CIVITAVECCHIA - Une nouvelle statue pleure des larmes

Agence ANSA – Rome - Vendredi 31 mars 2006

« De mes yeux, je l’ai vu pleuré ».

C’est Monseigneur GRILLO, évêque de CIVITAVECCHIA qui le dit, à propos d’une petite statue de la Madone de Medjugorge.

La statue se trouve à PANTANO, dans le jardin de la petite villa de Fabio GREGORI, propriétaire aussi de la statue identique qui, dans le même lieu, pleura des larmes de sang le 2 février 1995.

Voici la traduction d'un article trouvé sur le net :

Larmes. A Civitavecchia pleure aussi la seconde Madone.
De Stefano Carreda.

Onze ans après les faits de 1995 que le diocèse tend à considérer comme prodigieux, la copie de la statue de la Vierge verse aussi des larmes. Le témoignage et la caution de l’évêque Mgr Grillo, la coïncidence avec la mort de Wojtyla.

Onze ans après, encore là, encore à Civitavecchia, encore dans le jardin de la famille Gregori, une statue de la Madone, une statue de la vierge Marie qui pleure.

Qui verse des larmes. Pas de sang cette fois-ci comme en 1995, mais des larmes. C’est un évêque, Girolamo Grillo, titulaire du diocèse de Civitavecchia-Tarquinia, qui encore une fois est surpris et contraint de raconter ce qu’il a vu.

Lui qui, il y a onze ans, réagit initialement avec incrédulité et désappointement malaisé au fait de la Madone qui pleure e qui ensuite raconta d’avoir lui-même assisté à une lacrymation, cette fois aussi il n’a pu que raconter et dire à tous que « Avec mes yeux, j’ai vu pleuré aussi cette statue de la Madone : cela semble être de vraies larmes, je les ai aussi goutées et comme des larmes, elles avaient le goût d’eau et de sel ».

C’est une histoire qui s’enrichit donc d’un nouvel épisode que celle de la petite statue de la Madone de Medjugorge installée dans la niche du jardin de la petite villa de Fabio Gregori, à Pantano, bourgade agricole au nord du centre urbain de Civitavecchia, à 80 km au nord de Rome.

Une statue, celle aujourd’hui au centre de l’attention, qui fut donnée à la famille Gregori par le cardinal Deskur, président de l’Académie Pontificale de l’Immaculée, peu de jours après la saisie judiciaire opérée sur la première Madone, celle qui fut vue pleurer le 2 février 1995.

Un nouvel épisode débuté il y a trois jours, que la voix de Mgr Grillo raconte ainsi : « Aujourd’hui (31 mars ndr), j’ai décidé d’aller vérifier ce qui se passait. Quand je suis arrivé elle ne pleurait pas. Je me suis assis et après un peu elle a commencé à pleurer. Je l’ai vu de mes yeux. Les larmes d’hier (30 mars ndr) qui ont laissé une trace jaunâtre, se sont arrêtées sous le menton, et celles d’aujourd’hui (31 mars) sont arrivées au pieds de la petite statue. Elles sortaient des deux yeux. Gregori m’a dit que déjà il y a un an, à la mort du pape, elle avait pleuré, mais qu’il ne m’avait rien dit parce que je n’était pas bien. Cette fois, j’ai voulu vérifier ».

Donc, ce n’est pas une première absolue, mais un phénomène qui déjà été observé l’année passée et qui se reproduit à un an de la mort du pape Wojtyla. Et qui s’ajoute à la forte diffusion de parfum qui, il y a cinq ans, selon la famille Gregori, provenait de la statue.

Evènement surnaturel ? « Je ne me prononce pas » - répond prudemment l’évêque – « Mais je raconte seulement comment se sont produits les faits. J’invite toutefois à la précaution, à la prudence et à savoir attendre ».

Des paroles que l’évêque prononça plusieurs fois aussi dans la décennie, quand le 15 mars 1995, il eut entre les mains la première statue, à peine rendue par la magistrature qui l’avait fait examiner en excluant toute forme de mécanisme artificiel et donc de toute forme de fraude.

Dans sa maison, en face d’autres personnes, apparurent des larmes de sang des yeux de la Vierge. « Presque évanoui, Je m’assis sur la chaise », écrivit l’évêque de Civitavecchia dans son journal qui raconte ces jours, les quatorze lacrymations qu’il y eut entre le 2 février et le 15 mars 1995 (la dernière en sa présence), et l’entière histoire conclue par la suite (au moins jusqu’aux nouveaux faits de ces dernières heures), avec la publication, de la part du diocèse, d’un dossier avec les « preuves du miracle ».

170 pages de rapports et de documents qui conduisent de manière décidée vers l’hypothèse qu’il s’agit d’un évènement surnaturel. Avec la commune de Civitavecchia qui annonça immédiatement des premières démarches pour les formalités de la construction d’un sanctuaire en l’honneur de la petite Madone.

Ce sont des milliers de fidèles qu’en cette décennie sont accourus pour prier en face de la première statue qui a pleuré, celle qui aujourd’hui se trouve dans l’église de Saint Augustin, toujours à Pantano.

Une statue, en face de laquelle, presque certainement, pria aussi Jean-Paul II, qui accueillit Mgr Grillo au Vatican le 9 juin 1995. Un fait qui alors ne fut pas rendu publique et qui, ni le secrétaire personnel du pape, l’actuel archevêque de Cracovie le cardinal Stanislav Dziwisz, ni Mgr Grillo, n’ont jamais confirmé, sans toutefois non plus le démentir.

Ce fut « Il Giornale », il y a quelques mois, à raconter l’invitation personnelle du pape faite à l’évêque Mgr Grillo, de la demande explicite du pape de pouvoir prier devant cette statue et de l’existence d’un document, un texte de deux pages, tapé à la machine, rédigé par Mgr Grillo et contresigné par Jean-Paul II, pour témoigner de cet évènement. Document aujourd’hui conservé par la Secrétairerie d’Etat.

La circonstance revient d’actualité aujourd’hui, dans le moment de la coïncidence de la nouvelle lacrymation avec le premier anniversaire de la mort du pape Wojtyla. Et Civitavecchia revient au centre de l’attention, avec les mêmes questions d’il y a un temps. Evènement surnaturel ou farce publique ?

Cher François

Il nous faut bien entendu attendre confirmation, mais tout converge vers ce même point, les paroles de La Gospa ce même 2 Avril, "regardez les signes des temps"! Et en même temps que dans ses trois messages au monde, La Gospa nous donne de sérieux avertissement, sa propre représentation, en tant que Gospa, pleure entre les mains d'un évêque qui plus est!
Les signes se multiplient sans cesse et trop d'yeux restent voilés, aussi ils se multiplieront encore, c'est certain, car Marie veut que pas une seule âme ne se perde. Pourtant, il semble bien que le Temps de grâce (annoncé sans cesse à Medjugorge) ce temps de Miséricorde (définitivement proclamé par JPII, par le don ultime de sa vie au 1er anniversaire du dimanche de la Miséricorde), après 25 ans d'école mariale en Yougoslavie (ce 24 et 25 juin 2006), soit sur le point d'être clos? (être sur le point ne signifie aucune durée précise, bien entendu).

Qu'en pensez-vous?
amitiés
Christian

Cher François,
c'est TRES intéressant.
Pourrais-avoir la référence du site en italien ?
J'ai du mal à trouver des infos SURES à ce sujet (c'est tj le même pb, il faut bien bétonner ses infos pour éviter de diffuser des infos fausses).

Merci...

J'ai trouvé : l'auteur est Caredda et non Carreda !

On voit l'importance de bien orthographier les noms propres, les seuls utilisables pour faire une recherche sur Google !

Bonsoir Michel Pierre,

L'article sur les dernières lacrimations de la copie de la statue de Civitavecchia est le suivant :
http://www.korazym.org/news1.asp?Id=17024

J'ai eu l'info sur un site italien remarquable qui s'appelle "Prophéties pour le troisième millénaire".

Voici son adresse :
http://profezie3m.altervista.org/ptm_frames.htm

Pour ceux qui lisent l'italien, je le conseille vivement.

Amitiés,
François