondeurs, IL n’ouvre pas la bouche. Arrêté, puis jugé, IL a été supprimé. Qui donc s’est inquiété de SON SORT ? IL a été retranché de la Terre des vivants, frappé à mort pour les révoltes de son peuple. On a placé SA TOMBE avec les méchants, SON TOMBEAU avec les riches ; et pourtant IL n’avait pas commis de violence, on ne trouvait pas de tromperie dans SA BOUCHE. Broyé par la souffrance, IL a plu au SEIGNEUR. S’IL remet SA VIE en SACRIFICE DE RÉPARATION, IL verra une descendance, IL prolongera SES JOURS : par LUI, ce qui plaît au SEIGNEUR réussira.
Par suite de SES TOURMENTS, IL verra la Lumière, la connaissance LE comblera. Le JUSTE, mon SERVITEUR, justifiera les multitudes, IL se chargera de leurs fautes. C’est pourquoi, parmi les grands, Je LUI donnerai SA PART, avec les puissants IL partagera le butin, car IL s’est dépouillé LUI-MÊME jusqu’à la mort, et IL a été compté avec les pécheurs, alors qu’IL portait le péché des multitudes et qu’IL intercédait pour les pécheurs.
Du répertoire du chef de chorale. Psaume appartenant au recueil de David.
[Psaume 30 (31) ; entièrement]
Psaume 30 (31) : 2ab et 6, 12, 13 et 14ad, 15 et 16, 17 et 25
R/ Ô PÈRE, dans Tes MAINS Je remets Mon ESPRIT
En TOI, SEIGNEUR, J’ai mon REFUGE ; garde-Moi d’être humilié pour toujours. En Tes MAINS Je remets Mon ESPRIT ; TU Me rachètes, SEIGNEUR, DIEU de VÉRITÉ. R/
Je suis la risée de Mes adversaires et même de Mes voisins ; Je fais peur à Mes Amis, s’ils Me voient dans la rue, ils Me fuient. R/
On M’ignore comme un mort oublié, comme une chose qu’on jette. J’entends les calomnies de la foule : ils s’accordent pour M’ôter la vie. R/
Moi, Je suis sûr de TOI, SEIGNEUR, Je dis : « TU es Mon DIEU ! » Mes jours sont dans Ta MAIN : délivre-Moi des mains hostiles qui s’acharnent. R/
Sur Ton Serviteur, que s’illumine Ta FACE ; sauve-Moi par Ton AMOUR. Soyez forts, prenez courage, vous tous qui espérez le SEIGNEUR ! R/
(Deuxième lecture) Lettre aux Hébreux 4 : 14 à 16 ; 5 : 7 à 9
IL apprit l’OBÉISSANCE et IL est devenu pour tous ceux qui LUI obéissent la cause du SALUT ÉTERNEL
Frères, en JÉSUS, le FILS DE DIEU, nous avons le GRAND PRÊTRE par EXCELLENCE, CELUI qui a traversé les Cieux ; tenons donc ferme l’affirmation de notre foi. En effet, nous n’avons pas un GRAND PRÊTRE incapable de compatir à nos faiblesses, mais un GRAND PRÊTRE éprouvé en toutes choses, à notre ressemblance, excepté le péché. Avançons-nous donc avec assurance vers le TRÔNE de la Grâce, pour obtenir miséricorde et recevoir, en temps voulu, la Grâce de SON SECOURS.
Le CHRIST, pendant les jours de SA VIE dans la chair, offrit, avec un grand cri et dans les larmes, des prières et des supplications à DIEU qui pouvait LE sauver de la mort, et IL fut exaucé en raison de SON GRAND RESPECT. Bien qu’IL soit le FILS, IL apprit par SES SOUFFRANCES l’OBÉISSANCE et, conduit à SA PERFECTION, IL est devenu pour tous ceux qui LUI obéissent la cause du SALUT ÉTERNEL.
Le CHRIST s’est anéanti, prenant la condition de Serviteur.
Pour nous, le CHRIST est devenu OBÉISSANT, jusqu’à la mort, et la mort de la Croix. C’est pourquoi DIEU L’a exalté : IL L’a doté du NOM qui est au-dessus de tout nom.
Le CHRIST s’est anéanti, prenant la condition de Serviteur.
(La lecture de la Passion se fait sans salutation au début, ni acclamation à la fin.)
Indications pour la lecture dialoguée : Les sigles désignant les divers interlocuteurs sont les suivants : L = Lecteur X = Jésus D = Disciples et amis A = Autres personnages. F = Foule
L. En ce temps-là, après le repas, JÉSUS sortit avec Ses Disciples et traversa le torrent du Cédron ; il y avait là un jardin, dans lequel IL entra avec Ses Disciples. Judas, qui LE livrait, connaissait l’endroit, lui aussi, car JÉSUS et Ses Disciples s’y étaient souvent réunis. Judas, avec un détachement de soldats ainsi que des gardes envoyés par les grands prêtres et les pharisiens, arrive à cet endroit. Ils avaient des lanternes, des torches et des armes. Alors JÉSUS, sachant tout ce qui allait LUI arriver, s’avança et leur dit :
X « Qui cherchez-vous? »
L. Ils LUI répondirent :
F. « JÉSUS le Nazaréen. »
L. IL leur dit :
X « C’est Moi, Je Le SUIS. »
L. Judas, qui LE livrait, se tenait avec eux. Quand JÉSUS leur répondit : « C’est Moi, Je Le SUIS », ils reculèrent, et ils tombèrent à terre. IL leur demanda de nouveau :
X « Qui cherchez-vous? »
L. Ils dirent :
F. « JÉSUS le Nazaréen. »
L. JÉSUS répondit :
X « Je vous l’ai dit : c’est Moi, Je Le SUIS. Si c’est bien Moi que vous cherchez, ceux-là, laissez-les partir. »
L. Ainsi s’accomplissait la PAROLE qu’IL avait dite : « Je n’ai perdu aucun de ceux que TU M’as donnés. » Or Simon-Pierre avait une épée ; il la tira, frappa le serviteur du grand prêtre et lui coupa l’oreille droite. Le nom de ce serviteur était Malcus. JÉSUS dit à Pierre :
X « Remets ton épée au fourreau. La COUPE que M’a donnée le PÈRE, vais-Je refuser de LA boire ? »
Procès devant les autorités juives
L. Alors la troupe, le commandant et les gardes juifs se saisirent de JÉSUS et LE ligotèrent. Ils L’emmenèrent d’abord chez Hanne, beau-père de Caïphe, qui était grand prêtre cette année-là. Caïphe était celui qui avait donné aux Juifs ce conseil : « Il vaut mieux qu’un Seul Homme meure pour le peuple. »
Or Simon-Pierre, ainsi qu’un autre Disciple, suivait JÉSUS. Comme ce Disciple était connu du grand prêtre, il entra avec JÉSUS dans le palais du grand prêtre. Pierre se tenait près de la porte, dehors. Alors l’autre Disciple – celui qui était connu du grand prêtre – sortit, dit un mot à la servante qui gardait la porte, et fit entrer Pierre. Cette jeune servante dit alors à Pierre :
A. « N’es-tu pas, toi aussi, l’un des Disciples de Cet Homme ? »
L. Il répondit :
D. « Non, je ne Le suis pas ! »
L. Les serviteurs et les gardes se tenaient là ; comme il faisait froid, ils avaient fait un feu de braise pour se réchauffer. Pierre était avec eux, en train de se chauffer. Le grand prêtre interrogea JÉSUS sur Ses Disciples et sur Son ENSEIGNEMENT. JÉSUS lui répondit :
X « Moi, J’ai parlé au monde ouvertement. J’ai toujours enseigné à la synagogue et dans le Temple, là où tous les Juifs se réunissent, et Je n’ai jamais parlé en cachette. Pourquoi M’interroges-tu? Ce que Je leur ai dit, demande-le à ceux qui M’ont entendu. Eux savent ce que J’ai dit. »
L. À ces mots, un des gardes, qui était à côté de JÉSUS, LUI donna une gifle en disant :
A. « C’est ainsi que TU réponds au grand prêtre ! »
L. JÉSUS lui répliqua :
X « Si J’ai mal parlé, montre ce que J’ai dit de mal. Mais si J’ai bien parlé, pourquoi Me frappes-tu? »
L. Hanne L’envoya, toujours ligoté, au grand prêtre Caïphe.
Simon-Pierre était donc en train de se chauffer. On lui dit :
A. « N’es-tu pas, toi aussi, L’un de Ses Disciples ? »
L. Pierre LE nia et dit :
D. « Non, je ne Le suis pas ! »
L. Un des serviteurs du grand prêtre, parent de celui à qui Pierre avait coupé l’oreille, insista :
A. « Est-ce que moi, je ne t’ai pas vu dans le jardin avec LUI ? »
L. Encore une fois, Pierre le nia. Et aussitôt un coq chanta.
Procès devant les autorités romaines
Alors on emmène JÉSUS de chez Caïphe au Prétoire. C’était le matin. Ceux qui L’avaient amené n’entrèrent pas dans le Prétoire, pour éviter une souillure et pouvoir manger l’agneau pascal. Pilate sortit donc à leur rencontre et demanda :
A. « Quelle accusation portez-vous contre Cet Homme ? »
L. Ils lui répondirent :
F. « S’IL n’était pas un malfaiteur, nous ne t’aurions pas livré Cet Homme. »
L. Pilate leur dit :
A. « Prenez-LE vous-mêmes et jugez-LE suivant votre Loi. »
L. Les Juifs lui dirent :
F. « Nous n’avons pas le droit de mettre quelqu’un à mort. »
L. Ainsi s’accomplissait la PAROLE que JÉSUS avait dite pour signifier de quel genre de mort IL allait mourir. Alors Pilate rentra dans le Prétoire ; il appela JÉSUS et LUI dit :
A. « Es-TU le Roi des Juifs ? »
L. JÉSUS lui demanda :
X « Dis-tu cela de toi-même, Ou bien d’autres te l’ont dit à Mon SUJET ? »
L. Pilate répondit :
A. « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres T’ont livré à moi : qu’as-TU donc fait ? »
L. JÉSUS déclara :
X « Ma ROYAUTÉ n’est pas de ce monde ; si Ma ROYAUTÉ était de ce monde, J’aurais des gardes qui se seraient battus pour que Je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, Ma ROYAUTÉ n’est pas d’ici. »
L. Pilate LUI dit :
A. « Alors, TU es Roi ? »
L. JÉSUS répondit :
X « C’est toi-même qui dis que Je suis Roi. Moi, Je suis NÉ, Je SUIS VENU dans le monde pour ceci : rendre TÉMOIGNAGE à la VÉRITÉ. Quiconque appartient à la VÉRITÉ écoute Ma voix. »
L. Pilate LUI dit :
A. « Qu’est-ce que la VÉRITÉ ? »
L. Ayant dit cela, il sortit de nouveau à la rencontre des Juifs, et il leur déclara :
A. « Moi, je ne trouve en LUI aucun motif de condamnation. Mais, chez vous, c’est la coutume que je vous relâche quelqu’un pour la Pâque : voulez-vous donc que je vous relâche le Roi des Juifs ? »
L. Alors ils répliquèrent en criant :
F. « Pas LUI ! Mais Barabbas ! »
L. Or ce Barabbas était un bandit.
Alors Pilate fit saisir JÉSUS pour qu’IL soit flagellé. Les soldats tressèrent avec des épines une Couronne qu’ils LUI posèrent sur la TÊTE ; puis ils LE revêtirent d’un Manteau Pourpre. Ils s’avançaient vers LUI et ils disaient :
F. « Salut à TOI, Roi des Juifs ! »
L. Et ils LE giflaient.
Pilate, de nouveau, sortit dehors et leur dit :
A. « Voyez, je vous L’amène dehors pour que vous sachiez que je ne trouve en LUI aucun motif de condamnation. »
L. JÉSUS donc sortit dehors, portant la Couronne d’Épines et le Manteau Pourpre. Et Pilate leur déclara :
A. « Voici l’Homme. »
L. Quand ils LE virent, les grands prêtres et les gardes se mirent à crier :
F. « Crucifie-LE! Crucifie-LE! »
L. Pilate leur dit :
A. « Prenez-LE vous-mêmes, et crucifiez-LE ; moi, je ne trouve en LUI aucun motif de condamnation. »
L. Ils lui répondirent :
F. « Nous avons une Loi, et suivant la Loi IL doit mourir, parce qu’IL s’est fait FILS de DIEU. »
L. Quand Pilate entendit ces paroles, il redoubla de crainte. Il rentra dans le Prétoire, et dit à JÉSUS :
A. « D’où es-TU ? »
L. JÉSUS ne lui fit aucune réponse. Pilate LUI dit alors :
A. « TU refuses de me parler, à moi ? Ne sais-TU pas que j’ai pouvoir de TE relâcher, et pouvoir de TE crucifier ? »
L. JÉSUS répondit :
X « Tu n’aurais aucun pouvoir sur Moi si tu ne l’avais reçu d’en HAUT ; c’est pourquoi celui qui M’a livré à toi porte un péché plus grand. »
L. Dès lors, Pilate cherchait à LE relâcher ; mais des Juifs se mirent à crier :
F. « Si tu LE relâches, tu n’es pas un ami de l’empereur. Quiconque se fait Roi s’oppose à l’empereur. »
L. En entendant ces paroles, Pilate amena JÉSUS au-dehors; il LE fit asseoir sur une estrade au lieu dit le Dallage – en hébreu : Gabbatha. C’était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure, environ midi. Pilate dit aux Juifs :
A. « Voici votre Roi. »
L. Alors ils crièrent :
F. « À mort ! À mort ! Crucifie-LE ! »
L. Pilate leur dit :
A. « Vais-je crucifier votre Roi ? »
L. Les grands prêtres répondirent :
F. « Nous n’avons pas d’autre roi que l’empereur. »
L. Alors, il leur livra JÉSUS pour qu’IL soit crucifié.
Le Chemin de la Croix
Ils se saisirent de JÉSUS. Et LUI-MÊME, portant Sa Croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha. C’est là qu’ils LE crucifièrent, et deux autres avec LUI, un de chaque côté, et JÉSUS au milieu. Pilate avait rédigé un écriteau qu’il fit placer sur la Croix ; il était écrit : « JÉSUS le Nazaréen, ROI des Juifs. » Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l’endroit où l’on avait crucifié JÉSUS était proche de la ville, et que c’était écrit en hébreu, en latin et en grec. Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate :
F. « N’écris pas : “ROI des Juifs” ; mais : “Cet Homme a dit : Je suis le Roi des Juifs.” »
L. Pilate répondit :
A. « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit. »
L. Quand les soldats eurent crucifié JÉSUS, ils prirent Ses HABITS ; ils en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi la Tunique ; c’était une Tunique sans couture, tissée tout d’une pièce de haut en bas. Alors ils se dirent entre eux :
A. « Ne La déchirons pas, désignons par le sort celui qui L’aura. »
L. Ainsi s’accomplissait la PAROLE de l’Écriture : Ils se sont partagé Mes HABITS ; ils ont tiré au sort Mon VÊTEMENT. C’est bien ce que firent les soldats.
Or, près de la Croix de JÉSUS se tenaient Sa MÈRE et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. JÉSUS, voyant Sa MÈRE, et près d’ELLE le Disciple qu’IL aimait, dit à Sa MÈRE :
X « Femme, voici ton fils. »
L. Puis IL dit au Disciple :
X « Voici ta mère. »
L. Et à partir de cette heure-là, le Disciple LA prit chez lui.
La mort et la sépulture
Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l’Écriture s’accomplisse jusqu’au bout, JÉSUS dit :
X « J’ai soif. »
L. Il y avait là un récipient plein d’une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d’hysope, et on l’approcha de Sa BOUCHE. Quand IL eut pris le vinaigre, JÉSUS dit :
X « TOUT EST ACCOMPLI. »
L. Puis, inclinant la TÊTE, IL remit l’ESPRIT.
(Ici, on fléchit les genoux et on s’arrête un instant.)
Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes. Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec JÉSUS. Quand ils arrivèrent à JÉSUS, voyant qu’IL était déjà mort, ils ne LUI brisèrent pas les JAMBES, mais un des soldats avec sa lance LUI perça le CÔTÉ ; et aussitôt, il en sortit du Sang et de l’Eau. Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique ; et celui-là sait qu’il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez. Cela, en effet, arriva pour que s’accomplisse l’Écriture : Aucun de Ses OS ne sera brisé. Un autre passage de l’Écriture dit encore : Ils lèveront les yeux vers CELUI qu’ils ont transpercé. Après cela, Joseph d’Arimathie, qui était Disciple de JÉSUS, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le CORPS de JÉSUS. Et Pilate le permit. Joseph vint donc enlever le CORPS de JÉSUS. Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver JÉSUS pendant la nuit – vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d’aloès pesant environ cent livres. Ils prirent donc le CORPS de JÉSUS, qu’ils lièrent de linges, en employant les aromates selon la coutume juive d’ensevelir les morts. À l’endroit où JÉSUS avait été crucifié, il y avait un jardin et, dans ce jardin, un tombeau neuf dans lequel on n’avait encore déposé personne. À cause de la Préparation de la Pâque juive, et comme ce tombeau était proche, c’est là qu’ils déposèrent JÉSUS.
(Première lecture) Livre des Actes des Apôtres 10 : 34a, 37 à 43
« Nous avons mangé et bu avec LUI après Sa RESURRECTION d’entre les morts »
En ces jours-là, quand Pierre arriva à Césarée chez un centurion de l’armée romaine, il prit la parole et dit : « Vous savez ce qui s’est passé à travers tout le pays des Juifs, depuis les commencements en Galilée, après le baptême proclamé par Jean : JÉSUS de Nazareth, DIEU LUI a donné l’Onction d’ESPRIT SAINT et de PUISSANCE. Là où IL passait, IL faisait LE BIEN et guérissait tous ceux qui étaient sous le pouvoir du diable, car DIEU était avec LUI. Et nous, nous sommes Témoins de tout ce qu’IL a fait dans le pays des Juifs et à Jérusalem. CELUI qu’ils ont supprimé en LE suspendant au bois du supplice, DIEU L’A RESSUSCITÉ le TROISIÈME JOUR. IL LUI a donné de se manifester, non pas à tout le peuple, mais à des témoins que DIEU avait choisis d’avance, à nous qui avons mangé et bu avec LUI après Sa RÉSURRECTION d’entre les morts. DIEU nous a chargés d’annoncer au peuple et de témoigner que LUI-MÊME L’a établi JUGE des vivants et des morts. C’est à JÉSUS que tous les Prophètes rendent ce TÉMOIGNAGE : Quiconque croit en LUI reçoit par SON NOM le PARDON de ses péchés. »
(Deuxième lecture) Lettre de Saint Paul Apôtre aux Colossiens 3 : 1 à 4
« Recherchez les RÉALITÉS d’en HAUT, LÀ OÙ EST LE CHRIST »
Frères, si vous êtes ressuscités avec le CHRIST, recherchez les RÉALITÉS d’en HAUT : C’EST LÀ QU’EST LE CHRIST, ASSIS À LA DROITE DE DIEU. Pensez aux Réalités d’en Haut, non à celles de la Terre.
En effet, vous êtes passés par la mort, et votre vie reste cachée avec le CHRIST en DIEU. Quand paraîtra le CHRIST, votre vie, alors vous aussi, vous paraîtrez avec LUI dans la GLOIRE.
On peut aussi choisir le texte suivant : Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens 5 : 6b à 8
Séquence
À la Victime Pascale, chrétiens, offrez le sacrifice de louange.
L’AGNEAU a racheté les brebis; le CHRIST innocent a réconcilié l’homme pécheur avec le PÈRE.
La mort et la vie s’affrontèrent en un duel prodigieux. Le MAÎTRE de la VIE mourut ; VIVANT, IL RÈGNE.
“Dis-nous, Marie Madeleine, qu’as-tu vu en chemin ?”
“J’ai vu le sépulcre du CHRIST VIVANT, j’ai vu la GLOIRE du RESSUSCITÉ.
J’ai vu les Anges Ses Témoins, le suaire et les vêtements.
Le CHRIST, mon Espérance, est RESSUSCITÉ ! IL vous précédera en Galilée.”
Nous le savons : le CHRIST est vraiment RESSUSCITÉ des morts.
ROI VICTORIEUX, prends-nous tous en pitié ! Amen.
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 20 : 1 à 9
Acclamation de l’Évangile : Alléluia. Alléluia.
Notre Pâque immolée, c’est le CHRIST ! Célébrons la Fête dans le SEIGNEUR !
Alléluia.
(cf. 1 Co 5, 7b-8a)
« Il fallait que JÉSUS ressuscite d’entre les morts »
Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était encore les ténèbres. Elle s’aperçoit que la pierre a été enlevée du tombeau. Elle court donc trouver Simon-Pierre et l’autre Disciple, celui que JÉSUS aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le SEIGNEUR de Son Tombeau, et nous ne savons pas où on L’a déposé. » Pierre partit donc avec l’autre Disciple pour se rendre au Tombeau. Ils couraient tous les deux ensemble, mais l’autre Disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au Tombeau. En se penchant, il s’aperçoit que les linges sont posés à plat ; cependant il n’entre pas. Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le Tombeau ; il aperçoit les linges, posés à plat, ainsi que le suaire qui avait entouré la TÊTE de JÉSUS, non pas posé avec les linges, mais roulé à part à sa place. C’est alors qu’entra l’autre Disciple, lui qui était arrivé le premier au Tombeau. Il vit, et il crut. Jusque-là, en effet, les Disciples n’avaient pas compris que, selon l’Écriture, il fallait que JÉSUS ressuscite d’entre les morts.
Au lieu de cet Évangile, on peut lire celui qui a été lu à la Veillée pascale. Pour la messe du soir de Pâques, on peut aussi lire l’Évangile de Luc 24,13-35
Textes du jour, lu sur : Les services de la liturgie Catholique http://www.aelf.org/office-messe?date_my=27/03/2016
Liens : http://www.aelf.org/office-messe http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement Nicolas
Nicolas Assidu
Nombre de messages : 6217 Age : 53 Localisation : Hérault (34)
Sujet: Re: Donne-nous notre Pain de ce jour (Vie) : Parole de DIEU** Dim 27 Mar 2016, 19:18
Bonsoir Lumen,
Bonsoir à toutes et à tous,
Lundi 28 Mars 2016
Lundi dans l’Octave de Pâques
Solennité du SEIGNEUR
(Couleur liturgique : Blanc ) Année C
(Première lecture) Livre des Actes des Apôtres 2 : 14, 22b à 33
« Ce JÉSUS, DIEU L’a ressuscité ; nous tous, nous en sommes témoins »
Le jour de la Pentecôte, Pierre, debout avec les onze autres Apôtres, éleva la voix et leur fit cette déclaration : « Vous, Juifs, et vous tous qui résidez à Jérusalem, sachez bien ceci, prêtez l’oreille à mes paroles. Il s’agit de JÉSUS le Nazaréen, Homme que DIEU a accrédité auprès de vous en accomplissant par LUI des MIRACLES, des PRODIGES et des SIGNES au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes. Cet Homme, livré selon le DESSEIN BIEN ARRÊTÉ et la PRESCIENCE DE DIEU, vous L’avez supprimé en LE clouant sur le bois par la main des impies. Mais DIEU L’a ressuscité en LE délivrant des douleurs de la mort, car il n’était pas possible qu’elle LE retienne en son pouvoir. En effet, c’est de LUI que parle David dans le Psaume : Je voyais le SEIGNEUR devant Moi sans relâche : IL est à Ma Droite, Je suis inébranlable. C’est pourquoi Mon COEUR est en Fête, et Ma LANGUE exulte de Joie ; Ma CHAIR elle-même reposera dans l’espérance : TU ne peux M’abandonner au séjour des morts ni laisser Ton FIDÈLE voir la corruption. TU M’as appris des CHEMINS DE VIE, TU Me rempliras d’ALLÉGRESSE par TA PRÉSENCE. Frères, il est permis de vous dire avec assurance, au sujet du patriarche David, qu’il est mort, qu’il a été enseveli, et que son tombeau est encore aujourd’hui chez nous. Comme il était Prophète, il savait que DIEU lui avait juré de faire asseoir sur son trône un Homme issu de lui. Il a vu d’avance la RÉSURRECTION du CHRIST, dont il a parlé ainsi : IL n’a pas été abandonné à la mort, et Sa CHAIR n’a pas vu la corruption. Ce JÉSUS, DIEU L’a ressuscité ; nous tous, nous en sommes Témoins. Élevé par la DROITE de DIEU, IL a reçu du PÈRE l’ESPRIT SAINT qui était promis, et IL L’a répandu sur nous, ainsi que vous LE voyez et L’entendez. »
Psaume 15 (16) : 1 et 2a et 5, 7 et 8, 9 et 10, 2ab et 11
R/ Garde- Moi, Mon DIEU : J’ai fait de TOI Mon REFUGE.
Garde-moi, mon DIEU : j'ai fait de TOI mon Refuge. J'ai dit au SEIGNEUR : « Tu es mon DIEU ! SEIGNEUR, mon Partage et ma Coupe : de TOI dépend mon Sort. » R/
Je bénis le SEIGNEUR qui me Conseille : même la nuit mon cœur m'avertit. Je garde le SEIGNEUR devant moi sans relâche ; IL est à ma Droite : je suis inébranlable. R/
Mon cœur exulte, mon âme est en fête, ma chair elle-même repose en confiance : TU ne peux m'abandonner à la mort ni laisser Ton Ami voir la corruption. R/
TU m'apprends le Chemin de la VIE : devant Ta FACE, débordement de Joie ! À Ta Droite, éternité de délices ! R/
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Matthieu 28 : 8 à 15
Acclamation de l’Évangile : Alléluia. Alléluia. Voici le jour que fit le SEIGNEUR, qu’IL soit pour nous jour de FÊTE et de JOIE ! Alléluia.
(Ps 117, 24)
« Allez annoncer à Mes Frères qu’ils doivent se rendre en Galilée : c’est là qu’ils Me verront »
En ce temps-là, quand les femmes eurent entendu les Paroles de l’Ange, vite, elles quittèrent le Tombeau, remplies à la fois de crainte et d’une grande joie, et elles coururent porter la nouvelle à Ses Disciples. Et voici que JÉSUS vint à leur rencontre et leur dit : « Je vous salue. » Elles s’approchèrent, LUI saisirent les PIEDS et se prosternèrent devant LUI. Alors JÉSUS leur dit : « Soyez sans crainte, allez annoncer à Mes Frères qu’ils doivent se rendre en Galilée : c’est là qu’ils Me verront. » Tandis qu’elles étaient en chemin, quelques-uns des gardes allèrent en ville annoncer aux grands prêtres tout ce qui s’était passé. Ceux-ci, après s’être réunis avec les anciens et avoir tenu conseil, donnèrent aux soldats une forte somme en disant : « Voici ce que vous direz : “Ses Disciples sont venus voler le CORPS, la nuit pendant que nous dormions.” Et si tout cela vient aux oreilles du gouverneur, nous lui expliquerons la chose, et nous vous éviterons tout ennui. » Les soldats prirent l’argent et suivirent les instructions. Et cette explication s’est propagée chez les Juifs jusqu’à aujourd’hui.