Les mensonges des voyants de Medjugorje

On juge l'abre a ses fruits comme nous le répete si souvent les pro Medjugorje.Voici quelques fruits qu'ils refusent de mentionner mais qui sont reconnus:http://forumarchedemarie.forumperso.com/discernement-f29/les-mensonges-des-dits-voyants-de-medjugorje-t2450.htm

Francesco a écrit:

On juge l'abre a ses fruits comme nous le répete si souvent les pro Medjugorje.Voici quelques fruits qu'ils refusent de mentionner mais qui sont reconnus:http://forumarchedemarie.forumperso.com/discernement-f29/les-mensonges-des-dits-voyants-de-medjugorje-t2450.htm

S'ils sont reconnus par le menteur et manipulateur Joachim Boufflet, il n'y a aucune inquiétude à avoir ...

Les mensonges et calomnies n'empêcheront pas l'examen de la Commission d'enquête souveraine, que cela enrage ou pas les détracteurs.
Comme vous semblez n'avoir pas lu ce que j'ai posté sur l'autre sujet et pour que vous ne risquiez pas de tomber dans le vide de l'erreur, ainsi que d'autres, je vous remets la réponse que je vous ai faite:

Francesco a écrit:

Nous savons ... que la conférence des éveques de Yougoslavie (s'est) prononcé(e) contre les dites apparitions.Ca c'est un fait....

1) Non c'est un mensonge et vous le savez : non constat de supernaturalitate ne signifie pas : constat de non supernaturalitate.

Citation:

L’homélie de l’évêque de Mostar est la position officielle de l’Église.

2) Non, et vous le savez aussi ou ne voulez pas savoir le contraire, car c'est bien la Congrégation pour la Doctrine de la foi qui par son secrétaire général Mgr Bertone l'a rappelé sans ambiguité possible : l'opinion de l'évêque du lieu lui est personnelle à ce sujet

( [url=http://3blancheurs.com/html/medjugorje_et_l_eglise.html]http://3blancheurs.com/html/medjugorje_et_l_eglise.html[/url] )

Citation:

CONGREGATIO PRO DOCTRINA FIDEI Cité du Vatican, Palais du St Office (Retranscription de l'original) Le 26 Mai 1998 Pr. N° 154/81-06419 A Son Excellence Mgr Gilbert Aubry, Evêque de Saint-Denis de la Réunion Excellence, Par lettre du 1er Janvier 1998, vous soumettiez à ce Dicastère diverses questions concernant la position du Saint-Siêge et de l'Evêque de Mostar à propos des dites "apparitions" de Medjugorje, des pèlerinages privés et du soin pastoral des fidèles qui se rendent en ce lieu. A cet égard - tandis que je considère impossible de répondre à chacune des demandes faites par votre Excellence - je tiens avant tout à préciser que ce n'est pas l'usage du Saint-Siège d'assumer, en première instance, une position propre vis-à-vis de supposés phénomènes surnaturels. Ce Dicastère, pour cela, en ce qui concerne la crédibilité des "apparitions" en question, s'en tient simplement à ce qui a été établi par les Evêques de l'ex-Yougoslavie dans la déclaration de Zadar du 10 Avril 1991: "...Sur la base des investigations jusqu'ici conduites il n'est pas possible d'affirmer qu'il s'agisse d'apparitions ou de révélations surnaturelles." Après la division de la Yougoslavie en diverses nations indépendantes, il appartiendrait maintenant aux membres de la Conférence Episcopale de la Bosnie-Herzégovine de reprendre, éventuellement, en examen le cas, et d'émettre, le cas échéant, de nouvelles déclarations. Ce que S.E. Mgr Peric a affirmé dans une lettre au Secrétaire Général de "Famille Chrétienne", dans laquelle il a déclaré: "ma conviction et position n'est pas seulement "Non constat de supernaturalitate" mais également celle de "constat de non supernaturalitate" des apparitions ou révélations de Medjugorje", doit être considéré expression d'une conviction personnelle de l'Evêque de Mostar, lequel, en tant qu'Ordinaire du lieu, a toujours le droit d'exprimer ce qui est, et demeure, un avis qui lui est personnel.En ce qui concerne enfin les pèlerinages à Medjugorje que se déroulent de manière privée, cette Congrégation retient qu'ils sont permis à condition qu'ils ne soient pas considérés comme une authentification d'évènements en cours et qui demandent encore à être examinés par l'Eglise. Espérant avoir donné une réponse satisfaisante au moins aux principales questions posées par vous-même à ce Dicastère, je vous prie, Excellence, d'agréer l'expression de mes sentiments les plus dévoués. Mgr Tarcisio Bertone (Secrétaire de la "Congrégatio" présidée par le Cardinal Ratzinger

3) D'autre part il y a eu décision, récemment en mars, de constituer une Commission internationale d'enquête, souveraine pour étudier les phénomènes des apparitions mariales présumées de Medjugorje


( [url=http://3blancheurs.com/html/nouvelles_medjugorje.html]http://3blancheurs.com/html/nouvelles_medjugorje.html[/url] )

Citation:

Déclaration du nonce apostolique en BIH au sujet de la commission internationale pour Medjugorje Date: 20.03.2010. Le 18 mars, à la fin de la 48 ème assemblée de la conférence épiscopale de BIH, l’archevêque Alessandro D’Errico, nonce apostolique en Bosnie et Herzégovine s’est exprimé sur l’établissement de la commission internationale pour Medjugorje. Dans sa déclaration, rediffusée par la radio MIR Medjugorje, le nonce déclare : « Lors de chaque rencontre avec le Saint-Père, il a montré beaucoup d’intérêt pour Medjugorje. Il s’intéresse à Medjugorje depuis le début alors qu’il était préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi. En tant qu’autorité suprême de l’Eglise, c’est un sujet pour lequel il se sent responsable de faire des déclarations claires. Le Saint-Père connait bien le phénomène de Medjugorje et il me l’a répété maintes fois. Il est conscient du grand bien réalisé ici par les prêtres, religieuses, franciscains, laïques et il se demande pourquoi il y a beaucoup d’informations opposées à ce phénomène. C’est pourquoi il a souhaité former cette commission de niveau élevé. Il a désiré former cette commission afin d’avoir une image entière de ce phénomène donnée par des personnes hautement qualifiées. Il a invité des cardinaux, évêques et experts du monde entier à faire partie de cette commission. Le 17 mars, il a été annoncé que le cardinal Ruini serait le président de cette commission, c’est un cardinal prestigieux, qui a des qualités considérables et que l’on connait comme une personne proche du Saint-Père, bien avant qu’il ne devienne Pape. Le cardinal Ruini connait bien la Bosnie et Herzégovine, particulièrement depuis le temps de la guerre, lorsqu’il était président de la conférence épiscopale d’Italie. Il a décidé que l’Eglise Italienne et la conférence épiscopale d’Italie aide solidairement tous les peuples de BIH. Le Saint-Père a souhaité que la commission soit annoncée en même temps aux fidèles, au Vatican et à Mostar, une particularité intéressante qui montre la grande solidarité du Saint-Père pour ce pays. A Mostar, car Medjugorje se trouve dans l’évêché de Mostar. Je sais que les médias parlent depuis longtemps de cette commission, que l’attente est grande. Aujourd’hui nous pouvons dire que nous sommes satisfaits et reconnaissants au Saint-Père quand à l’attention qu’il a montré pour Mostar et nos communautés catholiques. Ainsi, le 17 mars, au nom du Saint-Père, j’ai annoncé aux évêques cette décision importante en même temps qu’elle fut annoncée à Rome. Il est clair que la tâche de cette commission sera très exigeante et je désire inviter toutes nos communautés à mettre le travail de cette commission sous la protection de Saint Joseph et de Marie Mère de l’Eglise, les saints patrons de Mostar ». (source : [url=http://www.medjugorje.hr]www.medjugorje.hr[/url]) Agrandir cette imageRéduire cette image Cliquez ici pour la voir à sa taille originale.

4) D'après ce document, il n'est question nulle part de l'affirmation que vous avez lancée concernant le fait que ce serait l'évêque du lieu qui aurait demandé cette Commission (et vous n'avez toujours pas donné une indication de lien à ce sujet)

5) Le fait même de récuser directement indirectement l'autorité de la Commission est attentatoire, comme je l'ai déjà dit, à l'autorité souveraine de l'Eglise - qui n'a en plus pas besoin de cela en ce moment car elle est sournoisement attaquée par ailleurs dans d'autres domaines, comme chacun sait, et pour attenter d'ailleurs à l'obéissance aussi !! ...

Citation:

... la vérité.....elle vous rendra libre ...

6) Oui, elle vous rendra libre, et je vous rappelle encore qu'il n'y a aucune obligation de persévérer dans l'erreur. Par pitié pour vous-même ! ...

Je vous en prie, revenez bien vite vers Jésus ...

Il vous attend et vous aime !! ...

Je ne comprends pas tellement... Certaines personnes disent qu'elles ont été converties en allant là-bas. Alors, où est la vérité?

Merci Francesco pour votre lucidité.

Je confie sincèrement à notre maman du ciel et à notre Seigneur Jésus-Christ toute cette confusion.

Je m'étonne, par ailleurs, que les partisans de ces évènements considèrent comme éloignés de Dieu ceux qui souhaitent exercer un peu de discernement, et faire croitre la vertu cardinale de prudence.

Je comprends, bien sûr, que l'on souhaite accorder un certain crédit aux révélations privées. Mais tout est question de mesure, surtout face à l'évidence.

Quant aux conversions, elles sont le fruit de la prière et des sacrements reçus.

Comme disait le Curé d'Ars à ceux qui l'interrogeaient sur les appartions de la Salette (il fut d'abord contre à cause d'une conversation avec un des voyants, puis pour) :

- Si le Pape dit que les apparitions sont fausses, que direz vous ?
- qu'elles sont fausses.
- Et s'il dit qu'elles sont vraies ?
- qu'elles sont vraies.

Stefanos a écrit:

Merci Francesco pour votre lucidité.

Je confie sincèrement à notre maman du ciel et à notre Seigneur Jésus-Christ toute cette confusion.
Je m'étonne, par ailleurs, que les partisans de ces évènements considèrent comme éloignés de Dieu ceux qui souhaitent exercer un peu de discernement, et faire croitre la vertu cardinale de prudence.

Vous avez raison de confier cette confusion à la Sainte Vierge et au Seigneur. Cependant pour être chrétiennement cohérent, il faut soi-même se rendre compte que le mensonge et ses variantes (calomnies, manipulations des mots, des infos etc ...) ne sont jamais une "lucidité" ou alors une fausse ...

Soyez plus net : je suppose que vous me classez parmi les "partisans" puisque sur ce fil pour l'instant il n'y a, à part vous, que Francesco et Philothée et Territoire, et que vous classez Francesco parmi ceux qui "souhaitent exercer un peu - les maltraités pour qui ne semble subsister que ce "peu" de possibilités ... - de discernement" et qui souhaitent "faire croître la vertu cardinale de prudence"...

Bien. Je rappelle que le mensonge, la calomnie, les manip à l'emporte-pièce ne sont en rien du vrai discernement ou de la prudence ...

Citation :

Je comprends, bien sûr, que l'on souhaite accorder un certain crédit aux révélations privées. Mais tout est question de mesure, surtout face à l'évidence.
Quant aux conversions, elles sont le fruit de la prière et des sacrements reçus.

En aucun cas les vraies prophéties données à des catholiques n'ont d'autres but final, en plus, bien évidemment, de l'authentique charité ...
Que voulez-vous suggérer par "l'évidence" ? ... Et cette "mesure" ? ...

Je suis sincère en disant que la chose est grave pour ceux qui veulent se maintenir dans le partisanisme et en souhaitant que Francesco n'y reste pas, spécialement alors qu'il y a une Commission d'enquête aussi officielle et légitime et souveraine que peuvent le souhaiter les plus pointilleux ou formalistes !

Et puis l'exemple que vous citez :

Citation :

Comme disait le Curé d'Ars à ceux qui l'interrogeaient sur les appartions de la Salette (il fut d'abord contre à cause d'une conversation avec un des voyants, puis pour) :

est justement bien démonstratif qu'on peut changer d'avis, n'est-ce pas ? ...

Stefanos a écrit:

Merci Francesco pour votre lucidité...

Là vous nous jouez le pas de deux avec votre compère Francesco !
Comme si le forum de l'arche de Marie était une référence !!!

Plus sérieusement : les détracteurs de Medjugorje ont pris une déculottée publique avec la nomination d'une commission pontificale : la constitution de cette commission dément par elle-même la prétendue condamnation de l'Eglise qui n'a jamais existé que dans la tête de quelques uns.

Le primat de l'Église d'Autriche, comme le primat de l'Église de Belgique se sont élevé contre de telles pratiques qui discrédite l'Église. Ils ont bien fait.

Cher Stafanos, puisque vous aimez les références, vous apprécierez celle-ci. Elle vient de Mgr Leonard, Primat de Belgique :

Citation :

"Je connais beaucoup de gens qui sont sortis grandis de leur
contact avec Medjugorje. Je doute fort que la lecture du livre de
Joachim Boufflet leur apporte le même supplément d'âme. Ici aussi
on reconnaît l'arbre à ses fruits."
"Beaucoup de lecteurs de Dimanche ont été troublés par la
publicité faite au livre polémique de Joachim Boufflet : "Medjugorje ou
la fabrication du surnaturel". Ce livre contient, certes, des
interrogations fondées et des objections sérieuses, mais auxquelles,
pour la plupart, il a déjà été répondu avec précision, notamment dans
le dernier volume, très documenté, que l'Abbé Laurentin a consacré au
sujet :
Medjugorje. l'hostilité abonde, la grâce surabonde. Paris,
F-.X. de Guibert, 1998. On est frappé par la différence de ton. Joachim
Boufflet attaque, démolit, insinue, d'une manière qui pourrait appeler
un procès en diffamation : un véritable pamphlet. Plusieurs spécialistes
ont d'ailleurs déjà dénoncé les erreurs contenues dans cet écrit.
En revanche, René Laurentin s'exprime posément, avec respect et souci de la paix.
Personne n'est obligé de croire aux apparitions de Medjugorje et, de toute manière, nous nous soumettrons au jugement de l'Eglise quand il sera prononcé.
Actuellement, la position négative des deux évêques successifs de
Mostar n'a encore rien d'officiel. Et les pèlerinages demeurent
permis, pourvu qu'ils n'aient pas un caractère officiel. Mais les
fruits portés dans le monde entier par Medjugorje sont tels qu'il
est malaisé d'y voir une simple supercherie des hommes ou de Satan.
Quelque chose d'authentique se passe là, même si les parasites
humains provoquent de regrettables interférences. En tout cas, ce
haut lieu spirituel, auquel tant d'adultes et de jeunes doivent leur conversion ou leur vocation, mérite un autre traitement que ce
réquisitoire unilatéral.
Je connais beaucoup de gens qui sont sortis grandis de leur
contact avec Medjugorje. Je doute fort que la lecture du livre de
Joachim Boufflet leur apporte le même supplément d'âme.
Ici aussi on reconnaît l'arbre à ses fruits."
Publié
dans Dimanche (Belgique)
Repris par Chrétien Magazine n° 123
du 15 décembre 1999

Vous apprécierez aussi celle-là venant de SS. Urbain VIII :

Citation :

« En ce qui concerne les révélations privées, il
vaut mieux y avoir foi que de ne pas y croire; car si vous y croyez et
qu’elles sont, par la suite, prouvées authentiques, vous serez heureux
d’y avoir cru. Si, par ailleurs, vous croyez à certaines révélations qui
seraient prouvées fausses par la suite, vous recevrez les mêmes
bénédictions que si elles étaient vraies, parce que vous les aurez crues
vraies. »

C'est cette même réflexion qui est repris par SS. Pie X qui déclare que l'Église ne se porte pas garante des apparitions ou révélations, même reconnues, "simplement elle n'empêche pas de croire
des choses auxquelles les motifs de foi humaine ne font pas défaut. ". Vous auriez du vous en souvenir en examinant Medjugorje, le plus haut lieux de grâces contemporain comme le reconnaissait Mgr Schonborn.

c'est vrai qu'il avoue que la majorité des vocations de prêtres, en Autriche, sont dues à Medjugorje.

Comment peut-on haïr les œuvres de Dieu à ce point, en haïssant Medjugorje ?

Valtortiste91 a écrit:

Stefanos a écrit:

Merci Francesco pour votre lucidité...

Là vous nous jouez le pas de deux avec votre compère Francesco !
Comme si le forum de l'arche de Marie était une référence !!!

Plus sérieusement : les détracteurs de Medjugorje ont pris une déculottée publique avec la nomination d'une commission pontificale : la constitution de cette commission dément par elle-même la prétendue condamnation de l'Eglise qui n'a jamais existé que dans la tête de quelques uns.

Le primat de l'Église d'Autriche, comme le primat de l'Église de Belgique se sont élevé contre de telles pratiques qui discrédite l'Église. Ils ont bien fait.

Cher Stafanos, puisque vous aimez les références, vous apprécierez celle-ci. Elle vient de Mgr Leonard, Primat de Belgique :

Citation :

"Je connais beaucoup de gens qui sont sortis grandis de leur
contact avec Medjugorje. Je doute fort que la lecture du livre de
Joachim Boufflet leur apporte le même supplément d'âme. Ici aussi
on reconnaît l'arbre à ses fruits."
"Beaucoup de lecteurs de Dimanche ont été troublés par la
publicité faite au livre polémique de Joachim Boufflet : "Medjugorje ou
la fabrication du surnaturel". Ce livre contient, certes, des
interrogations fondées et des objections sérieuses, mais auxquelles,
pour la plupart, il a déjà été répondu avec précision, notamment dans
le dernier volume, très documenté, que l'Abbé Laurentin a consacré au
sujet :
Medjugorje. l'hostilité abonde, la grâce surabonde. Paris,
F-.X. de Guibert, 1998. On est frappé par la différence de ton. Joachim
Boufflet attaque, démolit, insinue, d'une manière qui pourrait appeler
un procès en diffamation : un véritable pamphlet. Plusieurs spécialistes
ont d'ailleurs déjà dénoncé les erreurs contenues dans cet écrit.
En revanche, René Laurentin s'exprime posément, avec respect et souci de la paix.
Personne n'est obligé de croire aux apparitions de Medjugorje et, de toute manière, nous nous soumettrons au jugement de l'Eglise quand il sera prononcé.
Actuellement, la position négative des deux évêques successifs de
Mostar n'a encore rien d'officiel. Et les pèlerinages demeurent
permis, pourvu qu'ils n'aient pas un caractère officiel. Mais les
fruits portés dans le monde entier par Medjugorje sont tels qu'il
est malaisé d'y voir une simple supercherie des hommes ou de Satan.
Quelque chose d'authentique se passe là, même si les parasites
humains provoquent de regrettables interférences. En tout cas, ce
haut lieu spirituel, auquel tant d'adultes et de jeunes doivent leur conversion ou leur vocation, mérite un autre traitement que ce
réquisitoire unilatéral.
Je connais beaucoup de gens qui sont sortis grandis de leur
contact avec Medjugorje. Je doute fort que la lecture du livre de
Joachim Boufflet leur apporte le même supplément d'âme.
Ici aussi on reconnaît l'arbre à ses fruits."
Publié
dans Dimanche (Belgique)
Repris par Chrétien Magazine n° 123
du 15 décembre 1999

Vous apprécierez aussi celle-là venant de SS. Urbain VIII :

Citation :

« En ce qui concerne les révélations privées, il
vaut mieux y avoir foi que de ne pas y croire; car si vous y croyez et
qu’elles sont, par la suite, prouvées authentiques, vous serez heureux
d’y avoir cru. Si, par ailleurs, vous croyez à certaines révélations qui
seraient prouvées fausses par la suite, vous recevrez les mêmes
bénédictions que si elles étaient vraies, parce que vous les aurez crues
vraies. »

C'est cette même réflexion qui est repris par SS. Pie X qui déclare que l'Église ne se porte pas garante des apparitions ou révélations, même reconnues, "simplement elle n'empêche pas de croire
des choses auxquelles les motifs de foi humaine ne font pas défaut. ". Vous auriez du vous en souvenir en examinant Medjugorje, le plus haut lieux de grâces contemporain comme le reconnaissait Mgr Schonborn.

c'est vrai qu'il avoue que la majorité des vocations de prêtres, en Autriche, sont dues à Medjugorje.

Comment peut-on haïr les œuvres de Dieu à ce point, en haïssant Medjugorje ?

La vous recommensez a etre méchant.Comme si nous n'avions pas le droit de nous exprimer.....Votre message et vos insultes laissent clairement entendre cela....Insultez mon forum est mescain.Je ne me base que sur les criteres de l'église.....et sur les décisions des éveques des lieux a qui revient de discerner en pareille matiere...

C'est tjs étonnant de voir a quel point certains croyants ont en horreur les éveques....et les criteres de discernement de l'église.


J'invite quiconque le veut a venir sur mon foum pour voir qui dit vrai.....Est ce que je me base sur ma pensée personelle ou sur les criteres de discernement de l'église et sur les décisions des éveques....

Ceux et celles qui veulent connaitre la vérité non qu'a venir visiter l'Arche de Marie.....

Et,en passant,je me demande qui a pri une déculotté publique.....

Les 2 éveques de Mostar(de qui releve les dites apparitions de Med) ,apres évaluation par une équipe d'expert,non pas reconnus les dites apparitions.

La conférence des éveques de Yougoslavie ,apres évaluation en prondondeur,n'a pas reconnue les dites apparitions.

Mgr Gemma(ami de Benoit XVI et JPII) a clairement précisé que les 2 papes n'ont jamais cru en Medjugorje et s'étonnaient de la naiveté des pro Med.

Le pere Valssic,1er conseiller spirituel des dits voyants a mi enceinte une religieuse avant les apparitions.....Il ne s'est jamais occuper ni de l'ex religieuse ni de son enfant...il a finalement été suspense a divinis et banni de la pretrise et de l'ordre franciscain...Noter que la Gospa n'a jamais informer les voyants du comportement de leur pere spirituel alors qu'elle s'attarde a parler de tout sur la vie personnelle des voyants..Comme si la direction spirituelle n'était pas importante...

L'abbé Laurentin,le propagandiste des fausses apparitions a suporté 8 fausses apparitions selon un petit exercice que j'ai fait a partir de ses écrits...vous pouvez vérifier sur l'Arche de Marie,un forum fidele a l'église ...

Et ,je pourrais continuer durant des heures...et ,avec orgueil,une certaine personne ose annoncer que les gens avec du discernement en ont pris plein la gueulle...

Non mais elle est bien bonne...la blague du jour..merci pour ce moment de détente..

Citation :

Plus sérieusement : les détracteurs de Medjugorje ont pris une déculottée publique avec la nomination d'une commission pontificale : la constitution de cette commission dément par elle-même la prétendue condamnation de l'Eglise qui n'a jamais existé que dans la tête de quelques uns.

Comme c'est triste...ca refuse de reconnaitre les 3 évaluations de l'église sur ces dites apparitions et ca se gonfle le torse alors que l'éveque du lieu demande l'aide du Vatican...et ca apelle ca une déculotté.....enfin....tout le monde a le droit de denier la vérité...


N'oublions pas que c'est 3 a zéro comme on dit chez nous........

Francesco a écrit:

... La vous recommensez a etre méchant.Comme si nous n'avions pas le droit de nous exprimer.....Votre message et vos insultes laissent clairement entendre cela....Insultez mon forum est mescain.Je ne me base que sur les criteres de l'église.....et sur les décisions des éveques des lieux a qui revient de discerner en pareille matiere...

C'est tjs étonnant de voir a quel point certains croyants ont en horreur les éveques....et les criteres de discernement de l'église.
....

Il n'y a aucune insulte et votre forum n'est en rien insulté.

Par contre c'est une manoeuvre mensongère et inouïe que vous contestiez la Commission nommée pour enquêter, tout ce qu'il y a de plus officiellement, pour discerner en la matière au-dessus des opinions des évêques du lieu. Il s'agit là d'un acte indirect de rebellion au Magistère sur cette question.

Citation :

C'est tjs étonnant de voir a quel point certains croyants ont en
horreur (...) les criteres de discernement de l'église ...

Cela s'applique exactement à vous ici ...
Et toujours pas de lien pour étayer votre affirmation de la demande de l'évêque à former la Commission d'enquête sur les apparitions présumées de Medjugorje ...

Citation :

Et,en passant,je me demande qui a pri une déculotté publique.....
Les 2 éveques de Mostar(de qui releve les dites apparitions de Med) ,apres
évaluation par une équipe d'expert,non pas reconnus les dites
apparitions.

La conférence des éveques de Yougoslavie ,apres évaluation en prondondeur,n'a pas reconnue les dites apparitions.

Et elle n'a absolument pas affirmé qu'elles soient fausses : non constat de supernaturalitatae et pas : constat de non supernaturalitatae ; mais cela aussi vous voulez l'ignorer et surtout ignorer que maintenant c'est à la Commission d'enquête de se prononcer ... et cela aussi a déjà été dit et redit, mais vous n'en voulez pas ... Reprenez vous, car vous êtes dans l'erreur à ce sujet. Il n'est pas obligatoire de rester dans l'erreur ...

Citation :

L'abbé Laurentin,le propagandiste des fausses apparitions a suporté 8
fausses apparitions selon un petit exercice que j'ai fait a partir de
ses écrits...

Un exercice que vous avez fait ..........

Citation :

Et ,je pourrais continuer durant des heures...et ,avec orgueil,...

Eh oui, cela est bien vrai ...

Citation :

... enfin....tout le monde a le droit de denier la vérité...

Non, justement, pas un vrai chrétien ...

Philothée, pour répondre à votre question :

Citation :

Je ne comprends pas tellement... Certaines personnes disent qu'elles ont été converties en allant là-bas. Alors, où est la vérité?

C'est Jésus qui est la Vérité absolue : la Voie, la Vérité et la Vie. Quant à la vérité sur Medjugorje, elle est examinée par la Commission spécialement et souverainement nommée pour cela; nous devrons donc attendre ses conclusions. Quant au fait qu'il y ait eu des conversions des changements de vie chrétienne, cela ne concerne pas que quelques uns mais des millions ...

Citation :

... N'oublions pas que c'est 3 a zéro comme on dit chez nous........

Puéril et révélateur ...

Grand merci ! à Valtortiste91 pour ses excellentes références et merci pour votre argumentation, que je partage tout à fait !

Francesco a écrit:

...Comme c'est triste...ca refuse de reconnaitre les 3 évaluations de l'église sur ces dites apparitions et ca se gonfle le torse alors que l'éveque du lieu demande l'aide du Vatican...et ca apelle ca une déculotté.....enfin....tout le monde a le droit de denier la vérité...

Erreur, là aussi : ce n'est pas le triste évêque de Mostar qui a demandé l'aide du Vatican, mais la conférence épiscopale de Bosnie et plus particulièrement son Président, soutenu par le cardinal Schonborn, Primat d'Autriche par ailleurs membre de la Congrégation de la foi.

L'évêque de Mostar, pour sa part, n'a eu de cesse de vitupérer contre Medjugorje et de persécuter ses franciscains.

Pour le premier point, il suffit de se référer aux textes officiels pour savoir si je me trompes, pour le second, il suffit de se rappeler les évènements qui m'ont personnellement écœurés. Mais cela, c'est une question de sensibilité personnelle.

Citation :

Instruction sur certains aspects de l’utilisation des moyens de communication sociale dans la promotion de la doctrine de la foi. 6 juin 2005 - par Joseph Ratzinger


INTRODUCTION

Le Concile Vatican II rappelle que, parmi les charges principales des Évêques, « la prédication de l’Évangile est la première » (LG, n. 25), conformément au commandement du Seigneur d’enseigner toutes les nations et de prêcher l’Évangile à toute créature (cf. Mt 28,19).

Parmi les instruments les plus efficaces dont on dispose aujourd’hui pour la diffusion du message évangélique, on doit certainement compter les moyens de communication sociale. L’Église non seulement revendique le droit de les utiliser (cf. can. 747), mais elle exhorte les Pasteurs à en tirer profit dans l’accomplissement de leur mission (cf. can. 822 § 1).

Le Décret du Concile Vatican II Inter mirifica et les Instructions pastorales du Conseil Pontifical pour les Communications Sociales Communio et Progressio et Aetatis novae ont déjà largement traité de l’importance des moyens de communication sociale et de leur signification par rapport à la mission évangélisatrice de l’Église. Il faut en outre mentionner les Orientations pour la formation des futurs prêtres au sujet des instruments de communication sociale, publiées par la Congrégation pour l’Éducation Catholique.

Le nouveau Code de Droit Canonique traite aussi des instruments de communication sociale (can. 822-832), et en confie aux Pasteurs le soin et la vigilance. Les Supérieurs religieux, spécialement les Supérieurs majeurs, ont également à cet égard des responsabilités déterminées, en vertu de leur compétence en matière disciplinaire.

On connaît les difficultés que rencontrent, pour diverses raisons, ceux qui sont appelés à remplir une telle tâche de vigilance. D’autre part, à travers les moyens de communication sociale en général et plus particulièrement les livres, des idées erronées se répandent toujours davantage. Après avoir, par la publication de l’Instruction sur la vocation ecclésiale du théologien du 24 mai 1990, présenté sous l’aspect doctrinal la responsabilité des Pasteurs en matière de magistère authentique, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, dans sa mission de promouvoir et de protéger l’enseignement sur la foi et les mœurs, a donc estimé opportun de publier la présente Instruction, en accord avec la Congrégation pour les Instituts de Vie Consacrée et les Sociétés de Vie Apostolique, et après avoir consulté aussi le Conseil Pontifical pour les Communications Sociales.

Ce document reprend de manière systématique la législation de l’Église en la matière. Rappelant les normes canoniques, clarifiant leurs dispositions, développant et déterminant les procédures à travers lesquelles on doit les mettre en oeuvre, l’Instruction se propose donc d’encourager et d’aider les Pasteurs dans l’accomplissement de leur devoir (cf. can. 34).

Les normes canoniques constituent une garantie pour la liberté de tous : celle des fidèles, qui ont le droit de recevoir le message de l’Évangile dans sa pureté et son intégralité aussi bien que celle des responsables pastoraux, des théologiens et de tous les publicistes catholiques, qui ont le droit de communiquer leur pensée, restant sauve l’intégrité de la foi et des mœurs et le respect envers les Pasteurs. De même, d’autre part, les lois qui règlent l’information garantissent et promeuvent le droit de tous les utilisateurs des moyens de communication sociale à une information authentique, et ceux des publicistes en général à la communication de leur pensée, dans les limites de la déontologie professionnelle qui concerne aussi la manière de traiter les thèmes religieux.

A cet égard, et considérant les conditions difficiles dans lesquelles ils doivent remplir leurs fonctions, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a le devoir de dire en particulier aux théologiens, aux responsables pastoraux et aux publicistes catholiques, tout comme aux publicistes en général, qu’elle estime et qu’elle apprécie leur apport concret en ce domaine.
I LA RESPONSABILITÉ DES PASTEURS EN GÉNÉRAL



1. La responsabilitéd’instruireles fidèles

§ 1. Les Évêques, en tant que Docteurs authentiques de la foi (cf. can. 375 et 753) doivent avoir soin d’instruire les fidèles sur le droit et le devoir qu’ils ont :

a)« de travailler à ce que le message divin du salut atteigne sans cesse davantage tous les hommes de tous les temps et de tout l’univers » (can. 211) ;

b)de faire connaître aux Pasteurs de l’Église leurs besoins, surtout spirituels, ainsi que leurs souhaits (cf. can. 212 § 2) ;

c)de donner aux Pasteurs leur opinion sur ce qui touche le bien de l’Église (cf. can. 212 § 3) ;

d)de faire connaître leur pensée aux autres fidèles aussi, « restant sauves l’intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux Pasteurs, et en tenant compte de l’utilité commune et de la dignité des personnes » (can. 212 § 3).

§ 2. Les fidèles doivent en outre être instruits sur le devoir qu’ils ont :

a)« de garder toujours, même dans leur manière d’agir, la communion avec l’Église » (can. 209 § 1 ; cf. can. 205) ;

b)« d’adhérer par obéissance chrétienne à ce que les Pasteurs sacrés, comme représentants du Christ, déclarent en tant que maîtres de la foi ou décident en tant que chefs de l’Église » (can. 212 § 1) ;

c)de conserver, lorsqu’ils s’adonnent aux sciences sacrées, le respect dû à l’égard du magistère de l’Église, tout en jouissant d’une juste liberté de recherche comme aussi d’expression prudente de leur opinion dans les matières où ils sont compétents (cf. can. 218) ;

d)de coopérer pour que l’utilisation des instruments de communication sociale soit vivifiée par un esprit humain et chrétien (cf. can. 822 § 2), « de telle sorte que l’Église exerce efficacement sa charge en les utilisant aussi » (can. 822 § 3).

2. Responsabilité à l’égard des écrits et de l’utilisation des moyens de communication sociale

Les Pasteurs eux-mêmes, dans le cadre de leur devoir de veiller et de conserver intact le dépôt de la foi (cf. can. 386 et 747 § 1), et de répondre au droit qu’ont les fidèles d’être guidés sur la voie de la saine doctrine (cf. can. 213 et 217), ont le droit et le devoir :

a)« de veiller à ce qu’il ne soit pas porté de dommage à la foi ou aux mœurs des fidèles par des écrits ou par l’usage des moyens de communication sociale » (can. 823 § 1) ;

b)« d’exiger aussi que les écrits touchant à la foi ou aux mœurs, que les fidèles se proposent de publier, soient soumis à leur jugement » (can. 823 § 1) ;

c)« de réprouver les écrits qui nuisent à la foi droite ou aux bonnes mœurs » (can. 823 § 1) ;

d)d’appliquer, suivant les cas, les sanctions administratives ou pénales prévues par le droit de l’Église pour celui qui, transgressant les normes canoniques, viole les devoirs de sa fonction, constitue un danger pour la communion ecclésiastique, porte atteinte à la foi ou aux mœurs des fidèles (cf. can. 805 ; 810 § 1 ; 194 § 1, n. 2 ; 1369 ; 1371, n. 1 ; 1389).

3. Devoir d’intervenir avec des moyens adaptés

Les instruments moraux et juridiques que l’Église prévoit pour la sauvegarde de la foi et des mœurs, et qu’elle met à la disposition des Pasteurs, ne peuvent être négligés par eux sans qu’ils manquent à leurs obligations, quand le bien des âmes le requiert ou le conseille. Les Pasteurs doivent se maintenir constamment en contact avec le monde de la culture et de la théologie dans leurs diocèses respectifs, de sorte que toute difficulté éventuelle puisse être rapidement résolue à travers un dialogue fraternel, où les personnes intéressées auront la possibilité de donner les éclaircissements nécessaires. Dans la mise en oeuvre des procédures canoniques, les moyens disciplinaires doivent être les derniers auxquels il faudra recourir (cf. can. 1341), même si l’on ne peut oublier que, pour maintenir la discipline ecclésiastique, l’application de peines se révèle en certains cas nécessaire (cf. can. 1317).

4. Responsabilité particulière des Évêques diocésains

Étant sauve la compétence du Saint-Siège (cf. Const.Apost.Pastor bonus, art. 48, 50-52), des Conférences épiscopales et des Conciles particuliers (cf. can. 823 § 2), les Évêques, dans le cadre de leur diocèse et de leur compétence, doivent exercer avec diligence, mais aussi avec prudence, leur droit et leur devoir de vigilance, en tant que Pasteurs et premiers responsables de la doctrine authentique concernant la foi et les mœurs (cf. can. 386, 392, 753 et 756 § 2). Dans l’exercice de cette fonction, l’Évêque se réfèrera, si nécessaire, à la Conférence épiscopale, aux Conciles particuliers ou au Dicastère compétent du Saint-Siège lui-même (cf. can. 823 § 2).

5. Aide des Commissions doctrinale.

§ 1. Les Commissions doctrinales, tant au niveau diocésain qu’à celui des Conférences épiscopales, pourront grandement aider les Évêques ; leur activité doit être suivie et encouragée, afin qu’elles fournissent une collaboration précieuse aux Évêques dans l’accomplissement de leur mission doctrinale (cf. la Lettre de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi à tous les Présidents des Conférences épiscopales, 23 novembre 1990).

§ 2. Il faut aussi rechercher la collaboration de personnes ou d’institutions, telles que les Séminaires, les Universités et les Facultés ecclésiastiques, qui, fidèles à l’enseignement de l’Église et avec la compétence scientifique nécessaire, peuvent contribuer à l’accomplissement du devoir des Pasteurs.

6. Communion avec le Saint-Siège

Les Pasteurs maintiendront le contact avec les Dicastères de la Curie Romaine, particulièrement avec la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (cf. can. 360 ; Const. Apost. Pastor bonus, art. 48-55), à laquelle ils soumettront les questions qui dépassent leur compétence (cf. Const. Apost. Pastor bonus, art. 13) ou qui, pour quelque motif que ce soit, peuvent rendre opportune l’intervention ou la consultation du Saint-Siège. En outre, ils communiqueront à celui-ci tout ce qui peut être considéré comme important en matière doctrinale, tant d’un point de vue positif que négatif, en suggérant aussi d’éventuelles interventions
II APPROBATION OU AUTORISATION POUR DIVERSES CATÉGORIES D’ÉCRITS



7. Obligation de l’approbation ou de l’autorisation

§ 1. Pour des publications déterminées, le Code exige ou l’approbation, ou l’autorisation :

a)On exige en particulier l’approbation préalable pour la publication des livres de la Sainte Écriture et de leurs traductions dans les langues courantes (cf. can. 825 § 1), pour les catéchismes et les ouvrages de catéchèse (cf. can. 775 § 2 ; 827 § 1), pour les textes destinés aux écoles non seulement élémentaires et moyennes, mais aussi supérieures, et portant sur des matières en lien avec la foi et la morale (cf. can. 827 § 2).

b)Par contre, l’autorisation préalable est nécessaire pour la préparation et la publication de la part des fidèles, également en collaboration avec les frères séparés, des traductions de la Sainte Écriture (cf. can. 825 § 2), pour les livres de prière à usage public ou privé (cf. can. 826 § 3), pour les nouvelles éditions des collections de décrets ou actes de l’autorité ecclésiastique (cf. can. 828), pour les écrits des clercs et des religieux dans les journaux, opuscules ou revues périodiques qui ont coutume d’attaquer ouvertement la religion catholique ou les bonnes mœurs (cf. can. 831 § 1), pour les écrits des religieux qui traitent de questions de religion ou de mœurs (cf. can. 832).

§ 2. L’approbation ou l’autorisation ecclésiastique présuppose l’avis du censeur ou des censeurs, si l’on estime opportun qu’il y en ait plus d’un (cf. can. 830) ; elle garantit que l’écrit ne contient rien de contraire au magistère authentique de l’Église sur la foi et les mœurs, et atteste que toutes les prescriptions de la loi canonique en la matière ont été remplies. Il est donc opportun que la concession même contienne la référence explicite au canon correspondant.

8. Écrits pour lesquels est opportun le jugement de l’Ordinaire du lieu.

§ 1. Le Code recommande que les livres qui traitent directement de matières concernant l’Écriture Sainte, la théologie, le droit canonique, l’histoire ecclésiastique et les disciplines religieuses ou morales, même s’ils ne sont pas utilisés comme textes pour l’enseignement, tout comme les écrits où se trouvent des éléments qui concernent de manière particulière la religion ou l’honnêteté des mœurs, soient soumis au jugement de l’Ordinaire du lieu (cf. can. 827 § 3).

§ 2. En vertu du droit qu’il a de veiller sur l’intégrité de la foi et des mœurs, et s’il avait pour cela des raisons particulières et spécifiques, l’Évêque diocésain pourrait aussi exiger, par un précepte particulier (cf. can. 49), que les écrits susdits soient soumis à son jugement. En effet, le canon 823 § 1, donne aux Pasteurs le droit « d’exiger que les écrits touchant à la foi ou aux mœurs, que les fidèles se proposent de publier, soient soumis à leur jugement », sans aucune limitation sinon celle d’ordre général, ceci « pour préserver l’intégrité des vérités de la foi et des mœurs ». Ce précepte pourrait être imposé pour des cas particuliers, soit pour des personnes ou pour des catégories de personnes (clercs, religieux, religieuses, maisons d’édition catholiques, etc.), soit pour des matières déterminées.

§ 3. Même en ces cas, l’autorisation a le sens d’une déclaration officielle, qui garantit que l’écrit ne contient rien de contraire à l’intégrité de la foi et des mœurs.

§ 4. Du moment que l’écrit est susceptible de contenir des opinions ou des questions propres aux spécialistes, ou touchant des milieux particuliers, et pourrait causer du scandale ou de la confusion dans certains milieux ou chez certaines personnes, mais pas ailleurs, l’autorisation pourrait être donnée à des conditions déterminées, qui peuvent regarder le moyen de publication ou la langue, et qui, de toute façon, évitent les dangers indiqués.

9. Extension de l’approbation ou de l’autorisation

L’approbation ou l’autorisation d’éditer un ouvrage vaut pour le texte original, mais non pour de nouvelles éditions ou des traductions (can. 829). Les simples réimpressions ne doivent pas être considérées comme de nouvelles éditions.

10. Droit à l’approbation ou à l’autorisation

§ 1. Étant donné que l’autorisation constitue une garantie, tant juridique que morale, pour les auteurs, les éditeurs et les lecteurs, celui qui la demande -soit parce qu’elle est obligatoire, soit parce qu’elle est recommandée- a droit à une réponse de l’autorité compétente.

§ 2. Dans l’examen préalable à la concession de l’autorisation, il est nécessaire d’apporter la plus grande diligence et le plus grand sérieux, compte tenu tant des droits des auteurs (cf. can. 218) que de ceux de tous les fidèles (cf. can. 213, 217).

§ 3. Contre le refus de l’autorisation ou de l’approbation, il est possible de faire un recours administratif, conformément aux canons 1732-1739, auprès de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, dicastère compétent en la matière (cf. Const. Apost. Pastor bonus, art. 48).

11. Autorité compétente pour donner l’approbation ou l’autorisation

§ 1. En vertu du canon 824, l’autorité compétente pour donner l’autorisation ou l’approbation est indistinctement l’Ordinaire du lieu de l’auteur ou l’Ordinaire du lieu où se fait l’édition du livre.

2.§ Lorsque l’autorisation a été refusée par un Ordinaire du lieu, on peut recourir à un autre Ordinaire compétent, avec obligation toutefois de mentionner le refus précédent ; à son tour, le second Ordinaire ne doit pas concéder l’autorisation sans avoir obtenu du précédent Ordinaire les raisons de son refus (cf. can. 65 § 1).

12. Procédure à suivre

§ 1. Avant de donner l’autorisation, l’Ordinaire doit soumettre l’écrit au jugement de personnes qu’il juge sûres, en les choisissant éventuellement dans la liste préparée par la Conférence épiscopale, ou en consultant la commission des censeurs, si elle existe, en vertu du canon 830 § 1. En donnant son jugement, le censeur se conformera aux critères du canon 830 § 2.

§ 2. Le censeur doit donner son avis par écrit. En cas d’avis favorable, l’Ordinaire pourra donner l’autorisation, en spécifiant son nom, la date et le lieu de la concession ; si au contraire il croyait opportun de ne pas la donner, il en communiquera les motivations à l’auteur (cf. can. 830 § 3).

§ 3. Les rapports avec les auteurs devront toujours être caractérisés par un esprit constructif de dialogue respectueux et de communion ecclésiale, qui permette de trouver les voies afin que, dans les publications, rien ne se rencontre qui soit contraire à l’enseignement de l’Église.

§ 4. L’autorisation, avec les indications signalées, doit être imprimée dans les livres édités ; il ne suffit donc pas d’employer la formule « avec approbation ecclésiastique » ou d’autres semblables ; on doit aussi imprimer le nom de l’Ordinaire qui la concède, ainsi que la date et le lieu de la concession (cf. interprétation authentique du canon 830 § 3 : AAS, LXXIX [1987], 1249).

13. Autorisation pour écrire dans certains organes de communication

L’Ordinaire du lieu devra considérer attentivement s’il est opportun ou non, et à quelles conditions, de donner aux clercs ou aux religieux la permission d’écrire dans des journaux, opuscules ou revues périodiques qui ont coutume d’attaquer ouvertement la religion catholique ou les bonnes mœurs (cf. can. 831 § 1).
III L’APOSTOLAT DES FIDÈLES DANS LE SECTEUR DE L’ÉDITION ET EN PARTICULIER L’ÉDITION CATHOLIQUE



14. L’engagement et la coopération de tous

Les fidèles qui travaillent dans le secteur de l’édition, y compris pour la diffusion et la vente des écrits, ont, chacun selon sa fonction spécifique, une responsabilité propre et particulière dans la promotion de la saine doctrine et des bonnes mœurs. Par conséquent, non seulement ils sont tenus à éviter de coopérer à la diffusion d’ouvrages contraires à la foi et à la morale, mais ils doivent aussi s’employer à la diffusion d’écrits qui contribuent au bien humain et chrétien des lecteurs (cf. can. 822 §§ 2-3).

15. Maisons d’édition dépendant d’institutions catholiques

§ 1. Les maisons d’édition qui dépendent d’institutions catholiques (diocèses, instituts religieux, associations catholiques, etc.) ont une responsabilité particulière dans ce secteur. Leur activité doit se dérouler en harmonie avec l’enseignement de l’Église et en communion avec les Pasteurs, dans l’obéissance aux lois canoniques, compte tenu aussi du lien spécial qui les unit à l’autorité ecclésiastique. Les éditeurs catholiques ne doivent pas publier des écrits dépourvus de l’autorisation ecclésiastique, lorsque celle-ci est requise.

§ 2. Les maisons d’édition dépendant d’institutions catholiques devront être l’objet d’une particulière attention des Ordinaires des lieux, afin que leurs publications soient toujours conformes à l’enseignement de l’Église et contribuent efficacement au bien des âmes.

§ 3. Les Évêques ont le devoir d’empêcher que soient exposées ou vendues dans les églises des publications traitant de questions de religion ou de mœurs qui n’ont pas reçu l’autorisation ou l’approbation de l’autorité ecclésiastique (cf. can. 827 § 4).
IV LA RESPONSABILITÉ DES SUPÉRIEURS RELIGIEUX



16. Principes généraux

§ 1. Les Supérieurs religieux, bien qu’ils ne soient pas, au sens propre, maîtres authentiques de la foi et Pasteurs, ont toutefois une autorité qui vient de Dieu par l’intermédiaire du ministère de l’Église (cf. can. 618).

§ 2. L’action apostolique des instituts religieux doit être exercée au nom et par mandat de l’Église, et conduite en communion avec elle (can. 675 § 3). Ce que prescrit le canon 209 § 1 sur la nécessité que tous les fidèles, dans leur activité, conservent toujours la communion avec l’Église, vaut particulièrement pour eux. Le canon 590 rappelle aux instituts de vie consacrée leur rapport particulier de soumission à l’autorité suprême de l’Église, et le lien d’obéissance qui lie chacun des membres au Souverain Pontife.

§ 3. Les Supérieurs religieux ont la responsabilité, en accord avec l’Ordinaire du lieu, de donner l’autorisation aux membres de leurs instituts pour publier des écrits qui traitent de questions religieuses ou morales (cf. can. 824 et 832).

§ 4. Tous les Supérieurs, et en particulier ceux qui sont des Ordinaires (cf. can. 134 § 1), ont le devoir de veiller à ce que, dans le cadre de leurs instituts, soit respectée la discipline ecclésiastique, y compris en matière d’instruments de communication sociale, et d’en imposer l’application si des abus étaient constatés.

§ 5. Les Supérieurs religieux, particulièrement ceux dont les instituts ont comme finalité propre l’apostolat de la presse et des moyens de communication sociale, devront s’employer à ce que les membres respectent fidèlement les normes canoniques en la matière ; ils prendront soin d’une manière spéciale des maisons d’édition, des librairies, etc., liées à leur institut, afin qu’elles soient un instrument apostolique efficace et fidèle à l’Église et à son magistère.

§ 6. Les Supérieurs religieux agiront en collaboration avec les Évêques diocésains (cf. can. 678 § 3), éventuellement grâce à des conventions appropriées (cf. can. 681 §§ 1-2).

17. Autorisation du Supérieur religieux

§ 1. Le Supérieur religieux à qui il revient, en vertu du canon 832, de concéder à ses religieux l’autorisation nécessaire à la publication d’écrits qui traitent de questions de religion ou de mœurs, ne doit pas la donner avant de s’être rendu compte, grâce au jugement préalable d’au moins un censeur de confiance, que cette publication ne contient rien qui puisse porter dommage à la doctrine de la foi et des mœurs.

§ 2. Le Supérieur peut exiger que son autorisation précède celle de l’Ordinaire du lieu, et qu’elle soit expressément mentionnée dans la publication.

§ 3. Cette autorisation peut être concédée de manière générale lorsqu’il s’agit d’une collaboration habituelle à des publications périodiques.

§ 4. Même dans ce secteur, une collaboration mutuelle entre Ordinaires du lieu et Supérieurs religieux est particulièrement importante (cf. can. 678 § 3).

18. Les maisons d’édition des religieux

Aux maisons d’édition dépendant des instituts religieux s’applique tout ce qui a été dit à propos des maisons d’édition dépendant des institutions catholiques en général. Ces entreprises éditoriales doivent toujours être considérées comme des oeuvres apostoliques qui doivent être exercées par mandat de l’Église et réalisées en communion avec elle, dans la fidélité au charisme propre de l’institut et la soumission à l’Évêque diocésain (cf. can. 678 § 1).

Le Souverain Pontife Jean-Paul II, au cours d’une Audience accordée au Cardinal Préfet soussigné, a approuvé la présente Instruction, adoptée dans la réunion ordinaire de cette Congrégation, et en a ordonné la publication.

A Rome, au Siège de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, le 30 mars 1992.

Joseph Card. RATZINGER Préfet

+ Alberto BOVONE Archevêque tit. de Césarée de Numidie Secrétaire

@ Francesco

Voilà pourquoi, en effet, l'évêque de Mostar aurait du écouter les nombreux avertissements qui lui ont été adressés par sa hiérarchie : il ne l'a pas fait.

Au contraire, il a persévéré dans une persécution continue des prêtres de Medjugorje et de la foule des pèlerins.

Le ciel a parlé, l'Eglise a exécuté : l'évêque de Mostar est seul devant ses fautes, il ne lui reste plus qu'à se repentir.

Voici de l'info ,sérieuse celle la,Vivre pour la Vérité...Qui vous donnera aussi de l'information sur les fausses révélations a Maria Valtorta,Vassula et Medjugorje bien sur...Bonne lecture...[url=http://v.i.v.free.fr/]http://v.i.v.free.fr/


[/url]

Cher Francesco,
Citer à la rescousse Blaise de v.i.v., c'est aussi peu crédible que de citer votre propre forum.

Voici ses propos dénoncés sur un autre forum :

Citation :

Blaise ! Comment oser écrire que le Cardinal Schoborn "a pété les plombs". Qui êtes-vous pour oser une phrase aussi méprisante ?

Pour qui vous prenez-vous pour traiter l'archevêque de Vienne et le Primat de Belgique "d'épiciers ravis de voir affluer les clients que comme des Evêques."

Y-a-t-il une limite à votre prétention et à votre suffisance pour écrire : "Il se pourrait que certains fidèles choisissent de se séparer de l'Église, lorsque le Pape condamnera les apparitions." Êtes-vous le Pape ?

Qui êtes-vous, prophète de malheur pour pronostiquer :"Malgré les conversions, il y a aussi les mauvais fruits, qui sont abondants. " Lesquels ?

Je ne m'étonne donc pas qu'il fasse partie de vos références.

Valtortiste 91 a écrit

Citation :

Erreur, là aussi : ce n'est pas le triste évêque de Mostar qui a demandé l'aide du Vatican, mais la conférence épiscopale de Bosnie et plus particulièrement son Président, soutenu par le cardinal Schonborn, Primat d'Autriche par ailleurs membre de la Congrégation de la foi.

... je note toutefois que Mgr le cardinal Schonborn ne fait pas partie de la commission. Ce qui laisse supposer que sur ce coup là il n'a pas toute la confiance du Saint-Siège.


LISTE OFFICIELLE DES MEMBRES DE LA COMMISSION

— Cardinal Camillo RUINI (président), vicaire émérite du pape pour le diocèse de Rome
— Père Achim SCHÜTZ (secrétaire), professeur d'anthropologie théologique à Rome
— Mgr Krzysztof NYKIEL (secrétaire adjoint), official de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi
— Cardinal Jozef TOMKO, préfet émérite de la Congrégation pour l'évangélisation des peuples
— Cardinal Vinko PULJIĆ, archevêque de Sarajevo, président de la Conférence épiscopale de Bosnie-Herzégovine
— Cardinal Josip BOZANIĆ, archevêque de Zagreb, vice-président du Conseil des conférences épiscopales d'Europe
— Cardinal Julián HERRANZ, président émérite du Conseil pontifical pour les textes législatifs
— Mgr Angelo AMATO, s.d.b., préfet de la Congrégation pour les causes des saints
— Mgr Pierangelo SEQUERI, professeur de théologie fondamentale à Milan
— Mgr Tony ANATRELLA, psychanaliste, spécialiste en psychiatrie sociale, professeur de psychologie à Paris
— Père David-Maria A. JAEGER, o.f.m., professeur de droit canonique à Rome
— Père Zdzisław Józef KIJAS, o.f.m.conv., rapporteur de la Congrégation pour les causes des saints
— Père Salvatore M. PERRELLA, o.s.m., professeur de mariologie à Rome
— Père Franjo TOPIĆ, professeur de théologie fondamentale à Sarajevo
— Père Mijo NIKIĆ, s.j., professeur de psychologie à Zagreb
— Père Mihály SZENTMÁRTONI, s,j., professeur de spiritualité à Rome
— Soeur Veronica Nela GAŠPAR, professeur de théologie à Rijeka

SOURCE
Anita S. Bourdin, « Composition de la Commission d'enquête sur Medjugorje », Zenit, 13 avril 2010,
lien permanent : http://www.zenit.org/article-24050?l=french

Philippe-Antoine

Philippe-Antoine a écrit:

Valtortiste 91 a écrit

Citation :

Erreur, là aussi : ce n'est pas le triste évêque de Mostar qui a demandé l'aide du Vatican, mais la conférence épiscopale de Bosnie et plus particulièrement son Président, soutenu par le cardinal Schonborn, Primat d'Autriche par ailleurs membre de la Congrégation de la foi.

... je note toutefois que Mgr le cardinal Schonborn ne fait pas partie de la commission. Ce qui laisse supposer que sur ce coup là il n'a pas toute la confiance du Saint-Siège.

Il y a vraiment mieux à trouver comme argument !

Citation :

Il y a vraiment mieux à trouver comme argument !

Simple question de bon sens!!!

... vu sur un site internet :

Citation :

(...)

Revenons-en plutôt à la commission, dont on peut consulter la liste exhaustive ici. Pourquoi est-elle exceptionnelle ? Tout d’abord parce qu’en matière d’apparitions, Rome ne se prononce jamais. Ou du moins pas avant l’ordinaire du lieu. En l’espèce, les évêques successifs de Mostar, Mgr Zanič tout d’abord puis son successeur Mgr Perić, ont dénié aux apparitions de la Gospa tout caractère surnaturel.

Ensuite, parce que la composition de cette commission est extrêmement intéressante si l’on y regarde de plus près. Un certain nombre de ses membres, en effet, à commencer par son président, ne croit pas aux apparitions de la Gospa.(...) [/size]

je vous invite à lire le reste en cliquant le lien suivant :

http://www.nystagmus.me/article-ils-sont-beaux-mes-fruits-ils-sont-beaux-49873549.html

Philippe-Antoine

Philippe-Antoine a écrit:

Citation :

Il y a vraiment mieux à trouver comme argument !

Simple question de bon sens!!!

Non.

Philippe-Antoine a écrit:

... vu sur un site internet :

Citation :

(...)[size=12]

En l’espèce, les évêques successifs de Mostar, Mgr Zanič tout d’abord puis son successeur Mgr Perić, ont dénié aux apparitions de la Gospa tout caractère surnaturel.

Comme déjà amplement démontré pour les non-aveugles, c'est une opinion personnelle, comme affirmé en haut lieu : Congregation pour la doctrine de la foi ..........

L'autorité de la Commission est au-dessus de celle de ces évêques.

En tout cas, ce qui est clair (relisez le message qui précède immédiatement le votre) , c'est que si le Pape était comme vous le dites favorable aux "apparitions" , il aurait désigné le Cardinal Shonborn pour présider la commission et non pas le Cardinal Ruini (*) qui ne croit pas à Medjugorje !!!

(*)
""Commençons justement par le président, Mgr Camillo Ruini. Cet ancien vicaire de Rome, ex-président de la Conférence épiscopale italienne, est un fin politique. Estimé de Benoît XVI, il n’avait pas hésité à faire de la CEI une voix importante du débat politique italien. A la retraite depuis peu, il avait à plusieurs reprises manifesté de sérieuses réserves quant à l’authenticité des apparitions de Medjugorje, notamment lorsqu’il avait été chargé par le cardinal Ratzinger de trancher l’affaire de la Madone de Civitavecchia, une statue de la Gospa qui pleurait des larmes de sang. L’évêque du lieu avait alors réuni à la hâte une commission qui s’était prononcée en faveur du constat de supernaturalitate (i.e. « cause surnaturelle ») le 19 avril 1995, par sept voix pour, une voix contre et trois abstentions, dans une ambiance fort œcuménique (le maire communiste de cette petite cité, imaginant déjà les retombées économiques de l’affaire, avait offert de l’argent à l’église locale pour la construction d’une basilique), à peine assombrie par le fait que le sang sur la statue était masculin et que son propriétaire avait fait appel à la Cour constitutionnelle italienne pour s’assurer de son droit à ne pas faire les examens sanguins requis par l’évêque. Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, avait décidé de casser la décision de supernaturalitate en créant à son tour une commission, présidée déjà par Ruini, qui a conclu à un constat de non-supernaturalitate.
""

Encore une fois, un peu de bon sens!



Ph-Antoine

Je ne sais pas pourquoi les détracteurs de Medjugorje font systématiquement de la désinformation. Comme je l'ai dit par ailleurs, la désinformation fait partie du mensonge et le père du mensonge n'est pas Dieu.

Je prends, cher Philippe-Antoine, un site que vous connaissiez bien : v.i.v. qui épouse vos convictions et celle de Francesco/Patre blessé. Qu'y lit-on ?

Citation :

La Commission diocésaine :

Pendant ce temps l’Eglise a commencé une Commission diocésaine de 11 membres, le 19 avril 1995. Ils ont conclu le 22 Novembre 1996, avec 7 votes, en faveur du caractère surnaturel, 1 contre et 3 abstentions.

La Commission du Vatican :

Mais ce jugement a été rejeté par le Vatican ! En effet, en 2000, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a nommé une nouvelle commission
sous la responsabilité du cardinal Camillo Ruini. Leur conclusion prudente était « non constat de supernaturalitate ».

Savez-vous ce que veut dire "NON CONSTAT de supernaturalité" ?. Cela veut dire que l'Eglise ne s'est pas prononcée. Contrairement à ce que vous affirmez à la légère.

Citation :

Pour ceux qui ne savent pas encore assez de latin, il y a trois formules :
— Constat de supernaturalitate : cela vaut par exemple pour Lourdes ou pour Fatima. Il est affirmé que c'est surnaturel.

— Constat de non supernaturalitate : il est affirmé que cela n'est pas surnaturel.

— Non constat de supernaturalitate est la troisième formule qui est utilisée par le Magistère de l'Église et qui est toujours en vigueur : ce n'est pas affirmé que cela est surnaturel. Ce n'est pas exclu, ni affirmé : non constat. Ce n'est pas une négation de la surnaturalité, ce n'est pas une affirmation de la surnaturalité.

Le fait que le Vatican ne s'est pas prononcé à ce jour est attesté par plusieurs sites.

De même, il est de simple bon sens de comprendre que le Cardinal archevêque de Vienne, Primat de l'Église d'Autriche, membre de la congrégation pour la cause de la foi, etc... n'a pas le temps de se consacrer à une commission aussi complexe. Ce n'est pas le cas du Cardinal Ruini désormais à la retraite.

J'aurai cru que vous saisiriez cette évidence : ce n'est manifestement pas le cas.

Je ne sais pas pourquoi les détracteurs de Medjugorje font systématiquement de la désinformation. Comme je l'ai dit par ailleurs, la désinformation fait partie du mensonge et le père du mensonge n'est pas Dieu.

Je prends, cher Philippe-Antoine, un site que vous connaissiez bien : v.i.v. qui épouse vos convictions et celle de Francesco/Patre blessé. Qu'y lit-on ?

Citation :

La Commission diocésaine :

Pendant ce temps l’Eglise a commencé une Commission diocésaine de 11 membres, le 19 avril 1995. Ils ont conclu le 22 Novembre 1996, avec 7 votes, en faveur du caractère surnaturel, 1 contre et 3 abstentions.

La Commission du Vatican :

Mais ce jugement a été rejeté par le Vatican !
En effet, en 2000, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a nommé
une nouvelle commission sous la responsabilité du cardinal Camillo Ruini. Leur conclusion prudente était « non constat de supernaturalitate».

Savez-vous ce que veut dire "NON CONSTAT de supernaturalité" ?. Cela veut dire que l'Eglise ne s'est pas prononcée. Contrairement à ce que vous affirmez à la légère.

Citation :

Pour ceux qui ne savent pas encore assez de latin, il y a trois formules :
— Constat de supernaturalitate : cela vaut par exemple pour Lourdes ou pour Fatima. Il est affirmé que c'est surnaturel.

— Constat de non supernaturalitate : il est affirmé que cela n'est pas surnaturel.

—Non constat de supernaturalitate est la troisième formule qui est utilisée par le Magistère de l'Église et qui est toujours en vigueur : ce n'est pas affirmé que cela est surnaturel. Ce n'est pas exclu, ni affirmé : non constat. Ce n'est pas une négation de la surnaturalité, ce n'est pas une affirmation de la surnaturalité.

Le fait que le Vatican ne s'est pas prononcé à ce jour est attesté par plusieurs sites.

De même, il est de simple bon sens de comprendre que le Cardinal archevêque de Vienne, Primat de l'Église d'Autriche, membre de la congrégation pour la cause de la foi, etc... n'a pas le temps de se consacrer à une commission aussi complexe. Ce n'est pas le cas du Cardinal Ruini désormais à la retraite.

J'aurai cru que vous saisiriez cette évidence : ce n'est manifestement pas le cas.

Philippe-Antoine a écrit:

En tout cas, ce qui est clair (relisez le
message qui précède immédiatement le votre) , c'est que si le Pape
était comme vous le dites favorable aux "apparitions" , il aurait
désigné le Cardinal Shonborn pour présider la commission et non pas le
Cardinal Ruini (*) qui ne croit pas à Medjugorje !!! ...

Non, ça n'a rien de clair dans le sens que cela irait de soi (et de plus, je ne me rappelle pas avoir dit que le Pape est favorable aux apparitions "présumées" de Medjugorje, même si je le pense : seriez vous extra-lucide ? ... par contre, le nonce apostolique affirme l'intérêt du Saint Père pour Medjugorje : relisez SVP).
Encore une fois, N-O-N. La logique et vous ... c'est votre logique ...

Citation :

Encore une fois, un peu de bon sens!

Puisque vous désirez le bon sens, alors ne le fuyez plus et abandonnez votre mauvaise foi. La Commission a été créée au niveau le plus autorisé possible et il serait cohérent pour quelqu'un qui se dit obéissant à l'Eglise d'en tenir enfin compte.

Non seulement pour reconnaître votre erreur ressassée durant des mois que la décision (de condamnation de Medjugorje) est définitive, définitive, définitive ... ad nauseam, comme dirait quelqu'un de votre bord (ailleurs ...), ou obstinément comme un certain Blaise sur Docteur angélique (aussi à l'origine d'une fausse théorie du schisme, remise à sa place sur ce forum) - et qui vous ressemble comme 2 gouttes d'eau, à moins qu'il n'y ait qu'une seule goutte ... - mais aussi pour cesser de miner souterrainement ou amoindrir par des sous-entendus injustifiés (tenter de le faire est une expression plus juste ... ) une décision souveraine d'Eglise.

Devenez franc à ce sujet, enfin! ... vous avez déjà causé suffisamment de souffrances et de dégâts, je trouve.

Peut-être est-il inutile d'espérer à court terme et facilement la reconnaissance de votre erreur, mais je vous dis : Ne vous obstinez plus dans ce chemin de fausseté; faites vite, vous aussi, ne tardez plus, il se fait de plus en plus tard ...

Je ne comprend pas pourquoi ils mentent, c'est vrai s'ils voient vraiment la vierge ce n'est pas sympa vis à vis d'elle

Marie Jésus voici une nouvelle qui va s'en doute vous intéresser, afin que vous y voyez clair face à toutes les polémiques et détracteurs de Medjugorge. Nécessairement l'apparition sera bientôt reconnue, car notre Saint Père Benoît XVI et l'Esprit-Saint se connaissent bien :
Dans le livret intitulé « Jésus-Christ révèle aux siens ce qu’est la franc-maçonnerie » voici un court extrait du message donné par Jésus à Françoise le 6 octobre 1997, page 54 :

« La principale attaque de Satan – à travers les prêtres – est contre Marie ; car Marie sauve et protège…Satan la hait ; aussi, il pousse Mes âmes sacerdotales au rejet des manifestations de l’Esprit-Saint en Marie, dans ses apparitions par exemple. Mais Marie est bien là, à Medjugorje, comme à Garabandal, à Fatima, et en bien d’autres lieux encore.
Non content de détrôner Marie, Satan pervertit les âmes au point quelles ne croient plus à Mon intrusion dans le monde au travers d’âmes de petits comme toi, dans des charismes merveilleux et surnaturels. L’Eglise condamne l’Esprit Saint , auquel elle interdit de parler… ».

Bien cordialement en Jésus et Marie.

Mariejesus a écrit:

Je ne comprend pas pourquoi ils mentent, c'est vrai s'ils voient vraiment la vierge ce n'est pas sympa vis à vis d'elle

La petite Bernadette et les enfants de Fatima étaient aussi accusés d'etre des "menteurs" ... pourquoi en serait il autrement aujourd'hui ...

"nous voulons veiller à ca que ce lieu (Medjugorje) devenu lieu de prière et de foi,reste en étroite unité avec toute l'Eglise,et le devienne encore plus"
Cardinal Ratzinger

"Nous les eveques avons accepté Medjugorje comme lieu de prière,comme Sanctuaire" Cardinal Kuharic

"toute personne peut s'y rendre si elle le désire...." Dr Navarro-Valls

"Oui c'est bien que les pélerins aillent à Medjugorje et fassent pénitence c'est une bonne chose!" Jean Paul II

"J'ai constaté que les personnes qui reviennent de Medjugorje deviennent des apotres.Ils renouvellent les paroisses" Cardinal Siri

Cardinaux qui ont exprimés ouvertement qu'ils croyaient en la venue de la Vierge Marie à Medjugorje :
"Cardinal Augustin Mayer ,
Cardinal Jaime Sin,
Cardinal Agnelo Rossi,
Cardinal Joseph Glemp,
Cardinal Franjo Saper,
Cardinal Frantisek Tomasek,
Cardinal Joseph Bernadin ,
Cardinal John Joseph Carberry
Cardinal Hans Urs von Balthasar
Cardinal Silvano Piovanelli
Cardinal Alfons Maria Stickler
Cardinal Corrado Ursi
Cardinal Edward Bede Clancy
Cardinal Hans Hermann Groer
Cardinal Joseph Gordon Gray
Cardinal Ali Lebrun
Cardinal Ernesto Corripio
Cardinal Juan Jesus Posadas
Cardinal Christophe Schonborn
Cardinal Francis E. George
Cardinal Ersilio Tonini
Cardinal Francesco Colasuono
Cardinal Alexandre Todea"

"Personnellement,je suis convaincu que Medjugorje est la continuation de Lourdes et de Fatima.Pas à pas,le coeur Immaculé de MARIE triomphera. Et je suis aussi profondément convaincu que Medjugorje en est le signe "
Cardinal TOMASEK

"Medjugorje est un grand centre de spiritualité"Jea, Paul II

"Avant chaque messe nous prions toutes un je vous salue Marie à la Vierge de Medjugorje"Mère Teresa

"Medjugorje est la continuation de Fatima"Jean Paul II


Allez y , puis vous jugerez...

Merci cher Simon pour ces éléments complémentaires.

Que Jésus et Marie vous bénissent infiniment.

je suis contente d'apprendre, j'aime bien regarder la messe quand il y a une apparition reconnue, il y a deux ans, j'ai regardé celle du Laus, elle était enfin reconnue après plus de trois cent ans et il y a deux semaines la messe était célébrée à Querrien.
Je pense que j'aurais encore un avis négatif si je n'étais pas tombée sur la photo miraculeuse de la gospa.
Mais la seule femme voyante sur laquelle j'ai des doutes, c'est Uvanka
Au fait, quen ce fera la reconnaissance peut etre avant Garabandal.