Hymne
(XVI° siècle et attribué à saint Robert Bellarmin)
Custódes hóminum psállimus Angelos,
natúræ frágili quos Pater áddidit
cæléstis cómites, insidiántibus
ne succúmberet hóstibus.
Nous chantons les anges, gardiens des hommes ;
le Père céleste les a donnés pour compagnons
à notre nature fragile, pour qu’elle
ne succombe pas aux embûches de l’ennemi.
Nam, quod corrúerit próditor ángelus,
concéssis mérito pulsus honóribus,
ardens invídia péllere nítitur
quos cælo Deus ádvocat.
Car à la suite de sa chute, l’ange apostat,
justement dépouillé des honneurs qui lui avaient été accordés,
brûlant de jalousie, s’efforce de repousser
ceux que Dieu appelle au ciel.
Huc, custos, ígitur pérvigil ádvola,
avértens pátria de tibi crédita
tam morbos ánimi quam requiéscere
quidquid non sinit íncolas.
Vole donc jusqu’à nous, gardien vigilant,
détourne de la patrie qui t’est confiée
les maladies de l’âme comme tout
ce qui s’oppose au repos de ses habitants.
Sanctæ sit Tríadi laus pia iúgiter,
cuius perpétuo númine máchina
triplex hæc régitur, cuius in ómnia
regnat glória sǽcula. Amen.
Louange éternelle à la Sainte Trinité,
dont la puissance ne cesse de gouverner
la triple machine du monde, et dans la gloire
règne pour les siècles des siècles. Amen.
Source : leforumcatholique.org
Union de prière
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde