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| | revision du statut de l'embryon en GB | |
| | Auteur | Message |
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pierre-j Invité
| Sujet: revision du statut de l'embryon en GB Ven 19 Aoû 2005, 10:47 | |
| GB: débat sur une révision de la loi sur la procréation artificielle
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La division cellulaire d'un embryon humain, dans le cadre d'un programme de procréation médicale assistée (Photo Anne-Christine Poujoulat/AFP/Archives) Agrandir la photo Mercredi 17 aout 2005, 11h58 Le gouvernement britannique a lancé une vaste consultation sur la nécessité de réviser la loi de 1990 sur la procréation artificielle afin de tenir compte des progrès de la science et de l'évolution des moeurs, avec notamment la question des couples homosexuels.
Sélection des embryons avant une fécondation in-vitro (FIV), pouvant mener à de véritables "bébés à la carte", question des "bébés-médicaments", conçus pour soigner un de leurs frères ou soeurs: Caroline Flint, secrétaire d'Etat à la Santé, a précisé mardi que le débat portera sur plus de 70 questions éthiques, morales ou juridiques.
Une des questions sera notamment le droit des couples à sélectionner le sexe de leur enfant dans le cadre d'une FIV. En Grande-Bretagne un tel tri est seulement autorisé pour éviter de transmettre une maladie liée au genre sexuel, comme l'hémophilie, une pathologie qui ne touche que les garçons.
Le débat lancé devra également trancher sur la nécessité de revenir sur les conditions de "bien être de l'enfant" actuellement requises dans le cas d'une FIV. Conditions qui obligent les médecins à prendre en compte le besoin d'un père.
Pour beaucoup, cet argument est en fait utilisé pour interdire cette procédure aux femmes célibataires ou aux couples de lesbiennes. Exiger la présence d'un père serait "offensant" à l'encontre des familles monoparentales ou homosexuelles, a affirmé récemment la Commission de la chambre des Communes sur les sciences et la technologie.
Demander aux médecins de tenir compte du bien-être futur de l'enfant est "discriminatoire, impossible à mettre en application et inefficace", a accusé le Dr Evan Harris, député et membre de cette commission: "Quand le gouvernement affirme qu'il est meilleur pour un enfant d'avoir un père et une mère, veulent ils réellement étiqueter les familles monoparentales ou homosexuelles comme des familles de seconde classe?", s'est-il insurgé.
Le ministère de la Santé a précisé qu'une éventuelle modification de la loi sur ce thème ne signifierait pas pour autant que les FIV accordées à des femmes célibataires ou à des couples de lesbiennes seraient automatiquement remboursées par le NHS, le service de santé public, et donc le contribuable.
Cette révision de la loi devrait également permettre de revoir la législation pesant sur les banques du sperme, et notamment celles opérant sur l'internet. Ce sperme disponible sans contrôle ou presque poserait de grands risques de santé, selon plusieurs médecins, les échantillons n'étant pas suffisamment testés contre le virus HIV.
Certains "cowboys" présents sur l'internet dans ce secteur sont un véritable danger public, a insisté Caroline Flint mardi.
Autre problème soulevé par la loi actuelle sur ces banques du sperme: les donneurs ne sont pas protégés juridiquement contre d'éventuelles procédures en recherche de paternité.
Une révision de la loi de 1990 devrait enfin permettre de fixer de manière plus claire le statut des embryons congelés.
En 2003 et 2004, une longue bataille judiciaire avait ainsi opposé Natalie Evans, une Britannique de 32 ans, à son ancien mari, sur son droit à utiliser un embryon conçu avec le sperme de celui-ci. En juin 2004, la justice londonienne avait finalement tranché en faveur de son ancien mari, qui s'opposait à ce qu'elle utilise cet embryon pour être inséminée.
Mme Evans ne peut plus avoir d'enfant de façon naturelle suite à un traitement contre le cancer.
Le ministère de la Santé n'a pas précisé la durée prévue de cette consultation. ( source l'internaute) |
| | | pierre-j Invité
| Sujet: Re: revision du statut de l'embryon en GB Ven 19 Aoû 2005, 11:52 | |
| DERMATOLOGIE Des chercheurs ont utilisé les capacités de cicatrisation des cellules foetales pour créer un pansement biologique Des cellules de peau de foetus pour soigner les grands brûlés Des médecins suisses ont découvert, presque par hasard, que des cellules de foetus humains ont la propriété de guérir les brûlures pédiatriques plus efficacement qu'en cultivant la peau saine des brûlés pour leur greffer. Jean-Michel Bader [18 août 2005]
Patrick Hohlfeld, spécialiste de médecine foetale au centre hospitalier universitaire de Lausanne, a mis au point avec son équipe un pansement biologique d'un nouveau type, basé sur l'utilisation de cellules de peau foetale. Il publie aujourd'hui, dans l'édition électronique du Lancet, les résultats spectaculaires de soins à huit enfants brûlés au second et troisième degré, âgés de 5 mois à 9 ans. La durée moyenne de cicatrisation de ces brûlures peu étendues avec ce pansement n'a pas dépassé 15 jours.
Le médecin suisse s'était aperçu que, dans les espèces animales et chez l'homme, la peau du foetus a des propriétés uniques de cicatrisation : la production de collagène, de facteurs de croissance, les récepteurs de surface des cellules de la peau foetale permettent en effet une migration et une prolifération cellulaires records. Par ailleurs, jusqu'à un stade avancé de leur développement embryonnaire, les cellules de la future peau n'expriment pas encore les antigènes spécifiques qui conditionnent le rejet de greffes. «Bien des difficultés de l'ingénierie tissulaire, comme le rejet immunologique, la faible capacité de croissance des tissus, les capacités mécaniques pourraient être circonvenues par l'utilisation de tissu foetal», explique le Dr Hohlfeld dans son article.
Pour parvenir à leurs fins, les chercheurs ont d'abord constitué une banque de cellules foetales de peau humaine. Une biopsie de 4 cm2 prélevée sur la peau d'un foetus, après une interruption médicale d'une grossesse de 14 semaines, a été obtenue après consentement éclairé de la donneuse. Ce seul prélèvement, par «repiquages» successifs des cellules se multipliant dans des flacons, a produit plusieurs millions ( !) de pansements stockés en banque. Les pansements, faits de plaques de collagène de 2 mm d'épaisseur et d'une surface équivalente à une carte de visite grand format (9 cm sur 12), sont ensemencés avec 2 500 cellules foetales par cm2 et mises à l'incubateur pendant 48 heures, avant d'être «greffés» sur les plaies laissées par les brûlures.
Les huit enfants sélectionnés pour l'essai étaient éligibles pour la technique classique d'autogreffe après une dizaine de jours de soins intensifs. A chaque étape, les patients ou leurs parents pouvaient choisir le traitement expérimental par cellules foetales ou l'abandonner pour une greffe de leur propre peau saine. Les carrés de pansement de cellules foetales ont été mises en place au bloc et changés tous les 3 à 4 jours, en fonction de l'état d'avancement de la cicatrisation jugée par les chirurgiens. La moyenne de cicatrisation à partir de la peau saine bordant la brûlure n'a pas dépassé 15,3 jours pour les huit petits patients et pour aucun d'entre eux les médecins n'ont dû recourir à l'autogreffe.
La découverte suisse soulève cependant des questions : peut-on utiliser les cellules foetales chez les brûlés adultes ? Peut-on utiliser cette technique prometteuse pour des brûlures très étendues ? ( source figaro) |
| | | | revision du statut de l'embryon en GB | |
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