Coeurs unis en Jésus et Marie
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 Honte à toi, ma France bien-aimée... suite...

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Françoise
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Françoise


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MessageSujet: Honte à toi, ma France bien-aimée... suite...   Honte à toi, ma France bien-aimée... suite... EmptyMer 06 Nov 2013, 08:58

Bonjour,

.... Et cela continue : Honte à ces politiques honteuses !

.... Lu sur le site "Boulevard Voltaire" ce matin :

- http://www.bvoltaire.fr/dominiquejamet/ecotaxe-ump-et-ps-dos-dos,40346?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=718e212131-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-718e212131-30344737

.... Et la colère gronde chez les Bretons, chez les Landais...et ailleurs ! En partage, avec en filigrane, les prophéties annonçant ces évènements que nous vivons présentement :

- Lorsque l'on met le feu aux poudres, on sait quand cela commence mais on ne sait pas comment tout cela se termine...

>
Voici trois prophéties éclairantes au sujet des "bonnets rouges" :

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Le Père Lorenzo Ricci

(24-11-1775)



Le Père Lorenzo Ricci, Jésuite, naquit à Florence en août 1703, d’une famille distinguée. Il fut élu préposé général de la Compagnie de Jésus, le 21 mai 1758. Le plus grave événement de son généralat fut la destruction de l’institut. Les Jésuites, déjà expulsés du Portugal en 1759, et, quelques années après, de France, d’Espagne et de Naples, les ministres des cours de Bourbon se réunirent pour en demander l’extinction totale au pape Clément XIV. Ce pontife signa le bref « Dominus ac Redemptor » qui, le 21 juillet 1773, supprimait la Compagnie de Jésus qui comptait à l’époque environ 23 000 membres répartis en 42 provinces. « Ce bref du 21 juillet 1773 – écrit Pastor – représente la victoire la plus manifeste de l’illuminisme et de l’absolutisme royal sur l’Église et sur son Chef ». On transféra le Père Ricci, général de l’Ordre, accompagné de ses assistants et de plusieurs autres jésuites au château Saint-Ange, après lui avoir fait signer une lettre-circulaire à tous les missionnaires soumis à son autorité, pour leur en apprendre la suppression. Le Père Ricci mourut dans sa prison, le 24 novembre 1775. Clément XIV le précéda dans la tombe le 22 septembre 1774, soit un an après la dissolution de l’ordre. La Compagnie fut dispersée mais survécut en Russie, où la tsarine Catherine II refusa de donner l’exequatur au bref de suppression. Les Jésuites de Russie Blanche furent accusés de désobéissance et de rébellion envers le Pape mais assurèrent la continuité historique de l’ordre alors que, dans d’autres nations, d’anciens Jésuites assuraient la promotion de nouvelles congrégations religieuses selon l’esprit ignacien.

Finalement, après quarante ans, par la constitution Sollicitudo omnium ecclesiarum du 17 août 1814, Pie VII révoqua le bref du 21 juillet 1773 et rétablit la Compagnie de Jésus dans le monde entier. « Nous nous croirions coupables devant Dieu d’une faute très grave, si, au milieu des besoins pressants qu’éprouve la chose publique, nous négligions de lui prêter ce secours salutaire que Dieu, par une providence singulière, met entre nos mains, et si, placé dans la nacelle de saint Pierre sans cesse agitée par les flots, nous rejetions les rameurs robustes et expérimentés qui s’offrent à nous pour rompre la force des vagues qui menacent à tout instant de nous engloutir dans un naufrage inévitable », écrira-t-il (selon une traduction du Père de Ravignan, S.J., Clément XIII et Clément XIV, Paris, Julien, Lanier et Cie éditeurs, 1854).



Le Père Ricci signa, peu de temps avant sa mort, un mémoire rendu public selon ses intentions. Il déclarait :

1° - que la Compagnie de Jésus n’avait jamais donné aucun lieu à sa suppression ; qu’il l’affirmait en sa qualité de supérieur bien informé ;

2° - qu’en son particulier, il ne croyait pas avoir mérité l’emprisonnement ni les duretés qui avaient suivi l’extinction de son Ordre ;

3° - qu’enfin, il pardonnait sincèrement à tous ceux qui l’avaient tourmenté et affligé autant par les affronts infligés à ses religieux, que par les atteintes portées à sa propre réputation.



           La prophétie qui suit fut écrite pendant la captivité de son auteur.        



Voici le texte de sa prophétie sur le Grand monarque :


>

      « Première période. - Il viendra en ce monde un nouveau Lucifer, après l’extinction de mon Ordre. Au commencement de la cinquième époque de l’état de l’Eglise, environ 1800 ans après la naissance de Jésus-Christ, les vieillards et les jeunes gens seront séduits par un démon sorti de la "secte des Porte-lumière" (Lucifériens : Francs-maçons). Ce démon sera l’esprit d’orgueil, de libertinage et d’irréligion qui, sous le nom de philosophie, règnera pendant quelques temps sur une grande partie de l’univers. Luther avait arraché le toit du sanctuaire, Calvin les murailles ; mais la philosophie et l’illuminisme en enfonceront jusqu’aux fondements. Il naîtra en France, livrée à tous les crimes et à tous les forfaits, des "coqs" (des révolutionnaires reconnaissables à leurs casquettes rouges) qui, par leurs cris physiques, mettront tout en combustion, et fascineront tellement les hommes dans le système de liberté et d’égalité, que tous les Etats seront détruits, les rois massacrés, les lys flétris et la religion catholique entièrement opprimée. L’Eglise sera aussi cruellement persécutée que du temps de Néron, de Dioclétien et de Tibère. Les prêtres, les ministres de la religion, seront tués, martyrisés, immolés ; l’autel du Seigneur sera profané par des apostats, et cette bande qui se nomme philosophe séduira tellement les peuples, dont la jeunesse sera corrompue par le matérialisme et l’irréligion, qu’ils ne voudront plus obéir, ni aux pontifes, ni aux souverains, et qu’ils rendront la vraie religion méprisable : leur vue principale sera de tout détruire et d’ériger partout des républiques. Ils s’entretueront dans les vols et les brigandages. Ils renverseront la Papauté, forceront les pasteurs à s’enfuir et disperseront le troupeau. Ce sera à cette période, qui en cruauté et en effroi n’aura jamais eu son égale, que succèdera la seconde.



      Deuxième période. – Dans celle-ci, l’humanité affligée par les guerres croira, à la fin, pouvoir jouir du repos. Il n’en sera rien puisque la misère, le brigandage continuerons toujours et ne diffèreront que de nom. Les princes allemands, déjà désunis entre eux par le luthérianisme et le calvinisme, et gagnés encore par la "secte des Porte-lumière" (Lucifériens : Francs-maçons), se sépareront de leur empereur et s’uniront, sous la protection d’un pays injuste, contre la religion catholique. Elle s’emparera de tous les archevêchés et évêchés, des communautés religieuses, de tout ce que la piété de leurs prédécesseurs aura fondé. Ils partageront entre eux ce qui restait encore, après la paix destructrice de Westphalie, à la munificence des églises et à la gloire de Dieu.



      Mais, en ce temps-là, il viendra un homme dont le nom, ce qui paraîtra incroyable, aura été à peine connu. Natif d’un pays insignifiant. Cet homme sera vainqueur d’"Autanis" (sans doute le Sud de la France, le Languedoc balayé par le vent d’Autan venu du Sud Sud-Est), de l’Italie et de plusieurs autres puissances que la justice divine a destinées à être châtiées. Il portera le nom de Monarque Fort, sera ceint d’une épée puissante. Il ne détruira pas seulement, dans un espace fort court, toutes les républiques qui se fondaient sur leur ancienneté, mais encore celles qui avaient été érigées par les disciples corrompus des soi-disant philosophes, qui n’écoutaient ni lois, ni églises, et les rendra la fable et la risée de tout le monde. Il rétablira très-promptement au milieu de ces peuples impurs et corrompus la religion catholique, quoique plutôt en faveur de ses vues politiques, et afin d’affermir la couronne dans sa famille, que par une pure et vraie intention provenant de la foi. Il choisira l’aigle ravissant pour signe, et, muni de ce signe, il règnera sur la France avec dix fois plus de rigueur qu’elle n’en éprouva sous ses rois. Il montrera ainsi aux peuples soumis à son autorité, qu’ils jouissaient autrefois de la liberté et qu’ils n’auraient pas dû en désirer une autre.



      C'est alors que viendra le Duc Fort (le Grand Monarque), sorti d'une des nobles races qui, pendant tant de siècles, demeura constamment fidèle à l'ancienne religion de ses pères, et dont la Maison a été très-affligée et réduite par la nécessité à une dure servitude.

      Les mains de ce Duc seront admirablement fortifiées, et son bras vengera la religion, la patrie et les lois. Dès ce moment on fera cause commune contre ce Monarque fort et contre les rois et les princes qui seront unis à lui. On emploiera tout l'argent et tous les moyens possibles pour lui faire la guerre ; mais il vaincra ses ennemis en pleine campagne, et les écrasera tant en Orient qu'en Occident. Alors la France, dénuée de toute défense et divisée, verra le Duc Fort, par des batailles, le feu et la misère, tirer des méchants une vengeance inouïe. Il renversera les obstacles, et donnera une partie de l’empire, situé vers le nord, à un fils de la race des anciens rois, qui, chassé de son héritage et privé de son bien propre, s’était retiré encore enfant en pays étranger.

      Malheur à ceux qui auront trahis le Lys, et l’auront privé de sa couronne ! Malheur à ceux qui se seront emparé d’un bien injuste ! Il n’y aura plus ni un nouvel Achab, ni une nouvelle Jézabel : le Duc Fort tirera une vengeance terrible de ceux qui auront trahi la patrie. Malheur aux rois et aux princes qui auront pillé l’Eglise et qui se seront emparés des états des ancêtres du Duc ! Ils le rendront au centuple. Aucune de leurs maisons ne subsistera ; leurs noms même seront effacés. Ils ne pourront se soustraire à leur punition, car le Duc Fort a juré devant Dieu qu’il ne remettra l’épée au fourreau qu’après avoir obtenu réparation suffisante pour la patrie outragée…

      La grande Babylone s’écroulera. Le Duc Fort détruira le judaïsme et anéantira l’empire des Turcs. Il deviendra le Monarque le plus puissant de l’univers, son sceptre ressemblera à celui de Manassès (roi de Judas), dans l’assemblée des fidèles qui se seront distingués par leur piété et leur sagesse. Honoré par toutes les nations et par le secours d’un saint Pape, il donnera de nouvelles lois et une nouvelle constitution. Les religieux de mon Ordre fleuriront et éteindront la "secte des Porte-lumière" ».


>

Marie de Lyon

(1843)



La petite Marie, humble domestique de Lyon et favorisée par des songes et des visions prophétiques, est décédée à Lyon, en 1843, à l’âge de 70 ans.



Cette bonne fille, humble domestique, bien connue par ses songes prophétiques, qui ont été si bien réalisés par la chute de Napoléon 1er et par le retour des Bourbons, avait aussi annoncé le retour de Lafayette comme précurseur de nouveaux malheurs révolutionnaires, comprenant la période de 1830 à 1870. On abrège avec ce qui concerne les événements accomplis, pour ne rappeler que quatre ou cinq visions relatives à des époques postérieures. Il serait difficile de les mettre en doute, vu leur accord parfait avec tant d'autres prophéties et l'exacte réalisation de ce qui regarde le temps écoulé jusqu'ici.



           Entre autres choses, on peut y remarquer l'étrange variété des costumes d'une armée, en cela semblable à celle de 1870-1871, qui n'est probablement qu'un échantillon de celle dont il est question dans son premier songe de 1815, qu'elle appelait son grand songe, et dont elle parlait souvent.



           Dans ces divers songes, elle se voyait conduite par un jeune enfant ravissant, qui lui paraissait avoir douze ans, et qui lui expliquait tout. Son directeur, l'abbé Talorel, lui avait dit en 1809 que sa maladie la ferait toujours bien souffrir, qu'elle ne pourrait plus travailler, mais que Dieu ne l'abandonnerait pas; qu'elle aurait des songes prophétiques sur la fin de la Révolution, et qu'elle prédirait l'avenir. Cette bonne fille a objecté qu'elle ne savait rien, ni lire ni écrire, et que la Révolution était finie. Sur ce, son directeur lui dit que la Révolution continuerait, et finirait comme elle avait commencé. « Vous ferez part de vos visions, ajouta-t-il, pour servir d'avertissement, et consoler ceux qui espèrent en Dieu. Inutile d'en parler aux incrédules, ils s'en moqueraient.



           Ces songes prophétiques sont au nombre de seize ; le dernier est du 15 juin 1832. Il lui est dit que, quand tous ses songes seraient accomplis, la France jouirait d'une grande paix :



        « Premier songe 1811 :



        Je me trouvais devant le pont Morand ; j'aperçus Bonaparte sur un nuage ; son épée était hors de son fourreau ; il la tenait élevée, et elle parut d'un éclat extraordinaire.



        Il fut attaqué par trois rois qui ne purent le vaincre ; une femme parut et fit vaciller son épée ; la Sainte Vierge parut presque aussitôt, lui disant, jusqu'à trois fois : Je t'abaisserai bien. Aussitôt Bonaparte fut jeté par terre, et son épée tomba de sa main. Après cela la Sainte Vierge, se tournant du côté de la ville de Lyon, lui donna sa bénédiction.



        Alors j'entendis crier : Il doit arriver de grands malheurs à Lyon, mais la ville ne périra pas, parce que la Sainte Vierge l'a bénie.



        Suit un songe très détaillé sur le départ de Napoléon pour l'île d'Elbe, la rentrée des Bourbons, les fêtes que l'on fit à cette occasion, et enfin le retour de Bonaparte de l'île d'Elbe. Il lui avait été dit que Bonaparte ne resterait que trois mois, qu'il reviendrait par la Guillotière sans qu'on tirât un coup de fusil, qu'on promènerait le buste de l'empereur en criant : À bas le Ciel ! vive l'enfer ! tout cela est arrivé comme elle l'a vu, et comme cela lui avait été annoncé.



        Elle ajoute : Il m'a été dit : Si la France ne se convertit pas, Dieu permettra que les Bourbons commettent des fautes, afin qu'elle soit punie. Elle le sera ! Elle le sera ! dit-elle, en appuyant fortement sur ces paroles menaçantes. Il doit y arriver trois miracles. Les deux premiers, on ne les comprendra pas ! Le premier sera le retour des Bourbons en France ; le second sera leur rentrée ; le troisième sera la fin de la Révolution, qui étonnera l'univers entier.



        Il m'a été dit que les méchants formeraient des projets affreux pour surprendre les bons ; qu'ils voudraient faire une fête de roi, par feintise, pour tuer les bons ; mais ils ne réussiront pas, parce que Dieu ne le permettra pas. Il me fit voir trois balles de casquettes de toutes formes ; la seconde était de toutes couleurs, retombant sur le côté ; la troisième avait la cocarde rouge sur le fond, qui retombait de côté ; et il y avait aussi dans cette balle des bonnets rouges ; Il me dit que c'était la dernière qu'ils porteraient, à l'approche du grand événement. Il me répéta encore une fois qu'ils feraient des projets horribles contre les bons, mais qu'ils ne réussiraient pas ; ils feront des listes pour aller tuer et piller ; chaque quartier aura son monde pour exécuter ces projets. À l'instant, je vis les méchants qui allaient se porter sur les maisons désignées ; ils avaient, pour signe de reconnaissance, des casquettes qui retombaient sur le côté, et dont le plat de la casquette formait une cocarde rouge. C'était par un beau clair de lune, et vers le matin; lorsqu'ils furent près des maisons, pour ainsi dire à un pied des maisons, ils furent comme renversés et saisis de vertige... Il n'arriva rien aux bons.



        Il me dit de nouveau : Beaucoup de projets échoueront ; néanmoins, le grand événement aura toujours lieu, parce qu'ils n'en seront pas moins coupables devant Dieu.



        Il me fit voir de grands magasins remplis de sacs de farine ; il y avait des messieurs habillés de noir au bas des sacs ; Il me dit que c'étaient les accapareurs. Malheur à eux ! c'est un péché horrible aux yeux de Dieu, puisqu'il blesse la charité d'une manière si grave. Je vis des étendards noirs sur les édifices. Il me dit que la peste viendrait et qu'elle n'atteindrait que les coupables ; Il ajouta : Vois-tu les accapareurs ? ils fuient, mais Dieu les atteindra.



        Je fus conduite à la plaine de Saint-Fons, où je vis les réfugiés et autres, qui formaient une armée nombreuse ; qui avaient des costumes que je n'ai jamais vus à Lyon dans aucune circonstance. Cette armée paraissait aux yeux de nos soldats plus formidable qu'elle n'était en réalité. Ce qui fixait le plus mon attention, c'était le premier rang, qui me parut si éclatant, qu'il semblait une armée céleste, tant le costume était éblouissant. L'enfant me demanda si je reconnaissais celui qui était au milieu; je dis que oui, que c'était celui qui m'avait donné de l'eau bénite à Saint-Nizier... Hé bien! me dit-il, c'est Notre Seigneur, comme homme ; il doit porter le premier coup, parce qu'il connaît le bon et le mauvais ; au même instant, je vis lancer ce coup fatal qui fut si terrible. Que c'était terrible à voir ! le sang coulait à grands flots sur la terre; je vis du même moment le même carnage le long du faubourg et du pont de la Guillotière, de la rue de la Barre et de la place Bellecour ; et ça finit là. Du moment que Dieu commença à exercer sa justice, j'entendis partir un coup de tonnerre si épouvantable que la terre en fut ébranlée ; en ce moment, Dieu permit que la moitié des figures des méchants fussent changées en bons, ce qui donna lieu à la guerre civile ; au même moment que le coup de tonnerre partira et que les impies voudront assouvir leur rage sur les bons, ce sera le signal auquel les bons reconnaîtront que l'heure est arrivée pour le grand coup. Et puis j'entendis une voix forte et terrible, qui criait : Tout est perdu! et cette voix devait être entendue de toute la ville. Alors l'enfant me fit remarquer qu'à la hauteur des maisons et au-dessus il y aurait une bataille ; que les démons se choqueraient entre eux; je les vis effectivement sous des formes d'oiseaux hideux et tout noirs ; ils jetaient des cris lugubres et épouvantables; et, battant des ailes avec force, ils allaient frapper contre les fenêtres de ceux qui n'auront cru à aucune prophétie, et qui auront méprisé les avertissements. Peu après, j'entendis une voix douce et agréable qui disait : Tout est sauvé ! et alors les  cœurs furent changés ; c'est alors que la légitimité sera ramenée par la main de Dieu, sans s'en vouloir les uns aux autres, en un mot, sans rancune.



        Je fus aussitôt conduite à la place de l'Herberie, d'où je vis des gardes nationaux tout abattus, qui revenaient de la grande bataille, et disaient : Comment peut-il se faire que nous ayons pu échapper à ce massacre ? Les uns se touchaient la poitrine, les autres le côté. Ils sentirent avec étonnement des croix, des médailles, des reliques, et s'écriaient : Ah! c'est ma fille ! ah! c'est ma femme, c'est ma soeur qui l'a placée dans mon habit sans que je le sache, et voilà ce qui nous a préservés !



        L'enfant qui me conduisait m'expliqua que les impies qui échapperont au massacre le devront aux prières des femmes pieuses de leur famille, et se convertiront. Il me dit qu'il y aurait un événement si grand, si effroyable, que ceux qui n'en auraient pas été prévenus croiront toucher à leur dernière heure et penseront être à la fin du monde. Il sera si terrible, qu'il y aura de quoi sécher de frayeur ; ce qui doit arriver sera l'image dé la fin du monde. Il me dit : Il est possible que ceci n'arrive pas aussi mauvais que je te le fais voir, parce que les prières des âmes ferventes pourront fléchir le coeur de Dieu ; mais je ne te le promets pas ; ce qu'il me répéta trois fois. Et puis, tu feras des petits songes qui t'annonceront quand le grand événement aura lieu.



        L'enfant a ajouté : C'est après cette grande bataille que la religion refleurira, et que les peuples reviendront à la foi des premiers siècles ; les Chrétiens vivront comme des saints. Il me répéta encore une fois : Tout à coup la révolution finira par un grand miracle, qui fera l'étonnement de l'univers ; le peu de méchants qui resteront se convertiront; tous ceux qui auront sur eux, des reliques, croix, ou choses bénites, ne périront pas.



        Je lui dis : Il est impossible qu'il n'y ait pas quelques bons qui périront. Il m'a répondu : Oui, il pourra y avoir quelques victimes, mais elles ne seront pas perdues pour Dieu. Il ajouta : Quand tu verras expulser les jésuites de France, tu pourras dire : Le grand événement approche. Quand tu verras faire beaucoup de banqueroutes, tu pourras dire : Il n'est pas éloigné. Il dit encore que quand on approcherait du grand événement, l'on entendrait dire qu'on ferait un camp à la plaine de Saint-Fons.



        Alors je fis de pressantes sollicitations à l'enfant, pour savoir l'année et l'époque. Je ne peux pas te le dire au juste, me dit-il ; cela dépend des prières plus ou moins ferventes des âmes pieuses, qui retarderont ou avanceront le temps. Mais l'année du grand événement présentera une récolte magnifique, et peu de monde pour la manger.



        Auparavant, tu entendras dire que le péché d'adultère est si commun, qu'on le proclame dans les rues, et aussi le péché de Sodome et de Gomorrhe sera presque public. On ne se gênera nullement, car les lieux saints n'en seront pas exemptés. En un mot, le crime sera à son comble.



        Quand le moment approchera, on n'entendra parler que d'empoisonnements, de suicides et d'assassinats ; les hommes tueront leurs femmes, les enfants leurs pères, les pères leurs enfants ; le crime se commettra avec audace, parce qu'il sera impuni. Je te préviens de tout cela. Autre preuve que l'enfant m'a donnée : dans les années qui précéderont le grand événement, il y aura des ouragans terribles, tant du nord que du midi ; ils feront un ravage affreux. Tous les vents seront déchaînés et gronderont. avec fureur ; ils abattront des maisons, des murailles, des arbres ; et l'on ne reconnaîtra pas le doigt de Dieu ; l'on ne se convertira pas.



        Dans mon quatrième songe, je me trouvais aux Brotteaux ; je vis venir mon bel enfant, habillé en berger, ayant une baguette à la main. Il conduisait un troupeau de vaches, dont les unes étaient très grasses, et les autres très maigres ; il les compta devant moi, et me dit : Remarque bien que leur nombre signifie les années qu'il y a à parcourir jusqu'au grand événement ; les grasses indiquent, les années fertiles, et les maigres les années stériles. Mais je ne me souviens pas de leur nombre. Il me fit surtout remarquer l'avant-dernière, qui semblait un squelette par sa maigreur, il me dit : l'année qui devancera le grand événement sera très chétive ; encore elle ne sera pas de garde ; les fruits se corrompront. Mais la dernière me parut belle et grasse ; l'année du grand événement, la récolte sera magnifique, mais peu de gens resteront pour la manger.



        Neuvième songe : Je me trouvais dans l'église souterraine des Martyrs de Lyon. M. Ducoin, aumônier du rosaire à Saint-Pierre, y disait la messe. Il passa derrière l'autel, et prit dessous un grand bras d'homme vivant. Il le montra aux assistants, en disant : Voilà ce grand bras vengeur, il viendra un jour venger la mort de son père ; non, il n'est pas mort. Ensuite il donna la bénédiction avec ce bras, le remit où il l'avait pris, et dit : Le voilà encore caché pour quelque temps, mais il n'est pas mort.



        Dans les songes onzième, douzième et treizième, il est dit qu'à l'approche du grand événement il y aurait une grande misère et une grande mortalité. Elle vit une lumière éclatante sur l'église de Fourvière. Il lui dit que la Sainte Vierge avait béni la ville, et qu'il ne faudrait pas quitter Lyon, que ce serait manquer de confiance. Il lui est encore dit qu'en approchant du grand événement, il y aura des signes dans le ciel ; qu'à peine si on reconnaîtrait le saint jour du dimanche, tant l'impiété sera à son comble. Presque tous les magasins seront étalés comme les autres jours ; en un mot, il ne restera plus de foi. Enfin, au moment du grand événement, les républicains mettront en avant toute la populace, parce qu'ils craindront pour eux-mêmes le massacre et le pillage. La France sera entourée d'ennemis sans que le peuple en soit averti ; les autres peuples seront également châtiés ; mais on ne m'a pas dit comment.



        La petite Marie ajoute : Après que tous ces songes seront accomplis, on me fit voir le bonheur dont jouiraient les personnes qui survivront. Il était réellement complet; la joie était indicible, mais il est impossible que je puisse l'exprimer, tant elle était grande ! ce n'était qu'actions de grâce à Dieu en reconnaissance de tous ses bienfaits ; ce n'était que félicitations réciproques ; on se visitait, on s'embrassait, tant on était content de se revoir ; en un mot, la joie était à son comble, et la jubilation était parfaite.



        Dans la soirée du 25 août 1832, au moment où je venais de me mettre au lit, mon bel enfant m'apparut, et me montra un tableau d'un blanc éblouissant, où étaient six fleurs de lis, en relief et très grosses ; il y en avait aussi une fort petite, un peu plus éloignée des autres. Le tout était d'un blanc éblouissant. L'enfant me dit, avec une grâce charmante que je ne lui avais jamais vue : Voilà un tableau qui te représente la famille aînée des Bourbons. En me disant cela et tenant le tableau à la main, il se promenait autour de la chambre. Ensuite, il s'approcha de mon lit, et m'en faisant remarquer le nombre : II y en a six, dit-il. — Mais, lui dis-je, il y en a sept. — Celle-ci n'est pas de compte, — en me montrant la petite. Le lendemain, j'entendis une voix qui me dit : Le tableau que je t'ai fait voir hier t'annonce le retour de la famille entière des Bourbons. C'est bientôt qu'ils viendront ; de près ! de près ! »

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L’Extatique de Tours

(1873)



Tout ce que nous savons de cette religieuse favorisée d’extases, c’est qu’elle était dirigée par un prêtre du Tiers-Ordre de Saint François, qui, sous le pseudonyme de Paul de Jésus et sous le titre : « La veille de la Victoire du Christ », sans aucun commentaire, publia en 1882, les révélations de sa pénitente.

Voici, mises en ordre, les principales prophéties de l’Extatique de Tours ; elles datent des années 1872 et 1873 :



« Les prédictions de La Salette ne sont accomplies qu'à moitié ; elles vont s'accomplir en entier...



Jésus m’a dit que si la France s’était convertie, si elle avait reconnu la main de Dieu qui la frappait en 1870-1871, Il lui aurait épargné de terribles châtiments qu’il a dessein de lui envoyer bientôt.



Dans quelques temps, ce ne sera pas le jugement dernier mais quelque chose qui lui ressemble bien. Ces châtiments seront si terribles qu’ils ressembleront au jugement dernier et que l’on se croira à la fin du monde.



A l'approche de ce grand événement, des phénomènes extraordinaires paraîtront dans le ciel ; un grand personnage se convertira à Paris ; on parlera de faire un camp dans la plaine de Saint-Fons, près de Lyon et Lyon dont les fortifications ne seront pas finies, sera entou­ré de grands appareils de guerre.



L'année qui précédera le grand événement sera très mauvaise. L'année au contraire où il aura lieu, offrira une récolte magnifique; mais il ne restera pas assez de monde pour en consommer l'abondance.



Vers ce temps, les méchants adopteront pour se reconnaître des casquettes à fond plat, rouges et retombant sur le côté.



Ces évènements dureront aussi longtemps que nos péchés. Ce seront, deux, trois années d’angoisse et d’affreuses douleurs qu’il faut pourtant subir.



Dieu veut nous rendre victorieux, mais il faut que le pécheur revienne à son Dieu. Jésus m’a dit qu’il veut bien pardonner à son peuple, mais les pécheurs ne lui demandent pas pardon.



        Les pécheurs ne veulent pas se convertir. Dieu les forcera bien à observer ses Commandements. Que voulez-vous que Dieu fasse d’un peuple qui ne veut pas Le servir ?



Les pécheurs se convertiront, lorsqu'ils auront fait tout le mal possible et que Dieu, dans Sa justice, les jettera par terre.



Jésus veut prolonger nos malheurs. Il nous en délivrera quand nous serons convertis, quand les prêtres seront ce qu’ils doivent être, pleins d’amour de Dieu et de zèle pour le bien des âmes, quand les chrétiens seront de vrais chrétiens.



Jésus m’a dit que les péchés qui excitent le plus sa colère, ce sont les outrages qu’Il reçoit dans l’Eucharistie et la profanation du saint jour du dimanche.



Il m’a dit qu’Il souffrait aussi beaucoup de la part d’un grand nombre de ses prêtres. Il veut punir les religieux qui ne sont pas selon son cœur ; les religieux et les prêtres qui ne sont pas vraiment bons prêtres périront dans la catastrophe prochaine.  



        Il périra aussi des bons prêtres, parce qu’il veut des victimes pures pour apaiser sa justice.



Jésus m'a dit qu'Il épargnerait les bons comme pour former un monde nouveau. Néanmoins il périra un grand nombre. Mais le nombre des méchants qui périront sera si grand, qui Dieu seul pourra les compter.



Il n’y a pas que la France qui soit coupable ; elle ne sera pas la seule punie ; d’autres peuples vont se troubler en même temps. Mais, pour convertir tous les peuples, il faut que Dieu, dans sa miséricorde, nous envoie le fracas du tonnerre.



Le souffle de la colère de Dieu se fera sentir presque dans tout l’univers.



        Il y aura des maladies sur les enfants qui mourront en grand nombre dans les villes et dans les campagnes. Même dans le moment des malheurs beaucoup seront malades. Là où la révolution n’aura pas fait grand ravage, les enfants mourront en plus grand nombre. C’est un fléau du Ciel !  



        En ce moment-là, les vieillards mourront de maladies causées par la frayeur des malheurs. Dieu semble ne rien vouloir épargner par la peste et la famine, ni le juste, ni le méchant. La récolte manquera, mais il mourra tant de monde qu’elle suffira pour ceux qui resteront.



        Le peuple sera malheureux, si malheureux, que dans son malheur, il reconnaîtra que c’est la main de Dieu qui l’a frappé.  



        Avant que la guerre recommence, nous aurons à souffrir de la cherté et de la rareté des vivres. Les ouvriers n’auront presque pas de travail et les pères de famille entendront leurs enfants crier et pleurer, demandant le pain qui doit entretenir la vie, mais ils n’auront pas de quoi les entretenir.



Avant que ces évènements n’arrivent, il y aura des signes dans le soleil, puis des tremblements de terre. Il y aura aussi des ténèbres de la nuit vers la fin des événements.



        Puis, lorsque nous croirons être en paix, au moment où nous y penserons le moins, viendront les grands évènements. La révolution éclatera en Italie, presque en  même temps que chez nous. Nous serons quelque temps sans avoir de Pape. L’Angleterre sera, elle aussi, bien troublée.



        La révolution s’étendra dans toutes les villes de France. C’est un carnage complet. Cette révolution ne durera que quelques mois ; néanmoins, elle sera effroyable ; le sang coulera partout, car la malice des méchants sera à son comble. Le nombre des victimes sera incalculable. Paris sera un vrai carnage.



        La persécution contre l’Eglise sera encore plus grande. La révolution lui causera tant de mal ! Cela ne durera pas. Les églises seront fermées très peu de temps dans les villes où il y aura peu de mal. Les prêtres devront se cacher autant qu’ils le pourront. Les prêtres en cure seront plus épargnés que les autres. Les méchants voudront détruirent tout ce qui concerne le culte chrétien, mais ils n’en auront pas le temps.



        Plusieurs évêques et un grand nombre de prêtres seront mis à mort. L’archevêque de Paris sera mit à mort. Un grand nombre de prêtres seront égorgés à Paris parce qu’ils n’auront pas eu le temps de se cacher.



        La révolution fera beaucoup de mal à l’Eglise. A Paris surtout, le bouleversement sera terrible. Les méchants voudront incendier les églises, détruire nos institutions chrétiennes pour planter sur ces ruines, l’hérésie et le mensonge.



        Là où Dieu aura été le plus offensé, là arriveront les plus grands maux. Les méchants seront les maîtres pendant un an et quelques mois. La France, dans ce moment-là, n’aura aucun secours humain. Elle se trouvera seule, sans protecteur. C’est à ce moment-là qu’elle se souviendra de Dieu, qu’elle aura recours au Cœur de Jésus et à Marie Immaculée.



        Ils reconnaîtront enfin que c’est Lui qui pourra rétablir la paix et le bonheur.



        C’est alors que les Français voudront le bon roi. Ils iront chercher celui qui est désigné pour être roi de France. C’est alors, à la fin de nos maux, qu’il viendra, ce sauveur que Dieu réserve à la France, ce Roi dont on ne veut pas maintenant, parce qu'il est selon le Cœur de Dieu. C'est lui qui montera sur le Trône, délivrera l'Église, et rétablira le Pape dans ses droits. C’est alors qu’on criera : " Vive le Roi blanc ! "  La France sera sauvée par un miracle.



Le bon roi ne viendra qu’après les malheurs, car lorsque nous serons au pouvoir de l’ennemi, notre grande misère nous fera recourir au Dieu juste et plein de miséricorde pour les pécheurs, et ce n’est qu’après ces malheurs que le roi viendra pour nous sauver.



C’est lui qui remettra la France dans sa première grandeur. Il est selon le Cœur de Jésus. Le drapeau de la France sera le drapeau blanc avec le Sacré-Cœur de Jésus.



Le Concile recommencera après le triomphe. En ce temps-là, les hommes seront obligés d’obéir. Il n’y aura qu’un seul troupeau et un seul Pasteur. Les hommes reconnaîtront le pontife comme le Père universel, le roi des peuples. Ce sera la régénération du genre humain.



L’époque des évènements terribles a été retardée plusieurs fois à cause de la prière des bons ; car Dieu est si bon, que dans sa miséricorde, il nous avertit avant de nous frapper. Après ces grands malheurs, Dieu sera connu et aimé. Mais les malheurs seront grands. Aussi, on ne peut pas y croire ou plutôt, on n’ose pas y penser. Et pourtant, cela va arriver, nous y touchons ».


....

Mon petit commentaire : Esprit de Dieu, viens sur nous !

Je dois ces prophéties à mon ami Hercule, spécialiste des prophéties, que je remercie au passage. Cela est un peu  long à lire, mais tellement éclairant...

Françoise.
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