Dieu m'a conné ma pauvre soeur, Dieu me l'a reprise, béni soit son saint nom.
Ces mots expriment mon abandon à la volonté de Dieu, et c'est en lui que je puise la force qui me permet de ne pas couler sous le poids de la douleur.
Je vous exhorte vous aussi à accepter pareillement la volonté du Seigneur. Vous trouverez en elle l'apaisement de vos souffrances.