Coeurs unis en Jésus et Marie
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 Maria Sima

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MessageSujet: Maria Simma et les âmes du purgatoire    Maria Sima  EmptySam 02 Fév 2013, 15:21

Peux-être que comme moi, vous appréciez Maria Simma.

Elle faisait des conférences sur les âmes du purgatoire en accord avec son directeur spirituel et son évêque.


Dans un livre intitulé 'Dernières révélations de Maria Simma", il est question du purgatoire :
C'est un journaliste qui l'interroge.


LE PURGATOIRE

Maintenant, dites-moi exactement, je vous prie, ce qu’est le Purgatoire.


Le Purgatoire est un lieu et un état que connaît chaque âme qui a encore besoin d’expiation et de réparation pour les péchés commis durant sa vie, avant de pouvoir rejoindre Jésus au Ciel. On enseigne très peu de choses sur le Purgatoire de nos jours et, parce qu’on en parle peu, cela conduit beaucoup plus de gens à devenir personnellement plus curieux; sans direction spirituelle, ils tombent alors facilement dans les pratiques occultes. On dit habituellement que le Purgatoire n’est qu’une condition. Ce n’est que partiellement vrai car le Purgatoire est aussi, sans aucun doute, un lieu. C’est également un temps d’attente durant lequel les âmes languissent après Dieu. Cet ardent désir de Dieu est leur plus grande souffrance. Toutes les Pauvres Ames vivent cela, peu importe le niveau où elles se trouvent.

Il existe trois grands niveaux au Purgatoire, et les âmes qui me visitent sont celles à qui il manque relativement peu de chose pour accéder au Ciel.

Je crois cela à cause de ce qui s’est passé lorsque j’ai été appelée par le propriétaire d’une maison où des choses étranges se produisaient la nuit. J’ai accepté d’aller y passer une nuit pour voir si je pouvais l’aider. Il n’a pas fallu attendre longtemps pour qu’un bruit lourd et sourd se fasse entendre dans le hall. Comme je le fais d’habitude, j’ai demandé : « Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? » Mais les coups sont devenus de plus en plus forts et un énorme animal que je n’avais jamais vu est apparu soudain, et juste derrière lui un grand serpent qui a rapidement dévoré le premier animal. Puis toute la scène a disparu. J’ai dû avoir un peu peur parce que j’étais en sueur lorsque tout s’est terminé. J’en ai parlé plus tard à un homme qui connaît bien ce genre de choses et c’est lui qui a identifié le premier animal. C’était un hippopotame, qui symbolise la dureté de cœur. Cela ne veut pas dire que la femme était au Purgatoire sous la forme d’un hippopotame; c’était seulement une façon de me faire comprendre ce cas plus clairement. Après avoir longuement parlé avec le veuf, il est bientôt devenu très clair que sa femme avait entretenu une animosité contre une autre femme durant une trentaine d’années, alors que cette dernière avait désiré faire la paix entre elles. Ce refus de pardonner lui avait valu les profondeurs du Purgatoire d’où j’avais été incapable de la délivrer.

Je crois ne rencontrer habituellement que les âmes des niveaux les plus élevés du Purgatoire grâce à ce que j’ai vu dans un journal tenu par une princesse allemande des années vingt. Elle a vu durant plusieurs années les âmes des niveaux les plus bas du Purgatoire et la plupart de ses descriptions sont absolument monstrueuses, et beaucoup plus pénibles que celles que j’ai pu voir. (Meine Gespräche mit armen Seelen, Eugenie von Leyen, Christiana Press, CH-8260 Stein-am-Rhein, Switzerland (1979))


Quelle autre différence y aurait-il entre les niveaux du Purgatoire?


Tout en bas, Satan peut encore attaquer les âmes alors qu’il ne peut plus le faire aux niveaux supérieurs. Il est vrai que nous sommes mis à l’épreuve ici sur terre et que les épreuves cessent à notre mort. Cependant, les âmes au troisième niveau inférieur du Purgatoire doivent expier les péchés commis avant que nos prières, nos messes et nos bonnes actions puissent leur profiter. Et une partie de la souffrance à ces niveaux est de continuer à subir les attaques de Satan.

Les nombreux niveaux du Purgatoire diffèrent de la même manière que toutes nos maladies sur terre sont différentes. L’une peut consister en une simple irritation de l’ongle alors qu’une autre peut consumer le corps tout entier comme un feu. Ce feu n’existe qu’aux derniers étages inférieurs du Purgatoire, mais pas aux plus élevés.


Nos prières peuvent-elles empêcher Satan d’attaquer ceux qui sont tout au fond du Purgatoire ?


Oui, elles le peuvent; spécialement si on le demande à saint Michel Archange et aux anges d’un rang moins élevé.


Et entre ces trois grands niveaux, il existe encore d’autres degrés ?


Oui, en grand nombre, parce que chaque âme est tellement différente d’une autre quand elle arrive là. Il existe des grandes et des petites souffrances, et toute une gamme de souffrances intermédiaires. Il y a probablement là autant de niveaux qu’il y a d’âmes parce qu’il n’existe naturellement pas deux personnes ou deux âmes qui soient identiques.


Lorsque les Pauvres Ames souffrent, peuvent-elles quand même connaître la joie et l’espérance ?


Oui. Jamais une âme ne souhaite revenir ici sur terre parce qu’elles ont une conscience de Dieu beaucoup plus claire que la nôtre. Elles ne veulent jamais revenir dans les ténèbres où nous vivons.


Alors Dieu place là les âmes pour les purifier des péchés qui n’ont pas encore été expiés et réparés ?


Non. C’est habituellement ce qu’on enseigne et c’est incorrect, et ce genre d’enseignement peut facilement faire fuir les gens. Ce n’est pas Dieu qui les place là! Les âmes se jugent et s’assignent elles-mêmes le niveau approprié. Ce sont elles qui veulent se purifier avant de rejoindre Dieu. Il est très important de prendre conscience de cette vérité particulière sur l’amour de Dieu.


C’est donc nous qui reconnaissons que nous ne sommes pas assez purs et que nous avons, par conséquent, besoin de purification au Purgatoire ?


Oui, c’est exact.


Les âmes se révoltent-elles parfois contre leur état? Sont-elles patientes ou est-ce que certaines refusent l’état dans lequel elles sont?


Non, elles sont patientes et veulent souffrir, sachant qu’elles peuvent ainsi expier et faire réparation pour tout. Elles deviennent pures pour se présenter devant Dieu dans tout leur éclat. Plus elles expient et réparent, plus elles deviennent pures.


Les souffrances du Purgatoire sont-elles plus grandes que celles que nous connaissons sur terre ?


Dans l’ensemble, elles sont plus grandes, et parfois beaucoup plus grandes, spécialement au troisième niveau. Les âmes souffrent plus spirituellement que nous.
Lorsque j’ai demandé un jour à quelqu’un de quoi il souffrait, il m’a répondu que c’était une souffrance très particulière. Par exemple, un père trop paresseux pour subvenir aux besoins de sa famille qui avait beaucoup souffert à cause de lui devait travailler beaucoup au Purgatoire. Ce genre de souffrance sera beaucoup plus grand que celui que le corps connaîtrait ici en travaillant. Mais les souffrances de la terre, bien qu’elles soient moins dures, ont beaucoup plus de valeur pour effacer nos péchés que celles du Purgatoire.


Si le Purgatoire est aussi un lieu, est-ce que les Pauvres Ames passent ce temps dans des endroits particuliers ici sur terre ?


Oui, il semble qu’elles se réunissent le plus souvent autour de l’autel ou séjourent à l’endroit où leur corps est mort. Je connais une femme au Liechtenstein qui les voyait autour de l’autel, et lorsqu’elle ne les y apercevait plus, elle savait qu’elles étaient entrées au Ciel.
Ce n’est pas du Purgatoire que les âmes viennent vers moi ou à nous, elles viennent à nous avec le Purgatoire. Le Purgatoire, c’est beaucoup d’endroits différents, ce n’est pas un endroit en particulier; et bien des états différents, et non un état particulier.


Si le Purgatoire est un grand nombre de lieux ou un grand espace, alors est-ce que le Ciel et l’Enfer sont aussi des lieux ?


Oui. Mon directeur spirituel m’a demandé de poser la question et la réponse à été: « Ce que beaucoup de théologiens enseignent aujourd’hui est faux lorsqu’ils disent que le Ciel, le Purgatoire et l’Enfer sont simplement des états. Ce sont également des lieux. »


Combien de temps les âmes doivent-elles rester là avant de pouvoir entrer au Ciel ?


Oh! Ça varie beaucoup. Certaines y sont simplement pour une demi-heure, d’autres jusqu’à la fin des temps, jusqu’au dernier jour. En moyenne quarante ans, me disent les âmes.


Il y aura donc un dernier jour ?


Oui.


Est-ce qu’une Pauvre Ame peut voir les autres et communiquer avec elles?


Elles sont toujours conscientes de la présence des autres et savent qu’elles n’étaient pas seules lorsque beaucoup ont collaboré pour faire quelque chose, mais elles ne communiquent que rarement entre elles.


Maria, est-ce qu’elles peuvent lire?


Oui, elles lisent spirituellement. Je le sais parce que lorsqu’elles viennent à moi je n’ai pas à lire les noms ou les questions que je dois leur poser, elles les prennent simplement sur la feuille.


Que savent-elles sur leurs familles ?


Je dirais presque tout. Elles nous voient tout le temps. Elles entendent chaque mot que nous prononçons sur elles et elles connaissent nos souffrances. Mais elles ne connaissent pas nos pensées.
Elles regardent leurs propres funérailles et savent qui est là pour prier ou pour être vu par les autres.


Ces âmes savent-elles ce qui va se passer dans le monde ?


Oui, elles savent certaines choses, mais pas tout. Elles m’ont dit que quelque chose de grand était à nos portes, pour bientôt. Elles disaient depuis longtemps que c’était « devant nous », mais depuis mai 1993, elles utilisent l’expression « à nos portes ». Ce sera pour la conversion de l’humanité. Elles m’ont dit aussi des choses moins importantes avant qu’elles n’arrivent.
En 1954, elles m’ont prévenue durant l’été des inondations qui ont fait tant de dégâts dans la région. Elles m’ont également dit, après une avalanche, qu’il restait encore des gens en vie dans la neige; j’ai demandé aux secouristes de poursuivre les recherches deux jours de plus que prévu et ils ont bien retrouvé des personnes vivantes.


On dit que le temps n’existe plus après cette vie, mais vous dites que le Purgatoire est un temps durant lequel on languit après Dieu.
Pourriez-vous vous expliquer ?


Il est juste de dire que le temps n’existe plus après cette vie, mais lorsqu’on dit qu’une âme doit souffrir un certain temps au Purgatoire, c’est une façon de traduire cela en temps pour nous. Elles peuvent aussi dire qu’elles doivent encore souffrir, qu’elles ne peuvent pas encore être délivrées ou que leurs souffrances ont diminué. Lorsqu’une période de temps est donnée, ou un certain nombre de messes, cela symbolise l’intensité et la somme des souffrances.


Les Pauvres Ames ont-elles un corps comme le nôtre ou est-ce un corps différent, disons, spirituel?


Elles disent qu’elles ne remarquent pas qu’elles n’ont pas leur corps avec elles. Elles ont un corps transfiguré et il peut prendre la forme d’un corps humain guéri et habillé.


Les âmes regrettent le mal qu’elles ont commis. Est-ce qu’elles regrettent aussi les choses qu’elles n’ont pas faites lorsqu’elles étaient ici-bas ?


Oui, beaucoup. Elles regrettent les occasions qu’elles ont laissé passer de faire le bien pour Dieu et leur prochain, et elles voient alors tout le bien qui en serait sorti. En mourant, nous perdons la possibilité de faire de bonnes actions. Les âmes du Purgatoire ne peuvent plus mériter comme nous le pouvons ici.
On dit aussi que les anges nous envient parce que nous pouvons faire des bonnes actions pour Dieu, alors qu’eux-mêmes ne peuvent pas gagner ainsi plus de mérites. (rire)


Qu’est-ce qui se passe lorsque ceux qui savent que le Purgatoire existe continuent quand même à pécher en pensant que ça ne sera pas si grave ?


Ils le regretteront amèrement! Beaucoup plus encore que ceux qui commettent le même péché sans connaître son existence.


Quelle est là raison la plus profonde de tout ce que vous vivez ?


Dieu a permis tout cela pour qu’à travers mon apostolat les autres puissent clairement comprendre que la vie nous est donnée ici-bas dans le seul but de pouvoir gagner le Ciel. Notre raison d’être ici est de faire du bien à notre prochain afin d’être avec Dieu, ici, maintenant, et plus tard dans l’éternité. Par cette prise de conscience, la vie devient de plus en plus précieuse pour chacun et l’absurdité de ce qu’en font un grand nombre de personnes devient également beaucoup plus claire. Cela nous montre l’immensité de l’amour de Dieu et la glorieuse beauté que peut être la vie lorsque nous collaborons avec Dieu. Ce qui m’a été montré peut et devrait donner aux gens une orientation claire dans la vie, s’ils veulent participer à la volonté céleste de Dieu et à sa beauté finale.


Et si vous deviez résumer ce que vous avez vous-même appris au cours de ces nombreuses années d’une expérience fort rare ?


À aimer Dieu de toutes mes forces.

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MessageSujet: Maria Sima - la confession    Maria Sima  EmptyDim 03 Fév 2013, 08:46

Maria Simma aborde le sujet de la confession. Cela nous concerne tous.

LA CONFESSION

Les Pauvres-Ames-vous ont-elles parlé du sacrement de réconciliation, ou de la confession?

Oh! Oui, elles en ont souvent parlé. Elles s’attristent beaucoup de ce que ce sacrement soit maintenant si impopulaire, si négligé. Ce don de Dieu est si grand que seul Satan pourrait vouloir le détruire. Et je crains ici encore qu’il y soit bien parvenu.

La confession, comme on devrait l’appeler, est une chose vers quoi il faudrait courir et non pas, comme Satan le souhaite, quelque chose que nous devrions craindre. Ne vous inquiétez pas, il n’y a rien que vous puissiez dire à un bon prêtre qu’il n’ait déjà entendu. Un bon prêtre sait très bien qu’il est lui-même, avec tout ce qu’il a appris et reçu, un bien plus grand pécheur que vous ne l’êtes. C’est une grande joie pour Jésus et tous les habitants du Ciel lorsque nous lui apportons nos blessures et nos faiblesses.

Les Pauvres Ames m’ont dit que soixante pour cent des dépressions du monde entier disparaîtraient si les gens voulaient profiter de ce grand don. Naturellement, beaucoup de médecins et de compagnies pharmaceutiques feraient faillite si tout le monde allait régulièrement à confesse. Notre Seigneur peut sauver qui Il veut et guérir ce qu’Il veut, à condition qu’on veuille faire appel à Lui! Notre-Dame a dit, et je crois que c’est à Medjugorje, que la confession mensuelle pourrait guérir l’Occident.

La confession est très mal comprise. La plupart n’ont pas de difficulté à discerner le mal du bien, mais cela devient beaucoup plus intéressant et bien plus exigeant lorsqu’il s’agit de différencier entre ce qui est bien et ce qui est mieux. La confession ne nous est pas donnée pour avouer que nous avons dévalisé une banque, car les voleurs de banque sont en réalité peu nombreux. Elle est surtout là pour nous permettre de chercher des façons de devenir toujours meilleurs aux yeux de Dieu: au cours du mois dernier, comment aurais-je pu agir plus saintement? Voilà ce que nous devons nous demander, et je défie n’importe qui d’affirmer qu’au cours du mois qui vient de s’écouler il a tout fait comme Jésus l’aurait fait.

L’humilité nous vaut les plus grandes des grâces. Jésus accorde les plus grandes choses aux humbles de cœur. La confession nous rappelle continuellement la petitesse que Jésus désire pour nous afin qu’Il puisse nous faire des dons énormes.

Que répondriez-vous à tous ces gens qui disent, et avec sincérité, qu’ils n’ont pas besoin d’un prêtre pour se confesser, qu’il n’est pas nécessaire de tout raconter à une autre personne et qu’ils peuvent eux- mêmes s’adresser directement à Dieu?

Si c’était vrai, les psychiatres et les psychologues ne feraient pas d’aussi bonnes affaires. Le plus intelligent comme le plus simple pourraient aller voir le même prêtre, et être tous deux également émerveillés des fruits et des grâces qui découleraient de cette brève et libre rencontre avec Jésus. Tout être humain éprouve le même besoin de confesser sa culpabilité et ces interminables et très onéreux groupes de rencontre et thérapies ne seraient nullement nécessaires si seulement les gens allaient à Jésus! Qui plus est, les grandes grâces ne viennent pas de là, elles ne viennent pas des docteurs ou des laïcs séculiers, elles viennent de Jésus et uniquement de Jésus! Il est si facile d’amener les gens à se duper eux-mêmes.

Ne croyez-vous pas que Celui qui, pour commencer, nous a donné la vie, n’est pas également capable de nous donner infiniment plus que ce verbiage de la majorité des psychologues sur « la façon de faire face » ? Que Dieu les bénisse! La plupart n’osent même pas aborder la réalité du péché, comment pourraient-ils évoquer la réalité du pardon? Ils doivent compter sur une clientèle d’habitués, et le refus d’aller se confesser leur garantit l’achat de leur prochaine grosse voiture. Ils prospèrent à cause de nos péchés alors que Jésus est mort pour que nous puissions les vaincre et les effacer à jamais!

Et si l’on réplique que Jésus n’a jamais enseigné que nous devions entrer dans un confessionnal pour se confesser?

C’est exact. Je leur suggère alors d’aller se confesser à un prêtre à voix haute, mais en public. Le fait est qu’il faut que ce soit à voix haute. Jésus nous a dit de nous repentir et si nous le faisons il enlève nos péchés, et c’est alors seulement que Satan ne les connaît plus. Il ne peut plus s’y attacher ou attaquer la personne par ce maillon brisé ou affaibli entre Dieu et nous.

Mais c’est un prêtre qui est dans le confessionnal, ce n’est pas Jésus.

En êtes-vous bien sûr?

Une grand-mère italienne voulait amener son petit-fils de huit ans à Padre Pio pour sa première confession. Elle était naturellement très excitée en arrivant dans son église. L’enfant est donc allé se confesser et il en est ressorti rayonnant de joie. La grand-mère connaissait Padre Pio Elle savait qu’il était petit, rondelet, un peu chauve, avec les yeux noirs, et qu’il avait environ soixante-cinq ans; mais elle a quand même demandé à l’enfant: « Allez, raconte-moi, de quoi est-ce qu’il avait l’air? ». Très calmement et en détail le jeune garçon lui a répondu:
« Oh il était grand et bien bâti, avec les yeux bruns; il avait de longs cheveux châtains et il devait avoir environ trente ans. »

Vous plaisantez !

Non. Ces choses-là arrivent souvent dans des lieux très saints et où l’on prie beaucoup.

Permettez-moi de vous présenter un cas hypothétique et de vous demander ensuite votre avis. Prenons deux familles. Les deux mènent des existences relativement bonnes et saines. Une de ces familles va se confesser de façon assez régulière tandis que l’autre n’y va pas. Y aura-t-il des différences chez leurs descendants et, si oui, quelles seront-elles?

La première famille aura une base solide pour se rapprocher toujours plus de Jésus au cours des générations, tandis que l’autre aura des fardeaux qu’elle n’aurait pas eu à porter si les parents étaient allés se confesser régulièrement. Ces fardeaux comprendront des maladies et des faiblesses qui auraient pu être évitées. L’attitude équilibrée et continuellement pénitente de la première famille apparaîtra dans la force et la foi de leurs descendants, alors que ceux de l’autre famille seront bien plus vulnérables aux attaques de Satan.

Êtes-vous en train de nous dire que les gens auxquels on rappelle constamment leur condition de pécheurs finissent par être en meilleure santé que les autres?

Oh! Oui! Avec l’humilité de la confession, la prière et l’amour de Dieu qui en résultent, une force et un équilibre se développent qui constituent des gens beaucoup plus sains. Ce qui veut dire en meilleure santé émotionnelle, mentale et physique. Et cela se transmet à travers les générations.
Nous pouvons donc avec notre amour, nos prières et la confession garantir une santé meilleure à nos enfants, nos petits-enfants et nos arrière-petits-enfants?

Oui, exactement. Une partie beaucoup trop grande de la médecine aujourd’hui se limite à réparer les dégâts. Si les bons médecins d’aujourd’hui, dans tous les domaines, devaient consacrer le même temps et la même énergie à la prévention - la prévention telle qu’elle nous est demandée dans les Dix Commandements - le monde n’aurait qu’une fraction des maladies qu’il connaît aujourd’hui. La médecine préventive ne coûte rien et, de plus, elle nous fait prendre conscience beaucoup plus clairement de l’immensité de l’amour de Dieu pour nous. Ce n’est pas un jeu de Dieu; il est plein de joie lorsque nous sommes remplis de la paix et de la joie qui en résultent. Tout ce que Dieu veut, c’est que nous soyons heureux, libres et en bonne santé!

Pourriez-vous alors nous expliquer le rôle de la contrition et du repentir au moment de la mort?

Avec une bonne confession, une contrition sincère et une totale honnêteté, toute culpabilité est enlevée, mais il reste la réparation. Nous ne sommes pas complètement libérés de ces péchés. Et pour obtenir une absolution totale, l’âme doit être libre de toute dépendance.
Par exemple, si une mère devait mourir en laissant de nombreux petits enfants, elle devrait s’abandonner au point de pouvoir dire véritablement, « Mon Dieu, je vous donne tout, que votre volonté soit faite ». Et cela peut être très, très difficile.
La liberté, après avoir payé jusqu’au dernier centime, comme Jésus l’a dit, est entre Dieu et nous, entre nous et les autres, avec réparation supplémentaire et une libération totale de toute forme de dépendance vis-à-vis des choses autres que Dieu lui-même.

Ainsi, pour être entièrement libre de tout péché, c’est réellement un processus à trois volets. Est-ce exact?

Oui. Premièrement une réparation entre nous-mêmes et Dieu, puis une réparation entre nous et les personnes que nous avons blessées, ce qui signifie toujours aussi nous-mêmes, et, finalement une réparation sous forme de prières et de bonnes œuvres. Le péché ne doit pas simplement être effacé, il a aussi besoin d’être réparé.

Ceux qui ne sont ni catholiques ni chrétiens devraient-ils aussi aller se confesser?

Oh! Oui! Tout bon prêtre qui veut faire ce que Jésus lui a demandé ne renverra jamais personne. Si cela devait arriver, je conseille d’aller voir ailleurs et de prier pour ce prêtre. Peu importe le pénitent, la manière dont il a été élevé ou son origine, la seule chose nécessaire est un profond regret pour tout ce que l’on a fait de mal. Ce pénitent trouvera bientôt un prêtre selon le cœur de Jésus. Je peux l’en assurer. Bien que les non-catholiques ne puissent pas recevoir le sacrement de confession, aller se confesser leur fera à l’âme un bien immense! Je peux le leur promettre, et si un non-catholique allait se confesser, les grâces qu’il recevrait de Dieu seraient très, très grandes.
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MessageSujet: Re: Maria Sima    Maria Sima  EmptyDim 03 Fév 2013, 20:33

Maria Simma aborde le sujet de la confession. Cela nous concerne tous.

LA CONFESSION

Les Pauvres-Ames-vous ont-elles parlé du sacrement de réconciliation, ou de la confession?

Oh! Oui, elles en ont souvent parlé. Elles s’attristent beaucoup de ce que ce sacrement soit maintenant si impopulaire, si négligé. Ce don de Dieu est si grand que seul Satan pourrait vouloir le détruire. Et je crains ici encore qu’il y soit bien parvenu.

La confession, comme on devrait l’appeler, est une chose vers quoi il faudrait courir et non pas, comme Satan le souhaite, quelque chose que nous devrions craindre. Ne vous inquiétez pas, il n’y a rien que vous puissiez dire à un bon prêtre qu’il n’ait déjà entendu. Un bon prêtre sait très bien qu’il est lui-même, avec tout ce qu’il a appris et reçu, un bien plus grand pécheur que vous ne l’êtes. C’est une grande joie pour Jésus et tous les habitants du Ciel lorsque nous lui apportons nos blessures et nos faiblesses.

Les Pauvres Ames m’ont dit que soixante pour cent des dépressions du monde entier disparaîtraient si les gens voulaient profiter de ce grand don. Naturellement, beaucoup de médecins et de compagnies pharmaceutiques feraient faillite si tout le monde allait régulièrement à confesse. Notre Seigneur peut sauver qui Il veut et guérir ce qu’Il veut, à condition qu’on veuille faire appel à Lui! Notre-Dame a dit, et je crois que c’est à Medjugorje, que la confession mensuelle pourrait guérir l’Occident.

La confession est très mal comprise. La plupart n’ont pas de difficulté à discerner le mal du bien, mais cela devient beaucoup plus intéressant et bien plus exigeant lorsqu’il s’agit de différencier entre ce qui est bien et ce qui est mieux. La confession ne nous est pas donnée pour avouer que nous avons dévalisé une banque, car les voleurs de banque sont en réalité peu nombreux. Elle est surtout là pour nous permettre de chercher des façons de devenir toujours meilleurs aux yeux de Dieu: au cours du mois dernier, comment aurais-je pu agir plus saintement? Voilà ce que nous devons nous demander, et je défie n’importe qui d’affirmer qu’au cours du mois qui vient de s’écouler il a tout fait comme Jésus l’aurait fait.

L’humilité nous vaut les plus grandes des grâces. Jésus accorde les plus grandes choses aux humbles de cœur. La confession nous rappelle continuellement la petitesse que Jésus désire pour nous afin qu’Il puisse nous faire des dons énormes.

Que répondriez-vous à tous ces gens qui disent, et avec sincérité, qu’ils n’ont pas besoin d’un prêtre pour se confesser, qu’il n’est pas nécessaire de tout raconter à une autre personne et qu’ils peuvent eux- mêmes s’adresser directement à Dieu?

Si c’était vrai, les psychiatres et les psychologues ne feraient pas d’aussi bonnes affaires. Le plus intelligent comme le plus simple pourraient aller voir le même prêtre, et être tous deux également émerveillés des fruits et des grâces qui découleraient de cette brève et libre rencontre avec Jésus. Tout être humain éprouve le même besoin de confesser sa culpabilité et ces interminables et très onéreux groupes de rencontre et thérapies ne seraient nullement nécessaires si seulement les gens allaient à Jésus! Qui plus est, les grandes grâces ne viennent pas de là, elles ne viennent pas des docteurs ou des laïcs séculiers, elles viennent de Jésus et uniquement de Jésus! Il est si facile d’amener les gens à se duper eux-mêmes.

Ne croyez-vous pas que Celui qui, pour commencer, nous a donné la vie, n’est pas également capable de nous donner infiniment plus que ce verbiage de la majorité des psychologues sur « la façon de faire face » ? Que Dieu les bénisse! La plupart n’osent même pas aborder la réalité du péché, comment pourraient-ils évoquer la réalité du pardon? Ils doivent compter sur une clientèle d’habitués, et le refus d’aller se confesser leur garantit l’achat de leur prochaine grosse voiture. Ils prospèrent à cause de nos péchés alors que Jésus est mort pour que nous puissions les vaincre et les effacer à jamais!

Et si l’on réplique que Jésus n’a jamais enseigné que nous devions entrer dans un confessionnal pour se confesser?

C’est exact. Je leur suggère alors d’aller se confesser à un prêtre à voix haute, mais en public. Le fait est qu’il faut que ce soit à voix haute. Jésus nous a dit de nous repentir et si nous le faisons il enlève nos péchés, et c’est alors seulement que Satan ne les connaît plus. Il ne peut plus s’y attacher ou attaquer la personne par ce maillon brisé ou affaibli entre Dieu et nous.

Mais c’est un prêtre qui est dans le confessionnal, ce n’est pas Jésus.

En êtes-vous bien sûr?

Une grand-mère italienne voulait amener son petit-fils de huit ans à Padre Pio pour sa première confession. Elle était naturellement très excitée en arrivant dans son église. L’enfant est donc allé se confesser et il en est ressorti rayonnant de joie. La grand-mère connaissait Padre Pio Elle savait qu’il était petit, rondelet, un peu chauve, avec les yeux noirs, et qu’il avait environ soixante-cinq ans; mais elle a quand même demandé à l’enfant: « Allez, raconte-moi, de quoi est-ce qu’il avait l’air? ». Très calmement et en détail le jeune garçon lui a répondu:
« Oh il était grand et bien bâti, avec les yeux bruns; il avait de longs cheveux châtains et il devait avoir environ trente ans. »

Vous plaisantez !

Non. Ces choses-là arrivent souvent dans des lieux très saints et où l’on prie beaucoup.

Permettez-moi de vous présenter un cas hypothétique et de vous demander ensuite votre avis. Prenons deux familles. Les deux mènent des existences relativement bonnes et saines. Une de ces familles va se confesser de façon assez régulière tandis que l’autre n’y va pas. Y aura-t-il des différences chez leurs descendants et, si oui, quelles seront-elles?

La première famille aura une base solide pour se rapprocher toujours plus de Jésus au cours des générations, tandis que l’autre aura des fardeaux qu’elle n’aurait pas eu à porter si les parents étaient allés se confesser régulièrement. Ces fardeaux comprendront des maladies et des faiblesses qui auraient pu être évitées. L’attitude équilibrée et continuellement pénitente de la première famille apparaîtra dans la force et la foi de leurs descendants, alors que ceux de l’autre famille seront bien plus vulnérables aux attaques de Satan.

Êtes-vous en train de nous dire que les gens auxquels on rappelle constamment leur condition de pécheurs finissent par être en meilleure santé que les autres?

Oh! Oui! Avec l’humilité de la confession, la prière et l’amour de Dieu qui en résultent, une force et un équilibre se développent qui constituent des gens beaucoup plus sains. Ce qui veut dire en meilleure santé émotionnelle, mentale et physique. Et cela se transmet à travers les générations.
Nous pouvons donc avec notre amour, nos prières et la confession garantir une santé meilleure à nos enfants, nos petits-enfants et nos arrière-petits-enfants?

Oui, exactement. Une partie beaucoup trop grande de la médecine aujourd’hui se limite à réparer les dégâts. Si les bons médecins d’aujourd’hui, dans tous les domaines, devaient consacrer le même temps et la même énergie à la prévention - la prévention telle qu’elle nous est demandée dans les Dix Commandements - le monde n’aurait qu’une fraction des maladies qu’il connaît aujourd’hui. La médecine préventive ne coûte rien et, de plus, elle nous fait prendre conscience beaucoup plus clairement de l’immensité de l’amour de Dieu pour nous. Ce n’est pas un jeu de Dieu; il est plein de joie lorsque nous sommes remplis de la paix et de la joie qui en résultent. Tout ce que Dieu veut, c’est que nous soyons heureux, libres et en bonne santé!

Pourriez-vous alors nous expliquer le rôle de la contrition et du repentir au moment de la mort?

Avec une bonne confession, une contrition sincère et une totale honnêteté, toute culpabilité est enlevée, mais il reste la réparation. Nous ne sommes pas complètement libérés de ces péchés. Et pour obtenir une absolution totale, l’âme doit être libre de toute dépendance.
Par exemple, si une mère devait mourir en laissant de nombreux petits enfants, elle devrait s’abandonner au point de pouvoir dire véritablement, « Mon Dieu, je vous donne tout, que votre volonté soit faite ». Et cela peut être très, très difficile.
La liberté, après avoir payé jusqu’au dernier centime, comme Jésus l’a dit, est entre Dieu et nous, entre nous et les autres, avec réparation supplémentaire et une libération totale de toute forme de dépendance vis-à-vis des choses autres que Dieu lui-même.

Ainsi, pour être entièrement libre de tout péché, c’est réellement un processus à trois volets. Est-ce exact?

Oui. Premièrement une réparation entre nous-mêmes et Dieu, puis une réparation entre nous et les personnes que nous avons blessées, ce qui signifie toujours aussi nous-mêmes, et, finalement une réparation sous forme de prières et de bonnes œuvres. Le péché ne doit pas simplement être effacé, il a aussi besoin d’être réparé.

Ceux qui ne sont ni catholiques ni chrétiens devraient-ils aussi aller se confesser?

Oh! Oui! Tout bon prêtre qui veut faire ce que Jésus lui a demandé ne renverra jamais personne. Si cela devait arriver, je conseille d’aller voir ailleurs et de prier pour ce prêtre. Peu importe le pénitent, la manière dont il a été élevé ou son origine, la seule chose nécessaire est un profond regret pour tout ce que l’on a fait de mal. Ce pénitent trouvera bientôt un prêtre selon le cœur de Jésus. Je peux l’en assurer. Bien que les non-catholiques ne puissent pas recevoir le sacrement de confession, aller se confesser leur fera à l’âme un bien immense! Je peux le leur promettre, et si un non-catholique allait se confesser, les grâces qu’il recevrait de Dieu seraient très, très grandes.
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MessageSujet: Re: Maria Sima    Maria Sima  EmptyDim 03 Fév 2013, 23:08

Bien d'accord avec vous Johan !

Citation :
Maria Simma aborde le sujet de la confession. Cela nous concerne tous.

LA CONFESSION

Pour cela, il faut être petit et humble ! et cela n'est pas permis à tout le monde, il semblerait.... Pourtant, quand on a chassé l'orgueil qui est en nous pour se présenter tout contrit et repentant devant un prêtre, comme notre petite âme s'en trouve embellie, en état de grâce....

Aussi, je vais prendre du recul avec le forum...

En union de prière malgré tout, avec une dernière prière partagée : Le Cantique de Syméon.

Maintenant, Ô Maître souverain,
tu peux laisser ton serviteur s'en aller
en paix, selon ta parole.

Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples.

Lumière qui se révèle aux nations
et donne gloire à ton peuple Israël.

Gloire au Père, au Fils, et au Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles. Amen.
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MessageSujet: Maria Sima nous parle des prêtres et des soeurs   Maria Sima  EmptyMar 05 Fév 2013, 21:04

LES PRÊTRES ET LES SŒURS




Maria, depuis plus d’un demi-siècle que vous avez ces apparitions, combien de prêtres, avez-vous dit croient à votre témoignage?


Oh! Je doute qu’il y en ait plus d’un sur quatre. Ceux-là y croient profondément et, bien sûr, les modernes n’en croient pas un mot.


Pourquoi le pourcentage est-il si bas, d’après vous?


Les Pauvres Ames m’ont dit que jamais dans son histoire l’Église n’a été en aussi mauvais état qu’aujourd’hui. Le péché d’apostasie est partout, et ce sont les prêtres qui en seront tenus les plus responsables. Au lieu de prier et d’enseigner l’Évangile, ils semblent courir partout pour étudier la psychologie, la communication, la comptabilité ou je ne sais quoi encore - ils veulent apprendre à se rapprocher du public. Mais ce sont eux qui devraient montrer au public comment se rapprocher de Jésus et de Marie par la prière, au lieu d’apprendre à « se mettre à jour » ou à s’ajuster à cette société sécularisée. Ils ont complètement oublié que s’ils prient, eux et leur peuple, Jésus veillera à ce que tout le reste s’arrange. Trouvez-moi une paroisse pieuse où les choses ne s’arrangent pas pour le mieux. Il n’y en a pas.


Lorsque les prêtres disent que ces choses ne peuvent pas être vraies parce qu’elles n’arrivent pas dans la Bible, que répondez-vous à cela?


Dieu est tout à fait capable de permettre des choses qui ne sont pas spécifiquement décrites dans la Bible. Le fait que votre nom ou cette montagne-là ne se trouvent pas spécifiquement dans la Bible ne veut pas dire que Dieu ne vous aime pas infiniment et ne considère pas votre âme plus importante que l’univers entier, et cela ne veut pas dire que cette montagne ne fait pas partie de son plan. Il y a également beaucoup de choses dans l’Église, comme le Rosaire, le Sacré-Cœur et le Scapulaire, qui sont dues à des révélations privées et qui par conséquent n’étaient pas mentionnées dans la Bible.
Jésus lui-même nous a parlé du Purgatoire et la Bible est remplie de références de prier pour les défunts. Tout ce qui prêche contre l’amour ou pour faire cesser l’amour entre les gens, et cela inclut les défunts, n’est pas de Dieu.


Les gens demandent souvent pourquoi nous devrions passer par Marie ou aller vers les saints alors que nous pouvons voyager en « première classe » et aller directement à Jésus? Et il y a aussi des prêtres et des religieuses parmi ces gens-là. Qu’est-ce que vous leur répondez?


Dieu nous a tous mis ici pour que nous puissions nous aider les uns les autres en cette vie, et si d’autres, par leur bon exemple, peuvent nous apprendre quelque chose sur les innombrables façons d’aller au Ciel avec Jésus, pourquoi ne devrions-nous pas accepter aussi leur aide? Les autres confessions n’ont pas gagné grand-chose en rejetant Marie et les saints; mais ils ont ainsi perdu leurs plus grands intercesseurs devant le Trône de Dieu. Celui qui n’écoute pas son prochain et qui n’aide pas son prochain par la même occasion n’est pas digne de la vie. Voyager en « première classe » en allant directement à Jésus me semble être de l’orgueil mal déguisé. Tout comme un enfant grandit en cette vie avec ses frères et sœurs, cousins et cousines, oncles et tantes, un chrétien grandit lui aussi en étudiant les saints dont la vie est bien documentée, et avec l’aide des saintes gens qui nous entourent aujourd’hui.
À ceux qui osent dire qu’ils n’ont pas besoin de l’aide de la Vierge Marie, je leur demande ce que Jésus lui-même à dit à sa Mère et à saint Jean quelques instants avant de rendre le dernier soupir sur la Croix?: « Femme, voici ton fils; Fils, voici ta mère. » Jésus lui-même va-t-il nous laisser voyager « en première classe » si nous ignorons la Mère qui l’a porté, élevé et éduqué? Je les mets au défi de dire qu’ils le connaissent réellement s’ils n’écoutent pas ces paroles adressées à l’instant même de sa mort à chacun d’eux! Cela me blesse terriblement d’entendre parler contre Marie. Imaginez alors ce que cela peut faire à Jésus! Mais Marie est précisément en train de faire, ces dernières années, un puissant retour dans le monde entier. Elle ramène à son Fils un nombre immense de personnes par ses apparitions qui semblent se produire dans tous les coins de ce monde en détresse.


Les Pauvres Ames ont-elles dit quelque chose au sujet des prêtres modernes, de leur rôle et de leur comportement en public?


Oui. Ce qu’elles aiment le moins c’est qu’ils abandonnent leur habit pour se fondre dans le public. Les âmes ont dit la même chose à propos des religieuses. Cela diminue le nécessaire respect que le public devrait leur témoigner. Ils ont fait le vœu de servir Jésus et pas celui d’être comme tout le monde.


Y a-t-il des prêtres au Purgatoire et qu’est-ce qui les y conduit le plus souvent?


Oui, les prêtres sont très nombreux au Purgatoire. Je ne pourrais naturellement pas vous donner un pourcentage ni un ordre de fréquence des péchés en particulier, mais ce qui me vient le plus rapidement à l’esprit c’est la désobéissance envers le Saint-Père, le manque d’amour pour la sainte messe, le manque d’amour pour la prière et le jeûne, le fait d’avoir négligé la lecture de leur bréviaire et, encore une fois, la communion dans la main.


Vous savez probablement mieux que moi que la question de la communion dans la main est extrêmement controversée. Pourquoi en est-il ainsi?


Le public doit bien s’informer car on ne lui a pas expliqué toute l’histoire. La loi de l’Église dit qu’une partie de la table de communion doit être conservée pour ceux qui désirent recevoir la communion à genoux et sur la langue. Ce sont les paroles mêmes de Paul VI. Toute église qui n’a pas de table de communion est déjà dans la désobéissance. Les Pauvres Ames m’ont dit que jusqu’à aujourd’hui, jamais un Pape n’a été personnellement en faveur de la communion dans La main, mais qu’elle a été obtenue politiquement par un groupe de cardinaux et d’évêques. Les prêtres et les évêques plus âgés savent cela très bien et, pour la plupart, ils n’en ont pas informé le public; ce sont eux, par conséquent, qui en portent la plus grande responsabilité. Tous les Papes savaient très bien que la communion dans la main allait contre la révérence envers le Saint des Saints, et notre Pape actuel ne distribue pas la communion dans la main des fidèles.
Naturellement, dans ces conditions, les communiants ne pèchent pas en recevant la communion dans la main, mais je les supplie d’écouter nos Papes. Cette pratique a également facilité un bien plus grand nombre de sacrilèges. Sachez que les sorcières paient beaucoup d’argent pour pouvoir blesser Jésus directement dans les hosties consacrées qui sont souvent secrètement sorties des églises. Nous devons cesser de leur donner si facilement accès au Saint des Saints. C’est une question très sérieuse. Si tous les prêtres priaient le Saint-Esprit et priaient le Rosaire, aucun d’entre eux ne s’égarerait aussi facilement et aussi fréquemment qu’ils le font aujourd’hui concernant ces questions.
Si les évêques et les prêtres plus vieux demandaient à tous leurs paroissiens âgés, disons, de plus de quarante ans, s’ils préféreraient recevoir la communion à genoux, ils accepteraient avec amour pour leurs frères et sœurs et permettraient ainsi à la vaste majorité de le préférer également.
Personne ne peut dire que l’on priait moins il y a deux générations, parce que c’est le contraire qui est vrai. Et en revenant à plus d’humilité et de prière, les jeunes apprendraient rapidement la valeur d’une attitude humble et pénitente devant le Saint des Saints. J’ai même vu des communiants ne pas recevoir la communion parce qu’ils s’étaient agenouillés! J’ai aussi vu des enfants faire leur Première communion et à qui on disait de rester debout, même si cela blessait leurs parents et leurs grands-parents. Tout cela est l’œuvre de Satan et m’attriste profondément. Et lorsque les gens me disent qu’ils veulent faire comme tout le monde par amour fraternel, je dis non; parce que lorsque l’amour fraternel est contraire à une humble révérence envers le Saint des Saints et le Divin Amour de Dieu, cette faiblesse permissive n’est pas de Dieu.
Je me rappelle également quand les évêques allemands ont contribué à obtenir cela du Pape; ce sont les évêques américains qui ont commencé par dire qu’ils ne donneraient pas leur accord parce que c’était contre le désir du Pape. Mais regardez ce qui est arrivé maintenant! Et combien de prêtres nous avons perdus parce que leur conscience ne pouvait pas supporter cela ? Un grand nombre.
Au sujet de la communion dans la main, quelque chose d’intéressant est arrivé à Munich, il y a quelque temps, au cours d’une conférence que je donnais. Lorsque j’ai abordé le sujet, j’ai remarqué que cela causait soudainement tout un émoi parmi pas mal de gens. Trois personnes essayaient de contredire ce que je disais et elles le faisaient pratiquement toutes en même temps. J’ai demandé l’aide de Dieu en silence. Comme l’assistance commençait à devenir bruyante et agitée, sur un côté de la salle, une jolie femme d’environ quarante ans, habillée d’une longue robe noire, s’est levée et, avec beaucoup de gentillesse mais aussi avec une équitable autorité, s’est adressée à la salle; et après une minute ou deux tout le monde avait repris son calme. J’étais impressionnée par sa connaissance tout autant que par sa façon de la communiquer avec un tel amour. Après ma conférence, je suis allée trouver les organisateurs pour leur demander de parler à cette femme et la remercier de son aide. Je croyais d’ailleurs qu’elle faisait partie du groupe qui m’avait invitée pour parler du Purgatoire. Eux pensaient par contre qu’elle était une amie que j’avais amenée avec moi. Nous étions tous dans l’erreur. Elle était introuvable et nous sommes même allés voir les personnes qui avaient surveillé les portes, car la conférence était sur invitation seulement. Ils nous ont dit qu’aucune femme répondant à cette description n’était passée par ces portes et qu’il n’y avait pas d’autre entrée à cette salle. Elle avait disparu.


Etait-ce une Pauvre Ame?


Oui, très probablement. Et quelques-uns d’entre nous ont prié pour elle.


Certains disent que parce que Jésus a distribué le pain dans la main de ses disciples au cours de la dernière Cène, les prêtres pouvaient bien faire la même chose aujourd’hui. Que pourriez-vous répondre à cela?


C’est faux! Katharina Emmerich comme Thérèse Neumann, sans doute les deux plus grandes mystiques allemandes que l’on connaisse, ont pu toutes deux assister à la dernière Cène; et dans les deux cas Jésus a distribué le pain consacré dans la bouche des ses Apôtres.
Et je vous prie maintenant de bien comprendre et de me faire confiance. Je suis loin d’être la seule à dire cela! C’est précisément cette question, et beaucoup d’autres qui lui sont connexes, qui est aujourd’hui le sujet de discussion aux plus hauts niveaux dans l’Église, et je sais qu’ici encore c’est Jésus qui l’emportera, peu importe le chaos qui pourra encore régner.


Je vous demande pardon, mais ce que vous dites que Katharina Emmerich a vu, c’est encore une révélation privée…


Oui, bien sûr; et tout au long de l’histoire c’est par des révélations privées que Dieu a remis les choses en place. Et-comme chacun peut le confirmer en examinant les cas les plus célèbres de l’histoire, les fruits en ont été très abondants et les conversions innombrables. Regardez simplement la Rue du Bac, Lourdes, Fatima, ou Thérèse Neumann, sans parler des millions de conversions qui se sont produites au cours des dernières décénies dans ce petit village anonyme perdu au milieu de l’Europe. Je parle ici à nouveau de Medjugorje.
Maintenant que je repense à Medjugorje, je voudrais ajouter autre chose à propos de la communion dans la main…


Oui, qu’est-ce que c’est? Et, je vous en prie, Maria, dites-moi tout ce que vous savez sur tous les aspects possibles de la question, parce que je sais que bien des braves gens sont à la recherche de la bonne réponse à cette question.


Dans les villes comme Medjugorje, Schio, Garabandal et les autres où Notre-Dame a choisi d’apparaître, cela se produit souvent à l’extérieur. Prenons l’exemple de Medjugorje. Elle est souvent apparue, et elle apparaît encore, sur l’une ou l’autre des deux montagnes. À ces apparitions, vous allez trouver une assistance allant d’une petite poignée de gens, au cœur de l’hiver, jusqu’à une foule de cinq mille personnes les jours de grandes fêtes et pendant la belle saison. Sans la moindre hésitation, tous ceux qui sont là, et quel que soit le temps, vont se bousculer dans la boue, parmi les pierres coupantes et les buissons épineux afin de pouvoir s’agenouiller pendant que Marie est avec eux. Cela leur vient à tous naturellement, et c’est normal; mais à peine deux ou trois heures plus tôt, dans l’église, en recevant Jésus lui-même dans la sainte Hostie, presque tous se tenaient fièrement debout comme des soldats! Est-ce là ce que Notre-Dame attend de nous? Que l’on s’agenouille devant elle et pas devant son Divin Fils? Non, assurément!
De grâce, que les braves gens écoutent et suivent leur propre conscience, et ne fassent pas les choses simplement parce que les autres les font.
Oui, et j’ai pour vous une autre confirmation sur cette question. Elle n’est peut-être pas aussi frappante que la précédente concernant la femme avec les mains noircies, et il n’y a pas eu de mal si on considère la chose comme amusante; mais elle est pour moi certainement aussi convaincante que n’importe quelle histoire.
Je connais personnellement une femme très bonne et très pieuse qui avait également des problèmes avec la communion dans la main, et elle a simplement prié en demandant à Jésus de lui envoyer bien vite un signe afin de clarifier la question pour elle. C’est ce qu’il a fait! Le jour même où elle est retournée communier, le prêtre, comme il l’avait fait jusqu’alors, a placé l’hostie dans sa main. Mais à peine l’avait-il déposée que l’hostie s’est élevée pour s’envoler et disparaître sans laisser de traces. Plusieurs personnes ont été témoins de ce petit miracle.


Maria, vous êtes convaincante !


Et Mère Teresa préférait également que les communiantes communient à genoux et sur la langue, et c’est la seule forme permise dans ses communautés.
C’est que la communion dans la main, du point de vue de l’Eglise, est seulement une tolérance; ce n’est pas ce que l’Église veut réellement.


Lorsque les prêtres au Purgatoire sont venus vers vous, qui s’est chargé des prières ou de ce dont ils avaient besoin pour être délivrés?


Ce-sont les prêtres qui doivent s’occuper des prières dont ils ont besoin; mais s’il y a autre chose, je m’en occupe moi-même.


Combien de fois les prêtres devraient-ils célébrer la sainte messe?


Pas moins d’une fois par jour, et la loi de l’Église leur permet d’en célébrer tout au plus deux si la deuxième est une messe de funérailles ou de mariage. Mais Dieu comprend certainement qu’il puisse y avoir des circonstances extraordinaires permettant aux prêtres de célébrer plus de messes, par exemple lorsqu’un autre prêtre n’est pas disponible. C’est que la célébration de la sainte messe est le cœur même de leur travail. C’est leur plus grand devoir et il devrait devenir leur plus grand amour pour Dieu envers qui ils ont prononcé leurs vœux.


Peut-on présumer qu’il y a également des sœurs au Purgatoire?


Oui, et pour elles, c’est la plupart du temps le manque d’humilité, le manque de modestie et la désobéissance qui les y amènent.


Et les prêtres qui vont en Enfer?


Il n’y a pas très longtemps, un prêtre qui avait récemment été très malade, est venu me voir ici. Il avait été hospitalisé plusieurs fois au cours des dernières décennies et avait failli mourir trois fois. Il est venu très près de la mort dans sa dernière maladie et il a eu, dans son agonie, la vision de prêtres qui tombaient en Enfer comme des flocons de neige. Il en a été tellement affecté qu’il n’a pas cessé de pleurer pendant des semaines. Il lui a fallu beaucoup de temps pour se remettre de cette vision.


Puis-je vous demander pourquoi il était venu vous voir?


Oh! Je l’avais rencontré brièvement il y a très longtemps, et après cette vision il était revenu me remercier pour ce que je lui avais dit alors, et aussi de l’avoir aidé pour son mal de dos. C’était seulement une visite de courtoisie qui prenait maintenant pour lui beaucoup d’importance.


Est-ce que des amis ou des parents de prêtres décédés sont déjà venus vous voir pour savoir s’ils étaient sauvés, parce qu’ils s’inquiétaient du fait que ces prêtres avaient eu, comment dire, un comportement peut-être différent et inquiétant?


Oui, c’est arrivé il n’y a pas longtemps.
Un couple d’Alsaciens est venu à cause d’un prêtre qu’ils avaient connu. Il avait été très agité pendant un certain temps et un jour, dans sa rage, il avait jeté hors de son église une statue du Sacré-Cœur de Jésus qui s’était fracassée. Il s’était suicidé peu de temps après et ces gens se demandaient naturellement avec inquiétude ce qui lui était arrivé. Il se trouve qu’il était sauvé après tout, mais à un niveau très bas du Purgatoire d’où il ne pouvait pas encore être délivré.


Beaucoup de gens disent que les prêtres ont perdu le contact avec le monde. Quel est votre avis sur cela?


Je pense que cela ressemble beaucoup à cette orgueilleuse propagande qui circule partout de nos jours. Je voudrais dire à ces gens que le plus savant des hommes sur cette terre a souvent besoin de Jésus de façon beaucoup plus urgente que le plus simple des hommes. Dire que les prêtres ont perdu le contact n’est pas exact, si les prêtres prient. C’est seulement lorsqu’ ils ne prient pas que les grâces seront limitées. Je trouve cette critique en particulier, très peu judicieuse. On peut, et on devrait, critiquer le manque de prières, mais jamais le fait de ne pas vivre comme le reste d’entre nous. Nous participons tous à l’expérience humaine et par conséquent à sa nature pécheresse et, encore une fois, ce n’est pas en allant chercher des doctorats en psychologie, en philosophie ou en quoi que ce soit d’autre que l’on changera jamais ce fait. Je dirais plutôt que les prêtres modernes sont éloignés de Jésus, et non des autres hommes.


Combien de prêtres et d’évêques avez-vous pu délivrer du Purgatoire depuis Vatican II par vos prières, vos messes ou vos souffrances?


Eh bien, je ne pourrais pas vous dire exactement combien, mais je suis certaine que c’est entre quarante et cinquante.


Et de ce nombre, combien étaient au Purgatoire à cause de leurs modernisation de la messe?


Presque tous. Et la majorité pour avoir préconisé la communion dans la main.


Si très peu de prêtres aujourd’hui croient à votre témoignage, faut-il en conclure que très peu demandent l’aide des Pauvres Ames aujourd’hui?


Oui, j’en ai bien peur. Très peu le font.


Pouvez-vous me citer un cas où un prêtre a bien reçu leur assistance?


Oui. Un prêtre de Budapest, en Hongrie, voulait récemment rénover son église et construire un petit monastère. Il est donc allé voir son évêque pour lui demander de l’aider. L’évêque lui a dit de faire ce qu’il voulait mais que ses propres coffres ne contribueraient pas à son projet. Le prêtre a donc prié en disant qu’il allait dépendre de Notre-Dame pour l’aider par l’entremise des Pauvres Ames. Il est venu ici peu après et j’ai vite accepté de l’accompagner dans sa paroisse et dans la région voisine pour parler de son projet. Dans les deux semaines qui ont suivi mon retour il avait reçu 100.000 $ pour son église et son monastère. Les Pauvres Ames lui ont très vite répondu.


Ça fait pas mal de plumes d’oie!


Non, non (elle rit), ce n’était pas avec les plumes d’oie! Mais Dieu aide très rapidement ceux qui font confiance à Notre-Dame et aux Pauvres Ames.


Je suis sûr que vous savez mieux que nous que bien des séminaires sont vides de nos jours. Quelle en est la cause et comment pourrions-nous y remédier?


Le remède serait de recommencer à mettre l’accent sur l’esprit de prière, de sacrifice et de pénitence. Les hommes reviendraient alors par vagues. Les âmes qui se sentent appelées à servir Dieu de cette manière savent clairement que leur voie est la prière, et lorsque cela n’est pas entretenu, alors à quoi bon, finalement, des séminaires?! S’ils faisaient cela, ils verraient venir une vague de postulants et, après quelque temps, il ne serait plus nécessaire de faire distribuer la sainte communion par les mains non consacrées des laïcs. Dans les séminaires, cela suffirait pour rendre plus forte la foi active de chacun et maintiendrait Satan à une bien plus grande distance.


Vous avez beaucoup insisté sur la confiance en la Vierge Marie pour conduire le peuple à Jésus Avez-vous par conséquent constaté une différence entre les prêtres marials et ceux qui sont devenus, comme vous dites, modernes, et ont par conséquent laissé Marie en dehors du tableau?


Oh! Oui! Je peux facilement reconnaître un prêtre marial. Ils sont beaucoup plus gentils, humbles, pénitents, aimants et protecteurs que les autres. Dans leur humilité, ils deviennent forts, et dans leur force, leurs fruits deviennent beaucoup plus clairs que ceux des prêtres qui agissent sans Elle. Ils ont aussi beaucoup moins de problèmes avec le célibat et, avec Notre-Dame à leur côté, ils en viennent à connaître les immenses grâces qui accompagnent le célibat. C’est Elle qui, avec notre aide, écrase la tête de Satan. Et ce n’est pas un simple symbolisme; c’est un fait. Satan La fuit et il fuit ses prêtres. Les prêtres marials et l’Armée mariale des laïcs avec eux, sauveront finalement l’humanité, ni plus ni moins! Et cela arrivera avec le triomphe du Cœur Immaculé de Marie.


Le monde a donc ici un Pape ouvertement marial et une Armée mariale de prêtres et de laïcs qui conduiront cette armée par le triomphe du Cœur Immaculé de Marie. Pour ceux qui veulent se joindre au Saint-Père et à son Armée mariale, quelle est la meilleure façon de procéder? Comment les gens pourraient- ils le mieux contribuer au triomphe du Cœur Immaculé de Marie?


En commençant à prier, en commençant à vivre les messages de Medjugorje et en se consacrant, eux et leurs familles, au Cœur Immaculé de Marie.
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MessageSujet: Re: Maria Sima    Maria Sima  EmptyMar 05 Fév 2013, 21:28

Maria Simma aborde le sujet de la confession. Cela nous concerne tous.

LA CONFESSION

Les Pauvres-Ames-vous ont-elles parlé du sacrement de réconciliation, ou de la confession?

Oh! Oui, elles en ont souvent parlé. Elles s’attristent beaucoup de ce que ce sacrement soit maintenant si impopulaire, si négligé. Ce don de Dieu est si grand que seul Satan pourrait vouloir le détruire. Et je crains ici encore qu’il y soit bien parvenu.

La confession, comme on devrait l’appeler, est une chose vers quoi il faudrait courir et non pas, comme Satan le souhaite, quelque chose que nous devrions craindre. Ne vous inquiétez pas, il n’y a rien que vous puissiez dire à un bon prêtre qu’il n’ait déjà entendu. Un bon prêtre sait très bien qu’il est lui-même, avec tout ce qu’il a appris et reçu, un bien plus grand pécheur que vous ne l’êtes. C’est une grande joie pour Jésus et tous les habitants du Ciel lorsque nous lui apportons nos blessures et nos faiblesses.

Les Pauvres Ames m’ont dit que soixante pour cent des dépressions du monde entier disparaîtraient si les gens voulaient profiter de ce grand don. Naturellement, beaucoup de médecins et de compagnies pharmaceutiques feraient faillite si tout le monde allait régulièrement à confesse. Notre Seigneur peut sauver qui Il veut et guérir ce qu’Il veut, à condition qu’on veuille faire appel à Lui! Notre-Dame a dit, et je crois que c’est à Medjugorje, que la confession mensuelle pourrait guérir l’Occident.

La confession est très mal comprise. La plupart n’ont pas de difficulté à discerner le mal du bien, mais cela devient beaucoup plus intéressant et bien plus exigeant lorsqu’il s’agit de différencier entre ce qui est bien et ce qui est mieux. La confession ne nous est pas donnée pour avouer que nous avons dévalisé une banque, car les voleurs de banque sont en réalité peu nombreux. Elle est surtout là pour nous permettre de chercher des façons de devenir toujours meilleurs aux yeux de Dieu: au cours du mois dernier, comment aurais-je pu agir plus saintement? Voilà ce que nous devons nous demander, et je défie n’importe qui d’affirmer qu’au cours du mois qui vient de s’écouler il a tout fait comme Jésus l’aurait fait.

L’humilité nous vaut les plus grandes des grâces. Jésus accorde les plus grandes choses aux humbles de cœur. La confession nous rappelle continuellement la petitesse que Jésus désire pour nous afin qu’Il puisse nous faire des dons énormes.

Que répondriez-vous à tous ces gens qui disent, et avec sincérité, qu’ils n’ont pas besoin d’un prêtre pour se confesser, qu’il n’est pas nécessaire de tout raconter à une autre personne et qu’ils peuvent eux- mêmes s’adresser directement à Dieu?

Si c’était vrai, les psychiatres et les psychologues ne feraient pas d’aussi bonnes affaires. Le plus intelligent comme le plus simple pourraient aller voir le même prêtre, et être tous deux également émerveillés des fruits et des grâces qui découleraient de cette brève et libre rencontre avec Jésus. Tout être humain éprouve le même besoin de confesser sa culpabilité et ces interminables et très onéreux groupes de rencontre et thérapies ne seraient nullement nécessaires si seulement les gens allaient à Jésus! Qui plus est, les grandes grâces ne viennent pas de là, elles ne viennent pas des docteurs ou des laïcs séculiers, elles viennent de Jésus et uniquement de Jésus! Il est si facile d’amener les gens à se duper eux-mêmes.

Ne croyez-vous pas que Celui qui, pour commencer, nous a donné la vie, n’est pas également capable de nous donner infiniment plus que ce verbiage de la majorité des psychologues sur « la façon de faire face » ? Que Dieu les bénisse! La plupart n’osent même pas aborder la réalité du péché, comment pourraient-ils évoquer la réalité du pardon? Ils doivent compter sur une clientèle d’habitués, et le refus d’aller se confesser leur garantit l’achat de leur prochaine grosse voiture. Ils prospèrent à cause de nos péchés alors que Jésus est mort pour que nous puissions les vaincre et les effacer à jamais!

Et si l’on réplique que Jésus n’a jamais enseigné que nous devions entrer dans un confessionnal pour se confesser?

C’est exact. Je leur suggère alors d’aller se confesser à un prêtre à voix haute, mais en public. Le fait est qu’il faut que ce soit à voix haute. Jésus nous a dit de nous repentir et si nous le faisons il enlève nos péchés, et c’est alors seulement que Satan ne les connaît plus. Il ne peut plus s’y attacher ou attaquer la personne par ce maillon brisé ou affaibli entre Dieu et nous.

Mais c’est un prêtre qui est dans le confessionnal, ce n’est pas Jésus.

En êtes-vous bien sûr?

Une grand-mère italienne voulait amener son petit-fils de huit ans à Padre Pio pour sa première confession. Elle était naturellement très excitée en arrivant dans son église. L’enfant est donc allé se confesser et il en est ressorti rayonnant de joie. La grand-mère connaissait Padre Pio Elle savait qu’il était petit, rondelet, un peu chauve, avec les yeux noirs, et qu’il avait environ soixante-cinq ans; mais elle a quand même demandé à l’enfant: « Allez, raconte-moi, de quoi est-ce qu’il avait l’air? ». Très calmement et en détail le jeune garçon lui a répondu:
« Oh il était grand et bien bâti, avec les yeux bruns; il avait de longs cheveux châtains et il devait avoir environ trente ans. »

Vous plaisantez !

Non. Ces choses-là arrivent souvent dans des lieux très saints et où l’on prie beaucoup.

Permettez-moi de vous présenter un cas hypothétique et de vous demander ensuite votre avis. Prenons deux familles. Les deux mènent des existences relativement bonnes et saines. Une de ces familles va se confesser de façon assez régulière tandis que l’autre n’y va pas. Y aura-t-il des différences chez leurs descendants et, si oui, quelles seront-elles?

La première famille aura une base solide pour se rapprocher toujours plus de Jésus au cours des générations, tandis que l’autre aura des fardeaux qu’elle n’aurait pas eu à porter si les parents étaient allés se confesser régulièrement. Ces fardeaux comprendront des maladies et des faiblesses qui auraient pu être évitées. L’attitude équilibrée et continuellement pénitente de la première famille apparaîtra dans la force et la foi de leurs descendants, alors que ceux de l’autre famille seront bien plus vulnérables aux attaques de Satan.

Êtes-vous en train de nous dire que les gens auxquels on rappelle constamment leur condition de pécheurs finissent par être en meilleure santé que les autres?

Oh! Oui! Avec l’humilité de la confession, la prière et l’amour de Dieu qui en résultent, une force et un équilibre se développent qui constituent des gens beaucoup plus sains. Ce qui veut dire en meilleure santé émotionnelle, mentale et physique. Et cela se transmet à travers les générations.
Nous pouvons donc avec notre amour, nos prières et la confession garantir une santé meilleure à nos enfants, nos petits-enfants et nos arrière-petits-enfants?

Oui, exactement. Une partie beaucoup trop grande de la médecine aujourd’hui se limite à réparer les dégâts. Si les bons médecins d’aujourd’hui, dans tous les domaines, devaient consacrer le même temps et la même énergie à la prévention - la prévention telle qu’elle nous est demandée dans les Dix Commandements - le monde n’aurait qu’une fraction des maladies qu’il connaît aujourd’hui. La médecine préventive ne coûte rien et, de plus, elle nous fait prendre conscience beaucoup plus clairement de l’immensité de l’amour de Dieu pour nous. Ce n’est pas un jeu de Dieu; il est plein de joie lorsque nous sommes remplis de la paix et de la joie qui en résultent. Tout ce que Dieu veut, c’est que nous soyons heureux, libres et en bonne santé!

Pourriez-vous alors nous expliquer le rôle de la contrition et du repentir au moment de la mort?

Avec une bonne confession, une contrition sincère et une totale honnêteté, toute culpabilité est enlevée, mais il reste la réparation. Nous ne sommes pas complètement libérés de ces péchés. Et pour obtenir une absolution totale, l’âme doit être libre de toute dépendance.
Par exemple, si une mère devait mourir en laissant de nombreux petits enfants, elle devrait s’abandonner au point de pouvoir dire véritablement, « Mon Dieu, je vous donne tout, que votre volonté soit faite ». Et cela peut être très, très difficile.
La liberté, après avoir payé jusqu’au dernier centime, comme Jésus l’a dit, est entre Dieu et nous, entre nous et les autres, avec réparation supplémentaire et une libération totale de toute forme de dépendance vis-à-vis des choses autres que Dieu lui-même.

Ainsi, pour être entièrement libre de tout péché, c’est réellement un processus à trois volets. Est-ce exact?

Oui. Premièrement une réparation entre nous-mêmes et Dieu, puis une réparation entre nous et les personnes que nous avons blessées, ce qui signifie toujours aussi nous-mêmes, et, finalement une réparation sous forme de prières et de bonnes œuvres. Le péché ne doit pas simplement être effacé, il a aussi besoin d’être réparé.

Ceux qui ne sont ni catholiques ni chrétiens devraient-ils aussi aller se confesser?

Oh! Oui! Tout bon prêtre qui veut faire ce que Jésus lui a demandé ne renverra jamais personne. Si cela devait arriver, je conseille d’aller voir ailleurs et de prier pour ce prêtre. Peu importe le pénitent, la manière dont il a été élevé ou son origine, la seule chose nécessaire est un profond regret pour tout ce que l’on a fait de mal. Ce pénitent trouvera bientôt un prêtre selon le cœur de Jésus. Je peux l’en assurer. Bien que les non-catholiques ne puissent pas recevoir le sacrement de confession, aller se confesser leur fera à l’âme un bien immense! Je peux le leur promettre, et si un non-catholique allait se confesser, les grâces qu’il recevrait de Dieu seraient très, très grandes.
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MessageSujet: Maria Simma nous parle du ciel   Maria Sima  EmptyMer 06 Fév 2013, 19:45

LE CIEL




Y a-t-il des jours où plus d’âmes sont délivrées du Purgatoire pour entrer au Ciel?


Oui, c’est à Noël que le plus d’âmes sont délivrées, mais là encore, cela dépend des prières et de ce qui a été fait pour elles. C’est à Noël, parce que Noël est le plus grand de tous les jours de grâces. Puis il y a le Vendredi Saint, le jour de l’Ascension et la Toussaint où beaucoup d’âmes sont libérées.


Quel conseil pourriez-vous donner à ceux qui veulent devenir saints ici sur terre?


Soyez humbles. Voilà la réponse. Tenez-vous pour rien et n’oubliez jamais que vous n’êtes pas meilleur que n’importe qui d’autre. Seuls Jésus et sa Mère n’étaient pas de pauvres pécheurs lorsqu’Ils étaient parmi nous dans la chair.


Maria, y a-t-il une façon pour une personne ordinaire de savoir si une âme pour laquelle elle a prié est arrivée au Ciel?


Nos sensibilités sont tellement différentes, mais il est souvent arrivé que des gens aient ressenti une telle joie en priant qu’ils ont eu la conviction que c’était un signal. Mais il ne faut jamais se préoccuper de le savoir avec précision. Si nous prions pour quelqu’un qui est déjà au Ciel, la Sainte Vierge prend ces prières et les appliquent à quelqu’un d’autre qui en a grand besoin. Même la plus petite des prières n’est jamais perdue.


Quelle est la façon la plus rapide d’aller au Ciel?


Je le répète, une profonde humilité. Satan ne peut jamais s’en approcher et c’est la façon la plus rapide d’aller au Ciel.
Ensuite, les bonnes actions envers le prochain et les Pauvres Ames. Des actes de charité dans une grande humilité. Regardez la vie de Mère Teresa. Elle a été, à cause de ces attributs, la personne la plus aimée sur terre. Elle a choisi de travailler dans l’enfer de Calcutta et de servir les plus petits, les plus sales et les plus malades, et cela l’a conduite directement au Ciel, j’en suis sûre.


Au Ciel, toutes les âmes sont-elles au même niveau?


Non. Il existe de nombreux niveaux au Ciel. Toutes les âmes sont dans une joie parfaite; elles savent qu’elles n’ont pas mérité plus et par conséquent ne désirent pas plus que ce qu’elles ont. Certaines âmes sont plus glorieuses et lumineuses que d’autres, et cette beauté dépend des bonnes actions accomplies sur terre. Ainsi, de plus grands efforts ici-bas nous valent de monter plus haut au Ciel.


Y a-t-il encore au Ciel une forme quelconque de croissance?


La théologie seule ne peut répondre à cette question, mais je sais qu’une des voyantes de Medjugorje a vu sa propre mère avec la Vierge Marie à différentes époques et qu’au cours des années, sa mère était devenue de plus en plus belle. Cela restera pour nous un mystère jusqu’à ce que nous en soyons témoins nous-mêmes.




Les gens qui n’ont jamais mis les pieds à l’église vont-ils au Ciel?


Oh! Mais certainement, et bien plus que nous ne pensons, j’en suis sûre, parce que nous avons tous en nous un peu d’orgueil. Mais parce qu’ils n’ont jamais eu accès à la vérité, leur Purgatoire est beaucoup plus léger que celui des fidèles qui vont à l’église. Mais leur degré de sainteté ne sera pas non plus le même parce qu’ils n’ont pas reçu ni accepté les mêmes grâces.
Une femme m’est apparue un jour qui tenait un seau et elle me dit : « Ce seau est mon salut. » Je lui ai demandé ce qu’elle voulait dire, et elle a expliqué: « Je n’ai presque pas prié et je ne suis jamais allée à l’église, mais un jour, j’ai bénévolement nettoyé la maison d’une vieille femme avant Noël. C’est cet acte d’amour avec ce seau qui m’a sauvée. » On voit une fois de plus combien grande est la valeur des actes d’amour. La personne qui ne prie pas et ne va jamais à l’église, parce que jamais personne ne l’y a conduite, a les mêmes chances que d’autres de faire la volonté de Dieu.


Avez-vous vu le Ciel?


Non, mais beaucoup de visionnaires, au cours des siècles, en ont eu un aperçu. Certains des enfants de Fatima et de Medjugorje ont vu le Ciel, ainsi que le Purgatoire et l’Enfer.


Et vous les croyez lorsqu’ils disent cela?


Oui, absolument. Il y a des prêtres prudents et doués de discernement qui les ont interrogés séparément. Ils ne racontaient pas d’histoires et ont été véritablement absents durant une vingtaine de minutes.
Ce que nous savons du Ciel est évidemment infime, mais la lumière glorieuse, la joie et la louange de Dieu, qui est le centre de toute chose, sont toujours mises de l’avant.


Est-ce que les koalas, les tableaux des Impressionnistes, et le Chœur des Esclaves dans l’opéra de Verdi Nabucco existent au Ciel?


Ah, au Ciel, me disent les âmes, tous nos plus chers désirs sont exaucés. Et en ce qui concerne ce morceau de Verdi, un des plus chers prêtres de Notre-Dame a dit un jour: « Nous avons déjà là une preuve de l’existence de Dieu. »
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MessageSujet: Re: Maria Sima    Maria Sima  EmptyJeu 07 Fév 2013, 10:44

La dévotion pour les âmes du purgatoire est vraiment méritoire, car discrète et méconnue. Elle nous invite non seulement à la réconciliation (avec Dieu, les autres, mais surtout nous même) mais aussi à la réparation des conséquences de nos pechés, par des actes de charité ou de pénitence.

Comme il est beau de constater que le socialisme n'existe pas dans le Ciel : les âmes sont pleinements comblés par Dieu, mais à la mesure de l'amour qu'elles ont exercé sur la terre.

Tous les verres sont pleins, mais de taille différente, ou pour reprendre l'expression de Sainte Thérèse : un jardin avec des fleurs différentes pleinement comblées par le soleil de la grâce.

Introibo ad altera dei, ad deum qui laetificat juventutem meam.

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MessageSujet: Re: Maria Sima    Maria Sima  EmptyJeu 07 Fév 2013, 20:17

Stefanos a écrit:
La dévotion pour les âmes du purgatoire est vraiment méritoire, car discrète et méconnue. Elle nous invite non seulement à la réconciliation (avec Dieu, les autres, mais surtout nous même) mais aussi à la réparation des conséquences de nos pechés, par des actes de charité ou de pénitence.

Comme il est beau de constater que le socialisme n'existe pas dans le Ciel : les âmes sont pleinements comblés par Dieu, mais à la mesure de l'amour qu'elles ont exercé sur la terre.

Tous les verres sont pleins, mais de taille différente, ou pour reprendre l'expression de Sainte Thérèse : un jardin avec des fleurs différentes pleinement comblées par le soleil de la grâce.

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merci stephanos
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MessageSujet: Maria Simma nous parle de la prière et du jeûne    Maria Sima  EmptyJeu 07 Fév 2013, 20:27

PRIÈRE ET JEÛNE


Vous mentionnez si souvent la prière que j’aimerais vous interroger sur ce point. Pourquoi lui accordez-vous une telle importance?


La prière est ce qui nous rapproche de Dieu. Regardez: quand nous avons un ami, la première chose que nous faisons c’est de lui accorder du temps, et lui fait la même chose pour nous. Si on néglige d’accorder du temps à nos amis, on ne tardera pas à se retrouver complètement seuls et perdus dans la brume. Bon; et leur accorder du temps ça veut dire deux choses, on écoute et on parle. Et si nous voulons rester amis, écouter est bien plus important que parler. Les vrais amis, vous le savez bien, peuvent trouver beaucoup de force et de réconfort en restant simplement l’un près de l’autre en silence. Prier, c’est le plus souvent rester avec Dieu en silence, à l’écouter, à l’observer et à l’absorber. Il n’ignore personne. Et dans la prière, nous donnons du temps à notre meilleur ami - celui qui nous a donné la vie. Est-ce qu’il ne serait pas convenable de lui rendre un peu de ce temps qu’il a lui-même créé pour nous le donner? Je crois que c’est saint Augustin qui a dit que la prière est ce que l’homme pouvait faire de plus grand, et le plus beau cadeau que Dieu ait fait à l’homme.


Quelle est la principale erreur commise par les gens en ce qui concerne la prière?


Il me semble qu’ils ne courent vers Dieu que lorsqu’ils ont des ennuis ou qu’ils pensent avoir besoin de quelque chose. Les prières de demande sont bonnes et, naturellement, elles sont entendues elles aussi, mais nous devrions toujours louer Dieu et le remercier pour tout ce qu’il nous a donné, tout ce qu’il a fait avec nous et pour nous. Les gens sont si peu
reconnaissants ; dans notre société occidentale ils en viennent à considérer tant de choses comme normales et allant de soi, que très vite la cupidité puis la haine s’installent. La notion implicite, si répandue de nos jours dans la société occidentale, que tous les hommes doivent avoir les mêmes chances d’obtenir un diplôme et de posséder une grande maison avec deux voitures n’est pas un enseignement de Dieu. Dieu confie ses plus grands secrets et ses plus grandes joies aux plus petits d’entre nous. Satan promet le pouvoir, l’influence et le succès. Dieu promet la paix, la joie et le contentement. La plus pauvre des prières, c’est « Mon Dieu, donnez-moi ceci; mon Dieu, donnez-moi-cela… »
Revenons à une amitié simplement humaine: combien de temps cet ami restera-t-il avec nous si tout ce que nous lui
disons, c’est « J’ai besoin de ceci; donne-moi cela » ? Les très jeunes enfants passent par ce stade dans leur développement social lorsqu’ils découvrent leur propre individualité. C’est alors qu’on les voit se frapper les uns les autres sur la tête avec leurs seaux en plastique, jeter la pelle au loin et se lancer du sable dans les yeux. C’est le temps de leur enseigner la discipline. Prier, c’est aussi dire bonjour, merci, désolé et, je t’aime


La prière a donc besoin d’être développée et enseignée?


Oui. Développée et enseignée à l’intérieur de nous, là où Dieu opère Ses plus grands miracles. Les gens véritablement pieux ne pensent pas que tout soit normal et aille de soi, et ils voient, entendent et perçoivent rapidement la grandeur de Dieu dans les plus petites choses, qu’elles soient intérieures ou extérieures. Dans la prière, nous apportons à Dieu tout ce qui est en nous et tout ce qui nous entoure. Ce n’est qu’en écoutant que l’enfant apprend à parler et cette conversation doit également être développée entre l’enfant et Dieu! Si l’enfant apprend que Dieu est toujours près de lui, il comprendra très vite qu’il est toujours aimé et protégé. Les parents et les enseignants ne peuvent pas y arriver tout seuls de façon parfaite. Sans Dieu, un enfant très sensible peut être terriblement affecté lorsqu’il se rend compte que ses parents et ses meilleurs amis peuvent eux aussi commettre des erreurs. Les enfants qui savent que Dieu existe trouvent en cela un équilibre et une grande force. Ils apprennent à communiquer dans l’amour avec toutes les personnes et les choses qui les entourent. Les enfants qui n’ont pas eu la connaissance de Dieu grandiront dans la peur, laquelle conduit à un besoin de puissance, de statut et de biens matériels. Ils ne goûteront jamais la paix que Dieu désire pour tous les hommes.
Nous ne pouvons tenir Dieu responsable de l’état du monde actuel! Il est le fruit de notre séparation d’avec Lui. Tout ce qui nous inquiète et nous blesse aujourd’hui vient du fait que nous L’avons ignoré. Revenez vers lui dans la prière et vous verrez immédiatement les résultats. Il est notre seul ami qui jamais, jamais ne sommeille.


Si la prière doit être apprise, il s’ensuit donc que nous devrions procéder par petites étapes, comme le fait un enfant?


Oui, oui, exactement. Pour autant que nous prenions également bien conscience du fait que les prières non plus ne doivent jamais être jugées. Il n’existe pas de petites ou de grandes prières - un barème de 0 à 100. Dieu reste toujours Dieu, et les vrais saints s’humilient parfaitement devant lui. C’est pourquoi Mère Teresa pouvait et devait honnêtement déclarer:
« Je suis une bien plus grande pécheresse que vous. »
Quels conseils pourriez-vous me donner si je n’ai jamais prié et que je veux commencer à parler à Dieu ce soir?


Fermez la télévision, ne répondez pas au téléphone… ou plutôt, débranchez-le, allez dans votre chambre et fermez la porte derrière vous. La prière est la seule chose au monde pour laquelle nous pouvons et devons être totalement égoïstes. Puis gardez le silence et dites à Dieu que vous voulez être près de lui. Faites cela régulièrement et ne laissez pas Satan vous en éloigner avec tout son jacassement sur moi, moi, moi. Ensuite lisez un peu sur Jésus, Sa Sainte Famille et Ses Disciples. Avec constance et par petites étapes, demeurez en présence de Son Amour total. Trouvez-vous une image de Jésus ou une Croix que vous placerez à l’endroit où vous avez trouvé la paix et la tranquillité. C’est là que vous L’entendrez le mieux. Tournez votre cœur vers Lui. Durant ce temps, donnez-Lui votre cœur, et à Lui seulement. Commencez par rester peut-être quinze minutes et augmentez graduellement jusqu’à une heure. Si vous faites cela pendant plus d’un mois vous serez émerveillé de la paix et de la joie que cela vous apportera, mais je dois maintenant vous prévenir qu’on tentera de vous distraire de ces rencontres avec Dieu. Ignorez gentiment mais fermement ces tentatives et continuez tout simplement.
Ensuite, si vous sentez le besoin de transformer toute votre vie - et cela arrive partout aujourd’hui - allez trouver un bon prêtre et dites-lui que vous venez de vous inscrire au jardin d’enfants de Dieu et que vous aimeriez continuer avec d’autres. En ce qui concerne Dieu, nous sommes tous au jardin d’enfants. Se convertir signifie changer notre cœur. Se convertir, c’est enlever tout ce qui bloque notre chemin vers Jésus.
Maintenant, trouvez une Bible et apportez-la aussi dans votre petit coin égoïste. Donnez tout à Dieu et à Sa Maman, et vous serez bientôt dans la paix. Et jamais il n’y a eu dans le monde un seul être humain qui n’ait ressenti un besoin de paix quelque part dans son cœur. La raison en est que Dieu lui-même a dit: « Avant que je t’eusse formé dans le ventre de ta mère, Je te connaissais », (Jérémie 1.5.) et ce souvenir - d’avoir connu dans notre âme la paix de Dieu - est présent en chaque âme jusqu’à un certain point.
Et le meilleur et le plus diligent des maîtres et des guides pour nous amener à lui c’est Sa Mère, qui, après tout, a également été Son maître et Son guide. Si l’Église vers laquelle vous êtes conduit L’a ignorée ou dit qu’Elle n’est pas nécessaire, demandez alors au prêtre de la réintégrer ou continuez à chercher jusqu’à ce que vous trouviez quelqu’un qui puisse vous aider en cela.
Il y a, par exemple, des sanctuaires mariaux ou des centres de Medjugorje dans presque tous les pays aujourd’hui. Vous pouvez lire Ses messages dans ces centres et les ramener chez vous. Étudiez-les durant le temps que vous passez avec Dieu, mais encore une fois, n’allez pas trop vite. Un message à méditer tous les trois ou quatre jours est plus que suffisant. Grâce à ce qu’Elle vous dira, allez lentement à Jésus, comme nous tous avons grandi petit à petit. Une fois que vous aurez accompli ces petits changements dans votre vie, vous allez - et je vous en fais la promesse avec tout mon cœur - très bientôt vous rendre compte de leur énorme importance. Faites tout cela avec votre cœur, pas avec votre tête. Il existe un grand nombre de brillants théologiens qui n’ont pas encore découvert Dieu de cette manière si simple et si pure.


Les Pauvres Ames se sont-elles déjà manifestées lorsque des conversions se produisent dans leur famille?


Oh! Oui! Elles manifestent une très grande joie lorsque cela arrive et, naturellement, elles participent également elles-mêmes au processus de conversion des membres de leurs familles.


Maria, dans la recherche d’une Église, avez-vous des suggestions pour ceux d’entre nous qui désirent se mettre avec les autres en présence de Dieu?


Seulement des suggestions qui vous permettront de vous rapprocher rapidement de la vérité entière de l’Évangile. Évitez toute Église qui ne se prononce pas clairement contre l’avortement. Évitez aussi les Églises sous la conduite d’une personne trop habile au maniement des foules et par conséquent très influente; les Églises qui attaquent le Vatican et celles qui proposent des divertissements. Il faut aussi éviter à tout prix une Eglise qui enseigne que Satan n’existe pas et toute
« Église » qui vous demande de participer à des exercices mentaux en prétendant qu’.ils vous rapprochent de Dieu. C’est très dangereux. N’oubliez pas que Jésus est toujours avec nous et que nous n’avons pas besoin d’exercices mentaux pour aller vers Lui!
Et cherchez une Église qui croit dans le Symbole de Nicée ou des Apôtres, ou au moins à une version très proche de ces Symboles.


Y a-t-il un genre de prière en particulier qui soit meilleur qu’un autre?


Non. Dieu nous connaît infiniment mieux que nous ne Le connaissons. Nous sommes tous si différents les uns des autres que la meilleure prière est la façon dont nous prions le mieux. Et n’oubliez pas que Dieu sait ce qui est le mieux pour nous, pour les autres et pour le monde entier de sorte qu’il est très bon de prier beaucoup pour que la volonté de Dieu soit faite en toute chose.
Et avec la prière, il serait très utile de suivre le conseil de Jésus dans l’Évangile en commençant aussi à jeûner.
Le jeûne aide énormément notre vie de prière, et la prière nous aidera à jeûner. Il y a beaucoup de bons livres sur le jeûne. Une combinaison de prière et de jeûne nous rap-prochera beaucoup plus rapidement de Dieu et de sa Mère du Ciel. Soyez comme des enfants et courez vers eux avec une confiance totale. Vous trouverez en eux la paix et la vraie joie de vivre.


Quelle est, selon vous, la bonne définition du jeûne?


Le jeûne, tel que Jésus l’a pratiqué et enseigné en même temps que la prière, est une discipline spirituelle qui touche premièrement notre consommation de nourriture. Notre-Dame nous dit que la manière idéale est de jeûner au pain et à l’eau au moins une fois par semaine, de préférence le vendredi, et même deux ou trois jours par semaine. Mais cela aussi devrait être pratiqué lentement, doucement, et jamais, par exemple, contre l’avis de notre médecin. Toujours sagement et gentiment, comme Dieu le souhaite.
Jeûner signifie également éviter des choses, des situations, des personnes ou des tentations qui peuvent aisément nous éloigner de ce que Jésus désire pour nous. Des situations où nous savons que nous pourrions perdre la maîtrise et notre liberté de faire ce qui est bien. La liste en est naturellement illimitée, étant donné encore une fois la grande diversité de nos
personnalités. Telle chose qui pourrait vous tenter ne sera pas pour moi une tentation, et vice versa. C’est notre cœur qui nous connaît le mieux et nous devons toujours nous efforcer d’être clairs et honnêtes lorsqu’il est question de ce qui ne nous est pas nécessaire. Jeûner signifie se priver de certaines choses jusqu’au point où nous pouvons dire que Dieu fait plus pour nous que ne peut le faire le monde qui nous entoure. C’est un autre puissant moyen d’aller vers lui et c’est d’une grande importance, car chaque âme compte beaucoup plus pour lui que l’univers entier.
Je connais des personnes qui ont jeûné sept, huit ou neuf ans d’affilée et que cela a transformé d’une façon que l’on pourrait considérer tout à fait miraculeuse. Dieu faisait désormais
partie de leur vie d’une façon qu’aucune méthode et aucun enseignement de ce monde n’aurait pu obtenir.
Le jeûne nous facilite beaucoup la prière et la prière nous rend aussi le jeûne plus facile. Et jeûner pour les Pauvres Ames leur sera également d’un grand secours et elles nous en seront éternellement reconnaissantes.
Jeûner de télévision est grandement nécessaire de nos jours et nous pouvons ainsi aider les Pauvres Ames qui ont négligé leurs obligations ou leurs familles. Et le Purgatoire, je le sais, est rempli de ces âmes-là. Je le répète, la valeur du jeûne est sans limites. Un tout petit jeûne de quelque chose apporte beaucoup de bien, tout comme une petite prière.


Pouvez-vous me donner un exemple d’une très petite prière qui a fait une très grande différence?


Oui, toutes les plus petites prières sont entendues. Attendez que je réfléchisse. Ah oui, et il s’agit encore d’une Pauvre Ame qui est venue me voir il y a quelques années.
Un homme est apparu une nuit et après m’avoir dit ce qu’il lui fallait pour être délivré, il est resté là en face de moi et m’a demandé : « Est-ce que vous me connaissez? » J’ai dû répondre que non. Il m’a alors rappelé qu’il y a bien des années, en 1932, il avait alors dix-sept ans, il avait voyagé brièvement dans le même compartiment que moi d’un train qui allait à Hall. Alors, je m’en suis souvenu. Il avait violemment critiqué l’Eglise et la religion et je m’étais sentie obligée de répondre que ce ne n’était pas bien de sa part de dénigrer des choses aussi saintes. Cette réponse l’avait surpris et ennuyé, et il m’avait dit: « Vous êtes encore trop jeune pour que je vous laisse me donner des leçons. » Je n’ai pas pu m’empêcher d’être un peu brusque et j’ai riposté: « Malgré tout, je suis plus intelligente que vous! » Ça s’est terminé là; il a replongé la tête dans son journal et n’a plus dit un mot. Quand il est arrivé à destination et qu’il a quitté le compartiment, j’ai simplement fait cette prière à voix basse : « Jésus, ne laissez pas cette âme se perdre». Et à présent qu’il était avec moi, il m’a dit que c’est cette petite prière qui l’avait empêché de se perdre.


Y a-t-il des prières auxquelles vous êtes plus attachée?


Pour moi-même? Pas vraiment, mais j’aime voir ce qui se passe chez les gens lorsqu’ils découvrent ce qu’est réellement la prière.
Je prie souvent pour que les gens redécouvrent Jésus dans l’Adoration du Très Saint Sacrement. C’est une immense grâce et une source de guérison et de miracles que l’Église, soi-disant moderne a terriblement négligée. L’Adoration deux ou trois fois par semaine apporterait la paix dans des régions entières du monde.
J’ai un amour spécial pour le Rosaire, si puissant pour apporter la guérison dans les familles Et je conseille souvent aux gens les prières de sainte Brigitte. Sainte Brigitte de Suède a reçu une série de prières de Notre Seigneur, et une autre de Notre-Dame. On récite les prières de Notre Seigneur pendant un an, tandis que celles de la Vierge Marie sont dites pendant douze ans. Elle a également reçu de Notre-Dame la dévotion à ses Sept Douleurs. Notre Seigneur et Sa Mère ont promis tellement de choses aux âmes qui diraient ces prières qu’il faut vraiment qu’elles deviennent beaucoup plus connues qu’elles ne le sont aujourd’hui.
Voici les promesses que Jésus a faites pour ceux qui diront ces prières durant douze ans; je m’en souviens parce qu’il n’y en a que cinq, mais leur importance devrait être évidente.
À tous ceux qui prieront, il a promis:
- Ils échapperont au Purgatoire.
- Ils iront au Ciel comme s’ils avaient versé tout leur sang comme des martyrs.
- Trois personnes choisies au sein de leur famille recevront la grâce sanctifiante.
- Tous les membres de leur famille jusqu’à la 4e génération seront sauvés.
- Ils seront informés du jour de leur mort trente jours avant cette date.
Mais ici encore je voudrais prévenir les gens: n’allez pas croire qu’on peut continuer à vivre comme cela nous plaît et que c’est une garantie pour aller tout droit au Ciel. Il faut vivre en toute sincérité avec Dieu en même temps que l’on continue à réciter ces prières. Sinon, l’âme qui croit pouvoir ruser avec la Lumière de Dieu aura une très mauvaise surprise lorsque le temps sera venu de passer de l’autre côté.


Les âmes demandent-elles autre chose que des prières de leurs parents?


Oui, à l’occasion. Il peut arriver qu’une âme qui a abrégé ses jours en fumant trop vienne demander à un parent d’arrêter de fumer pendant un moment. Ce serait naturellement un jeûne.




Est-il valide et bon de prier pour des animaux ou sur eux?


Oui, il est bon et certainement valide de prier sur des animaux malades car les animaux ont un esprit bien qu’ils ne possèdent pas une âme. On peut certainement prier pour qu’ils aient la paix et la santé. Et nous devrions aussi les bénir car Satan hait tout ce qui est proche de nous et qui peut nous être utile.


Quelle est la signification spirituelle ou l’importance du geste de joindre les mains en priant?


Lorsque nous joignons nos mains en priant Dieu nous accorde plus de grâces, et c’est ce que les âmes m’ont dit.


Dans quelle proportion devrions-nous prier pour nous et pour les autres?


Oh! Les gens devraient prier beaucoup plus pour les autres que pour eux-mêmes. C’est toujours la même règle qui dit que nous devrions faire le plus de choses possible pour les autres, et le moins pour nous. C’est ce que Dieu attend de nous.
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MessageSujet: Maria Simma nous parle de la sainte messe    Maria Sima  EmptyDim 10 Fév 2013, 21:37

Source : http://revelationcielitalie.free.fr/

LA SAINTE MESSE




Qu’est-ce que les Pauvres Ames vous demandent le plus souvent?


La Sainte messe. Le plus souvent des messes auxquelles nous assistons et des messes que nous faisons célébrer; mais aussi de prier le Rosaire, le Chemin de Croix et d’autres prières.


Vous dites qu’elles ont besoin de messes. Pourquoi des messes plutôt que n’importe quoi d’autre?


Parce que chaque messe est le renouvellement des souffrances de Jésus et de sa mort sur la croix. À chaque messe, Il prie de nouveau pour nous et avec nous, et Il s’offre au Père pour nous. Padre Pio, qui souffrait souvent la Passion du Christ durant la messe, disait que le monde pourrait plus facilement exister sans le soleil que sans la Sainte messe. Cette remarque devrait bien nous faire réfléchir et elle est aussi, je crois, prophétique. En allant à la messe, nous nous joignons à Jésus pour sauver le monde de la destruction, et en allant à Jésus, nous nous sauvons nous-mêmes. La messe est la plus grande de toutes les prières, le plus grand de tous les événements du monde, et pourtant si mystérieux, si petit et si humble. En amenant les Pauvres Ames â la messe, nous les aidons d’innombrables façons que nous ne comprendrons réellement qu’au Ciel lorsque nous serons tous réunis autour de Jésus.


Est-ce que toutes les messes auxquelles nous assistons ou que nous faisons célébrer aident les Pauvres Ames dans la même mesure?


Non. Une messe aide l’âme pour laquelle la messe est offerte dans la mesure où cette âme, si elle était chrétienne, aimait la messe durant sa vie sur terre. Cependant, si l’âme n’était pas chrétienne durant son existence, et que par conséquent elle n’en savait rien, le fait d’assister à une messe pour cette âme l’aidera beaucoup plus.


Est-ce qu’une messe à laquelle nous assistons ou que nous faisons célébrer pour une personne vivante l’aide autant que pour une Pauvre Ame?


Assister à une messe ou la faire célébrer pour une personne vivante l’aide beaucoup plus maintenant que plus tard.


Pourquoi?


Parce qu’ici nous pouvons encore recevoir des grâces et que ce n’est plus le cas lorsque nous sommes au Purgatoire. De plus, cela contribue beaucoup à protéger cette personne encore parmi nous de tout danger.


Existe-t-il une preuve physique que Jésus soit effectivement présent dans l’Hostie consacrée?


Bien sûr, il en existe de nombreuses preuves. On peut lire de nombreux récits de miracles eucharistiques dans l’histoire de l’Église.
Simplement à titre d’exemple, Thérèse Neumann, de Konnersreuth, n’a consommé que de l’eau et la Sainte Eucharistie durant quelque trente-six années, et elle a cependant pris du poids en vieillissant II y a aujourd’hui une femme quelque part dans le nord de la France qui ne consomme rien d’autre qu’une Hostie consacrée depuis cinquante ou soixante ans; il n’y a pas longtemps, son évêque l’a fait enfermer dans une chambre d’hôpital pour la tester. Elle en est sortie en aussi bonne santé qu’à son arrivée. L’évêque ne faisait que son devoir en exigeant cette épreuve et elle faisait le sien en obéissant. Jésus permet ces miracles pour montrer à l’humanité qu’il est vraiment le Pain de Vie.
Vous avez également le miracle de Lanciano, en Italie, où, il y a plusieurs siècles, une Hostie est devenue un morceau de chair et de sang durant les paroles de la Consécration. Une analyse a été effectuée récemment dans les années soixante-dix qui a démontré qu’il s’agissait bien d’un morceau de muscle de cœur humain fraîchement prélevé.
Un de mes miracles eucharistiques préférés est arrivé à Langewiese, en Allemagne, après qu’on eut volé quelques hosties consacrées dans une église. Le voleur, bien que chrétien, avait accepté pour un peu d’argent d’enlever les hosties et de les remettre à des personnes pour être profanées. Et c’est au cours de ces profanations que les hosties se sont mises à saigner. Choqués et craignant la justice de ce monde, les profanateurs se sont empressés d’envelopper les hosties dans un linge et d’aller les enterrer dans un bois près de la ville de Langewiese. Peut de temps après, un aristocrate polonais, dans son carrosse tiré par quatre chevaux, se trouvait à passer près de ce bois lorsque les bêtes se sont arrêtées net pour s’agenouiller. Jamais les hommes ne parvinrent à les faire se relever et avancer. Même les coups de fouet ne les faisaient pas broncher! L’aristocrate se mit alors à regarder autour de lui et il aperçut le linge contenant les hosties ensanglantées. La nouvelle se répandit rapidement dans la région et le prêtre de Langewiese conduisit une procession sur les lieux pour sortir les hosties du sol et les retourner dans son église, au son des cloches qui carillonnaient.
Au cours des siècles, il y a eu des milliers de cas prouvant que Jésus est littéralement et physiquement présent dans l’Hostie consacrée, mais Lanciano est simplement un des plus célèbres.


Avez-vous connu personnellement Thérèse Neumann?


J’ai manqué de la rencontrer à deux semaines près. Mais je suis allée visiter sa tombe : j’étais très malade à l’époque et en la quittant, j’étais de nouveau en parfaite santé !


Est-il possible que dans les villes où il y a beaucoup de prières et de messes, les Pauvres Ames se rassembleraient plus que dans les villes où l’on prie moins?


Oui, absolument. Elles se rapprocheraient de leurs parents qui prient dans l’espoir d’en bénéficier un peu. Les fidèles pourraient surtout les entendre et quelquefois les voir. C’est alors que les prêtres et les chefs religieux doivent informer les fidèles qu’il est normal d’entendre parler des membres de leur famille ou des amis proches qui sont passés de l’autre côté. Dans ce monde sécularisé, « entendre des voix » est le plus souvent interprété comme un symptôme de maladie mentale, ce qui est clairement l’œuvre de Satan. Bien sûr, la maladie mentale peut faire que l’on entend des voix, et certaines sont aussi l’œuvre du mal, mais ces voix sont souvent bonnes et par conséquent un grand don. L’idée largement répandue que le fait d’entendre des voix est exclusivement le signe d’une maladie mentale est totalement exagérée et peut faire très mal à beaucoup de braves gens très sensibles. Il faut dans ces cas-là beaucoup de discernement et d’expérience, et la grande majorité des médecins d’aujourd’hui ne connaissent pas suffisamment la matière. Ce sont eux qui devraient aller à la messe et prier beaucoup pour être mieux informés sur les choses divines.


A votre avis, les gens vont-ils assez souvent à la messe et font-ils célébrer suffisamment de messes pour leurs parents et amis défunts qui sont
probablement au Purgatoire?


Non, pas du tout, et une partie importante de mon apostolat est d’inciter les gens à faire beaucoup plus qu’ils ne font. Il faudrait assister à beaucoup plus de messes et en faire célébrer un bien plus grand nombre pour les défunts. Cela devrait se faire de façon régulière – à leur anniversaire, au nom du jour, à leur anniversaire de mariage et le jour de leur mort. Et chaque fois que l’on pense beaucoup à eux. L’occasion se présente toujours et il faudrait agir très rapidement. Nous devons faire tout ce que nous pouvons pour eux, et l’offrande d’une messe est le plus beau cadeau que nous puissions leur faire.


Que voulez-vous dire par au « nom du jour » ?


Oh! Excusez-moi. D’autres appelleraient ça le jour de leur fête. C’est le jour que l’Église a réservé spécialement pour le Saint dont vous portez le nom. Le vôtre serait naturellement le 6 décembre, fête de saint Nicolas. Si on apprenait aux enfants à connaître leur Saint au lieu de les inonder de cadeaux matériels le jour de leur fête, est-ce que ça ne les aiderait pas beaucoup mieux à les préparer pour la vie? Les anniversaires de naissance sont également importants et on devrait alors insister sur le don de Dieu que représente un enfant, plutôt que d’ajouter encore des biens matériels. Le Saint du jour leur servirait aussi un peu de modèle. Nous devrions leur dire que ce cadeau leur vient de Jésus et de Marie, mais aussi de leur Saint qui s’intéresse à eux de façon très spéciale, et ce ne sont pas simplement des paroles en l’air, c’est la vérité. Cela les rendrait curieux et désireux d’en savoir plus.


Voulez-vous dire par là que donner un prénom chrétien aide aussi l’enfant, et que ne pas lui en donner peut nuire à l’enfant, ou plutôt l’affaiblir durant sa vie?


Oui, d’une certaine manière. Le Saint dont l’enfant porte le nom va automatiquement intervenir avec amour et puissance en faveur de l’enfant pour le protéger. Cette protection est perdue si l’enfant se nomme, disons - Aigle doré. Bien sûr, cela ne veut pas dire que Dieu l’aimera moins, mais il est certain qu’il aura moins d’intercesseurs et qu’il faut de nos jours chercher à en avoir le plus possible. Je suis certaine que cela attriste Dieu lorsque nous refusons de donner à un enfant un puissant intercesseur. De toutes les manières possibles, nous devons chercher à donner à nos enfants tout ce qui peut les guider et contribuer à leur bonheur et à leur contentement.


Y a-t-il des choses que les Pauvres Ames vous ont dit ne pas aimer et qui les attristent concernant les messes aujourd’hui?


Oh! Oui, et il y en a beaucoup. Le soi-disant signe de paix et le fait de se tenir les mains durant le Notre Père n’en sont que deux exemples. Cela se produit juste après la Consécration et précisément au moment où nous devrions concentrer notre pensée sur le Seigneur et sur Lui uniquement. C’est alors qu’Il est le plus près de nous, et les gens se mettent à chercher des mains à serrer plutôt que de se plonger sans être interrompus dans une prière la plus profonde possible avec Lui, et non avec des voisins que nous ne connaissons souvent même pas. Là encore, c’est apporter un rituel social dans l’église plutôt que d’amener Jésus plus près des gens. Je dis « des voisins que nous ne connaissons souvent même pas » parce que nous ne devons jamais abaisser notre garde! Ce sont justement les lieux les plus saints qui sont le plus infiltrés par les adorateurs de Satan. Et le contact physique renforce considérablement les malédictions qu’ils répandent. Comme ils sont heureux de pouvoir serrer des mains et même d’étreindre les gens qu’ils viennent de distraire de la présence de Jésus! Le danger nous guette souvent derrière une fausse familiarité ou une unité forcée. Ajouté au manque de confession, cela peut faire des messes le terrain de chasse favori de ceux qui ont choisi de tourmenter le peuple du Christ. Dites le Notre Père uniquement avec Celui qui nous a donné la plus grande de toutes les prières. Et allez plus tard à l’extérieur de l’église où vous aurez le temps, ainsi que le discernement, pour choisir ceux à qui vous voulez serrer la main. Être véritablement pieux et prudent ne veut pas dire que l’on soit asocial ou enclin à juger.
Et il y a, bien sûr, ce qui est de loin pis que tout le reste, les applaudissements. On va à l’église pour prier. Jésus est là dans le tabernacle et on prendrait le temps d’applaudir une autre personne parce qu’elle a dit quelque chose qui se trouve être populaire, correct ou fort? Non! Cela met en danger le prêtre ou la personne qui a dit cette chose populaire en flattant son ego plutôt qu’en l’aidant dans son humble mission qui est de nous apporter Jésus. Ce n’est pas bien et encore une fois contraire à la dévotion que nousdevons enseigner à tous aujourd’hui, et spécialement aux jeunes. C’est à l’école qu’ils se tiennent tous par la main et qu’ils tapent des mains, et nous devons leur montrer que les églises sont là uniquement pour rencontrer Dieu le Père, Dieu le Saint-Esprit, Dieu le Fils, Jésus et Marie, et pour rien d’autre.


Est-ce que ce sont les âmes elles-mêmes qui vous ont dit que le signe de paix et les poignées de mains présentaient des problèmes?


Oui.


Les âmes vous ont-elles parlé des ministres auxiliaires de la communion?


Oui. Sous des conditions normales, seules les mains consacrées des prêtres peuvent distribuer la communion. La loi de l’Eglise dit que cela doit être observé à moins que ne se présentent des « circonstances extraordinaires », comme dans le cas où le prêtre serait alité. « Extraordinaires » ne veut pas dire la différence entre le fait d’avoir à attendre deux minutes au lieu de dix pour recevoir la communion. Nous devons toujours nous préparer dans la prière avant de recevoir Jésus, et les gens qui insistent pour que tout soit terminé le plus rapidement possible n’ont aucune idée de l’énormité du privilège de recevoir Jésus en nous, et de la source de grâces et de protection que cela représente.
Si quelqu’un voulait avoir la preuve que l’utilisation faite aujourd’hui des ministres auxiliaires de la communion n’est pas selon le désir de Dieu, je peux vous raconter ce qui est arrivé près d’ici récemment.
Une femme qui distribuait la communion et incitait beaucoup d’autres à faire de même est morte récemment. Je la connaissais un peu et j’avais beaucoup entendu parler d’elle. Avant les funérailles, le cercueil était ouvert pour permettre à la famille et aux amis de faire leurs adieux L’heure venue, on a fermé le cercueil. Mais un peu moins d’une heure plus tard un proche parent s’est présenté qui a prié le prêtre chargé de la cérémonie de rouvrir le cercueil afin de voir lui aussi la défunte. Le prêtre a accepté et, avec l’aide de deux autres témoins, le couvercle a été soulevé. Le petit groupe a pu alors constater que quelque chose s’était produit durant le bref intervalle où le cercueil avait été fermé. Les mains de la femme étaient devenues noires comme du charbon. Pour moi, comme pour les autres, Dieu nous confirmait ainsi que des mains non consacrées ne pouvaient pas distribuer Jésus à la communion.
Il y a aussi ce soi-disant « autel du peuple » dont l’installation a également ravi Satan. Jésus est présent dans le tabernacle qui devrait en tout temps se trouver au centre de l’église. L’autel retourné a permis à toute une série de choses de se produire. Pour commencer, le fait d’interposer le visage du prêtre entre celui de Jésus et l’assemblée rend beaucoup plus difficile la concentration sur Jésus, et chacun sait que le visage est le point principal de communication entre les gens. C’est seulement durant l’homélie que l’assistance devrait se concentrer sur le prêtre, ses paroles, son visage. En retournant l’autel, on a mis Jésus en retrait, ce qui a conduit ensuite à le pousser sur le côté pour le déplacer finalement, comme c’est déjà le cas dans des églises modernes, vers une aile séparée, quand ce n’est pas dans une salle à part. Et c’est précisément ce que Satan a toujours voulu - se débarrasser de Jésus!


Y a-t-il eu d’autres révélations privées qui allaient dans le sens de ce que vous ont dit les âmes sur ces questions?


Une apparition mariale que m’a décrite une personne digne de confiance qui était présente pendant l’apparition confirme bien ce que disent les âmes. Cette apparition a eu lieu au cours d’une messe, quelques minutes après la Consécration. Notre-Dame est venue comme elle le fait toujours à l’heure prévue, mais cette fois sans prier ni parler à la visionnaire; elle n’est restée que quelques secondes et n’a fait que bénir le petit groupe. Lorsque les personnes présentes ont demandé à la visionnaire pourquoi tout s’était passé aussi rapidement, elle a répondu, avec un geste de la main : « Parce que Jésus se tenait là ».
Ainsi donc, si Notre-Dame ne juge pas convenable de communiquer avec quelqu’un lorsque Notre Seigneur est présent en personne, qui d’autre oserait interrompre notre communication avec Lui?!
Et on a dernièrement rendu public que le quatrième avertissement donné à la Sœur qui a vu Notre-Dame à Akita, au Japon, concernait la communion dans la main. J’ai été très heureuse de l’apprendre.


Selon vous, avec quelle régularité les gens devraient-ils assister à la messe?


Tous les jours. Vous êtes surpris; ne le soyez pas. Si nous voulons être plus près de Dieu nous devons commencer, avec un tout petit peu de discipline, par Lui réserver du temps. Ne nous a-t-Il pas donné sa Vie dans ce temps? Ce n’est par conséquent pas trop demander que de Lui en redonner chaque jour une partie. Je sais parfaitement que la société actuelle est organisée de telle sorte que la plupart des gens sont pressés et ont d’innombrables excuses pour négliger un tiers de leur être qui est spirituel. L’homme a besoin de nourriture pour son corps, son esprit et sa vie spirituelle. La personne qui néglige de nourrir l’un des trois n’atteindra jamais l’équilibre ni la plénitude de son être, et restera par conséquent en arrière. Elle est perdante et Dieu ne veut voir reculer personne. Je vous promets de tout mon cœur qu’une fois que vous aurez commencé à donner ce temps à Jésus, vous vous demanderez bientôt comment vous avez pu vivre sans cela. Il nous apporte tant de paix, tant de force et tant de joie. Jésus n’est pas une béquille psychologique de plus. Il est Dieu et par conséquent le meilleur ami que nous puissions avoir.
Parlant de la messe quotidienne, cela me rappelle l’apparition d’une femme qui était au Purgatoire. Lorsque je lui ai posé la question habituelle, elle a répondu: « Allez dire à mes enfants que je serai délivrée lorsqu’ils auront offert pour moi soixante-quinze messes de semaine. » J’ai donc appelé cette famille pour leur dire ce que leur mère demandait. Ce n’était pas une famille pauvre et un membre de la génération suivante a dit: « Très bien, on va payer pour soixante-quinze messes, et ce sera tout. »
- « Non, leur ai-je répondu avec fermeté, ce ne sera pas tout, parce que la raison pour laquelle votre mère est encore au Purgatoire, c’est pour ne pas vous avoir appris la valeur des messes de la semaine. Vous allez ensemble assister à soixante- quinze messes et porter votre bonne maman dans votre cœur comme unique intention. Voilà ce qu’elle attend de vous. » Après avoir grommelé un peu, ils ont accepté et se sont exécutés.
Voyez-vous, Dieu avait pour eux un plus grand projet encore. Depuis que je leur ai apporté cette nouvelle, je peux dire qu’ils ont continué à assister presque chaque jour à la sainte messe, même après avoir atteint le nombre requis de soixante-quinze; ils ont ainsi reçu dix fois plus que la simple connaissance que leur mère était au Ciel. Ils ont même peut-être épargné un peu d’argent. (rire)


Il est donc très important de maintenir avec soin l’équilibre entre les trois
parties constituantes de notre être si nous voulons avoir une vie bien remplie?


Oui, c’est très important. Si le monde séculier dit que le
spirituel n’est plus nécessaire dans ce monde de science et de psychologie, cela est en contradiction directe avec les faits. Pourquoi alors les gens s’envolent-ils par milliers en Inde pour s’asseoir et psalmodier sur les rives du Gange, et pourquoi les sectes et les cultes remplissent-ils des salles entières dans nos cités? La partie spirituelle de l’homme doit recevoir nourriture et boisson tout comme les autres parties.
Il y a beaucoup d’ignorance et de confusion aujourd’hui lorsque le monde sécularisé fait face à des gens spirituellement doués. Le monde n’a pas de problèmes avec ceux qui sont physiquement doués et il les installe sur des trônes de gloire et d’argent, et spécialement aux yeux des jeunes. Viennent ensuite ceux qui sont intellectuellement doués et qui se chargent de penser pour les masses. Mais s’il se présente une personne spirituellement douée, les gens sont alors très facilement embarrassés, car il faut encore plus de discernement et d’amour pour savoir si oui ou non cela vient de Dieu.
La plupart des gens ont au moins déjà entendu parler de personnes possédées par le démon qui ont à l’occasion fait preuve de capacités physiques et de forces extraordinaires. Bien peu savent cependant, que Satan était le plus intelligent de tous les anges et qu’il est ainsi facilement capable de se mêler à ceux que le monde appelle aujourd’hui ses sujets les plus intelligents. Et lorsque surgissent des personnes ayant des traits spirituels particulièrement raffinés, il arrive beaucoup trop souvent que nous les reléguions à l’asile d’aliénés, à moins, bien sûr, qu’elles n’offrent des choses qui attirent si facilement les gens, comme le succès, l’argent, le pouvoir, l’amour factice, etc.
Si nous cherchons quels sont les gens les plus aimés et les plus respectés dans ces trois domaines, ce sont toujours ceux qui, avec leurs dons particuliers, font aussi preuve d’humilité, car ils reconnaissent que ce qu’ils ont est un don de Dieu et qu’ils ne sont eux-mêmes que les humbles véhicules de sa grandeur.
Il est certain que la personne douée physiquement doit aussi bien prendre soin de son esprit et de son âme, et celle qui est douée intellectuellement doit assurément bien s’occuper de son corps et de son âme. Il s’ensuit naturellement que la personne ayant un don spirituel doit aussi activer les deux autres parties de son être. Dieu veut toujours de l’humilité et de l’équilibre dans tout ce que nous faisons. L’équilibre est tellement important. C’est ici dans la sainte messe que les trois parties sont réunies pour nous dans la perfection: la Présence réelle de Jésus pour l’âme, l’Évangile et les autres enseignements pour l’esprit, et le Pain et le Vin pour le corps.


Que se passe-t-il et comment les gens sont-ils affaiblis, lorsque le tiers spirituel est négligé?


Lorsque cet élément si important reste inactif, la personne se mettra inconsciemment à la recherche d’une béquille - une dépendance sur quoi s’appuyer en remplacement. C’est alors que les gens tombent si facilement dans la drogue, l’alcool et le sexe; ils se laissent totalement absorber par la recherche de l’argent, du pouvoir, d’une position dans le monde; ou ils se précipitent dans une secte quelconque qui leur promet la paix et le contentement sans leur dire que leurs leaders sont en communion avec les esprits mauvais.


Et la messe, dites-vous, satisfait ce besoin plus que n’importe quoi d’autre?


Oui, sans aucun doute! C’est le moyen, le plus puissant que nous ayons pour atteindre Dieu; c’est la prière la plus puissante que Dieu nous ait donnée. L’amour qu’il a pour nous et son sacrifice total nous parviennent dans la messe de manière incommensurable.


Quelle est la meilleure façon d’agir pour nos défunts lorsque nous voulons leur offrir une messe?


La chose la plus rapide, la moins aimante et la plus paresseuse consiste à faire simplement une petite offrande de messe que le prêtre inscrira dans son carnet. C’est beaucoup mieux - et les preuves sont là pour dire que les guérisons et les délivrances sont beaucoup plus fréquentes lorsqu’un parent ou un ami est présent en position de pénitent - d’assister à la messe pour cette personne. Le mieux pour l’âme est qu’elle ait son nom inscrit dans le livre et que quelqu’un soit là pour intercéder en sa faveur. L’acte est alors complet, intégral, pur, et le plus aimant de tous.
En ce qui concerne les noms à inscrire dans le livre à l’église, il est également préférable de ne donner qu’un seul nom par messe à Jésus. Je sais très bien qu’aujourd’hui le manque de prêtres, et par conséquent l’absence de messes, peut parfois rendre cela impossible. On donne fréquemment trois noms de nos jours, mais alors qu’est-ce qui nous empêchera d’en inscrire trente pour une messe? Spécialement alors que les prêtres ont tellement besoin d’argent. On ne devrait donner qu’un seul nom. J’envoie toutes mes messes au Monastère des Carmélites, à Fatima, qui non seulement me promet de n’apporter qu’un seul nom par messe, mais qui a aussi grandement besoin d’argent.
À ceux qui veulent être consciencieux et bien faire les deux, si on ne peut pas faire autrement, je rappelle que le temps et l’espace ne comptent pas et qu’il n’est pas indispensable d’assister à la messe elle-même où le nom est enregistré. Garder cela à l’esprit permet de résoudre des conflits d’horaires ou des empêchements légitimes dus au manque de temps ou à l’incapacité de se déplacer.
Lorsqu’il est question de temps et d’espace, rappelez-vous toujours que Dieu est Dieu. Il m’est souvent arrivé de voir que la guérison est survenue bien avant que la messe ait été célébrée. Et je ne parle par seulement de Pauvres Ames montées au Ciel, mais de vivants délivrés de leurs fardeaux après accord qu’une messe était nécessaire. Dieu sait, dans ces cas-là, que l’intention est bonne et que la promesse sera tenue, et jamais Dieu ne veut que l’on souffre une seconde de plus que nécessaire.


Pouvez-vous me citer un cas où des âmes ont fait clairement savoir qu’il était nécessaire et bon que l’on assiste à des messes pour elles?


Oui. J’ai connu une jeune femme qui voulait faire plus pour les âmes et lorsqu’elle a demandé à sa mère ce qu’elle devait faire pour elles, sa mère a suggéré d’assister à deux messes plutôt qu’une chaque dimanche. Et elle l’a fait pendant un certain temps. Le prêtre a bien vite remarqué qu’elle assistait à deux messes dominicales et il lui a demandé pourquoi; la jeune femme a naturellement répondu qu’elle le faisait pour les âmes. Le prêtre ne pouvait pas comprendre cela et il est allé jusqu’à lui dire que la seconde messe ne serait pas valide et qu’elle perdait son temps. Désolée et perplexe, la jeune femme mit fin à ce qu’elle avait commencé et recommença à n’aller qu’une seule fois à la messe le dimanche. Peu de temps après, le prêtre est mort et il est apparu, du Purgatoire, à cette même jeune femme, pour lui dire qu’il ne serait délivré que lorsqu’elle aurait assisté à toutes les messes qu’elle avait manquées en suivant son mauvais conseil. Des conseils comme celui-là, si fréquents de nos jours, seront amèrement regrettés!


Vous avez déjà parlé de la science. Les-Pauvres Ames vous ont-elles déjà dit quelque chose qui, par exemple, corrige une chose que les hommes de science considèrent aujourd’hui comme vraie?


Pour le moment, je ne peux penser qu’à un seul cas. Quelqu’un avait demandé où Ève avait vécu et il y a combien d’années. Certains scientifiques aux Etats-Unis et ailleurs croient, sur la base d’études terriblement sophistiquées, qu’elle a vécu il y a environ 250.000 ans en Afrique du Nord ou en Asie Mineure, et j’ai demandé aux âmes si c’était approximativement vrai. Elles m’ont répondu que ce n’était pas la vérité; ces braves scientifiques ont donc encore bien du pain sur la planche!
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MessageSujet: Maria Sima    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:15

1 - DIMANCHE EN AUTRICHE
Je débouche du tunnel Arlberg en direction ouest et me retrouve bientôt sur une autre autoroute qui me conduit vers Feldkirch, à l’extrémité occidentale de la province autrichienne du Vorarlberg. Si je devais aller plus loin, je traverserais bientôt la frontière pour entrer en Suisse ou dans la Principauté du Liechtenstein. Mais un panneau m’indique la sortie vers Grosseswalser et je tourne juste après Bludenz pour me diriger vers le nord par des routes de campagne.
Me voilà bientôt sur une voie escarpée et sinueuse qui serpente au flanc nord-ouest d’une magnifique vallée alpine. C’est un chemin tortueux qui se faufile à travers les sapins, surplombé ça et là de barrières métalliques qui le protègent des avalanches. À chaque courbe ou pente importante, des boîtes à couvercle remplies de splitt, un mélange de sable et de sel, rappellent la dureté des hivers que doivent endurer les fermiers à ces altitudes. Nous sommes au début du printemps et la neige a fondu, mais on distingue encore les marques d’érosion laissées par les masses d’eau qui ont dévalé ces pentes au cours des dernières semaines.
Chaque village que je traverse a en son centre une église, surmontée tantôt d’une flèche droite et très haute, tantôt d’un clocher rebondi en forme d’oignon de couleur rouille. Des deux côtés de la vallée, des vaches rousses, certaines portant de grandes cloches, s’accrochent aux pentes et broutent l’herbe naissante. Plus je monte, plus je pénètre dans la montagne. (Les citadins racontent parfois que les habitants qui vivent sur ces hauteurs ne peuvent descendre sur les terres plates de la vallée car ils ont une jambe beaucoup plus courte que l’autre ! ) Sur le bord de la route, les derniers crocus blancs ou mauves semblent fatigués de s’être frayé un chemin à travers les brindilles. Tout là-haut, au loin, on aperçoit la surface unie de prés d’un vert lichen couronnés d’une chaîne de pics calcaires ou graniteux qui abritent encore de la neige à l’ombre de leurs crevasses. Je continue mon ascension, suivant avec plaisir les routes bien dessinées des ingénieurs autrichiens.
Je croise des enfants qui rentrent de l’école, par petits groupes, portant des sacs à dos en peau de vache; leurs joues rouge pomme leur donnent à tous un air de famille. Un peu plus loin, c’est un autre village. Le panneau annonce: Sonntag.
Nous voici à « Dimanche », Autriche. Je prends un virage abrupt sur la gauche en direction de l’église. Ce dernier chemin est si escarpé que je dois passer en première. Il serait risqué de rencontrer ici un autre véhicule mais pourtant aucun panneau ne règle le droit de passage. La route contourne les murs du cimetière et, là-bas, nichée dans la pente, repose une petite maison confortable de style chalet.
C’est là que demeure Maria Simma.
Je sonne et j’entends bientôt sa voix chevrotante mais chaude et amicale: « Ja, kommen Sie nur rauf » (Oui, vous pouvez monter!). Un escalier raide m’amène jusqu’au porche situé au même niveau que le clocher de l’église.
Maria est petite et corpulente. Elle est coiffée d’un foulard coloré et, derrière ses lunettes, la clarté cristalline et la profondeur de ses yeux bleus révèlent immédiatement qu’elle a vu bien des choses au cours de ses quatre-vingt-trois ans. Sur un grand panneau de bois accroché à la porte d’entrée on peut lire ces vers, en langue allemande: « Wer bei mir Kritik und Korrektur betreiben will betrete meine Wohnung nicht, denn jeder hat in seinem Leben, auf sich selber acht su geben.» (Que celui qui veut me critiquer et me corriger n’entre pas chez moi, car chacun a dans sa propre vie de quoi s’occuper lui-même.) Traversant un petit corridor étroit et encombré, elle me fait passer du balcon ensoleillé à sa chambre située en arrière. Là, elle me présente une chaise bancale et s’assoit elle-même en poussant un soupir.
Partout où mon regard se pose je vois des images ou des statues de la Vierge Marie, de saint Michel Archange et de saint Joseph, et il y a au moins un crucifix dans chaque espace vide. Tout en parlant du temps splendide et de la multitude de pots sur le porche où elle cultive des fleurs et des herbes pour les revendre, je prépare mon magnétophone à cassettes. Il flotte une légère odeur de cuisine et de poulets que j’ai entendus en provenance de la cave en sortant de ma voiture. Lorsque l’appareil est prêt, je prends soin de lui expliquer que j’ai l’intention d’enregistrer notre conversation et je lui montre le microphone placé entre nous deux.
Je lui demande si elle est d’accord.


Oh oui, c’est très bien. Et pendant qu’on parle, je vais m’occuper. Est-ce que ça vous va ?


Maria se penche, tire deux boîtes de sous la table et les place devant elle. Elles semblent contenir des plumes.


Bien sûr, Maria; mais dites-moi, qu’est-ce que vous faites avec ça?


Ce sont des plumes de canards et ça, c’est le duvet que j’en retire. Vous voyez, quand j’en ai suffisamment, je le vends à une fabrique d’oreillers dans la vallée. Les fermiers d’ici m’apportent leurs volailles. Je les tue et les nettoie, et pour ça ils me laissent les abats et les plumes. Je fais cuire les abats pour les manger et je vends le duvet. C’est une bonne façon de m’occuper quand je dois parler aux gens pendant un certain temps, et d’après ce que vous m’avez dit, ça pourrait durer longtemps.


Eh bien, oui, j’ai beaucoup de questions; on peut tout simplement parler jusqu’à ce que l’un de nous deux soit fatigué. Vous êtes d’accord ?


Certainement.


Je voudrais d’abord vous remercier. Je suis sûr que bien des gens sont venus vous poser des questions, depuis le temps.


Oui, c’est vrai. Mais je le fais volontiers parce que je sais que beaucoup se sont rapprochés de Dieu à cause de ce que je peux leur dire. Alors, allez-y. Je répondrai à tout de mon mieux.


(Note de l’auteur: La discussion suivante résulte de visites par l’auteur chez Maria Simma, aujourd’hui âgée de 87 ans, plus de trente fois sur une période de cinq ans.)



Source : http://findestemps.forumactif.org/
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MessageSujet: Le passé de Maria Simma    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:15

LE PASSÉ DE MARIA




Pourriez-vous me parler un peu de votre enfance et de votre jeunesse ?


À trois reprises, j’ai voulu entrer au couvent. Encore enfant, j’avais déjà dit à ma mère que je ne n’allais pas me marier. Elle avait répondu: « Attends simplement d’avoir vingt ans et je te reposerai la question. » - « Non maman, tu ne me verras pas mariée. C’est bien décidé. Ou j’entrerai au couvent, ou alors j’irai travailler quelque part où je peux aider les gens. »
C’est ma mère qui s’occupait toujours beaucoup des Pauvres Ames, et même quand j’allais à l’école je m’en suis occupée aussi beaucoup moi-même. Plus tard, j’ai décidé de tout faire pour elles. Alors, en quittant l’école, je me suis dit « Bon, je vais entrer au couvent. C’est peut-être ce que Dieu attend de moi ».
Alors à dix-sept ans je suis entrée au couvent du Cœur de Jésus, à Hall, au Tyrol. Déjà au bout de six mois elles m’ont dit: « On vous le dit tout de suite, vous êtes trop faible pour nous. »
Voyez-vous, à huit ans, j’avais fait une pleurésie et une pneumonie, et à cause de ça, j’étais un peu en retard physiquement. Alors au bout d’un an j’ai dû partir, mais la Mère Supérieure m’a bien dit : « Je suis sûre que vous êtes appelée à un ordre religieux, mais attendez deux ou trois ans et, lorsque vous serez plus forte, entrez dans un ordre plus facile, peut-être un ordre cloîtré ». À partir ce jour, je me disais : « Un ordre cloîtré ou rien du tout. Non, je n’attendrai pas. Je veux y aller immédiatement ».
Le deuxième couvent était à Thalbach, près de Bregenz, chez les Dominicaines. Après seulement huit jours elles m’ont dit: « Vous êtes beaucoup trop faible pour nous, vous devez encore partir ». Puis j’ai entendu parler des Sœurs missionnaires. « La Mission, voilà ce que je veux. C’est pour ça que les deux autres n’étaient pas pour moi. » Alors je suis allée chez les Sœurs franciscaines de Gossau, en Suisse. « Oui, vous pouvez venir. » Mais j’ai dû leur dire que j’étais déjà entrée dans les deux autres et qu’ils m’avaient renvoyée tous les deux. Alors on me donnait toujours les travaux les plus pénibles et les autres postulantes me demandaient : « Pourquoi est-ce que vous êtes toute seule pour faire ça? Nous, on ne le supporterait pas. » - « Vous allez voir, le Seigneur va m’aider. C’est très bien comme ça, je ferai tout ce qu’on me demandera. » Et puis un jour, on m’a dit : « Aujourd’hui, vous pouvez rester ici et faire quelque chose de plus léger. » Alors, j’ai pensé : « Ou bien je dois partir, ou alors elles ont vu que je pouvais le faire ». Mais quand la maîtresse des novices a descendu l’escalier, elle m’a regardée avec un tel air de pitié que j’ai compris immédiatement : « Oh! je vais devoir partir. » Elle est venue vers moi et m’a dit: « Je dois vous dire quelque chose. » - « Ouais, je sais; il faut encore une fois que je m’en aille, hein ? » - « Qui vous l’a déjà dit ? » - « Oh! je l’ai vu à votre air. » - « Oui, vous êtes trop faible pour nous. » Alors j’ai décidé que si je ne pouvais pas rester ici, je n’irais nulle part. Ce n’était donc pas la volonté de Dieu que j’entre au couvent. Et je dois dire qu’à partir de ce jour mon âme a beaucoup souffert. Je suis devenue impatiente et j’ai dit à Dieu: « Eh, mon Dieu, ce sera Votre faute si je ne fais pas Votre volonté ». Mais ce que je ne savais pas, c’est qu’on n’a pas à exiger de Lui des miracles. J’étais encore jeune. Je pensais souvent que Dieu essayait de me montrer ce qu’Il attendait de moi, mais que je ne pouvais pas Le voir. Je continuais à m’attendre à trouver une note écrite cachée quelque part sous une meule de foin.
Maria, vous dites que votre mère s’occupait beaucoup des Pauvres Ames. Qui sont ces Pauvres Ames et qu’est-ce que vous voulez dire quand vous dites qu’elle s’en occupait beaucoup ?


Les Pauvres Ames sont toutes les âmes des disparus qui ne sont pas encore entrées au Ciel, les âmes qui sont encore au Purgatoire. Ailleurs on les appelle les Saintes Âmes ou les Âmes Choisies, et d’un point de vue biblique ces termes sont plus justes que les Pauvres Ames. Mais « Pauvres » n’est pas inexact parce qu’elles dépendent entièrement de nous et que les pauvres sont véritablement dépendants des autres.
De toute façon, ma mère priait beaucoup pour elles; elle faisait beaucoup de belles choses et les gardait toujours dans son cœur. Elle disait toujours à ses enfants que si jamais on avait besoin d’aide pour n’importe quoi, on devrait le demander aux Pauvres Ames parce qu’elles sont nos aides les plus reconnaissantes. Ma mère était aussi très proche de Jean-Marie Vianney, le saint Curé d’Ars, et faisait souvent des pèlerinages à Ars. Aujourd’hui, je suis à peu près certaine que ma mère a dû elle aussi rencontrer des âmes d’une façon ou d’une autre, mais sans le dire à ses enfants.
Alors quand ça a commencé, en 1940, j’ai vite compris que c’était ce que Dieu voulait que je fasse. La première âme est venue vers moi quand j’avais vingt-cinq ans. Le Seigneur m’avait fait attendre jusque-là.


Vous dites que l’âme d’un disparu est venue vers vous. Voulez-vous dire qu’elle est venue dans votre chambre vous rendre visite ?


Oui, et c’est ce qu’elles font encore aujourd’hui. De 1940, quand ça a commencé, jusqu’en 1953, il en venait deux ou trois par année, et la plupart durant le mois de novembre. A cette époque je travaillais à la maison ou avec des enfants; j’ai aussi été servante dans une ferme en Allemagne, et puis ici dans un village voisin. Ensuite, au cours de l’Année Mariale de 1954, j’ai eu toutes les nuits la visite d’une âme. Et en ce qui concerne ma santé, je dois dire que je remercie Dieu, elle s’est améliorée avec ce travail. À l’occasion, quand il se passe beaucoup de choses, je dois bien ralentir un peu; mais en général, la santé est bonne. Et combien de fois j’ai remercié Dieu de ne pas m’avoir laissé entrer au couvent! Dieu nous donne toujours ce qu’il faut pour faire Sa volonté.
Maintenant, depuis bien des années, je donne des conférences. Une dame allemande organise ces réunions et me conduit en voiture. Elle m’appelle pour me dire : « Tel ou tel jour, est-ce qu’il vous est possible de venir dans telle ou telle ville ? » Et déjà la première où j’ai été invitée, je n’ai pas pu y aller parce que quelqu’un devait venir ici. La plupart du temps les conférences se passent bien, mais il est vrai que je dois endurer beaucoup de choses de la part des prêtres modernes. Les croyants plus âgés et la plupart des vieux prêtres croient tout ce que je dis.


Et pourquoi est-ce que cela vous est arrivé, d’après vous ?


Je ne sais pas exactement. Comme je l’ai dit, j’ai toujours voulu donner ma vie à Dieu et c’est pourquoi la prière est devenue très importante pour moi, et j’ai également beaucoup prié et fait beaucoup de choses pour les Pauvres Ames. J’ai aussi fait le vœu à Notre-Dame d’être une âme souffrante spécialement pour les Pauvres Ames. Ça pourrait être une raison. Oui, ça a certainement quelque chose à y voir.




Quelle sorte d’éducation avez-vous reçue exactement, et jusqu’à quel
niveau ?


J’ai terminé l’école primaire. À cette époque, la loi nous obligeait à faire l’école primaire, et nous étions pauvres.


Alors à quel âge avez-vous quitté les bancs de l’école ?


Laissez-moi réfléchir. J’avais onze ans; non, douze. Oui, j’en suis sûre maintenant… J’avais douze ans lorsque j’ai quitté l’école pour de bon.


Et vous étiez combien d’enfants dans votre famille ?


J’étais la deuxième de huit enfants, et on n’avait certainement pas les moyens de dépasser l’école primaire. Je me souviens que, plus souvent qu’autrement, il n’y avait que de la soupe et du pain au dîner et au souper.


Je vous interroge sur votre éducation parce que je crois qu’il est important pour moi de savoir exactement d’où vous viennent vos réponses, si elles viennent des âmes qui vous rendent visite, c’est-à-dire surnaturellement, ou si ce sont des opinions que vous vous êtes formées par vos études et votre expérience, et évidemment sous l’influence des personnes qui vous entourent. Pouvez-vous me dire clairement d’où vous viennent vos réponses ?


Oui, je comprends. Toute ma vie tourne autour de cette expérience, mais vous avez raison de vous poser la question. Si je dis : « Les Pauvres Ames m’ont dit… », alors c’est ce que ça veut dire. Si je ne commence pas par ce préambule, vous pouvez alors présumer que c’est mon opinion personnelle. Mais je vous demande aussi de m’aider si vous n’êtes pas tout à fait certain.
Il se pourrait que je néglige de commencer par cette phrase, parce que je rencontre des âmes à peu près trois fois par semaine ces jours-ci; et je pourrais dire aussi que ce sont mes rencontres les plus régulières avec d’autres âmes. Il y a peu de gens vivants que je vois aussi souvent au cours de la semaine, mis à part peut-être quelques voisins ici et à l’église, et mon prêtre. Je vis seule ici, et la plupart des visiteurs qui viennent avec des noms, des questions ou des situations ayant besoin de prières ou d’une aide quelconque, arrivent généralement de très loin.


Je peux donc présumer qu’en raison de votre éducation relativement
modeste, de l’existence humble, simple et retirée du monde que vous menez ici, ce que vous me dites se fonde en majorité sur ce que ces âmes qui vous visitent vous ont dit ?


Oui, c’est exact. On peut dire ça.


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MessageSujet: Le purgatoire - maria Simma   Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:16

LE PURGATOIRE




Maintenant, dites-moi exactement, je vous prie, ce qu’est le Purgatoire.


Le Purgatoire est un lieu et un état que connaît chaque âme qui a encore besoin d’expiation et de réparation pour les péchés commis durant sa vie, avant de pouvoir rejoindre Jésus au Ciel. On enseigne très peu de choses sur le Purgatoire de nos jours et, parce qu’on en parle peu, cela conduit beaucoup plus de gens à devenir personnellement plus curieux; sans direction spirituelle, ils tombent alors facilement dans les pratiques occultes. On dit habituellement que le Purgatoire n’est qu’une condition. Ce n’est que partiellement vrai car le Purgatoire est aussi, sans aucun doute, un lieu. C’est également un temps d’attente durant lequel les âmes languissent après Dieu. Cet ardent désir de Dieu est leur plus grande souffrance. Toutes les Pauvres Ames vivent cela, peu importe le niveau où elles se trouvent.
Il existe trois grands niveaux au Purgatoire, et les âmes qui me visitent sont celles à qui il manque relativement peu de chose pour accéder au Ciel.
Je crois cela à cause de ce qui s’est passé lorsque j’ai été appelée par le propriétaire d’une maison où des choses étranges se produisaient la nuit. J’ai accepté d’aller y passer une nuit pour voir si je pouvais l’aider. Il n’a pas fallu attendre longtemps pour qu’un bruit lourd et sourd se fasse entendre dans le hall. Comme je le fais d’habitude, j’ai demandé : « Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? » Mais les coups sont devenus de plus en plus forts et un énorme animal que je n’avais jamais vu est apparu soudain, et juste derrière lui un grand serpent qui a rapidement dévoré le premier animal. Puis toute la scène a disparu. J’ai dû avoir un peu peur parce que j’étais en sueur lorsque tout s’est terminé. J’en ai parlé plus tard à un homme qui connaît bien ce genre de choses et c’est lui qui a identifié le premier animal. C’était un hippopotame, qui symbolise la dureté de cœur. Cela ne veut pas dire que la femme était au Purgatoire sous la forme d’un hippopotame; c’était seulement une façon de me faire comprendre ce cas plus clairement. Après avoir longuement parlé avec le veuf, il est bientôt devenu très clair que sa femme avait entretenu une animosité contre une autre femme durant une trentaine d’années, alors que cette dernière avait désiré faire la paix entre elles. Ce refus de pardonner lui avait valu les profondeurs du Purgatoire d’où j’avais été incapable de la délivrer.
Je crois ne rencontrer habituellement que les âmes des niveaux les plus élevés du Purgatoire grâce à ce que j’ai vu dans un journal tenu par une princesse allemande des années vingt. Elle a vu durant plusieurs années les âmes des niveaux les plus bas du Purgatoire et la plupart de ses descriptions sont absolument monstrueuses, et beaucoup plus pénibles que celles que j’ai pu voir. (Meine Gespräche mit armen Seelen, Eugenie von Leyen, Christiana Press, CH-8260 Stein-am-Rhein, Switzerland (1979))


Quelle autre différence y aurait-il entre les niveaux du Purgatoire?


Tout en bas, Satan peut encore attaquer les âmes alors qu’il ne peut plus le faire aux niveaux supérieurs. Il est vrai que nous sommes mis à l’épreuve ici sur terre et que les épreuves cessent à notre mort. Cependant, les âmes au troisième niveau inférieur du Purgatoire doivent expier les péchés commis avant que nos prières, nos messes et nos bonnes actions puissent leur profiter. Et une partie de la souffrance à ces niveaux est de continuer à subir les attaques de Satan.
Les nombreux niveaux du Purgatoire diffèrent de la même manière que toutes nos maladies sur terre sont différentes. L’une peut consister en une simple irritation de l’ongle alors qu’une autre peut consumer le corps tout entier comme un feu. Ce feu n’existe qu’aux derniers étages inférieurs du Purgatoire, mais pas aux plus élevés.


Nos prières peuvent-elles empêcher Satan d’attaquer ceux qui sont tout au fond du Purgatoire ?


Oui, elles le peuvent; spécialement si on le demande à saint Michel Archange et aux anges d’un rang moins élevé.


Et entre ces trois grands niveaux, il existe encore d’autres degrés ?


Oui, en grand nombre, parce que chaque âme est tellement différente d’une autre quand elle arrive là. Il existe des grandes et des petites souffrances, et toute une gamme de souffrances intermédiaires. Il y a probablement là autant de niveaux qu’il y a d’âmes parce qu’il n’existe naturellement pas deux personnes ou deux âmes qui soient identiques.


Lorsque les Pauvres Ames souffrent, peuvent-elles quand même connaître la joie et l’espérance ?


Oui. Jamais une âme ne souhaite revenir ici sur terre parce qu’elles ont une conscience de Dieu beaucoup plus claire que la nôtre. Elles ne veulent jamais revenir dans les ténèbres où nous vivons.




Alors Dieu place là les âmes pour les purifier des péchés qui n’ont pas encore été expiés et réparés ?


Non. C’est habituellement ce qu’on enseigne et c’est incorrect, et ce genre d’enseignement peut facilement faire fuir les gens. Ce n’est pas Dieu qui les place là! Les âmes se jugent et s’assignent elles-mêmes le niveau approprié. Ce sont elles qui veulent se purifier avant de rejoindre Dieu. Il est très important de prendre conscience de cette vérité particulière sur l’amour de Dieu.


C’est donc nous qui reconnaissons que nous ne sommes pas assez purs et que nous avons, par conséquent, besoin de purification au Purgatoire ?


Oui, c’est exact.


Les âmes se révoltent-elles parfois contre leur état? Sont-elles patientes ou est-ce que certaines refusent l’état dans lequel elles sont?


Non, elles sont patientes et veulent souffrir, sachant qu’elles peuvent ainsi expier et faire réparation pour tout. Elles deviennent pures pour se présenter devant Dieu dans tout leur éclat. Plus elles expient et réparent, plus elles deviennent pures.


Les souffrances du Purgatoire sont-elles plus grandes que celles que nous connaissons sur terre ?


Dans l’ensemble, elles sont plus grandes, et parfois beaucoup plus grandes, spécialement au troisième niveau. Les âmes souffrent plus spirituellement que nous.
Lorsque j’ai demandé un jour à quelqu’un de quoi il souffrait, il m’a répondu que c’était une souffrance très particulière. Par exemple, un père trop paresseux pour subvenir aux besoins de sa famille qui avait beaucoup souffert à cause de lui devait travailler beaucoup au Purgatoire. Ce genre de souffrance sera beaucoup plus grand que celui que le corps connaîtrait ici en travaillant. Mais les souffrances de la terre, bien qu’elles soient moins dures, ont beaucoup plus de valeur pour effacer nos péchés que celles du Purgatoire.


Si le Purgatoire est aussi un lieu, est-ce que les Pauvres Ames passent ce temps dans des endroits particuliers ici sur terre ?


Oui, il semble qu’elles se réunissent le plus souvent autour de l’autel ou séjourent à l’endroit où leur corps est mort. Je connais une femme au Liechtenstein qui les voyait autour de l’autel, et lorsqu’elle ne les y apercevait plus, elle savait qu’elles étaient entrées au Ciel.
Ce n’est pas du Purgatoire que les âmes viennent vers moi ou à nous, elles viennent à nous avec le Purgatoire. Le Purgatoire, c’est beaucoup d’endroits différents, ce n’est pas un endroit en particulier; et bien des états différents, et non un état particulier.


Si le Purgatoire est un grand nombre de lieux ou un grand espace, alors est-ce que le Ciel et l’Enfer sont aussi des lieux ?


Oui. Mon directeur spirituel m’a demandé de poser la question et la réponse à été: « Ce que beaucoup de théologiens enseignent aujourd’hui est faux lorsqu’ils disent que le Ciel, le Purgatoire et l’Enfer sont simplement des états. Ce sont également des lieux. »


Combien de temps les âmes doivent-elles rester là avant de pouvoir entrer au Ciel ?


Oh! Ça varie beaucoup. Certaines y sont simplement pour une demi-heure, d’autres jusqu’à la fin des temps, jusqu’au dernier jour. En moyenne quarante ans, me disent les âmes.


Il y aura donc un dernier jour ?


Oui.


Est-ce qu’une Pauvre Ame peut voir les autres et communiquer avec elles?


Elles sont toujours conscientes de la présence des autres et savent qu’elles n’étaient pas seules lorsque beaucoup ont collaboré pour faire quelque chose, mais elles ne communiquent que rarement entre elles.


Maria, est-ce qu’elles peuvent lire?


Oui, elles lisent spirituellement. Je le sais parce que lorsqu’elles viennent à moi je n’ai pas à lire les noms ou les questions que je dois leur poser, elles les prennent simplement sur la feuille.


Que savent-elles sur leurs familles ?


Je dirais presque tout. Elles nous voient tout le temps. Elles entendent chaque mot que nous prononçons sur elles et elles connaissent nos souffrances. Mais elles ne connaissent pas nos pensées.
Elles regardent leurs propres funérailles et savent qui est là pour prier ou pour être vu par les autres.


Ces âmes savent-elles ce qui va se passer dans le monde ?


Oui, elles savent certaines choses, mais pas tout. Elles m’ont dit que quelque chose de grand était à nos portes, pour bientôt. Elles disaient depuis longtemps que c’était « devant nous », mais depuis mai 1993, elles utilisent l’expression « à nos portes ». Ce sera pour la conversion de l’humanité. Elles m’ont dit aussi des choses moins importantes avant qu’elles n’arrivent.
En 1954, elles m’ont prévenue durant l’été des inondations qui ont fait tant de dégâts dans la région. Elles m’ont également dit, après une avalanche, qu’il restait encore des gens en vie dans la neige; j’ai demandé aux secouristes de poursuivre les recherches deux jours de plus que prévu et ils ont bien retrouvé des personnes vivantes.


On dit que le temps n’existe plus après cette vie, mais vous dites que le Purgatoire est un temps durant lequel on languit après Dieu.
Pourriez-vous vous expliquer ?


Il est juste de dire que le temps n’existe plus après cette vie, mais lorsqu’on dit qu’une âme doit souffrir un certain temps au Purgatoire, c’est une façon de traduire cela en temps pour nous. Elles peuvent aussi dire qu’elles doivent encore souffrir, qu’elles ne peuvent pas encore être délivrées ou que leurs souffrances ont diminué. Lorsqu’une période de temps est donnée, ou un certain nombre de messes, cela symbolise l’intensité et la somme des souffrances.




Les Pauvres Ames ont-elles un corps comme le nôtre ou est-ce un corps différent, disons, spirituel?


Elles disent qu’elles ne remarquent pas qu’elles n’ont pas leur corps avec elles. Elles ont un corps transfiguré et il peut prendre la forme d’un corps humain guéri et habillé.


Les âmes regrettent le mal qu’elles ont commis. Est-ce qu’elles regrettent aussi les choses qu’elles n’ont pas faites lorsqu’elles étaient ici-bas ?


Oui, beaucoup. Elles regrettent les occasions qu’elles ont laissé passer de faire le bien pour Dieu et leur prochain, et elles voient alors tout le bien qui en serait sorti. En mourant, nous perdons la possibilité de faire de bonnes actions. Les âmes du Purgatoire ne peuvent plus mériter comme nous le pouvons ici.
On dit aussi que les anges nous envient parce que nous pouvons faire des bonnes actions pour Dieu, alors qu’eux-mêmes ne peuvent pas gagner ainsi plus de mérites. (rire)


Qu’est-ce qui se passe lorsque ceux qui savent que le Purgatoire existe continuent quand même à pécher en pensant que ça ne sera pas si grave ?


Ils le regretteront amèrement! Beaucoup plus encore que ceux qui commettent le même péché sans connaître son existence.


Quelle est là raison la plus profonde de tout ce que vous vivez ?


Dieu a permis tout cela pour qu’à travers mon apostolat les autres puissent clairement comprendre que la vie nous est donnée ici-bas dans le seul but de pouvoir gagner le Ciel. Notre raison d’être ici est de faire du bien à notre prochain afin d’être avec Dieu, ici, maintenant, et plus tard dans l’éternité. Par cette prise de conscience, la vie devient de plus en plus précieuse pour chacun et l’absurdité de ce qu’en font un grand nombre de personnes devient également beaucoup plus claire. Cela nous montre l’immensité de l’amour de Dieu et la glorieuse beauté que peut être la vie lorsque nous collaborons avec Dieu. Ce qui m’a été montré peut et devrait donner aux gens une orientation claire dans la vie, s’ils veulent participer à la volonté céleste de Dieu et à sa beauté finale.


Et si vous deviez résumer ce que vous avez vous-même appris au cours de ces nombreuses années d’une expérience fort rare ?


À aimer Dieu de toutes mes forces.


Source : http://findestemps.forumactif.org/
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MessageSujet: Maria Simma raconte   Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:18

MARIA SIMMA RACONTE




Maria, racontez-moi ce qui s’est passé la première fois qu’une âme est venue vous visiter.


La toute première fois, je me suis réveillée parce que quelqu’un faisait les cent pas dans ma chambre. Je n’ai jamais eu peur facilement et il faudrait réellement que quelqu’un me saute dessus pour m’effrayer. Alors je me suis dit : « Qui c’est, celui-là ? » C’était un parfait étranger qui marchait impatiemment de long en large au pied de mon lit, et j’ai crié : « Hé, qui êtes-vous ? » Pas de réponse. J’ai sauté hors du lit et j’ai couru vers lui pour essayer de l’attraper en criant : « Bon, maintenant, sortez d’ici, allez ouste! Vous n’avez rien à vous ici! » Mais il n’y avait que du vide! Alors je me suis dit : « Je n’ai pas rêvé. Je l’ai vu et entendu marcher. » Aussitôt retournée dans mon lit, le voilà qui revient et recommence à faire les cent pas. Je crie à nouveau : « Maintenant dites-moi qui vous êtes et allez-vous-en tout de suite! » Il a continué comme s’il ne m’avait pas entendue. Je l’ai observé pendant un
moment en me disant : « Tant qu’il ne s’approche pas de moi… » Puis je me suis encore levée pour m’approcher de lui sur la pointe des pieds en pensant : « Je vais voir si je peux l’attraper. » À nouveau, il n’y avait rien à saisir !
Je ne comprenais rien. J’étais troublée. Je me demandais si j’avais toujours ma tête à moi. Je suis retournée me coucher, mais impossible de trouver le sommeil! Le lendemain, j’ai couru voir mon curé pour lui raconter ce qui m’était arrivé. « Je ne sais pas ce qui s’est passé la nuit dernière; est-ce que je deviens folle ? » Il a répondu: « Pourquoi est-ce que vous seriez folle ? Si ça devait se reproduire, ne demandez pas, « Qui êtes-vous ? », mais plutôt : « Qu’est-ce que vous me voulez ? C’est peut-être une Pauvre Ame. »
La nuit d’après, il était encore là! Cette fois j’ai bien demandé, « Qu’est-ce que vous me voulez ? » L’homme s’est arrêté, s’est tourné vers moi et m’a dit : « Faites célébrer trois messes pour moi et je serai délivré ». Et il a disparu instantanément. Je savais alors que c’était une Pauvre Âme. Je suis allée en reparler à mon curé et il a dit : « Bien. Si ça devait se reproduire, venez m’en parler ».


Avez-vous eu peur?


Non, pas du tout. Même bien avant ces événements; même à l’école je n’avais pas peur. Maman disait souvent: « Tu n’es pas une enfant ordinaire. Les autres ont souvent peur. » Lorsque Maman disait qu’il y avait quelqu’un dehors dans le noir, je lui disais « Donne-moi une lampe, je vais aller voir qui c’est. »


Maria, vous semblez maintenant être bien connue par les croyants qui prient, mais dans les premières années on vous tenait à l’écart. Comment les gens en sont-ils venus à reconnaître ces faits comme authentiques ?


D’abord lorsque des choses que j’avais dites se sont réellement produites, et aussi lorsque j’ai dit des choses que seuls les membres d’une famille connaissaient. C’était donc une confirmation.


Pardonnez-moi, la question est peut-être délicate, mais avez-vous été examinée par des médecins et des psychologues ?


Oui. Il y a bien des années un professeur de théologie me l’a demandé, alors je l’ai fait. Cela a donné six pages d’un rapport rédigé par un docteur en psychologie d’Innsbruck. Un exemplaire est allé dans les archives d’un éditeur qui a publié un petit livre sur mes expériences, il y a environ vingt-cinq ans. Ce livre a été écrit par mon vieil ami et directeur spirituel, le père Alfons Matt. (Meine Erlebnisse mit armen Seelen, Maria Simma und Pf. Alfons Matt, Christiana Press, CH-8260 Stein-am-Rhein, Switzerland (1968).)


Y a-t-il eu reconnaissance officielle de l’Église concernant vos expériences ?


Je suis obéissante envers mon curé et mon évêque qui m’ont dit de poursuivre mon apostolat pour autant que tout soit théologiquement conforme, et c’est le cas jusqu’à présent.
Au début, l’évêque Wechner avait quelques problèmes avec le fait que j’obtenais des réponses pour les autres
personnes. Il m’a fait venir pour me demander d’où me
venaient ces réponses; j’ai répondu exactement comme je l’avais découvert moi-même quand tout a commencé.
Au tout début j’ai demandé à une âme d’où elle obtenait ses informations. Je pensais que peut-être elle allait dans le Purgatoire trouver l’autre âme pour lui demander ce qu’il lui fallait pour être délivrée. Mais l’âme devant moi a
répondu: « Non, toute l’information que nous vous apportons vient avec la permission de la Mère de Miséricorde. » Lorsque le bon évêque a entendu cela, il a dit: « Eh bien, dans ce cas, je ne peux et ne veux rien dire contre ça. »


Que voulez-vous dire par la Mère de Miséricorde ?


Oh! Mère de Miséricorde est un des nombreux titres donnés à la Sainte Vierge Marie, Mère de Jésus, et par conséquent notre Mère à tous.


Notre Mère à tous ?


Oh oui! Elle devrait être notre modèle et notre guide. Et comme elle est la Mère de Jésus, elle est aussi notre Mère.


Vous avez connu combien d’évêques et vous ont-ils tous accordé le même soutien? Et quel était leur nom?


Il y a eu trois évêques jusqu’à présent, Mgr Tschann,
Mgr Wechner et Mgr Küng. Mgr Tschann m’a soutenue
simplement, en disant qu’il savait que le père Matt n’était pas un rêveur et que par conséquent tout devait être bien.
Mgr Wechner m’a soutenue activement et j’en remercie le Seigneur.
Mon évêque actuel, Mgr Küng, a choisi pour le moment de n’être ni pour ni contre.


Au début, vous deviez trouver cela très troublant. Qui vous a aidée le plus dans les premières années ?


C’est sans aucun doute mon cher ami, le père Alfons Matt. Il a été curé de Sonntag de 1938 à 1978. À ses funérailles, auxquelles assistaient quarante prêtres et des milliers de personnes, Mgr Wechner, de Feldkirch, a déclaré: « La plus belle chose que l’on puisse dire à propos d’un prêtre est qu’il a été un prêtre selon le cœur de Dieu. Le père Alfons Matt a été ce prêtre foncièrement bon et saint. Qu’il repose en paix! » Je doute que j’aurais pu faire la volonté de Dieu comme je me suis efforcée de le faire par mon apostolat pour les Pauvres Ames sans son amour et son soutien dans les premières années.
Avez-vous pensé au début que cela allait durer aussi longtemps ?


Non, réellement pas; mais j’ai compris après un certain temps que le père Matt s’attendait à ce que ça continue.


Êtes-vous heureuse de vivre cela ou est-ce que c’est parfois difficile et pénible ?


Je ne trouve pas ça difficile parce que j’aide non seulement les Pauvres Ames mais aussi les vivants à revenir à leur foi, ou à trouver la foi, et c’est ce qui m’apporte beaucoup de joie.


Et quand vous voyez les Pauvres Ames, à quoi ressemblent-elles ?


Elles viennent exactement comme elles étaient ici sur terre, et je peux le confirmer parce que beaucoup sont venues que j’avais bien connues moi-même. Oui, avec les mêmes habits - leurs vêtements de travail. C’est parce que notre travail ici-bas est ce qui est le plus important. Elles viennent toujours dans leurs vêtements de travail, jamais en robes de chambre ou en habits du dimanche. C’est notre tâche quotidienne qui est notre mission.


Quel âge ont-elles lorsqu’elles vous apparaissent ? C’est-à-dire, si quelqu’un meurt à vingt ans et vous apparaît dix ans plus tard, est-ce qu’il a l’air d’avoir trente ans ou est-ce qu’il en paraît encore vingt ?


Il a encore l’air d’avoir vingt ans. Ils sont toujours comme ils étaient à leur mort.


Quelle différence y a-t-il exactement entre votre expérience et celles des spirites ou des soi-disant médiums ou channelers ?


S’il est une seule chose que je voudrais que le public croie dans ce que je dis, je voudrais que ce soit celle-ci. La différence est très simple et très claire, et nous devons la prendre très au sérieux. Ce qui se passe avec les spirites, c’est qu’ils croient appeler les âmes des disparus; mais quelle que soit la réaction à leur appel, c’est toujours et sans exception Satan et ses agents qui répondent. Les spirites et les « channelers » font quelque chose d’extrêmement dangereux pour eux-mêmes comme pour les gens qui vont leur demander conseil. Ils vivent dans un énorme mensonge. Il n’est pas permis d’invoquer les morts! C’est strictement interdit! Personnellement, je ne les ai jamais appelés, jamais je ne le fais et jamais je ne le ferai. C’est Jésus qui l’a permis à travers sa Mère.
Mais Satan peut naturellement copier et simuler tout ce qui vient de Dieu, et il le fait. Il est le singe de Dieu et imite tout ce que Dieu fait. Il peut imiter la voix des âmes et prendre l’apparence de leur corps, mais quelle que soit la réaction, elle vient toujours du Malin. N’oubliez pas que Satan peut même guérir, mais ces guérisons ne durent jamais.


Maria, lorsque vous rencontrez quelqu’un, comment pouvez-vous distinguer si c’est une Pauvre Ame ou une personne qui vit ici maintenant sur terre?


Lorsqu’une Pauvre Ame vient la nuit, je la reconnais immédiatement à cause de sa lumière. Elles sont aussi brillantes que des personnes que je verrais durant le jour. Elles n’irradient pas de lumière de sorte que tout reste noir autour d’elles, mais elles-mêmes sont lumineuses de sorte que je reconnais immédiatement une Pauvre Âme.






Est-ce qu’elles viennent aussi durant le jour?


Oui, mais lorsqu’elles viennent le jour je dois attendre qu’elles disparaissent pour être certaine que c’était une Pauvre Âme. Avant ça, je ne peux pas en être sûre. De toute façon, si je voulais les attraper, il n’y aurait rien à saisir.


Si une Pauvre Ame venait ici chez vous durant la journée, comment feriez-vous pour le savoir ?


Eh bien, elles ne frappent pas à la porte comme vous l’avez fait et, naturellement, elles ne serrent pas la main. Ces deux signes m’indiqueraient que c’est une Pauvre Âme.


Est-ce qu’une Pauvre Ame est venue ici récemment durant la journée ?


Oui, et il s’est passé quelque chose d’inhabituel. J’étais assise ici en train d’écrire et j’ai levé les yeux; il y en avait une assise là sur cette chaise. Ça ne s’était jamais produit avant et je dois dire que ça m’a un peu surprise.


Combien de Pauvres Ames viennent vous visiter la nuit en comparaison de celles qui viennent le jour ?


Au début, elles ne venaient que la nuit, mais à partir de l’Année Mariale 1954, elles ont commencé à venir également le jour. Ces jours-ci, je dirais qu’il en vient autant le jour que la nuit.


Maria, y a-t-il un autre cas, en dehors du vôtre, où des âmes de personnes disparues ont été vues en plein jour ?


Oui, cela arrive souvent. Il y a deux hommes ici dans notre vallée qui conduisaient un chariot chargé de bois et, par accident, les chevaux ont fait un écart et une bonne partie du chargement est tombée sur le chemin. En commençant à replacer le bois sur le chariot, un des hommes a dit: « Bonté, je voudrais que quelqu’un vienne nous aider pour qu’on ne finisse pas par bloquer la circulation! » Soudain, deux hommes sont apparus et ont commencé à les aider et après quelques minutes, tout était replacé sur le chariot et bien attaché. Quand tout fut terminé, les deux premiers ont dit « Merci » et les deux autres sont partis.
Peu de temps après, l’un d’eux m’est apparu et m’a expliqué que si les charretiers avaient dit « Que Dieu soit loué » plutôt que « Merci », le deuxième serait entré immédiatement au Ciel. Il fallait maintenant que je prie un peu pour eux pour qu’ils soient délivrés.
Comme vous le savez, l’amour entre nous ici sur terre se manifeste le plus souvent par de petits gestes, des paroles ou des actes sans grande importance. C’est aussi vrai pour les Pauvres Ames. Même laver le plancher de la cuisine quand on n’en a pas réellement envie, mais qu’on le fait par amour pour les Pauvres Ames en général ou pour une Pauvre Ame en particulier leur sera d’un grand secours. Dans le cas du plancher de cuisine, cela aidera quelqu’un qui, durant sa vie, a négligé de bien entretenir la maison pour la famille.


Lorsqu’une Pauvre Ame vous rend visite, est-elle consciente de ce qui l’entoure, ou est-elle uniquement consciente de vous ? Peut-on voir qu’elle a conscience de la pièce et des objets qui l’entourent ?


Oui, elles doivent l’être, parce que lorsqu’elles marchent dans la pièce elles ne passent pas à travers une table. Et elles doivent avoir conscience de l’existence d’une chaise puisque, comme je l’ai dit, j’en ai récemment vu une assise dessus.


Lorsqu’elles apparaissent, est-ce qu’elles traversent le mur pour se diriger vers vous ?


Non, elles apparaissent, tout simplement, ou elles viennent par la porte en la refermant derrière elles. Ça varie, mais généralement elles me réveillent en cognant ou en m’appelant; et lorsque je me réveille, elles sont là au pied de mon lit. C’est généralement comme ça.


Combien de temps dure la visite lorsqu’elles sont avec vous ?


C’est normalement très rapide, juste quelques secondes et puis elles s’en vont. Alors d’habitude quand il y en a une, je demande simplement, « Qu’est-ce que je peux faire pour vous? » Et elle dit, par exemple : « J’ai besoin de cinq messes », puis elle disparaît. Mais si elles restent là debout je sais que je peux poser des questions ou faire passer les noms des personnes sur lesquelles on demande des renseignements. Ça peut prendre deux ou trois minutes et il est rare qu’elles répondent immédiatement. Habituellement, cette âme s’en va et je dois attendre des semaines et parfois des mois pour qu’une autre vienne répondre à ces questions. Mais il est déjà arrivé qu’elles répondent immédiatement.


Avez-vous déjà permis à quelqu’un d’être présent les soirs où vous avez la visite des Pauvres Ames ?


Beaucoup me l’ont demandé mais les Pauvres Ames ont dit que nous ne devrions pas être curieux de ces choses, et elles ne veulent pas réellement que ça se produise. Mais une fois j’étais en ville avec une femme qui avait une maison pleine de touristes et elle m’a demandé s’ils pouvaient être là pendant une visite, soit pour voir, soit pour entendre. J’ai répondu : « Il se pourrait que vous entendiez quelque chose, mais je doute fort que quelqu’un pourra voir quoi que ce soit ». J’ai pris la précaution de demander s’il y avait des cardiaques parmi eux. Il y en avait, alors j’ai dit non. J’ai posé la question parce que si une personne qui n’a pas le cœur solide voit ou entend quelque chose et pense simplement que c’est une Pauvre Ame, elle pourrait bien faire une crise cardiaque. Alors mon amie m’a demandé si je voulais dormir dans la chambre voisine de la sienne et laisser la porte ouverte. J’ai dit oui en pensant que si les Pauvres Ames n’étaient pas d’accord, elles ne viendraient tout simplement pas. Mais une Pauvre Ame est venue quand même et m’a demandé de prier le Notre Père avec elle. J’ai prié en silence et il était donc impossible d’entendre quelque chose. Mais la Pauvre Ame a prié normalement à voix haute avant de disparaître. Le lendemain, la femme avait un air bizarre et je me demandais ce qui n’allait pas. Je lui ai demandé: « Est-ce que ça va? » - « Euh, oui, mais dites-moi, est-ce qu’une Pauvre Ame a récité le Notre Père avec vous la nuit dernière ?» - « Pourquoi ? » - « Eh bien, il faut que je vous dise, j’ai entendu réciter le Notre Père hier soir et la voix semblait venir du fond d’une profonde caverne. J’ai eu peur, j’étais en sueur. »
Et j’ai dû alors lui dire que c’était la première fois que quelqu’un entendait quelque chose.


Vous avez dit : « Si les Pauvres Ames ne sont pas d’accord… »


Oui, oui, mais c’est juste une façon de parler, parce que le fait qu’elles viennent ou qu’elles ne viennent pas dépend entièrement de la Mère de Miséricorde, avec la permission de Jésus.


Est-il déjà arrivé qu’une âme vienne à vous alors que d’autres, je veux dire des personnes vivantes, étaient déjà avec vous ?


Oui. Une fois une religieuse était ici avec son frère et une âme est apparue. Je lui ai demandé ce qu’elle voulait et je l’ai fait à voix basse pour que personne ne s’en aperçoive. Alors la Sœur m’a demandé: « Avez-vous eu un visiteur? » - « Pourquoi me posez-vous la question ? » ― « Eh bien, vous paraissiez un peu distante pendant un moment. » - « Oui, il y avait quelqu’un ici, mais j’ai tout fait pour que ça ne paraisse pas. » - « Oh! Oui, mais je l’ai quand même senti », a dit la Sœur.


Maintenant que je suis venu ici vous voir, y a-t-il plus de chances pour que quelqu’un de ma famille vous rende visite ?


Non. Seules vos prières, vos efforts et votre amour actif pour eux augmenteront les chances que Dieu leur permette de s’approcher de vous ou de moi. C’est UNIQUEMENT avec 1a permission de Dieu que les âmes viennent à moi. Il n’y a rien que quiconque puisse faire pour influencer leur venue vers moi ou n’importe qui d’autre.


Quelqu’un a-t-il jamais enregistré vos conversations avec les Pauvres Ames ?


Une fois, à Vienne, quelqu’un avait caché un magnétophone dans ma chambre. Mais en écoutant la cassette, tout ce qu’on entendait c’était mes questions et les coups cognés pour me réveiller. Mais les réponses données, et il y en avait cette nuit-là, n’étaient pas sur le ruban.
A-t-on parfois essayé de vous espionner pendant une visite ?


Oui, c’est arrivé il y a bien des années quand des jeunes garçons ont grimpé sur une échelle pour me surveiller et m’écouter. Ils ont eu un petit choc en me voyant prendre des notes et en m’entendant poser des questions à cette âme. En plus, je souffrais à cette époque, ce qui les a touchés encore davantage, mais ils n’ont rien vu ni entendu de l’âme qui était avec moi ce soir-là. Quand j’ai su qu’on m’avait observée mais que les garçons n’avaient rien vu ni entendu, j’ai demandé à une âme comment cela se faisait. Voici la conversation qui en a résulté: - « Les garçons sont encore vivants. » - « Oui, mais moi aussi je suis encore vivante, et pourtant je peux vous voir et vous entendre » - « Vous nous appartenez. Nous, nous sommes dans les ténèbres. Le chemin vers vous est lumière. » - « Mais si je ne vous acceptais pas ? » - « Par la miséricorde de Dieu, nous pouvons l’exiger de vous, parce que vous nous appartenez. » - « Qu’est-ce que vous voulez dire par : ‘‘Vous nous appartenez’’ ? » - Par votre vœu, vous vous êtes donnée à la Mère de Miséricorde de façon spéciale. Elle vous a donnée à nous. C’est pourquoi le chemin qui mène vers vous est
lumière pour tant d’âmes. Il est bon que vous nous acceptiez avec amour et tristesse. De cette façon, vous pouvez nous délivrer plus rapidement, vous souffrez moins, vous recevez plus de grâces et de mérites et vous pouvez aussi obtenir plus de choses de nous concernant ceux sur qui vous nous interrogez. »


« Le chemin vers vous est lumière.» Comment expliquez-vous cela?


Avec mon vœu à la Mère de Miséricorde, le voile, comme l’appellent certains, a été levé pour que je puisse les rencontrer plus facilement. Elles peuvent alors venir vers moi chercher de l’aide.


Avez-vous vu toutes les âmes pour lesquelles vous avez demandé quelque chose ?


Non, absolument pas. Parce que lorsqu’une âme vient, elle peut me donner des réponses parfois pour une vingtaine d’âmes en même temps. Ainsi je n’ai vu réellement qu’une petite fraction des âmes à propos desquelles j’ai posé des questions.


Est-ce qu’une Pauvre Âme a déjà montré qu’elle avait le sens de l’humour ?


Eh bien, une fois, c’était un enseignant. Il était debout devant moi et je lui ai demandé: « Où est-ce que vous habitiez? » Il a répondu: « Dans une maison ». Quand j’ai raconté ça à mon prêtre, il m’a dit:
« Vous voyez, vous ne devriez pas être trop curieuse. »
Autrement, non, pas vraiment le sens de l’humour. Je ne les ai jamais vues rire. Elles ont plutôt l’air de souffrir avec patience.


Et est-ce que des choses drôles se sont déjà produites entre vous et d’autres personnes qui ne peuvent pas imaginer ce qui vous arrive ? Auriez-vous un exemple ?


Oui, une fois. Une amie est venue un jour me rendre visite et a trouvé la porte d’entrée ouverte. En arrivant à la porte qui est là, elle l’a poussée légèrement sans frapper. Quand j’ai levé les yeux, habituée à mes visiteurs, j’ai simplement vu un visage qui me regardait et j’ai dit: « Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? » Aussitôt, elle s’est écriée: « Je ne suis pas une Pauvre Ame! Je ne suis pas une Pauvre Ame! » (rire)


Sauf au début, avez-vous encore jamais essayé d’en toucher une ?


Pas vraiment, mais voilà ce qui m’est arrivé une nuit, et je suppose que mon sommeil devait être particulièrement profond. J’ai été réveillée par une main qui passait sur mon visage et je me suis dit : « Qu’est-ce que c’est que ça ? » Une fois bien
réveillée, j’ai vu que c’était une Pauvre Ame. Je l’ai très bien sentie alors, mais lorsque j’ai essayé d’en toucher une, je n’ai rien senti, sinon tout au moins un léger froid.


Est-ce qu’elles apparaissent toujours seules, ou parfois en groupes ?


En de rares occasions elles viennent aussi en groupes, mais dans ce cas elles ont toutes besoin de la même chose.


Avez-vous déjà été visitée par de Pauvres Ames qui ne venaient pas d’Europe centrale, qui n’étaient pas autrichiennes, suisses ou allemandes; et si oui, comment les avez-vous comprises ?


Oh! Très souvent. J’ai eu la visite d’Africains et d’Asiatiques et quand ils me parlent, c’est en allemand, en allemand ordinaire, parfois seulement en allemand un peu hésitant. Ça pourrait être un Japonais, qui a tout à fait l’air japonais, bien sûr, mais il parle allemand. Oui, des Américains, des Espagnols, des Hongrois, des Polonais et bien d’autres nationalités, m’ont rendu visite.


Dans le cas des Japonais, est-ce que leur famille est venue vous voir avec des noms ?


Non. Dans la plupart des cas, ces âmes de pays lointains ont la permission de venir sans demande de leur famille. J’ai naturellement eu ici beaucoup de visiteurs de l’étranger, mais jamais d’Afrique ou d’Asie. Il n’y pas longtemps, j’ai reçu un autobus de pèlerins qui venaient de Polynésie, et c’est certainement très loin!


Maria, y a-t-il une façon de savoir à l’avance quand vont venir les Pauvres Ames ? Pouvez-vous savoir, par exemple, qu’une âme va venir, disons, le mardi ou le jeudi ?


Non, il est habituellement impossible de le savoir d’avance. Mais je peux par contre être certaine qu’il en viendra une le premier vendredi et le premier samedi de chaque mois.


Et combien de visites avez-vous en ce moment ?


Environ trois par semaine, et elles sont plus fréquentes en novembre et pendant le temps de Carême et de l’Avent.


Si nous prions pour les Pauvres Ames et que nous leur demandons ensuite quelque chose, cela fait-il une différence si nous faisons notre demande nous-mêmes ou par votre intermédiaire ?


Non, aucune. La seule différence est quand il s’agit de leur demander exactement ce dont elles ont encore besoin pour être délivrées du Purgatoire. Il semble bien que ce soit une façon très claire d’en être certain. Mais avec les prières ordinaires et toutes les autres demandes leur réaction serait la même, que la demande vienne de vous ou que je la fasse pour vous. Cela revient toujours à une question de foi et de confiance. Et aussi à votre capacité d’observation et d’écoute.


Et quand nous leur demandons de nous aider, est-il suffisant de formuler intérieurement notre demande ou faut-il la dire tout haut ?


Elles ne peuvent pas lire nos pensées, mais elles connaissent bien notre souffrance et, sachant cela, elles connaissent aussi une grande partie de nos vrais besoins et interviennent en notre faveur.
En faisant notre demande à voix haute on a l’assurance qu’elles l’entendent, mais soyez assuré qu’un murmure est suffisant. Elles sont toujours autour de nous, mais je ne vous conseillerais pas de commencer à leur parler en public. Et bien entendu, Jésus connaît nos pensées de sorte qu’une demande exprimée silencieusement en pensée leur sera communiquée par la Mère de Miséricorde.


Si quelqu’un vous envoie un nom et ne reçoit pas de réponse au bout de, disons, huit mois à un an, qu’est-ce que ces gens devraient penser, d’après vous?


Si une réponse ne vient jamais, cela signifie bien que cette âme est perdue, qu’elle est en Enfer. Mais le fait d’attendre longtemps ne veut pas du tout dire ça. Je ne peux commencer à écrire des lettres pour dire qu’en ce qui concerne un tel ou une telle, je n’ai pas encore reçu de réponse. Il est également possible qu’une âme soit déjà au Ciel quand un parent ou un ami fait sa demande, et dans ce cas je le saurais plus rapidement. Cependant, je suis bien sûre d’avoir reçu une réponse pour toutes les âmes qui étaient au Purgatoire au moment où la demande a été faite. Mais rappelez-vous aussi que des lettres se sont déjà perdues.


Je remarque que vous avez ici beaucoup de petits tiroirs, Maria, et je me demande s’ils contiennent des milliers et des milliers de noms pour lesquels vous attendez une réponse?


Oh non, pas vraiment. Ces tiroirs contiennent beaucoup de papiers et des choses qui m’appartiennent. N’oubliez pas qu’il n’y a que 25% des prêtres qui croient à mon témoignage, de sorte que même les catholiques pratiquants - sans parler de ceux qui ne sont ni catholiques ni chrétiens - sont encore moins nombreux à me faire confiance. Jusqu’à il y a quelques années, j’avais tout au plus quelques centaines de noms, et c’est récemment passé à plus de mille. Mais ça n’a jamais été des milliers.


Demandez-vous quelque chose en contrepartie?


Jamais! L’amour spécial de Dieu pour ceux qui ont confiance en lui prend soin de moi.


Est-ce qu’on peut envoyer les Pauvres Ames à d’autres personnes?


Non, on ne peut pas. Combien de fois j’aurais voulu que ce soit permis, spécialement vers ceux qui se moquent d’elles ou de ce phénomène!


Est-ce que c’est considéré comme un péché de ne pas croire que les âmes des défunts nous visitent?


Non, ce n’est pas un péché, mais on n’a pas non plus le droit de se moquer de ces choses.
Ce n’est pas un article de foi et ce n’est donc pas un péché.


De la réception de ces charismes même les plus simples résulte pour chacun des croyants le droit et le devoir d’exercer ces dons dans l’Église et dans le monde, pour le bien des hommes et l’édification de l’Église, dans la liberté du Saint-Esprit qui « souffle où il veut » (Jn III, Cool, de même qu’en communion avec ses frères dans le Christ et très particulièrement avec ses pasteurs. C’est à eux qu’il appartient de porter un jugement sur l’authenticité et le bon usage de ces dons, non pas pour éteindre l’Esprit, mais pour éprouver tout et
retenir ce qui est bon (cf. I Thess. V, 12-19-20)


Selon vous, qu’est-ce qui différencie ceux qui ressentent la présence des Pauvres Ames à leur côté de ceux qui ne perçoivent rien?


Je crois que ceux qui sont plus sensibles et plus observateurs les perçoivent plus clairement que les autres.


Qu’est-ce qu’on peut faire pour ressentir plus clairement leur présence?


Oh! Prier beaucoup pour elles et se garder aussi purs que possible. Je veux dire par là être en état de grâce et faire que notre corps soit le plus possible dégagé de tout ce qui peut nuire à notre pureté. Une alimentation équilibrée, saine et modérée, et naturellement pas de drogues ou de consommation excessive d’alcool. Et le jeûne aide aussi beaucoup à cet égard.


Est-ce que les Pauvres Ames font des choses pour écourter le Purgatoire de leurs parents vivants?


Oui, elles peuvent prier beaucoup pour nous et elles m’ont dit que c’était souvent le cas.


Quelles sont les différentes manières qu’ont les Pauvres Ames de se montrer à leurs parents vivants?


La plupart du temps en cognant. Une de mes amies à entendu cogner et a compté les coups pour savoir combien de messes cette âme demandait. Ce n’est jamais plus arrivé après avoir assisté au nombre de messes demandé pour cette âme. Et quand ça s’est reproduit, elle savait que c’était une autre âme parce que le nombre de coups était différent et frappés dans un autre endroit de la pièce.
Elles peuvent aussi appeler notre nom. Les gens peuvent parfois reconnaître exactement la voix et ça leur rappelle de prier pour cette personne en particulier. Ou les âmes peuvent devenir encore plus actives en causant ce qu’on appelle des phénomènes « poltergeist ». On pourrait alors retrouver sur le plancher une horloge accrochée au mur le soir précédent, ou voir s’ouvrir des portes et des fenêtres fermées. Tout cela pour attirer notre attention et nous encourager à prier pour elles. Ce sont alors des âmes qui ont besoin de beaucoup d’attention parce qu’elles sont à des niveaux très profonds du Purgatoire. On entend aussi souvent des bruits de pas venant du grenier. Elles peuvent également laisser derrière elles un indice précis de sorte que l’on sait immédiatement de qui il s’agit.


Est-ce qu’elles se montrent uniquement aux membres de leurs familles?


La plupart du temps, oui. Mais elles peuvent en de rares occasions se montrer à des amis très proches ou à des gens comme moi à qui Dieu a demandé de prier beaucoup pour elles et de les aider. Je connais des personnes que des amis d’enfance très proches sont revenus voir après leur mort. Les âmes vont en général vers ceux qui les ont beaucoup aimées, vers les personnes les plus sensibles et aimantes, et celles qui prient le plus. Mais je connais des cas où des étrangers et même des personnes peu clémentes ont été très incommodées par les Pauvres Ames.
Je connais un fermier qui construisait une rallonge à sa grange et lorsqu’un mur arrivait à une certaine hauteur, il le retrouvait par terre le lendemain. Il avait construit bien des murs dans sa vie, mais celui-là n’arrêtait pas de lui causer des problèmes. Il a même fait venir des professionnels de la construction pour l’aider à trouver ce qu’il pouvait faire qui n’était pas bien, mais ils lui ont dit qu’il avait fait tout ce qu’il fallait.
On m’a ensuite demandé d’aller le voir, ce que j’ai fait, naturellement. Je l’ai interrogé un peu sur sa famille et la ferme, et je lui ai ensuite demandé s’il connaissait quelqu’un à qui il devait pardonner. Au début, il ne voyait pas, mais en creusant un peu, la mémoire lui est revenue. Il y a des années, il avait un voisin qui parlait toujours en mal de sa femme. Cet homme est mort et d’autres avaient emménagé. Il a commencé par refuser catégoriquement de lui pardonner en disant qu’il n’avait que ce qu’il méritait et qu’il ne lui pardonnerait jamais toutes ses méchancetés. Je lui ai alors gentiment expliqué que nous devons tous pardonner pour nous rapprocher de Dieu et que s’il ne le faisait pas, non seulement il faisait du tort aux autres mais il garantissait tout spécialement qu’il souffrirait beaucoup lui-même plus tard. Il a finalement compris et jamais plus il n’a eu de problèmes avec ce mur.


Quel autre moyen ont-elles de se montrer à nous?


Également dans nos rêves, mais c’est plus rare et elles ont tendance à être moins fiables. Là encore les âmes demandent toujours nos prières ou quelque chose qui les fera avancer. Si ce n’est pas le cas, alors c’est qu’il se passe quelque chose d’autre.


Un psychiatre britannique controversé mais cependant véritablement aimant, pieux et qui a beaucoup de succès dit que les âmes procèdent de la manière suivante lorsqu’elles communiquent avec leur famille ou des amis, et il utilise ici des termes techniques psychologiques:
« Des pensées diverses s’introduisent importunément dans notre subconscient. Toutes les pensées doivent trouver un exutoire physique. Elles peuvent être exprimées verbalement, manifestées par des actions ou à travers des symptômes de malaise ou de mauvais fonctionnement dans l’organe final approprié. Nous devrions alors, au lieu de prescrire des médicaments ou une thérapie à long terme, demander qui est l’âme qui rend visite à ce subconscient par ces messages, et c’est elle qui a besoin de notre amour, de notre pardon et de nos prières afin de poursuivre sa route vers le Ciel. »
À votre avis, est-ce que c’est exact?


Oui, parfaitement. Ça me paraît tout à fait exact.
Oh! Je m’excuse, mais je reviens tout de suite. J’ai oublié de donner à manger à mes poulets aujourd’hui ! Je reviens dans deux minutes.

Durant l’absence de Maria, je pense au plus grand nombre possible de personnes braves et pieuses dans l’espoir que les prochaines réponses de Maria sauront en toucher une grande partie. Elle revient après deux minutes et nous continuons.


Lorsque je m’en irai, pourrai-je vous donner le nom d’une personne célèbre sur laquelle je voudrais vous interroger?


Oui, bien sûr.
Je pense au président Kennedy qui, comme vous le savez, était très aimé des Américains et des Irlandais, sans parler des millions d’autres personnes partout dans le monde.


Oh ! Ce n’est pas la peine!


Que voulez-vous dire?


Oh ! Il est entré au Ciel peu de temps après son assassinat. C’est une Pauvre Âme qui me l’a dit, bien qu’aucun membre de sa famille ne soit venu me voir pour lui non plus.


Merveilleux ! Alors, est-ce que je peux aussi vous demander des nouvelles de son frère Robert Kennedy qui est mort assassiné quelques années plus tard?


Bien sûr. Si j’ai bonne mémoire, il est mort un rosaire entre les mains, et ça veut certainement dire que Notre-Dame était avec lui et que tout est bien, j’en suis sûre. On m’a dit aussi que ses dernières paroles avaient été: « Est-ce que quelqu’un est blessé? » Ce qui nous en dit encore bien plus sur l’amour qu’il avait dans l’âme; mais, oui, vous pouvez écrire son nom, pour plus tard.
(Durant l’été 1993, une âme a donné à Maria Simma des
nouvelles de Robert F. Kennedy: « Il était délivré! »)


Le XVIe siècle! ? J’y pense maintenant, d’autres âmes, sont-elles venues demander votre aide qui ont souffert au Purgatoire aussi longtemps?


Oui. On m’a demandé d’aider un officier mort à Corinthe en 1660. Et il y avait aussi un prêtre de Cologne mort en l’an 555. J’ai dû accepter tout à fait librement ce dont il avait besoin; ou il serait resté au Purgatoire jusqu’au tout dernier jour. Il avait participé au martyre des disciples de sainte Ursule. Je me souviens aussi maintenant des années 1740 et 1810, mais j’ai oublié quelles étaient les personnes concernées.


Les Pauvres Ames vous ont-elles déjà annoncé quelque chose de particulier concernant votre avenir?


Pas en détail, mais elles ont dit plusieurs fois que quelque chose de très grand que tout le monde verra bientôt était à notre porte; mais je ne sais pas si moi je le verrai. Comme je l’ai déjà dit, cela viendra de Dieu et pour la conversion de tous. Cela rendra son existence très claire. Mais même alors tous ne se convertiront pas pour tourner leur cœur vers Dieu.
Autrement, seulement des avertissements ou des conseils pour d’autres personnes, comme dans l’avalanche dont je vous ai déjà parlé.


Les Pauvres Ames ont-elles déjà aidé la police à résoudre un crime par votre entremise?


Non. Pas que je me souvienne. Mais dans plusieurs cas mon témoignage, basé sur ce que des Pauvres Ames m’avaient dit, a contribué à prouver qu’un crime avait été commis. Mais n’oublions pas que les gens qui viennent me voir sont pour la plupart profondément chrétiens et préféreraient par conséquent prier pour les autres plutôt que de les pourchasser et de les accuser.


Les âmes vous ont-elles jamais parlé de l’avenir de leurs visites chez vous?


Non. Elles n’ont jamais rien dit à ce sujet.
Lorsque vous-même ou les âmes parlez de conversion, que voulez-vous dire exactement par là? Voulez-vous dire que tout le monde devrait rejoindre l’Église catholique?


Non. Ce n’est pas ce que signifie la conversion. La conversion est un changement du cœur, de l’esprit et de la vie entière envers l’existence de Dieu. S’il est vrai que toutes les divisions parmi les chrétiens sont le fait des hommes et que l’Église catholique détient effectivement la plus grande part de vérité enseignée par Jésus, on ne peut pas s’attendre à ce que l’homme puisse effacer toutes ces différences. C’est Dieu qui va réaliser l’unité des Églises et je crois personnellement que cela va arriver très bientôt et sous notre Pape actuel, mais la conversion veut dire que notre vie change de telle sorte que nous restons toujours proches de Dieu.


S’il y a des gens en meilleure santé spirituelle que d’autres, existe-t-il aussi des régions du monde plus saines que d’autres? Les Pauvres Ames vous ont-elles dit quelque chose à ce sujet?


Oui, il y en a. Les Pauvres Ames m’ont dit que l’Afrique est en bonne voie pour sa conversion et qu’elle est par conséquent en meilleure forme. C’est l’Amérique et l’Europe occidentale qui sont dans le plus mauvais état. Je crois que ces deux- là ont beaucoup de réparation qui les attend, et très bientôt. Quant aux anciennes républiques soviétiques, je dirais qu’elles sont entre les deux parce qu’elles ont beaucoup souffert durant les nombreuses années d’oppression communiste. L’Amérique du Sud est également à peu près entre les deux. Mais c’est pour les États-Unis que nous devons le plus prier. Ils n’ont pas connu la guerre sur leur propre sol durant ce siècle et ils baignent dans l’orgueil, la cupidité, l’occultisme, les sectes, l’avortement, le divorce, le matérialisme, et ils sont simplement terriblement gâtés. Ce qui est à leur porte, comme disent les Pauvres Ames, affectera terriblement les États-Unis.


En ce qui concerne la justice de Dieu, que se passe-t-il lorsqu’une personne très aimée meurt et que des millions de prières sont offertes à son intention, alors qu’une autre personne qui a vécu peut-être plus saintement meurt sans que personne ne le sache?


C’est Notre-Dame qui veille à cela en distribuant ces grâces supplémentaires là où elles sont les plus nécessaires. Elle
n’oublie jamais aucun de ses enfants !


Les Pauvres Ames ont-elles déjà parlé des dommages causés à l’environnement et à la nature ?


Seulement que le dommage causé à la nature est un péché très sérieux qui, bien sûr, demandera aussi réparation.


Les animaux sont-ils sensibles à la présence des Pauvres Ames?


Oui, et particulièrement les chevaux, les chiens, les chats et les poulets. Je connais de nombreux cas où des chevaux ont refusé de passer devant une maison, et on a plus tard découvert que des âmes étaient là en train de cogner pour attirer l’attention sur elles.


Vous avez dit les chiens. Les Pauvres Ames doivent naturellement savoir que les chiens sont heureux d’obéir aux ordres. Savez-vous si les Pauvres Ames peuvent, par exemple, dire à un chien d’aller chercher son maître parce que la grange est en danger?


Non. Cela n’arrive jamais parce que les chiens n’ont pas une âme. Mais en ce qui concerne les animaux, sainte Hildegarde von Bingen a bien dit que Satan déteste le chien plus que tout autre animal parce qu’il est si proche de l’homme, et c’est sous cette forme qu’il a une fois essayé de me harceler. Un soir, un chien est soudainement apparu dans ma chambre; il sautait partout en aboyant et m’a dérangée pendant quelques minutes jusqu’à ce que je lui donne l’ordre de s’en aller au Nom de Jésus-Christ Notre Seigneur.


Si des gens veulent savoir où sont leurs êtres chers et ce dont ils ont besoin pour entrer au Ciel, quelle est la meilleure façon de vous contacter et que doivent-ils vous envoyer?


La meilleure façon est simplement la suivante: qu’ils fassent une liste en laissant deux ou trois lignes d’espace entre les noms. Ecrivez le nom au complet, la ville où la personne est décédée, et l’année de sa naissance et de sa mort sur une même ligne. Dans l’espace laissé entre les noms qu’ils m’auront envoyés, j’écrirai les réponses que les Pauvres Ames m’apporteront et je renverrai la même feuille. La plupart des réponses sont simples et très courtes. Ne vous contentez pas d’attendre avec curiosité, priez pour ces âmes en attendant. Cela accélérera le processus.


(En février 2002, après qu’un incendie eut de nouveau gravement endommagé sa maison, Maria a emménagé dans un Centre d’accueil pour personnes âgées car elle ne pouvait plus vivre seule. Elle n’est donc plus capable de recevoir les noms des personnes décédées. Maria demande maintenant aux lecteurs de ce livre de continuer à prier pour les Âmes du Purgatoire et de ne jamais sous-estimer vos prières. L’auteur vous invite aussi à prier pour Maria qui a intercédé de façon si
héroïque pour les Pauvres Ames.)


Vous est-il arrivé de ne jamais recevoir de réponse parce que les personnes qui faisaient la demande n’étaient motivées que par la curiosité?


Oui, c’est arrivé. Il y a bien des années, quelqu’un est venu demander au sujet d’Hitler et de Staline. J’ai accepté la demande sans y voir de mal. Un peu plus tard, la réponse a été: « Il n’y a pas de réponse parce que la personne qui a fait la demande n’a jamais eu l’intention de prier. » C’était vrai, parce qu’ils ne sont jamais revenus.


Eh bien, est-ce que vous croyez que même Hitler a fini par entrer au Ciel?


Je sais, par d’autres sources, qu’il est en Enfer. Et cela parce qu’il s’est identifié lui-même à travers des personnes possédés sur lesquelles on priait.


Oh! Est-ce qu’il arrive parfois qu’une âme vienne vous voir sans dire un mot?


Oui. Et dans ce cas je sais qu’elle a besoin de prières. La plupart du temps, elle revient plus tard avec la permission de dire ce dont elle a encore besoin.


Vous a-t-on déjà donné de mauvaises réponses?


Il y a quelques années, j’ai reçu une réponse que j’ai rapportée à l’homme qui m’avait donné le nom. Lorsque je la lui ai remise, il s’est mis à rire en disant : « Je sais maintenant que ce n’est pas vrai, parce que la personne dont je vous ai donné le nom est toujours bien vivante! » Cela m’a causé tant de désespoir et de peine que je me suis précipitée chez mon prêtre pour lui dire que si je recevais des fausses réponses, je voulais arrêter tout ça. Il m’a calmée en me disant de ne pas m’inquiéter parce que c’était le péché de cet homme qui avait invité Satan à intervenir.
J’ai appris par la suite que d’autres avaient obtenu de fausses réponses en donnant des noms de personnes toujours vivantes. Mais ceux-là n’avaient pas eu le courage de venir me le dire en face. Les gens qui mentent ainsi lancent une invitation à Satan. Leur malhonnêteté a entraîné une autre tromperie qui a permis à Satan de se déguiser pour me faire calomnier. Si les gens viennent à moi avec un cœur impur, ils se feront prendre eux-mêmes à leur jeu. Et mon discernement s’est grandement amélioré depuis.
Je voudrais également ajouter, pour être parfaitement claire envers ceux qui doutent de moi à cause de ces fausses réponses, que les âmes ne se trompent jamais lorsqu’il s’agit de quelque chose qui a eu lieu dans le passé, ou qui se passe maintenant. Mais elles peuvent se tromper, lorsqu’il est question d’une chose qui doit arriver plus tard. La raison en est que Dieu peut occasionnellement changer sa volonté, et cela arrive.
Il peut donc arriver qu’une réponse nous parvienne concernant l’avenir, qui soit différente de ce qui se produit finalement. Cela signifie simplement que Dieu a changé ses plans et ce n’est d’aucune façon la preuve que les âmes s’étaient trompées ou que je sois un imposteur.


Savez-vous si certaines des personnes qui ont essayé de vous tromper, s’exposant ainsi elles-mêmes à commettre au minimum un acte malhonnête sinon un mensonge pur et simple, étaient des prêtres?


Oui, certaines étaient des prêtres. Mais ne croyez pas que cela soit arrivé souvent, parce que ce n’est pas le cas.


Connaissez-vous d’autres personnages publics qui, selon les âmes, sont également au Ciel? Je pose cette question dans l’espoir que votre réponse pourrait de nouveau souligner l’importance de l’enseignement de Jésus qui dit que nous ne pouvons jamais juger les autres.


Oui, j’en connais, et cet enseignement de Jésus est réellement d’une très grande importance si nous voulons être avec lui le plus tôt possible. Les deux personnes qui me viennent à l’esprit ont beaucoup souffert et n’ont eu toutes deux que très peu de formation religieuse ou d’aide spirituelle dans leur jeunesse, voire aucune.
Il y a environ trois ans, les âmes m’ont dit que Norma Jean Baker, dont le nom de scène était naturellement différent, était déjà au Ciel. Et j’ai appris tout récemment que John Lennon était lui aussi au Ciel. Il a été assassiné par un type qui souffrait d’une possession à l’époque et qui a plus tard été délivré par les prières de libération d’un bon prêtre à l’extérieur de la prison. De toute façon, la miséricorde de Jésus envers ces trois personnes a été très grande, certainement plus que celle de la plupart d’entre nous ici sur terre. Mais dans les deux cas, une amie a dû m’expliquer de qui il s’agissait parce que lorsque ces noms m’ont été donnés, je ne savais pas à quel point ces deux personnes avaient été célèbres.


Avez-vous déjà reçu des âmes une réponse qui aurait pu être dangereuse pour la personne qui vous a apporté la question?


Oui, quelque chose comme ça est déjà arrivé. Les âmes ont un jour confirmé une très mauvaise action et, pour sa propre sécurité, ont également conseillé à la personne qui avait fait la demande de ne plus en parler.


Les personnes qui vivent sous des régimes démocratiques ont-elles le devoir, aux yeux de Dieu, de voter pour les chefs de leurs gouvernements?


Les âmes m’ont dit que voter n’était pas une obligation aux yeux de Dieu.


Avez-vous déjà reçu des Pauvres Ames une réponse qui a changé, ou pourrait changer, le cours de l’histoire pour un grand nombre de gens?


Tout récemment, les âmes ont confirmé une chose dont Mélanie, la visionnaire de la Salette avait déjà parlé, et cela concerne le véritable héritier de la couronne de France. Une âme m’a dit que l’on découvrirait bientôt la vérité concernant sa personne et son histoire.



Source : http://findestemps.forumactif.org/
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MessageSujet: Prière et jeûne : Maria Simma    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:19

PRIÈRE ET JEÛNE




Vous mentionnez si souvent la prière que j’aimerais vous interroger sur ce point. Pourquoi lui accordez-vous une telle importance?


La prière est ce qui nous rapproche de Dieu. Regardez: quand nous avons un ami, la première chose que nous faisons c’est de lui accorder du temps, et lui fait la même chose pour nous. Si on néglige d’accorder du temps à nos amis, on ne tardera pas à se retrouver complètement seuls et perdus dans la brume. Bon; et leur accorder du temps ça veut dire deux choses, on écoute et on parle. Et si nous voulons rester amis, écouter est bien plus important que parler. Les vrais amis, vous le savez bien, peuvent trouver beaucoup de force et de réconfort en restant simplement l’un près de l’autre en silence. Prier, c’est le plus souvent rester avec Dieu en silence, à l’écouter, à l’observer et à l’absorber. Il n’ignore personne. Et dans la prière, nous donnons du temps à notre meilleur ami - celui qui nous a donné la vie. Est-ce qu’il ne serait pas convenable de lui rendre un peu de ce temps qu’il a lui-même créé pour nous le donner? Je crois que c’est saint Augustin qui a dit que la prière est ce que l’homme pouvait faire de plus grand, et le plus beau cadeau que Dieu ait fait à l’homme.


Quelle est la principale erreur commise par les gens en ce qui concerne la prière?


Il me semble qu’ils ne courent vers Dieu que lorsqu’ils ont des ennuis ou qu’ils pensent avoir besoin de quelque chose. Les prières de demande sont bonnes et, naturellement, elles sont entendues elles aussi, mais nous devrions toujours louer Dieu et le remercier pour tout ce qu’il nous a donné, tout ce qu’il a fait avec nous et pour nous. Les gens sont si peu
reconnaissants ; dans notre société occidentale ils en viennent à considérer tant de choses comme normales et allant de soi, que très vite la cupidité puis la haine s’installent. La notion implicite, si répandue de nos jours dans la société occidentale, que tous les hommes doivent avoir les mêmes chances d’obtenir un diplôme et de posséder une grande maison avec deux voitures n’est pas un enseignement de Dieu. Dieu confie ses plus grands secrets et ses plus grandes joies aux plus petits d’entre nous. Satan promet le pouvoir, l’influence et le succès. Dieu promet la paix, la joie et le contentement. La plus pauvre des prières, c’est « Mon Dieu, donnez-moi ceci; mon Dieu, donnez-moi-cela… »
Revenons à une amitié simplement humaine: combien de temps cet ami restera-t-il avec nous si tout ce que nous lui
disons, c’est « J’ai besoin de ceci; donne-moi cela » ? Les très jeunes enfants passent par ce stade dans leur développement social lorsqu’ils découvrent leur propre individualité. C’est alors qu’on les voit se frapper les uns les autres sur la tête avec leurs seaux en plastique, jeter la pelle au loin et se lancer du sable dans les yeux. C’est le temps de leur enseigner la discipline. Prier, c’est aussi dire bonjour, merci, désolé et, je t’aime


La prière a donc besoin d’être développée et enseignée?


Oui. Développée et enseignée à l’intérieur de nous, là où Dieu opère Ses plus grands miracles. Les gens véritablement pieux ne pensent pas que tout soit normal et aille de soi, et ils voient, entendent et perçoivent rapidement la grandeur de Dieu dans les plus petites choses, qu’elles soient intérieures ou extérieures. Dans la prière, nous apportons à Dieu tout ce qui est en nous et tout ce qui nous entoure. Ce n’est qu’en écoutant que l’enfant apprend à parler et cette conversation doit également être développée entre l’enfant et Dieu! Si l’enfant apprend que Dieu est toujours près de lui, il comprendra très vite qu’il est toujours aimé et protégé. Les parents et les enseignants ne peuvent pas y arriver tout seuls de façon parfaite. Sans Dieu, un enfant très sensible peut être terriblement affecté lorsqu’il se rend compte que ses parents et ses meilleurs amis peuvent eux aussi commettre des erreurs. Les enfants qui savent que Dieu existe trouvent en cela un équilibre et une grande force. Ils apprennent à communiquer dans l’amour avec toutes les personnes et les choses qui les entourent. Les enfants qui n’ont pas eu la connaissance de Dieu grandiront dans la peur, laquelle conduit à un besoin de puissance, de statut et de biens matériels. Ils ne goûteront jamais la paix que Dieu désire pour tous les hommes.
Nous ne pouvons tenir Dieu responsable de l’état du monde actuel! Il est le fruit de notre séparation d’avec Lui. Tout ce qui nous inquiète et nous blesse aujourd’hui vient du fait que nous L’avons ignoré. Revenez vers lui dans la prière et vous verrez immédiatement les résultats. Il est notre seul ami qui jamais, jamais ne sommeille.


Si la prière doit être apprise, il s’ensuit donc que nous devrions procéder par petites étapes, comme le fait un enfant?


Oui, oui, exactement. Pour autant que nous prenions également bien conscience du fait que les prières non plus ne doivent jamais être jugées. Il n’existe pas de petites ou de grandes prières - un barème de 0 à 100. Dieu reste toujours Dieu, et les vrais saints s’humilient parfaitement devant lui. C’est pourquoi Mère Teresa pouvait et devait honnêtement déclarer:
« Je suis une bien plus grande pécheresse que vous. »
Quels conseils pourriez-vous me donner si je n’ai jamais prié et que je veux commencer à parler à Dieu ce soir?


Fermez la télévision, ne répondez pas au téléphone… ou plutôt, débranchez-le, allez dans votre chambre et fermez la porte derrière vous. La prière est la seule chose au monde pour laquelle nous pouvons et devons être totalement égoïstes. Puis gardez le silence et dites à Dieu que vous voulez être près de lui. Faites cela régulièrement et ne laissez pas Satan vous en éloigner avec tout son jacassement sur moi, moi, moi. Ensuite lisez un peu sur Jésus, Sa Sainte Famille et Ses Disciples. Avec constance et par petites étapes, demeurez en présence de Son Amour total. Trouvez-vous une image de Jésus ou une Croix que vous placerez à l’endroit où vous avez trouvé la paix et la tranquillité. C’est là que vous L’entendrez le mieux. Tournez votre cœur vers Lui. Durant ce temps, donnez-Lui votre cœur, et à Lui seulement. Commencez par rester peut-être quinze minutes et augmentez graduellement jusqu’à une heure. Si vous faites cela pendant plus d’un mois vous serez émerveillé de la paix et de la joie que cela vous apportera, mais je dois maintenant vous prévenir qu’on tentera de vous distraire de ces rencontres avec Dieu. Ignorez gentiment mais fermement ces tentatives et continuez tout simplement.
Ensuite, si vous sentez le besoin de transformer toute votre vie - et cela arrive partout aujourd’hui - allez trouver un bon prêtre et dites-lui que vous venez de vous inscrire au jardin d’enfants de Dieu et que vous aimeriez continuer avec d’autres. En ce qui concerne Dieu, nous sommes tous au jardin d’enfants. Se convertir signifie changer notre cœur. Se convertir, c’est enlever tout ce qui bloque notre chemin vers Jésus.
Maintenant, trouvez une Bible et apportez-la aussi dans votre petit coin égoïste. Donnez tout à Dieu et à Sa Maman, et vous serez bientôt dans la paix. Et jamais il n’y a eu dans le monde un seul être humain qui n’ait ressenti un besoin de paix quelque part dans son cœur. La raison en est que Dieu lui-même a dit: « Avant que je t’eusse formé dans le ventre de ta mère, Je te connaissais », (Jérémie 1.5.) et ce souvenir - d’avoir connu dans notre âme la paix de Dieu - est présent en chaque âme jusqu’à un certain point.
Et le meilleur et le plus diligent des maîtres et des guides pour nous amener à lui c’est Sa Mère, qui, après tout, a également été Son maître et Son guide. Si l’Église vers laquelle vous êtes conduit L’a ignorée ou dit qu’Elle n’est pas nécessaire, demandez alors au prêtre de la réintégrer ou continuez à chercher jusqu’à ce que vous trouviez quelqu’un qui puisse vous aider en cela.
Il y a, par exemple, des sanctuaires mariaux ou des centres de Medjugorje dans presque tous les pays aujourd’hui. Vous pouvez lire Ses messages dans ces centres et les ramener chez vous. Étudiez-les durant le temps que vous passez avec Dieu, mais encore une fois, n’allez pas trop vite. Un message à méditer tous les trois ou quatre jours est plus que suffisant. Grâce à ce qu’Elle vous dira, allez lentement à Jésus, comme nous tous avons grandi petit à petit. Une fois que vous aurez accompli ces petits changements dans votre vie, vous allez - et je vous en fais la promesse avec tout mon cœur - très bientôt vous rendre compte de leur énorme importance. Faites tout cela avec votre cœur, pas avec votre tête. Il existe un grand nombre de brillants théologiens qui n’ont pas encore découvert Dieu de cette manière si simple et si pure.


Les Pauvres Ames se sont-elles déjà manifestées lorsque des conversions se produisent dans leur famille?


Oh! Oui! Elles manifestent une très grande joie lorsque cela arrive et, naturellement, elles participent également elles-mêmes au processus de conversion des membres de leurs familles.


Maria, dans la recherche d’une Église, avez-vous des suggestions pour ceux d’entre nous qui désirent se mettre avec les autres en présence de Dieu?


Seulement des suggestions qui vous permettront de vous rapprocher rapidement de la vérité entière de l’Évangile. Évitez toute Église qui ne se prononce pas clairement contre l’avortement. Évitez aussi les Églises sous la conduite d’une personne trop habile au maniement des foules et par conséquent très influente; les Églises qui attaquent le Vatican et celles qui proposent des divertissements. Il faut aussi éviter à tout prix une Eglise qui enseigne que Satan n’existe pas et toute
« Église » qui vous demande de participer à des exercices mentaux en prétendant qu’.ils vous rapprochent de Dieu. C’est très dangereux. N’oubliez pas que Jésus est toujours avec nous et que nous n’avons pas besoin d’exercices mentaux pour aller vers Lui!
Et cherchez une Église qui croit dans le Symbole de Nicée ou des Apôtres, ou au moins à une version très proche de ces Symboles.


Y a-t-il un genre de prière en particulier qui soit meilleur qu’un autre?


Non. Dieu nous connaît infiniment mieux que nous ne Le connaissons. Nous sommes tous si différents les uns des autres que la meilleure prière est la façon dont nous prions le mieux. Et n’oubliez pas que Dieu sait ce qui est le mieux pour nous, pour les autres et pour le monde entier de sorte qu’il est très bon de prier beaucoup pour que la volonté de Dieu soit faite en toute chose.
Et avec la prière, il serait très utile de suivre le conseil de Jésus dans l’Évangile en commençant aussi à jeûner.
Le jeûne aide énormément notre vie de prière, et la prière nous aidera à jeûner. Il y a beaucoup de bons livres sur le jeûne. Une combinaison de prière et de jeûne nous rap-prochera beaucoup plus rapidement de Dieu et de sa Mère du Ciel. Soyez comme des enfants et courez vers eux avec une confiance totale. Vous trouverez en eux la paix et la vraie joie de vivre.


Quelle est, selon vous, la bonne définition du jeûne?


Le jeûne, tel que Jésus l’a pratiqué et enseigné en même temps que la prière, est une discipline spirituelle qui touche premièrement notre consommation de nourriture. Notre-Dame nous dit que la manière idéale est de jeûner au pain et à l’eau au moins une fois par semaine, de préférence le vendredi, et même deux ou trois jours par semaine. Mais cela aussi devrait être pratiqué lentement, doucement, et jamais, par exemple, contre l’avis de notre médecin. Toujours sagement et gentiment, comme Dieu le souhaite.
Jeûner signifie également éviter des choses, des situations, des personnes ou des tentations qui peuvent aisément nous éloigner de ce que Jésus désire pour nous. Des situations où nous savons que nous pourrions perdre la maîtrise et notre liberté de faire ce qui est bien. La liste en est naturellement illimitée, étant donné encore une fois la grande diversité de nos
personnalités. Telle chose qui pourrait vous tenter ne sera pas pour moi une tentation, et vice versa. C’est notre cœur qui nous connaît le mieux et nous devons toujours nous efforcer d’être clairs et honnêtes lorsqu’il est question de ce qui ne nous est pas nécessaire. Jeûner signifie se priver de certaines choses jusqu’au point où nous pouvons dire que Dieu fait plus pour nous que ne peut le faire le monde qui nous entoure. C’est un autre puissant moyen d’aller vers lui et c’est d’une grande importance, car chaque âme compte beaucoup plus pour lui que l’univers entier.
Je connais des personnes qui ont jeûné sept, huit ou neuf ans d’affilée et que cela a transformé d’une façon que l’on pourrait considérer tout à fait miraculeuse. Dieu faisait désormais
partie de leur vie d’une façon qu’aucune méthode et aucun enseignement de ce monde n’aurait pu obtenir.
Le jeûne nous facilite beaucoup la prière et la prière nous rend aussi le jeûne plus facile. Et jeûner pour les Pauvres Ames leur sera également d’un grand secours et elles nous en seront éternellement reconnaissantes.
Jeûner de télévision est grandement nécessaire de nos jours et nous pouvons ainsi aider les Pauvres Ames qui ont négligé leurs obligations ou leurs familles. Et le Purgatoire, je le sais, est rempli de ces âmes-là. Je le répète, la valeur du jeûne est sans limites. Un tout petit jeûne de quelque chose apporte beaucoup de bien, tout comme une petite prière.


Pouvez-vous me donner un exemple d’une très petite prière qui a fait une très grande différence?


Oui, toutes les plus petites prières sont entendues. Attendez que je réfléchisse. Ah oui, et il s’agit encore d’une Pauvre Ame qui est venue me voir il y a quelques années.
Un homme est apparu une nuit et après m’avoir dit ce qu’il lui fallait pour être délivré, il est resté là en face de moi et m’a demandé : « Est-ce que vous me connaissez? » J’ai dû répondre que non. Il m’a alors rappelé qu’il y a bien des années, en 1932, il avait alors dix-sept ans, il avait voyagé brièvement dans le même compartiment que moi d’un train qui allait à Hall. Alors, je m’en suis souvenu. Il avait violemment critiqué l’Eglise et la religion et je m’étais sentie obligée de répondre que ce ne n’était pas bien de sa part de dénigrer des choses aussi saintes. Cette réponse l’avait surpris et ennuyé, et il m’avait dit: « Vous êtes encore trop jeune pour que je vous laisse me donner des leçons. » Je n’ai pas pu m’empêcher d’être un peu brusque et j’ai riposté: « Malgré tout, je suis plus intelligente que vous! » Ça s’est terminé là; il a replongé la tête dans son journal et n’a plus dit un mot. Quand il est arrivé à destination et qu’il a quitté le compartiment, j’ai simplement fait cette prière à voix basse : « Jésus, ne laissez pas cette âme se perdre». Et à présent qu’il était avec moi, il m’a dit que c’est cette petite prière qui l’avait empêché de se perdre.


Y a-t-il des prières auxquelles vous êtes plus attachée?


Pour moi-même? Pas vraiment, mais j’aime voir ce qui se passe chez les gens lorsqu’ils découvrent ce qu’est réellement la prière.
Je prie souvent pour que les gens redécouvrent Jésus dans l’Adoration du Très Saint Sacrement. C’est une immense grâce et une source de guérison et de miracles que l’Église, soi-disant moderne a terriblement négligée. L’Adoration deux ou trois fois par semaine apporterait la paix dans des régions entières du monde.
J’ai un amour spécial pour le Rosaire, si puissant pour apporter la guérison dans les familles Et je conseille souvent aux gens les prières de sainte Brigitte. Sainte Brigitte de Suède a reçu une série de prières de Notre Seigneur, et une autre de Notre-Dame. On récite les prières de Notre Seigneur pendant un an, tandis que celles de la Vierge Marie sont dites pendant douze ans. Elle a également reçu de Notre-Dame la dévotion à ses Sept Douleurs. Notre Seigneur et Sa Mère ont promis tellement de choses aux âmes qui diraient ces prières qu’il faut vraiment qu’elles deviennent beaucoup plus connues qu’elles ne le sont aujourd’hui.
Voici les promesses que Jésus a faites pour ceux qui diront ces prières durant douze ans; je m’en souviens parce qu’il n’y en a que cinq, mais leur importance devrait être évidente.
À tous ceux qui prieront, il a promis:
- Ils échapperont au Purgatoire.
- Ils iront au Ciel comme s’ils avaient versé tout leur sang comme des martyrs.
- Trois personnes choisies au sein de leur famille recevront la grâce sanctifiante.
- Tous les membres de leur famille jusqu’à la 4e génération seront sauvés.
- Ils seront informés du jour de leur mort trente jours avant cette date.
Mais ici encore je voudrais prévenir les gens: n’allez pas croire qu’on peut continuer à vivre comme cela nous plaît et que c’est une garantie pour aller tout droit au Ciel. Il faut vivre en toute sincérité avec Dieu en même temps que l’on continue à réciter ces prières. Sinon, l’âme qui croit pouvoir ruser avec la Lumière de Dieu aura une très mauvaise surprise lorsque le temps sera venu de passer de l’autre côté.


Les âmes demandent-elles autre chose que des prières de leurs parents?


Oui, à l’occasion. Il peut arriver qu’une âme qui a abrégé ses jours en fumant trop vienne demander à un parent d’arrêter de fumer pendant un moment. Ce serait naturellement un jeûne.




Est-il valide et bon de prier pour des animaux ou sur eux?


Oui, il est bon et certainement valide de prier sur des animaux malades car les animaux ont un esprit bien qu’ils ne possèdent pas une âme. On peut certainement prier pour qu’ils aient la paix et la santé. Et nous devrions aussi les bénir car Satan hait tout ce qui est proche de nous et qui peut nous être utile.


Quelle est la signification spirituelle ou l’importance du geste de joindre les mains en priant?


Lorsque nous joignons nos mains en priant Dieu nous accorde plus de grâces, et c’est ce que les âmes m’ont dit.


Dans quelle proportion devrions-nous prier pour nous et pour les autres?


Oh! Les gens devraient prier beaucoup plus pour les autres que pour eux-mêmes. C’est toujours la même règle qui dit que nous devrions faire le plus de choses possible pour les autres, et le moins pour nous. C’est ce que Dieu attend de nous.

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MessageSujet: Maria Simma : les anges   Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:20

LES ANGES




Beaucoup disent que nous avons tous un ange. Est-ce que c’est vrai?


Oui. Nous avons tous un ange gardien.


Et lorsque nous mourons, cet ange reçoit-il une autre mission ici bas?


Non, non, il nous accompagne au Purgatoire. Mais pendant qu’elles y sont, les âmes ne voient pas tout le temps leur ange gardien.


Oh! Alors vous est-il déjà arrivé de voir son ange gardien en même temps qu’une Pauvre Ame?


Non, ça ne m’est jamais arrivé. Mais ils sont toujours là.


Et lorsqu’une âme arrive au Ciel, que fait son ange?


Il reste au Ciel avec elle. Les anges gardiens ne reçoivent la mission d’accompagner une personne sur la terre qu’une seule fois.


Tous les anges gardiens se ressemblent-ils?


Non. Un visionnaire crédible m’a dit que certains sont impétueux et d’autres plus calmes. Les anges plus calmes accompagnent les âmes souffrantes. Leur vêtement est rougeâtre et ils portent un bandeau autour de la tête, un peu comme un diadème. Les autres sont vêtus de blanc, ont l’air plus enjoués et portent une couronne. Ceux-ci servent les âmes qu’ils protègent plus que les autres ne le font. Les anges des pauvres pécheurs sont habillés de rouge sombre, leur tête est couronnée, ils ont les mains croisées la poitrine et le regard tourné vers le Ciel en signe d’imploration.


Quelle relation existe-t-il entre la Pauvre Ame et son ange gardien?


Ils sont parfois très proches l’un de l’autre. La Pauvre Âme voit alors son ange gardien qui la console, la protège des attaques, la guide et l’instruit.


Certains d’entre nous ici sur terre peuvent-ils voir leur ange gardien et communiquer avec lui?


Oui, cela arrive beaucoup plus souvent qu’on ne l’imagine et doit être accepté et entretenu comme une immense grâce. Nous pouvons tous, en priant beaucoup, apprendre à connaître notre ange gardien.


Il arrive souvent que les gens disent, par exemple à l’occasion d’un accident de voiture où quelque chose d’extraordinaire s’est produit, que c’est leur ange gardien qui les a aidés. Se pourrait-il que ce soit plutôt une Pauvre Ame? Et comment faire la différence?


Oui, cela aurait pu être une Pauvre Ame, mais il y a une façon très simple de le savoir. Si c’était une Pauvre Ame, elle aurait au même-moment et d’une manière ou d’une autre demandé de prier ou de faire quelque chose pour elle. Avec les âmes, la communication est toujours réciproque. Pas avec les anges. L’ange n’a pas besoin de notre aide alors que Dieu permet aux Pauvres Ames de se montrer lorsqu’elles peuvent demander notre aide sur le chemin du Ciel. Sans cela, il y a de bonnes chances pour que ce soit un ange.
Alors, si quelqu’un ne prie pas pour les Pauvres Ames, il y a de fortes chances pour ce soit un ange. Par conséquent tous ceux qui voudraient bénéficier d’une protection supplémentaire devraient certainement prier pour leurs parents défunts?


Oui, oui! Et si on le fait, on peut être certain de leur réponse car ils ont un très grand désir d’être au Ciel avec Jésus. Une Pauvre Ame m’a dit que si quelqu’un faisait une courte prière aux Pauvres Ames et à son ange gardien en utilisant régulièrement de l’eau bénite avant de conduire sa voiture, quatre-vingts pour cent de tous les accidents de voiture seraient évités. Quatre-vingts pour cent! Il y aurait de quoi mettre en faillite bien des compagnies d’assurances et faire baisser partout le coût des soins médicaux. Et le même pourcentage de tous les autres accidents également causés par le mal.


Est-ce que les anges nous protègent plus lorsque nous le leur demandons que quand nous ne le faisons pas?


Oui, absolument. Seuls, sans demander leur aide, nous ne pouvons faire face aux assauts que nous ne voyons pas. Nous devons faire appel à eux et ne tenir aucun compte des enseignements qui laissent entendre ou déclarent ouvertement que les anges n’existent pas. On est même allé jusque-là dans l’Église moderne! On raconte aussi beaucoup de dangereuses sottises à propos des anges, de nos jours, et c’est en grande partie de l’occultisme.


Les anges noirs existent-ils, et si oui, qui sont-ils?


Oui, ils existent. Ce sont des anges tombés avec Satan.


Est-ce que nous n’avons tous qu’un seul ange gardien?


Non. Les visionnaires des anges m’ont dit que les prêtres et les sœurs ont un ange gardien de plus, de même que les médecins. Si seulement les médecins voulaient demander l’aide de leurs anges gardiens, beaucoup d’entre nous seraient en bien meilleure forme que nous ne le sommes. Oui, les évêques ont aussi plus d’un ange gardien, ainsi que le Pape.


Notre ange gardien peut-il lire nos pensées?


Il peut nous guider et nous protéger en nous mettant des pensées à l’esprit, et il peut enlever des pensées que Satan y a placées. Les gens devraient demander la protection de leur ange gardien bien plus souvent qu’ils ne le font, et ils devraient approfondir leur sensibilité à son égard.


Quel est l’ange le plus important pour nous et les Pauvres Ames?


Saint Michel Archange. Il est le plus puissant contre tout mal et nous devrions souvent lui demander sa protection, non seulement pour nous mais pour les Pauvres Ames. Nous devrions chaque jour lui demander de nous protéger, nous et tous les membres de notre famille vivants et morts. Ils nous en seraient tellement reconnaissants!


Il s’agit dans votre cas d’une révélation privée à travers les Pauvres Ames, n’est-ce pas?


Oui.
Existe-t-il aussi des cas de révélation privée à travers les anges?


Oui, certainement, et le plus connu aujourd’hui est celui d’une communauté établie autour des expériences d’une Autrichienne du nom de Mère Bitterlich. La communauté s’appelle Opus Angelorum, ou Œuvre des Anges, et j’en suis membre. Mais, tout comme Medjugorje, elle est vivement attaquée par certains milieux. Les accusations d’abus et de contrôle mental sont aussi révoltantes que les affirmations selon lesquelles un prêtre de Medjugorje écrirait lui-même les messages et aurait payé le Vatican pour se montrer favorable aux apparitions. Et, comme d’habitude, les personnes qui ont passé le moins de temps à prier, enquêter et discerner sur place sont celles qui en parlent le plus négativement. La dernière insulte contre l’Opus Angelorum a été de les obliger à recevoir la communion dans la main! Puisse le Seigneur accorder Sa Sagesse à ceux qui imposent de telles choses! Mais Notre-Dame mettra bientôt de l’ordre dans tout cela.


Si des gens ont conscience de la présence de leur ange gardien et peuvent même parfois l’entendre, peuvent-ils aussi en venir à le connaître comme ils connaissent d’autres amis?


Oui, ils le peuvent certainement. Beaucoup de gens aujourd’hui connaissent le nom de leur ange gardien et l’appellent chaque jour pour qu’il les guide, les protège et les aide. Dans la prière, nous pouvons discerner la présence de notre ange et discuter de tout avec lui. Il est très heureux de pouvoir nous aider et ne s’endort jamais en notre compagnie. Et il peut nous faire traverser des situations très difficiles et très dangereuses.
Qui sont les autres grands anges, en dehors de saint Michel ?


Comme le mentionne la Bible, il y a sept Archanges et saint Gabriel et saint Raphaël sont les plus connus. Saint Gabriel porte des habits sacerdotaux. Il est particulièrement actif avec ceux qui prient beaucoup le Saint-Esprit. Il est l’Ange de la Vérité et un prêtre ne devrait jamais laisser passer une journée sans demander l’aide de saint Gabriel.
Saint Raphaël est l’Ange de la Guérison. Il aide surtout les prêtres qui entendent beaucoup de confessions et les pénitents eux-mêmes. Les gens mariés ne devraient pas non plus oublier saint Raphaël. Il porte une sorte de tablier avec une ceinture et tient un bâton en forme de sceptre à la main droite. Nous devons aussi avoir recours à l’aide de ces deux grands anges pour les autres aussi souvent que nécessaire. Et ils sont aujourd’hui tous les deux plus nécessaires que jamais car le monde nage dans l’erreur et la souffrance en raison des péchés non confessés.
Il y a ensuite les neuf Chœurs des Anges qui forment trois hiérarchies: les Séraphins, les Chérubins et les Trônes; les Dominations, les Vertus et les Puissances; et les Principautés, les Archanges et les Anges. Jamais nous ne devrions négliger de demander leur intercession.


Existe-t-il des esprits neutres? Je veux dire, des anges ni bienveillants ni malveillants et qui ne travaillent ni pour Dieu ni pour Satan?


Non, cela n’existe pas. Ou bien ils sont restés avec Dieu et font le bien pour lui, ou ils sont tombés avec Satan et font le mal avec lui.

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MessageSujet: La messe : Maria Simma    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:21

LA SAINTE MESSE




Qu’est-ce que les Pauvres Ames vous demandent le plus souvent?


La Sainte messe. Le plus souvent des messes auxquelles nous assistons et des messes que nous faisons célébrer; mais aussi de prier le Rosaire, le Chemin de Croix et d’autres prières.


Vous dites qu’elles ont besoin de messes. Pourquoi des messes plutôt que n’importe quoi d’autre?


Parce que chaque messe est le renouvellement des souffrances de Jésus et de sa mort sur la croix. À chaque messe, Il prie de nouveau pour nous et avec nous, et Il s’offre au Père pour nous. Padre Pio, qui souffrait souvent la Passion du Christ durant la messe, disait que le monde pourrait plus facilement exister sans le soleil que sans la Sainte messe. Cette remarque devrait bien nous faire réfléchir et elle est aussi, je crois, prophétique. En allant à la messe, nous nous joignons à Jésus pour sauver le monde de la destruction, et en allant à Jésus, nous nous sauvons nous-mêmes. La messe est la plus grande de toutes les prières, le plus grand de tous les événements du monde, et pourtant si mystérieux, si petit et si humble. En amenant les Pauvres Ames â la messe, nous les aidons d’innombrables façons que nous ne comprendrons réellement qu’au Ciel lorsque nous serons tous réunis autour de Jésus.


Est-ce que toutes les messes auxquelles nous assistons ou que nous faisons célébrer aident les Pauvres Ames dans la même mesure?


Non. Une messe aide l’âme pour laquelle la messe est offerte dans la mesure où cette âme, si elle était chrétienne, aimait la messe durant sa vie sur terre. Cependant, si l’âme n’était pas chrétienne durant son existence, et que par conséquent elle n’en savait rien, le fait d’assister à une messe pour cette âme l’aidera beaucoup plus.


Est-ce qu’une messe à laquelle nous assistons ou que nous faisons célébrer pour une personne vivante l’aide autant que pour une Pauvre Ame?


Assister à une messe ou la faire célébrer pour une personne vivante l’aide beaucoup plus maintenant que plus tard.


Pourquoi?


Parce qu’ici nous pouvons encore recevoir des grâces et que ce n’est plus le cas lorsque nous sommes au Purgatoire. De plus, cela contribue beaucoup à protéger cette personne encore parmi nous de tout danger.


Existe-t-il une preuve physique que Jésus soit effectivement présent dans l’Hostie consacrée?


Bien sûr, il en existe de nombreuses preuves. On peut lire de nombreux récits de miracles eucharistiques dans l’histoire de l’Église.
Simplement à titre d’exemple, Thérèse Neumann, de Konnersreuth, n’a consommé que de l’eau et la Sainte Eucharistie durant quelque trente-six années, et elle a cependant pris du poids en vieillissant II y a aujourd’hui une femme quelque part dans le nord de la France qui ne consomme rien d’autre qu’une Hostie consacrée depuis cinquante ou soixante ans; il n’y a pas longtemps, son évêque l’a fait enfermer dans une chambre d’hôpital pour la tester. Elle en est sortie en aussi bonne santé qu’à son arrivée. L’évêque ne faisait que son devoir en exigeant cette épreuve et elle faisait le sien en obéissant. Jésus permet ces miracles pour montrer à l’humanité qu’il est vraiment le Pain de Vie.
Vous avez également le miracle de Lanciano, en Italie, où, il y a plusieurs siècles, une Hostie est devenue un morceau de chair et de sang durant les paroles de la Consécration. Une analyse a été effectuée récemment dans les années soixante-dix qui a démontré qu’il s’agissait bien d’un morceau de muscle de cœur humain fraîchement prélevé.
Un de mes miracles eucharistiques préférés est arrivé à Langewiese, en Allemagne, après qu’on eut volé quelques hosties consacrées dans une église. Le voleur, bien que chrétien, avait accepté pour un peu d’argent d’enlever les hosties et de les remettre à des personnes pour être profanées. Et c’est au cours de ces profanations que les hosties se sont mises à saigner. Choqués et craignant la justice de ce monde, les profanateurs se sont empressés d’envelopper les hosties dans un linge et d’aller les enterrer dans un bois près de la ville de Langewiese. Peut de temps après, un aristocrate polonais, dans son carrosse tiré par quatre chevaux, se trouvait à passer près de ce bois lorsque les bêtes se sont arrêtées net pour s’agenouiller. Jamais les hommes ne parvinrent à les faire se relever et avancer. Même les coups de fouet ne les faisaient pas broncher! L’aristocrate se mit alors à regarder autour de lui et il aperçut le linge contenant les hosties ensanglantées. La nouvelle se répandit rapidement dans la région et le prêtre de Langewiese conduisit une procession sur les lieux pour sortir les hosties du sol et les retourner dans son église, au son des cloches qui carillonnaient.
Au cours des siècles, il y a eu des milliers de cas prouvant que Jésus est littéralement et physiquement présent dans l’Hostie consacrée, mais Lanciano est simplement un des plus célèbres.


Avez-vous connu personnellement Thérèse Neumann?


J’ai manqué de la rencontrer à deux semaines près. Mais je suis allée visiter sa tombe : j’étais très malade à l’époque et en la quittant, j’étais de nouveau en parfaite santé !


Est-il possible que dans les villes où il y a beaucoup de prières et de messes, les Pauvres Ames se rassembleraient plus que dans les villes où l’on prie moins?


Oui, absolument. Elles se rapprocheraient de leurs parents qui prient dans l’espoir d’en bénéficier un peu. Les fidèles pourraient surtout les entendre et quelquefois les voir. C’est alors que les prêtres et les chefs religieux doivent informer les fidèles qu’il est normal d’entendre parler des membres de leur famille ou des amis proches qui sont passés de l’autre côté. Dans ce monde sécularisé, « entendre des voix » est le plus souvent interprété comme un symptôme de maladie mentale, ce qui est clairement l’œuvre de Satan. Bien sûr, la maladie mentale peut faire que l’on entend des voix, et certaines sont aussi l’œuvre du mal, mais ces voix sont souvent bonnes et par conséquent un grand don. L’idée largement répandue que le fait d’entendre des voix est exclusivement le signe d’une maladie mentale est totalement exagérée et peut faire très mal à beaucoup de braves gens très sensibles. Il faut dans ces cas-là beaucoup de discernement et d’expérience, et la grande majorité des médecins d’aujourd’hui ne connaissent pas suffisamment la matière. Ce sont eux qui devraient aller à la messe et prier beaucoup pour être mieux informés sur les choses divines.


A votre avis, les gens vont-ils assez souvent à la messe et font-ils célébrer suffisamment de messes pour leurs parents et amis défunts qui sont
probablement au Purgatoire?


Non, pas du tout, et une partie importante de mon apostolat est d’inciter les gens à faire beaucoup plus qu’ils ne font. Il faudrait assister à beaucoup plus de messes et en faire célébrer un bien plus grand nombre pour les défunts. Cela devrait se faire de façon régulière – à leur anniversaire, au nom du jour, à leur anniversaire de mariage et le jour de leur mort. Et chaque fois que l’on pense beaucoup à eux. L’occasion se présente toujours et il faudrait agir très rapidement. Nous devons faire tout ce que nous pouvons pour eux, et l’offrande d’une messe est le plus beau cadeau que nous puissions leur faire.


Que voulez-vous dire par au « nom du jour » ?


Oh! Excusez-moi. D’autres appelleraient ça le jour de leur fête. C’est le jour que l’Église a réservé spécialement pour le Saint dont vous portez le nom. Le vôtre serait naturellement le 6 décembre, fête de saint Nicolas. Si on apprenait aux enfants à connaître leur Saint au lieu de les inonder de cadeaux matériels le jour de leur fête, est-ce que ça ne les aiderait pas beaucoup mieux à les préparer pour la vie? Les anniversaires de naissance sont également importants et on devrait alors insister sur le don de Dieu que représente un enfant, plutôt que d’ajouter encore des biens matériels. Le Saint du jour leur servirait aussi un peu de modèle. Nous devrions leur dire que ce cadeau leur vient de Jésus et de Marie, mais aussi de leur Saint qui s’intéresse à eux de façon très spéciale, et ce ne sont pas simplement des paroles en l’air, c’est la vérité. Cela les rendrait curieux et désireux d’en savoir plus.


Voulez-vous dire par là que donner un prénom chrétien aide aussi l’enfant, et que ne pas lui en donner peut nuire à l’enfant, ou plutôt l’affaiblir durant sa vie?


Oui, d’une certaine manière. Le Saint dont l’enfant porte le nom va automatiquement intervenir avec amour et puissance en faveur de l’enfant pour le protéger. Cette protection est perdue si l’enfant se nomme, disons - Aigle doré. Bien sûr, cela ne veut pas dire que Dieu l’aimera moins, mais il est certain qu’il aura moins d’intercesseurs et qu’il faut de nos jours chercher à en avoir le plus possible. Je suis certaine que cela attriste Dieu lorsque nous refusons de donner à un enfant un puissant intercesseur. De toutes les manières possibles, nous devons chercher à donner à nos enfants tout ce qui peut les guider et contribuer à leur bonheur et à leur contentement.


Y a-t-il des choses que les Pauvres Ames vous ont dit ne pas aimer et qui les attristent concernant les messes aujourd’hui?


Oh! Oui, et il y en a beaucoup. Le soi-disant signe de paix et le fait de se tenir les mains durant le Notre Père n’en sont que deux exemples. Cela se produit juste après la Consécration et précisément au moment où nous devrions concentrer notre pensée sur le Seigneur et sur Lui uniquement. C’est alors qu’Il est le plus près de nous, et les gens se mettent à chercher des mains à serrer plutôt que de se plonger sans être interrompus dans une prière la plus profonde possible avec Lui, et non avec des voisins que nous ne connaissons souvent même pas. Là encore, c’est apporter un rituel social dans l’église plutôt que d’amener Jésus plus près des gens. Je dis « des voisins que nous ne connaissons souvent même pas » parce que nous ne devons jamais abaisser notre garde! Ce sont justement les lieux les plus saints qui sont le plus infiltrés par les adorateurs de Satan. Et le contact physique renforce considérablement les malédictions qu’ils répandent. Comme ils sont heureux de pouvoir serrer des mains et même d’étreindre les gens qu’ils viennent de distraire de la présence de Jésus! Le danger nous guette souvent derrière une fausse familiarité ou une unité forcée. Ajouté au manque de confession, cela peut faire des messes le terrain de chasse favori de ceux qui ont choisi de tourmenter le peuple du Christ. Dites le Notre Père uniquement avec Celui qui nous a donné la plus grande de toutes les prières. Et allez plus tard à l’extérieur de l’église où vous aurez le temps, ainsi que le discernement, pour choisir ceux à qui vous voulez serrer la main. Être véritablement pieux et prudent ne veut pas dire que l’on soit asocial ou enclin à juger.
Et il y a, bien sûr, ce qui est de loin pis que tout le reste, les applaudissements. On va à l’église pour prier. Jésus est là dans le tabernacle et on prendrait le temps d’applaudir une autre personne parce qu’elle a dit quelque chose qui se trouve être populaire, correct ou fort? Non! Cela met en danger le prêtre ou la personne qui a dit cette chose populaire en flattant son ego plutôt qu’en l’aidant dans son humble mission qui est de nous apporter Jésus. Ce n’est pas bien et encore une fois contraire à la dévotion que nous devons enseigner à tous aujourd’hui, et spécialement aux jeunes. C’est à l’école qu’ils se tiennent tous par la main et qu’ils tapent des mains, et nous devons leur montrer que les églises sont là uniquement pour rencontrer Dieu le Père, Dieu le Saint-Esprit, Dieu le Fils, Jésus et Marie, et pour rien d’autre.


Est-ce que ce sont les âmes elles-mêmes qui vous ont dit que le signe de paix et les poignées de mains présentaient des problèmes?


Oui.


Les âmes vous ont-elles parlé des ministres auxiliaires de la communion?


Oui. Sous des conditions normales, seules les mains consacrées des prêtres peuvent distribuer la communion. La loi de l’Eglise dit que cela doit être observé à moins que ne se présentent des « circonstances extraordinaires », comme dans le cas où le prêtre serait alité. « Extraordinaires » ne veut pas dire la différence entre le fait d’avoir à attendre deux minutes au lieu de dix pour recevoir la communion. Nous devons toujours nous préparer dans la prière avant de recevoir Jésus, et les gens qui insistent pour que tout soit terminé le plus rapidement possible n’ont aucune idée de l’énormité du privilège de recevoir Jésus en nous, et de la source de grâces et de protection que cela représente.
Si quelqu’un voulait avoir la preuve que l’utilisation faite aujourd’hui des ministres auxiliaires de la communion n’est pas selon le désir de Dieu, je peux vous raconter ce qui est arrivé près d’ici récemment.
Une femme qui distribuait la communion et incitait beaucoup d’autres à faire de même est morte récemment. Je la connaissais un peu et j’avais beaucoup entendu parler d’elle. Avant les funérailles, le cercueil était ouvert pour permettre à la famille et aux amis de faire leurs adieux L’heure venue, on a fermé le cercueil. Mais un peu moins d’une heure plus tard un proche parent s’est présenté qui a prié le prêtre chargé de la cérémonie de rouvrir le cercueil afin de voir lui aussi la défunte. Le prêtre a accepté et, avec l’aide de deux autres témoins, le couvercle a été soulevé. Le petit groupe a pu alors constater que quelque chose s’était produit durant le bref intervalle où le cercueil avait été fermé. Les mains de la femme étaient devenues noires comme du charbon. Pour moi, comme pour les autres, Dieu nous confirmait ainsi que des mains non consacrées ne pouvaient pas distribuer Jésus à la communion.
Il y a aussi ce soi-disant « autel du peuple » dont l’installation a également ravi Satan. Jésus est présent dans le tabernacle qui devrait en tout temps se trouver au centre de l’église. L’autel retourné a permis à toute une série de choses de se produire. Pour commencer, le fait d’interposer le visage du prêtre entre celui de Jésus et l’assemblée rend beaucoup plus difficile la concentration sur Jésus, et chacun sait que le visage est le point principal de communication entre les gens. C’est seulement durant l’homélie que l’assistance devrait se concentrer sur le prêtre, ses paroles, son visage. En retournant l’autel, on a mis Jésus en retrait, ce qui a conduit ensuite à le pousser sur le côté pour le déplacer finalement, comme c’est déjà le cas dans des églises modernes, vers une aile séparée, quand ce n’est pas dans une salle à part. Et c’est précisément ce que Satan a toujours voulu - se débarrasser de Jésus!


Y a-t-il eu d’autres révélations privées qui allaient dans le sens de ce que vous ont dit les âmes sur ces questions?


Une apparition mariale que m’a décrite une personne digne de confiance qui était présente pendant l’apparition confirme bien ce que disent les âmes. Cette apparition a eu lieu au cours d’une messe, quelques minutes après la Consécration. Notre-Dame est venue comme elle le fait toujours à l’heure prévue, mais cette fois sans prier ni parler à la visionnaire; elle n’est restée que quelques secondes et n’a fait que bénir le petit groupe. Lorsque les personnes présentes ont demandé à la visionnaire pourquoi tout s’était passé aussi rapidement, elle a répondu, avec un geste de la main : « Parce que Jésus se tenait là ».
Ainsi donc, si Notre-Dame ne juge pas convenable de communiquer avec quelqu’un lorsque Notre Seigneur est présent en personne, qui d’autre oserait interrompre notre communication avec Lui?!
Et on a dernièrement rendu public que le quatrième avertissement donné à la Sœur qui a vu Notre-Dame à Akita, au Japon, concernait la communion dans la main. J’ai été très heureuse de l’apprendre.


Selon vous, avec quelle régularité les gens devraient-ils assister à la messe?


Tous les jours. Vous êtes surpris; ne le soyez pas. Si nous voulons être plus près de Dieu nous devons commencer, avec un tout petit peu de discipline, par Lui réserver du temps. Ne nous a-t-Il pas donné sa Vie dans ce temps? Ce n’est par conséquent pas trop demander que de Lui en redonner chaque jour une partie. Je sais parfaitement que la société actuelle est organisée de telle sorte que la plupart des gens sont pressés et ont d’innombrables excuses pour négliger un tiers de leur être qui est spirituel. L’homme a besoin de nourriture pour son corps, son esprit et sa vie spirituelle. La personne qui néglige de nourrir l’un des trois n’atteindra jamais l’équilibre ni la plénitude de son être, et restera par conséquent en arrière. Elle est perdante et Dieu ne veut voir reculer personne. Je vous promets de tout mon cœur qu’une fois que vous aurez commencé à donner ce temps à Jésus, vous vous demanderez bientôt comment vous avez pu vivre sans cela. Il nous apporte tant de paix, tant de force et tant de joie. Jésus n’est pas une béquille psychologique de plus. Il est Dieu et par conséquent le meilleur ami que nous puissions avoir.
Parlant de la messe quotidienne, cela me rappelle l’apparition d’une femme qui était au Purgatoire. Lorsque je lui ai posé la question habituelle, elle a répondu: « Allez dire à mes enfants que je serai délivrée lorsqu’ils auront offert pour moi soixante-quinze messes de semaine. » J’ai donc appelé cette famille pour leur dire ce que leur mère demandait. Ce n’était pas une famille pauvre et un membre de la génération suivante a dit: « Très bien, on va payer pour soixante-quinze messes, et ce sera tout. »
- « Non, leur ai-je répondu avec fermeté, ce ne sera pas tout, parce que la raison pour laquelle votre mère est encore au Purgatoire, c’est pour ne pas vous avoir appris la valeur des messes de la semaine. Vous allez ensemble assister à soixante- quinze messes et porter votre bonne maman dans votre cœur comme unique intention. Voilà ce qu’elle attend de vous. » Après avoir grommelé un peu, ils ont accepté et se sont exécutés.
Voyez-vous, Dieu avait pour eux un plus grand projet encore. Depuis que je leur ai apporté cette nouvelle, je peux dire qu’ils ont continué à assister presque chaque jour à la sainte messe, même après avoir atteint le nombre requis de soixante-quinze; ils ont ainsi reçu dix fois plus que la simple connaissance que leur mère était au Ciel. Ils ont même peut-être épargné un peu d’argent. (rire)


Il est donc très important de maintenir avec soin l’équilibre entre les trois
parties constituantes de notre être si nous voulons avoir une vie bien remplie?


Oui, c’est très important. Si le monde séculier dit que le
spirituel n’est plus nécessaire dans ce monde de science et de psychologie, cela est en contradiction directe avec les faits. Pourquoi alors les gens s’envolent-ils par milliers en Inde pour s’asseoir et psalmodier sur les rives du Gange, et pourquoi les sectes et les cultes remplissent-ils des salles entières dans nos cités? La partie spirituelle de l’homme doit recevoir nourriture et boisson tout comme les autres parties.
Il y a beaucoup d’ignorance et de confusion aujourd’hui lorsque le monde sécularisé fait face à des gens spirituellement doués. Le monde n’a pas de problèmes avec ceux qui sont physiquement doués et il les installe sur des trônes de gloire et d’argent, et spécialement aux yeux des jeunes. Viennent ensuite ceux qui sont intellectuellement doués et qui se chargent de penser pour les masses. Mais s’il se présente une personne spirituellement douée, les gens sont alors très facilement embarrassés, car il faut encore plus de discernement et d’amour pour savoir si oui ou non cela vient de Dieu.
La plupart des gens ont au moins déjà entendu parler de personnes possédées par le démon qui ont à l’occasion fait preuve de capacités physiques et de forces extraordinaires. Bien peu savent cependant, que Satan était le plus intelligent de tous les anges et qu’il est ainsi facilement capable de se mêler à ceux que le monde appelle aujourd’hui ses sujets les plus intelligents. Et lorsque surgissent des personnes ayant des traits spirituels particulièrement raffinés, il arrive beaucoup trop souvent que nous les reléguions à l’asile d’aliénés, à moins, bien sûr, qu’elles n’offrent des choses qui attirent si facilement les gens, comme le succès, l’argent, le pouvoir, l’amour factice, etc.
Si nous cherchons quels sont les gens les plus aimés et les plus respectés dans ces trois domaines, ce sont toujours ceux qui, avec leurs dons particuliers, font aussi preuve d’humilité, car ils reconnaissent que ce qu’ils ont est un don de Dieu et qu’ils ne sont eux-mêmes que les humbles véhicules de sa grandeur.
Il est certain que la personne douée physiquement doit aussi bien prendre soin de son esprit et de son âme, et celle qui est douée intellectuellement doit assurément bien s’occuper de son corps et de son âme. Il s’ensuit naturellement que la personne ayant un don spirituel doit aussi activer les deux autres parties de son être. Dieu veut toujours de l’humilité et de l’équilibre dans tout ce que nous faisons. L’équilibre est tellement important. C’est ici dans la sainte messe que les trois parties sont réunies pour nous dans la perfection: la Présence réelle de Jésus pour l’âme, l’Évangile et les autres enseignements pour l’esprit, et le Pain et le Vin pour le corps.


Que se passe-t-il et comment les gens sont-ils affaiblis, lorsque le tiers spirituel est négligé?


Lorsque cet élément si important reste inactif, la personne se mettra inconsciemment à la recherche d’une béquille - une dépendance sur quoi s’appuyer en remplacement. C’est alors que les gens tombent si facilement dans la drogue, l’alcool et le sexe; ils se laissent totalement absorber par la recherche de l’argent, du pouvoir, d’une position dans le monde; ou ils se précipitent dans une secte quelconque qui leur promet la paix et le contentement sans leur dire que leurs leaders sont en communion avec les esprits mauvais.


Et la messe, dites-vous, satisfait ce besoin plus que n’importe quoi d’autre?


Oui, sans aucun doute! C’est le moyen, le plus puissant que nous ayons pour atteindre Dieu; c’est la prière la plus puissante que Dieu nous ait donnée. L’amour qu’il a pour nous et son sacrifice total nous parviennent dans la messe de manière incommensurable.


Quelle est la meilleure façon d’agir pour nos défunts lorsque nous voulons leur offrir une messe?


La chose la plus rapide, la moins aimante et la plus paresseuse consiste à faire simplement une petite offrande de messe que le prêtre inscrira dans son carnet. C’est beaucoup mieux - et les preuves sont là pour dire que les guérisons et les délivrances sont beaucoup plus fréquentes lorsqu’un parent ou un ami est présent en position de pénitent - d’assister à la messe pour cette personne. Le mieux pour l’âme est qu’elle ait son nom inscrit dans le livre et que quelqu’un soit là pour intercéder en sa faveur. L’acte est alors complet, intégral, pur, et le plus aimant de tous.
En ce qui concerne les noms à inscrire dans le livre à l’église, il est également préférable de ne donner qu’un seul nom par messe à Jésus. Je sais très bien qu’aujourd’hui le manque de prêtres, et par conséquent l’absence de messes, peut parfois rendre cela impossible. On donne fréquemment trois noms de nos jours, mais alors qu’est-ce qui nous empêchera d’en inscrire trente pour une messe? Spécialement alors que les prêtres ont tellement besoin d’argent. On ne devrait donner qu’un seul nom. J’envoie toutes mes messes au Monastère des Carmélites, à Fatima, qui non seulement me promet de n’apporter qu’un seul nom par messe, mais qui a aussi grandement besoin d’argent.
À ceux qui veulent être consciencieux et bien faire les deux, si on ne peut pas faire autrement, je rappelle que le temps et l’espace ne comptent pas et qu’il n’est pas indispensable d’assister à la messe elle-même où le nom est enregistré. Garder cela à l’esprit permet de résoudre des conflits d’horaires ou des empêchements légitimes dus au manque de temps ou à l’incapacité de se déplacer.
Lorsqu’il est question de temps et d’espace, rappelez-vous toujours que Dieu est Dieu. Il m’est souvent arrivé de voir que la guérison est survenue bien avant que la messe ait été célébrée. Et je ne parle par seulement de Pauvres Ames montées au Ciel, mais de vivants délivrés de leurs fardeaux après accord qu’une messe était nécessaire. Dieu sait, dans ces cas-là, que l’intention est bonne et que la promesse sera tenue, et jamais Dieu ne veut que l’on souffre une seconde de plus que nécessaire.


Pouvez-vous me citer un cas où des âmes ont fait clairement savoir qu’il était nécessaire et bon que l’on assiste à des messes pour elles?


Oui. J’ai connu une jeune femme qui voulait faire plus pour les âmes et lorsqu’elle a demandé à sa mère ce qu’elle devait faire pour elles, sa mère a suggéré d’assister à deux messes plutôt qu’une chaque dimanche. Et elle l’a fait pendant un certain temps. Le prêtre a bien vite remarqué qu’elle assistait à deux messes dominicales et il lui a demandé pourquoi; la jeune femme a naturellement répondu qu’elle le faisait pour les âmes. Le prêtre ne pouvait pas comprendre cela et il est allé jusqu’à lui dire que la seconde messe ne serait pas valide et qu’elle perdait son temps. Désolée et perplexe, la jeune femme mit fin à ce qu’elle avait commencé et recommença à n’aller qu’une seule fois à la messe le dimanche. Peu de temps après, le prêtre est mort et il est apparu, du Purgatoire, à cette même jeune femme, pour lui dire qu’il ne serait délivré que lorsqu’elle aurait assisté à toutes les messes qu’elle avait manquées en suivant son mauvais conseil. Des conseils comme celui-là, si fréquents de nos jours, seront amèrement regrettés!


Vous avez déjà parlé de la science. Les-Pauvres Ames vous ont-elles déjà dit quelque chose qui, par exemple, corrige une chose que les hommes de science considèrent aujourd’hui comme vraie?


Pour le moment, je ne peux penser qu’à un seul cas. Quelqu’un avait demandé où Ève avait vécu et il y a combien d’années. Certains scientifiques aux Etats-Unis et ailleurs croient, sur la base d’études terriblement sophistiquées, qu’elle a vécu il y a environ 250.000 ans en Afrique du Nord ou en Asie Mineure, et j’ai demandé aux âmes si c’était approximativement vrai. Elles m’ont répondu que ce n’était pas la vérité; ces braves scientifiques ont donc encore bien du pain sur la planche!

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MessageSujet: Maria Simma : les saints    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:22

LES SAINTS




Y a-t-il des saints qui jouent des rôles importants auprès des Pauvres Ames?


Saint Joseph peut grandement nous aider à éviter entièrement le Purgatoire et nous devrions souvent demander à nos saints préférés de prier beaucoup pour nos êtres chers qui sont au Purgatoire. Les prières des saints les aident énormément. Et le saint patron des Pauvres Ames est officiellement saint Nicolas de Tolentino.


Les Pauvres Ames parlent-elles parfois des saints?


Non, jusqu’à présent elles ne m’en ont pas parlé de façon particulière, mais elles mentionnent cependant les anges et tout spécialement saint Michel Archange, qui est très important.


Que pourriez-vous répondre aux chrétiens qui mettent en doute l’importance des saints?


Ils perdent beaucoup à les ignorer. La lecture des saints fortifie grandement notre foi. Je peux vous assurer que nombre de leurs histoires vous feront paraître pitoyables les récits contemporains. Dieu a placé des saints dans l’histoire humaine avec juste raison. Et prier pour qu’ils intercèdent en notre faveur ou pour les autres est également très nécessaire et très utile. Nous avons en eux de très puissants avocats devant le Trône de Dieu.




Y a-t-il des saints aujourd’hui sur la terre?


Oh! Il y en a beaucoup. À une époque aussi coupable, dangereuse et explosive que la nôtre, les grâces de Dieu abondent et produisent de nombreux saints. Ils font rarement la manchette des journaux parce qu’ils restent cachés pour la plupart jusqu’à ce qu’ils soient montés au Ciel. La raison en est que c’est souvent leur humilité et leur obéissance qui font d’eux des saints, et les humbles ne veulent jamais être vus ou entendus. Nous le savons tous, les mauvaises nouvelles voyagent vite et se vendent très cher. Les bonnes nouvelles circulent beaucoup plus lentement et n’intéressent pas très longtemps les médias. Elles ne font pas vendre du papier.


Quels sont ceux que vous considérez comme des saints de notre temps?


Padre Pio. Le Pape Jean-Paul 1er qui a été assassiné à cause de sa bonté et parce qu’il avait reconnu Satan parmi les francs-maçons qui ont fortement pénétré les murs du Vatican.
Puis Maximilien Kolbe, et plus récemment l’autre prêtre polonais, comment s’appelait-il? Celui qui a été torturé, attaché avec des câbles et noyé par la Police secrète - Popolisko? Ou quelque chose comme ça. Il est apparu debout à côté de Jésus et portant les couleurs du martyre, le rouge et le blanc.
(Maria Simma fait allusion au père Jerzy Popieluszko, prêtre et directeur spirituel de nombreux membres du Mouvement Solidarité, en Pologne, au début des années quatre-vingt. Il a été assassiné le 19 octobre 1984 après avoir été battu, lié avec des fils électriques, et on l’a retrouvé noyé, lesté de pierres et la tête recouverte de sacs de plastique.)


Je pourrais citer d’autres noms et je sais que quelques-uns des plus grands sont encore parmi nous, mais cachés et protégés.
Dans le nord de l’Italie, par exemple, il y a une église où les sœurs ont dû fermer les fenêtres du haut avant les messes d’un prêtre. Vous savez pourquoi? Parce que durant la consécration, il était si profondément en extase et si près de Jésus qu’il s’élevait du sol et flottait en l’air. Les sœurs ne voulaient pas le perdre! Son évêque, et c’est bien compréhensible, a dû lui interdire les messes en public en raison de la perturbation qu’elles créaient dans l’assistance. Imaginez un peu à quel point il doit souffrir ici maintenant, dans l’état du monde actuel! Et toutes les étiquettes fantaisistes que les psychiatres incroyants iraient lui accoler! ? Ça, j’aimerais bien le savoir.
Oui, il y a assurément beaucoup de saints aujourd’hui, mais on peut comprendre que l’Église doive être très prudente et user de discernement à leur sujet, de sorte que le processus de leur béatification peut ne commencer qu’après qu’ils auront pris le chemin du Ciel.


Quelles sont les principales idées fausses que se font les gens à propos des saints?


Les idées fausses? Je pense que la plus répandue consiste à penser et à dire que les autres ont reçu des grâces qu’on n’a pas obtenues soi-même et que, par conséquent, on ne peut pas non plus être aussi saint que ces gens-là. Dire « Dieu merci, je n’ai pas été choisi pour devenir un saint », c’est mettre la charrue avant les bœufs et c’est une bien faible excuse. Si ceux qui disent ces choses avaient agi aussi bien que les autres, ils auraient eux aussi reçu de grandes grâces et en plus grand nombre. La justice de Dieu repose profondément sur le fait que chacun de nous reçoit la même possibilité de devenir saint.


Est-ce que les saints se mettent en colère?


Oui, très certainement; et tout spécialement lorsqu’ils pressentent, entendent ou voient que l’on n’honore pas Dieu ou que l’Amour n’est pas honoré, peu importe les circonstances. Ressentir de la colère ou être fâché n’est pas un péché, mais ce que l’on fait lorsqu’on est en colère, c’est cela qui est soigneusement pesé. Mais une juste colère est tout à fait permise et elle est dans la volonté de Dieu. Jésus lui-même n’était-il pas en colère lorsqu’il a chassé les marchands du Temple? Très certainement! Et il l’est encore aujourd’hui lorsque des gens tirent profit d’un lieu saint ou d’une situation.


Sachant, bien sûr, que tous les saints sont entièrement différents, quel est selon vous le trait de personnalité le plus courant chez eux, en dehors de l’humilité?


Aimer tous les gens, quels qu’ils soient. Voir le bien en chaque personne, peu importe qui elle est. Pardonner à tous et être prêt à faire n’importe quoi pour Dieu et pour n’importe lequel de ses enfants, peu importe la difficulté.
Je voudrais également ajouter que les saints semblent toujours avoir un respect et un amour particulièrement profond pour les très jeunes et les très âgés.


Avez-vous personnellement l’impression d’avoir rencontré des saints?


Oui, j’en ai rencontré. Une femme ici en bas dans la vallée par exemple, dans la ville de Schnifis. Elle était alitée depuis longtemps, les jambes paralysées, et je crois qu’elle souffrait continuellement de douleurs terribles. Chaque fois que j’allais la voir elle était rayonnante et je lui ai finalement demandé comment elle pouvait être toujours aussi joyeuse. Elle m’a répondu qu’elle savait qu’elle sauvait ainsi de nombreuses âmes et qu’elle considérait comme un privilège de pouvoir faire cela pour Dieu. Elle était, je crois, une véritable sainte.


Pourriez-vous me donner-les noms de quelques saints vivants que vous connaissez?


Non. Cela leur attirerait des souffrances inutiles et mettrait aussi en danger leur profonde humilité qui en serait affaiblie.
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MessageSujet: L'enseignement de l'église et le PAPE : MARIA SIMMA    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:23

L’ENSEIGNEMENT DE L’ÉGLISE ET LA BIBLE




Dans l’histoire de l’Église, qui confirmerait selon vous, de la manière la plus forte, ce que vous nous dites ici concernant le Purgatoire?


Jésus. Il a dit, dans Matthieu: « Je te le dis en vérité, tu ne sortiras pas de là que tu n’aies payé le. dernier quadrant. » Et il s’agit, bien sûr, du péché. Et un peu plus loin, à propos des péchés contre le Saint Esprit, il a dit qu’un tel péché « ne sera pas pardonné, ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir ». Jésus dit ici clairement qu’il y a des péchés qui seront pardonnés dans l’autre monde. Étant donné que l’Enfer est final et qu’il n’y a au Ciel ni péché ni aucune conséquence du péché, cet « autre monde », ce monde intermédiaire, est appelé depuis très longtemps Purgatoire.
Et en des temps beaucoup plus récents, je citerais le Pape Pie IX, un très grand Pape aux yeux de beaucoup. Déjà à son époque on a voulu apporter beaucoup de modernisme, mais il a tenu bon et a refusé toute suggestion.
Il y a aussi saint Augustin, saint Thomas d’Aquin, sainte Brigitte et beaucoup d’autres, Je devrais aussi mentionner Padre Pio, Thérèse Neumann, Maria Ann Lindmayr, Anna Katharina Emmerich, le Curé d’Ars et le cardinal Journet, et en cherchant un peu on pourrait en trouver beaucoup d’autres.


Et y a-t-il des gens qui ont vécu les mêmes choses que vous?


Oui, plusieurs sont bien connus et beaucoup d’autres ne le sont pas. Padre Pio voyait souvent les Pauvres Ames et on peut facilement lire des livres sur sa vie.
Il y a aussi sainte Catherine de Gênes, saint Jean Bosco, Christine de Belgique et, encore une fois, sainte Brigitte.


Mais ce sont des saints! Vous êtes en compagnie de nombreux saints. Est-ce que vous êtes une sainte?


Mon Dieu non, loin de là! Les Pauvres Ames elles-mêmes m’ont dit que beaucoup auraient fait cela bien mieux que moi. Ce ne sont pas des expériences comme les miennes ni une révélation privée quelconque qui font les saints. D’ailleurs, je connais une femme qui avait exactement le même charisme que le mien et qui, parce qu’au fil des ans l’orgueil s’était glissé en elle, a perdu son âme.
Nous avons tous la même chance de devenir des saints ici sur terre, y compris ceux qui ne reçoivent aucune révélation privée. Parce que ce charisme m’a été donné, il m’est beaucoup plus difficile de devenir sainte, étant donné que j’ai reçu beaucoup plus que tant d’autres. J’essaye toujours, mais souvent, comme beaucoup d’autres, je n’y parviens pas.


Vous m’avez déjà dit que les âmes pouvaient lire. Est-ce que ce serait gentil de laisser une Bible ouverte sur la table pour qu’elles puissent y lire, par exemple, l’évangile selon St Matthieu?


Oui, ce serait bien, mais cela ne pourrait aider les Pauvres Ames que parce que c’est un geste touchant, plein d’amour, de confiance et de foi; mais que les Pauvres Ames puissent véritablement profiter de cette lecture, ayant déjà vu elles-mêmes la lumière de Dieu, j’en doute sérieusement. Non, l’évangile est uniquement pour les vivants.




Les Pauvres Ames ont-elles déjà parlé des hommes mariés qui veulent devenir prêtres? Est-ce que c’est bien?


Oui, les Pauvres Ames ont dit que c’était bien, mais à condition seulement que l’épouse soit prête à coopérer, ce qui veut dire qu’elle doit accepter de vivre dans ses propres quartiers. Cependant, il n’est pas permis, nous disent les âmes, que des prêtres ordonnés se marient et restent prêtres.


Jésus a dit qu’il est difficile pour les riches d’entrer dans le Royaume de Dieu. Qu’est-ce que les Pauvres Ames ont pu vous apprendre à ce sujet?


Cela dépend une fois de plus de l’amour du prochain. Si les riches font beaucoup de bonnes œuvres pour les pauvres, il est bien certain qu’ils iront eux aussi au Ciel et aussi vite que n’importe qui. Il est cependant plus difficile de faire la volonté de Dieu lorsqu’on est encombré par trop de richesses de ce monde qu’il nous faut protéger et gérer. Les gens riches sont plus préoccupés par leurs biens matériels que ceux qui doivent toujours faire attention, qui dépendent des dons et doivent toujours accepter de l’aide. Et il est certain qu’on voit beaucoup moins de gens riches à l’église. Lorsque Jésus disait cela, Il parlait aussi du Royaume de Dieu ici sur terre, parce que Son Royaume est ici également. Nous pouvons nous inclure dans Son Royaume alors que nous sommes encore vivants, tout comme nous pouvons nous inclure en Enfer ici sur terre. Il nous invite par là à L’écouter Lui plutôt que César ou Satan. Il désire tellement nous voir au Ciel avec Lui que cette parole fait partie des milliers d’invitations à nous libérer de toutes ces choses qui nous tirent si facilement vers le bas.


Des deux hommes qui ont été crucifiés avec Jésus, qu’est-ce que le bon a pu faire pour aller au Ciel?


Il a réprimandé l’autre qui se moquait encore du Sauveur. Il a dit que s’ils méritaient tous les deux leurs souffrances, Jésus les acceptait sans avoir jamais commis de fautes. Il a simplement dit « oui » à la volonté de Dieu et a reconnu l’innocence de Jésus.


Dans l’enseignement de l’Église au cours de ces dernières générations, quelles ont été selon vous les fautes les plus graves qui ont amené tant de gens à quitter l’Église ou à abandonner leur foi?


Ce n’est pas l’enseignement de l’Église qui est en cause. Les personnes en position d’autorité ont négligé d’enseigner aux jeunes que Jésus est toujours positif, qu’Il est toute bonté et tout amour. Ils ont trop prêché les menaces et trop peu l’amour. Ils n’ont presque rien dit sur l’immense beauté de la prière et du jeûne. Ils ont mis de côté Notre-Dame et saint Michel Archange, et ce faisant on néglige nos deux plus grands intercesseurs et c’est toujours le désordre qui s’ensuit. Bref, je dirais que par manque d’amour, de prière, de jeûne, de pénitence, de Notre- Dame et de saint Michel, on a permis à Satan de gagner du terrain sur tous les fronts.


Y a-t-il dans la Bible une histoire qui, selon vous, confirme ce qui se passe lorsqu’on prie pour les morts?


On trouve beaucoup de choses dans la Bible pour le confirmer, mais l’histoire la plus claire et la plus complète est sans doute celle de la résurrection de Lazare. En ce qui concerne la prière pour les défunts, il y a pratiquement des centaines de références qui parlent de la nécessité et de la valeur de cet acte. Dans sa deuxième lettre à Timothée, saint Paul prie pour les défunts. Et même dans l’Ancien Testament, Judas Macchabée envoie des fonds à Jérusalem afin que des sacrifices soient offerts pour les péchés des morts.


J’ai entendu des chrétiens dire que sans Jésus nous ne sommes que poussière. Et d’autres disent que plus les gens se rapprochent de Jésus, plus ils deviennent ses marionnettes. Que répondriez-vous à ces remarques?


Des chrétiens disent des choses comme cela? Hum…
La première me semble être simplement une remarque exagérément enthousiaste et faisant peut-être allusion au fait qu’ils ne comprenaient plus maintenant comment il leur serait possible de vivre sans l’invoquer chaque jour. Mais en vérité, ce n’est pas vrai du tout. Les gens sont toujours beaucoup plus que de la poussière, car qu’ils soient ou non près de Dieu dans leur vie, l’amour que Dieu a pour eux reste le même. Son amour pour eux demeure infini et cet amour, à lui seul, fait de chaque humain sur terre quelque chose d’infiniment plus précieux que la poussière. Padre Pio a dit que chaque âme a pour Dieu infiniment plus de valeur que l’univers entier!
Et quant à devenir des marionnettes de Dieu, rien n’est plus éloigné de la vérité. Plus les gens se rapprochent de Dieu, plus ils deviennent libres, et non le contraire. Devenir une marionnette implique la perte de sa liberté de faire le bien. Notre liberté de faire de bonnes œuvres est un des plus grands dons que Dieu nous ait faits, et ce don ne peut nous être en grande partie enlevé, avec le temps, que par Satan.
Ces chrétiens dont vous parlez devraient beaucoup prier pour que Dieu leur montre ce qu’est le véritable amour divin.


Les Pauvres Ames ont-elles demandé de nous quelque chose qui serait, faute d’un meilleur mot, plus mondain, mais qui vient aussi de l’enseignement de l’Église?


Eh bien, elles m’ont souvent demandé de dire à tout le monde de donner plus pour les missions. J’ai toujours refusé ces dons parce qu’ils devraient passer directement par vos paroisses. II est très important de répandre la parole de Jésus jusqu’aux extrémités de la terre. Cela aide aussi beaucoup les gens d’ici et efface un grand nombre de leurs péchés, ce qui hâte leur voyage vers Ciel. Ces dons doivent naturellement être faits en silence si les gens veulent recevoir les grâces que Dieu est prêt à donner pour cela. Si un don est fait à grand renfort de publicité, les grâces seront bien moindres.


J’ai entendu des chrétiens dire qu’ils ne peuvent pas changer les autres et qu’on ne peut que changer soi-même. D’après ce que vous me dites, cela semble n’être que partiellement vrai. Qu’est-ce que vous en pensez?


Il est certainement vrai que le premier désir de Dieu est que nous nous efforcions chaque jour de nous rapprocher de plus en plus de Lui. On peut très facilement voir en cela Sa justice. Chaque personne sur terre a une chance égale de devenir meilleure, mais le don de Dieu ne s’arrête pas là. Il nous a donné de très puissants intercesseurs en Marie, les Anges, les Saints, les Pauvres Ames, et en nous tous les uns pour les autres. Lorsque nous faisons appel à eux, il est certainement vrai que nous pouvons provoquer des changements dans les circonstances des autres qui, finalement, vont changer leur façon d’être. Cela est aussi notre responsabilité. C’est simplement faire preuve d’amour envers son prochain, et spécialement lorsque Dieu veut que nous aimions nos ennemis et que nous invoquions ces intercesseurs en leur faveur.
Nous pouvons obtenir un changement de comportement chez nos ennemis par l’amour, en reconnaissant simplement notre propre condition de pécheurs et en demandant à Dieu et à ceux de son Royaume d’intervenir en leur faveur. Ayez un peu de foi, persistez dans l’amour, faites appel aux amis de Dieu ici et dans l’au-delà, et je vous assure qu’un grand nombre de ceux qui ne sont pas capables d’aimer vont changer.


N’est-ce pas qu’un grand nombre de choses dont les Pauvres Ames se plaignent sont venues de Vatican II? Quel est votre sentiment sur Vatican II?


Oui, il est vrai que beaucoup de ces questions modernes sont apparues à l’époque de Vatican II, mais ces changements n’avaient rien à voir avec l’esprit du Concile lui-même. Il y avait beaucoup de bien dans Vatican II et le Saint-Esprit était très certainement à l’œuvre avec force dans ce Concile. Par exemple, il était très bon de commencer à reconnaître Dieu plus clairement dans les autres confessions; et cet amour œcuménique a été un sujet très discuté au Concile. Cependant, comme cela arrive toujours lorsqu’il s’agit de lieux, de personnes ou d’événements saints, Satan est là qui rôde à l’extérieur des murs pour attaquer, diviser, et provoquer des perturbations chaque fois que cela est possible sur la périphérie, pour essayer d’affaiblir l’essentiel qui est au centre. Et les agents de Satan, pour être plus précis, sont beaucoup plus persistants et bien mieux organisés que les catholiques. J’ai appris d’au moins trois sources très fiables que déjà en 1925 les francs-maçons se réunissaient pour commencer à promouvoir la communion dans la main. Cela leur a pris du temps, mais ils y sont parvenus!
Quant à toutes ces autres modernisations que les gens s’imaginent bien à tort être les fruits bénis du Concile, je peux vous assurer qu’ils ne l’étaient pas et que les francs-maçons les ont organisés bien avant dans la seule intention d’affermir l’emprise de Satan sur l’Église. Lorsqu’on a demandé à tous les évêques du monde entier de voter sur la communion dans la main, la grande majorité a voté contre. Et nulle part dans les documents de Vatican II vous ne trouverez la moindre mention de la communion dans la main. Paul VI lui-même a dit après le Concile que les fumées de Satan avaient pénétré le Temple de Dieu avec l’intention d’étouffer les fruits du Concile. Combien il avait raison!
Et pour prendre un bon exemple d’une très bonne chose sortie du Concile pour devenir également trop moderne par la suite, il y a le Renouveau charismatique. Il était très bon dans les premières années, mais là encore, sans Notre-Dame, il n’y a pas de renouveau! Ce mouvement est aujourd’hui gravement fragmenté et ne pourrait être de nouveau réunifié que si tous ses chefs faisaient participer notre Sainte Mère à toutes leurs activités. N’oubliez jamais que Notre-Dame était présente dans la chambre haute lorsque le Saint-Esprit est descendu! La modernisation du renouveau a permis à Satan de le fragmenter très efficacement.
Et si nous considérons l’ensemble des conciles à travers l’histoire, il apparaît clairement qu’ils ont tous été suivis d’une période de confusion; et ce dernier concile n’a-t-il pas été le plus grand de tous? Mais toutes ces choses vont bientôt redevenir normales.


C’était assurément le plus grand, mais revenons au Renouveau pour un moment. Avez-vous des conseils à donner à ceux qui participent au. Renouveau?


Oui. Ils devraient moins parler, être beaucoup plus humbles et prier plus souvent. La sensation et la foi ne vont pas bien ensemble.


Est-il arrivé que les âmes donnent une réponse qui semblait être au-delà de la théologie acceptée ? 


Eh bien, peut-être, mais j’aimerais ici entendre l’avis de théologiens réputés, s’ils veulent bien répondre. Quelqu’un a demandé s’il n’y avait que les bébés avortés ou mort-nés et les très jeunes enfants qui, en raison d’un manque de prières, allaient dans les Limbes plutôt qu’au Purgatoire ou directement au Ciel. Et une âme a donné cette réponse: « Parmi les très jeunes il y a aussi quelques adultes. » Je dois admettre que je ne connais pas les circonstances qui feraient que cela se produise.


Cela veut-il dire que les prêtres et les laïcs devraient occasionnellement offrir des messes ou des prières pour ceux qui sont dans les Limbes?


Il semblerait que oui. Mais rappelons-nous qu’il faut très peu d’effort de notre part pour que Jésus les amène au Ciel. Une seule messe permettra sans doute à un très grand nombre d’être admis aux meilleures places qui soient.

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MessageSujet: Les évêques et le Pape : Maria Simma    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:24

LES ÉVÊQUES ET LE PAPE




Maria, des évêques vous sont-ils déjà apparus?


Oh! Oui, plusieurs. Un Italien et un Américain, dont je n’ai pas pu trouver les noms, me sont apparus. Et une âme m’a parlé d’un cardinal allemand qui vivait ici tout près de chez nous. L’évêque allemand et l’italien doivent rester au Purgatoire jusqu’au jour ou la communion dans la main sera interdite dans leur diocèse, l’américain y restera jusqu’à ce qu’elle soit interdite dans tous les Etats-Unis et que la communion sur la langue soit réinstaurée. J’ai redemandé par la.suite les noms des deux autres mais je n’ai pas reçu de réponse.
En ce qui concerne le cardinal allemand, j’ai appris par le père Matt que, sur son lit de mort, il avait dit qu’il avait fait une grave erreur en promouvant la communion dans la main. Comme cela arrive souvent, ces faits ne sont jamais rendus publics, et le mal était fait.
Nous pouvons alléger leur Purgatoire, mais ils ne peuvent pas en être délivrés.


Les Pauvres Ames ont-elles dit autre chose sur les évêques?


Particulièrement ces temps-ci alors qu’un si grand nombre d’entre eux deviennent, disons, tellement modernes; je dois les aviser, étant donné ce que les Pauvres Ames m’ont dit de changer leur façon d’être, ou leur Purgatoire sera excessivement douloureux, long et profond. Ce mouvement parmi les évêques pour permettre aux femmes de devenir prêtres, comme cela vient de se faire dans l’Église d’Angleterre, est un des plus inquiétants aujourd’hui, tout comme celui pour la neutralisation du langage dans la liturgie pour satisfaire les.féministes dans l’Église. Je dois vraiment les supplier d’arrêter cela et d’écouter leur Saint-Père, sinon ils le regretteront un jour très amèrement. Et vous savez sans doute que le Pape vient précisément de répéter un « non » très ferme sur ces questions.
Il y a également ces nombreux autres mouvements de même nature, comme les prêtres qui pensent qu’ils devraient eux aussi avoir la permission de se marier, ce qui prouve selon moi qu’ils passent bien trop peu de temps à prier et à écouter Dieu.


Que répondriez-vous à ces nombreuses femmes, pieuses et pleines de bonnes intentions, qui disent qu’elles devraient, elles aussi, avoir le droit de devenir prêtres?


Je commencerais par leur dire de beaucoup prier le Saint-Esprit afin d’être éclairées sur cette question; et je leur demanderais ensuite de répondre à des hommes pleins de bonnes intentions, qui pourraient leur dire qu’ils devraient eux aussi avoir le droit de concevoir, de porter, d’accoucher et d’allaiter nos enfants, un des dons les plus grands que Dieu nous ait faits. Ces deux souhaits sont désordonnés et ne sont donc pas selon le plan de Dieu.
Si Jésus avait voulu que les femmes deviennent également prêtres, Marie, la plus sainte de toutes les femmes, aurait certainement été présente à la dernière Cène, et pourtant elle n’y était pas!
Jésus n’a pas fixé les choses autrement; et encore une fois, Dieu sait bien mieux que nous ce qui est préférable pour nous. Tout ce qui est contraire à ses voies amène la confusion, et la confusion est un des produits les plus évidents de Satan.


Parmi les cardinaux et les évêques qui ont, dites-vous, réussi à obtenir du Pape la communion dans la main, certains sont-ils maintenant en Enfer?


Oui, certains y sont; mais je ne dirai pas qu’ils se sont perdus uniquement à cause de cela. Je sais qu’il s’y mêlait d’autres choses qui, combinées à cela, en ont été la cause. Mais je ne peux pas dire que cet acte a causé à lui seul la perte de leur âme.


Vous avez parlé des francs-maçons au Vatican. Parmi les nombreux cardinaux qui entourent le Pape, combien sont francs-maçons?


Je ne connais pas le nombre exact, mais beaucoup l’étaient lorsque Jean-Paul II est devenu Pape. Depuis, le Saint-Père a nommé beaucoup de nouveaux cardinaux, qui n’étaient certainement pas francs-maçons, de sorte qu’ils sont moins nombreux aujourd’hui; mais il en reste encore, et très près du Saint-Père.


Que vous ont dit les Pauvres Ames à propos du Pape actuel?


Elles m’ont dit qu’il fallait beaucoup prier pour lui parce qu’il est constamment en très grand danger. Mais j’ajouterais à cela que beaucoup de Pauvres Ames le protègent.
Il a également pris des mesures pour assurer une sainte transition à son successeur.


Maria, est-ce que le Pape actuel est au courant de ce que vous faites et de votre apostolat?


Oui, il l’est.
Sachant maintenant quelle importance vous accordez à l’humilité et à l’obéissance, et tout spécialement à vos directeurs spirituels et à vos évêques, je peux présumer qu’en poursuivant votre apostolat pour les âmes du Purgatoire vous êtes également en tout temps dans l’obéissance à votre Saint-Père actuel, le Pape Jean-Paul II?


Oui, je le suis! Sinon, je serais une belle hypocrite. Bien sûr que je lui suis obéissante!
Voyant son grand potentiel pour la sainteté, Notre-Dame l’a élevé et l’a choisi. Et aux énormes grâces qu’elle lui a données, il a répondu en faisant connaître publiquement sa devise, TOTUS TUUS. J’ai pour lui un amour et un respect très profonds, et je prie souvent pour lui. Mais-même si mes sentiments envers lui étaient-différents, je lui serais toujours obéissante parce que c’est ce que Dieu attend de nous; parce que c’est lui et lui seul qui est le véritable successeur de saint Pierre, le Rocher sur lequel Jésus a bâti son Église.


Ainsi, ces apparitions et votre apostolat ont la bénédiction de notre Saint-Père actuel, le Pape Jean-Paul II?


Oui, j’ai sa bénédiction pour continuer mon apostolat.


Avez-vous déjà eu la visite de cardinaux, d’évêques ou d’autres personnages connus du clergé romain?


Oui, deux - un évêque et un archevêque - sont venus me rendre visite au cours des dernières années. Tous deux aiment Marie, tous deux aiment l’Église, tous deux sont de grands défenseurs de Medjugorje et ils sont tous deux très proches du Saint-Père. Mais je préfère ne pas mentionner leur nom pour les protéger d’attaques inutiles.


Dites donc, il est déjà 14h30, si on faisait une pause? Ce serait une bonne idée d’aller respirer l’air frais du printemps, vous ne trouvez pas?




PAUSE


Nous nous levons et Maria me dit qu’elle aimerait bien me montrer son petit jardin potager situé plus bas à environ soixante-quinze mètres de la maison. Au moment de sortir, elle me dit: « Un de mes voisins me cause des problèmes, là-bas. Vous voyez, la clôture autour de mon jardin a été endommagée et je lui ai demandé de la réparer. » Nous descendons une allée très abrupte en laissant l’église sur la gauche et un restaurant sur la droite, et elle ajoute: « Il me dit que le dommage a été causé par la neige cet hiver et qu’il n’a rien à voir avec ça. »
Nous arrivons à un petit lopin de terre raisonnablement plat et entouré d’une vieille clôture en bois, branlante et usée par le temps. Un autre voisin, une femme, est justement en train de nettoyer les débris de l’été précédent. Maria me présente et nous bavardons un peu, puis elle me dit: « Venez voir ici, Nicky. Est- ce que ça a l’air d’avoir été causé par la neige? » Elle me montre une partie de la clôture où plusieurs planches ont été visiblement arrachées ou détachées des poteaux à coups de pied, et la couleur du bois fait clairement voir qu’il avait échappé aux rigueurs du climat jusqu’à très récemment. Les clous aussi étaient brillants, fraîchement exposés, et semblaient tordus. J’ai dû convenir que ça ne me paraissait vraiment pas avoir été causé par la neige. Après avoir bavardé quelques minutes de plus avec sa voisine enjouée, nous avons remonté le chemin en direction de la maison. Elle marche lentement et semble souffrir de récents problèmes de hanche. En arrivant devant son entrée, Maria secoue un peu la tête et murmure: « Ah, ça ne fait rien, c’est un vieux grincheux! Vous comprenez, ce qu’il ne sait pas, c’est qu’une Pauvre Ame m’a dit que ce n’était pas un dommage causé par la neige. »
Nous voilà de retour chez elle dans la chaleur de son petit coin.

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MessageSujet: Les prêtres et les soeurs    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:25

LES PRÊTRES ET LES SŒURS




Maria, depuis plus d’un demi-siècle que vous avez ces apparitions, combien de prêtres, avez-vous dit croient à votre témoignage?


Oh! Je doute qu’il y en ait plus d’un sur quatre. Ceux-là y croient profondément et, bien sûr, les modernes n’en croient pas un mot.


Pourquoi le pourcentage est-il si bas, d’après vous?


Les Pauvres Ames m’ont dit que jamais dans son histoire l’Église n’a été en aussi mauvais état qu’aujourd’hui. Le péché d’apostasie est partout, et ce sont les prêtres qui en seront tenus les plus responsables. Au lieu de prier et d’enseigner l’Évangile, ils semblent courir partout pour étudier la psychologie, la communication, la comptabilité ou je ne sais quoi encore - ils veulent apprendre à se rapprocher du public. Mais ce sont eux qui devraient montrer au public comment se rapprocher de Jésus et de Marie par la prière, au lieu d’apprendre à « se mettre à jour » ou à s’ajuster à cette société sécularisée. Ils ont complètement oublié que s’ils prient, eux et leur peuple, Jésus veillera à ce que tout le reste s’arrange. Trouvez-moi une paroisse pieuse où les choses ne s’arrangent pas pour le mieux. Il n’y en a pas.


Lorsque les prêtres disent que ces choses ne peuvent pas être vraies parce qu’elles n’arrivent pas dans la Bible, que répondez-vous à cela?


Dieu est tout à fait capable de permettre des choses qui ne sont pas spécifiquement décrites dans la Bible. Le fait que votre nom ou cette montagne-là ne se trouvent pas spécifiquement dans la Bible ne veut pas dire que Dieu ne vous aime pas infiniment et ne considère pas votre âme plus importante que l’univers entier, et cela ne veut pas dire que cette montagne ne fait pas partie de son plan. Il y a également beaucoup de choses dans l’Église, comme le Rosaire, le Sacré-Cœur et le Scapulaire, qui sont dues à des révélations privées et qui par conséquent n’étaient pas mentionnées dans la Bible.
Jésus lui-même nous a parlé du Purgatoire et la Bible est remplie de références de prier pour les défunts. Tout ce qui prêche contre l’amour ou pour faire cesser l’amour entre les gens, et cela inclut les défunts, n’est pas de Dieu.


Les gens demandent souvent pourquoi nous devrions passer par Marie ou aller vers les saints alors que nous pouvons voyager en « première classe » et aller directement à Jésus? Et il y a aussi des prêtres et des religieuses parmi ces gens-là. Qu’est-ce que vous leur répondez?


Dieu nous a tous mis ici pour que nous puissions nous aider les uns les autres en cette vie, et si d’autres, par leur bon exemple, peuvent nous apprendre quelque chose sur les innombrables façons d’aller au Ciel avec Jésus, pourquoi ne devrions-nous pas accepter aussi leur aide? Les autres confessions n’ont pas gagné grand-chose en rejetant Marie et les saints; mais ils ont ainsi perdu leurs plus grands intercesseurs devant le Trône de Dieu. Celui qui n’écoute pas son prochain et qui n’aide pas son prochain par la même occasion n’est pas digne de la vie. Voyager en « première classe » en allant directement à Jésus me semble être de l’orgueil mal déguisé. Tout comme un enfant grandit en cette vie avec ses frères et sœurs, cousins et cousines, oncles et tantes, un chrétien grandit lui aussi en étudiant les saints dont la vie est bien documentée, et avec l’aide des saintes gens qui nous entourent aujourd’hui.
À ceux qui osent dire qu’ils n’ont pas besoin de l’aide de la Vierge Marie, je leur demande ce que Jésus lui-même à dit à sa Mère et à saint Jean quelques instants avant de rendre le dernier soupir sur la Croix?: « Femme, voici ton fils; Fils, voici ta mère. » Jésus lui-même va-t-il nous laisser voyager « en première classe » si nous ignorons la Mère qui l’a porté, élevé et éduqué? Je les mets au défi de dire qu’ils le connaissent réellement s’ils n’écoutent pas ces paroles adressées à l’instant même de sa mort à chacun d’eux ! Cela me blesse terriblement d’entendre parler contre Marie. Imaginez alors ce que cela peut faire à Jésus! Mais Marie est précisément en train de faire, ces dernières années, un puissant retour dans le monde entier. Elle ramène à son Fils un nombre immense de personnes par ses apparitions qui semblent se produire dans tous les coins de ce monde en détresse.


Les Pauvres Ames ont-elles dit quelque chose au sujet des prêtres modernes, de leur rôle et de leur comportement en public?


Oui. Ce qu’elles aiment le moins c’est qu’ils abandonnent leur habit pour se fondre dans le public. Les âmes ont dit la même chose à propos des religieuses. Cela diminue le nécessaire respect que le public devrait leur témoigner. Ils ont fait le vœu de servir Jésus et pas celui d’être comme tout le monde.


Y a-t-il des prêtres au Purgatoire et qu’est-ce qui les y conduit le plus souvent?


Oui, les prêtres sont très nombreux au Purgatoire. Je ne pourrais naturellement pas vous donner un pourcentage ni un ordre de fréquence des péchés en particulier, mais ce qui me vient le plus rapidement à l’esprit c’est la désobéissance envers le Saint-Père, le manque d’amour pour la sainte messe, le manque d’amour pour la prière et le jeûne, le fait d’avoir négligé la lecture de leur bréviaire et, encore une fois, la communion dans la main.


Vous savez probablement mieux que moi que la question de la communion dans la main est extrêmement controversée. Pourquoi en est-il ainsi?


Le public doit bien s’informer car on ne lui a pas expliqué toute l’histoire. La loi de l’Église dit qu’une partie de la table de communion doit être conservée pour ceux qui désirent recevoir la communion à genoux et sur la langue. Ce sont les paroles mêmes de Paul VI. Toute église qui n’a pas de table de communion est déjà dans la désobéissance. Les Pauvres Ames m’ont dit que jusqu’à aujourd’hui, jamais un Pape n’a été personnellement en faveur de la communion dans La main, mais qu’elle a été obtenue politiquement par un groupe de cardinaux et d’évêques. Les prêtres et les évêques plus âgés savent cela très bien et, pour la plupart, ils n’en ont pas informé le public; ce sont eux, par conséquent, qui en portent la plus grande responsabilité. Tous les Papes savaient très bien que la communion dans la main allait contre la révérence envers le Saint des Saints, et notre Pape actuel ne distribue pas la communion dans la main des fidèles.
Naturellement, dans ces conditions, les communiants ne pèchent pas en recevant la communion dans la main, mais je les supplie d’écouter nos Papes. Cette pratique a également facilité un bien plus grand nombre de sacrilèges. Sachez que les sorcières paient beaucoup d’argent pour pouvoir blesser Jésus directement dans les hosties consacrées qui sont souvent secrètement sorties des églises. Nous devons cesser de leur donner si facilement accès au Saint des Saints. C’est une question très sérieuse. Si tous les prêtres priaient le Saint-Esprit et priaient le Rosaire, aucun d’entre eux ne s’égarerait aussi facilement et aussi fréquemment qu’ils le font aujourd’hui concernant ces questions.
Si les évêques et les prêtres plus vieux demandaient à tous leurs paroissiens âgés, disons, de plus de quarante ans, s’ils préféreraient recevoir la communion à genoux, ils accepteraient avec amour pour leurs frères et sœurs et permettraient ainsi à la vaste majorité de le préférer également.
Personne ne peut dire que l’on priait moins il y a deux générations, parce que c’est le contraire qui est vrai. Et en revenant à plus d’humilité et de prière, les jeunes apprendraient rapidement la valeur d’une attitude humble et pénitente devant le Saint des Saints. J’ai même vu des communiants ne pas recevoir la communion parce qu’ils s’étaient agenouillés! J’ai aussi vu des enfants faire leur Première communion et à qui on disait de rester debout, même si cela blessait leurs parents et leurs grands-parents. Tout cela est l’œuvre de Satan et m’attriste profondément. Et lorsque les gens me disent qu’ils veulent faire comme tout le monde par amour fraternel, je dis non; parce que lorsque l’amour fraternel est contraire à une humble révérence envers le Saint des Saints et le Divin Amour de Dieu, cette faiblesse permissive n’est pas de Dieu.
Je me rappelle également quand les évêques allemands ont contribué à obtenir cela du Pape; ce sont les évêques américains qui ont commencé par dire qu’ils ne donneraient pas leur accord parce que c’était contre le désir du Pape. Mais regardez ce qui est arrivé maintenant! Et combien de prêtres nous avons perdus parce que leur conscience ne pouvait pas supporter cela ? Un grand nombre.
Au sujet de la communion dans la main, quelque chose d’intéressant est arrivé à Munich, il y a quelque temps, au cours d’une conférence que je donnais. Lorsque j’ai abordé le sujet, j’ai remarqué que cela causait soudainement tout un émoi parmi pas mal de gens. Trois personnes essayaient de contredire ce que je disais et elles le faisaient pratiquement toutes en même temps. J’ai demandé l’aide de Dieu en silence. Comme l’assistance commençait à devenir bruyante et agitée, sur un côté de la salle, une jolie femme d’environ quarante ans, habillée d’une longue robe noire, s’est levée et, avec beaucoup de gentillesse mais aussi avec une équitable autorité, s’est adressée à la salle; et après une minute ou deux tout le monde avait repris son calme. J’étais impressionnée par sa connaissance tout autant que par sa façon de la communiquer avec un tel amour. Après ma conférence, je suis allée trouver les organisateurs pour leur demander de parler à cette femme et la remercier de son aide. Je croyais d’ailleurs qu’elle faisait partie du groupe qui m’avait invitée pour parler du Purgatoire. Eux pensaient par contre qu’elle était une amie que j’avais amenée avec moi. Nous étions tous dans l’erreur. Elle était introuvable et nous sommes même allés voir les personnes qui avaient surveillé les portes, car la conférence était sur invitation seulement. Ils nous ont dit qu’aucune femme répondant à cette description n’était passée par ces portes et qu’il n’y avait pas d’autre entrée à cette salle. Elle avait disparu.


Etait-ce une Pauvre Ame?


Oui, très probablement. Et quelques-uns d’entre nous ont prié pour elle.


Certains disent que parce que Jésus a distribué le pain dans la main de ses disciples au cours de la dernière Cène, les prêtres pouvaient bien faire la même chose aujourd’hui. Que pourriez-vous répondre à cela?


C’est faux! Katharina Emmerich comme Thérèse Neumann, sans doute les deux plus grandes mystiques allemandes que l’on connaisse, ont pu toutes deux assister à la dernière Cène; et dans les deux cas Jésus a distribué le pain consacré dans la bouche des ses Apôtres.
Et je vous prie maintenant de bien comprendre et de me faire confiance. Je suis loin d’être la seule à dire cela! C’est précisément cette question, et beaucoup d’autres qui lui sont connexes, qui est aujourd’hui le sujet de discussion aux plus hauts niveaux dans l’Église, et je sais qu’ici encore c’est Jésus qui l’emportera, peu importe le chaos qui pourra encore régner.


Je vous demande pardon, mais ce que vous dites que Katharina Emmerich a vu, c’est encore une révélation privée…


Oui, bien sûr; et tout au long de l’histoire c’est par des révélations privées que Dieu a remis les choses en place. Et-comme chacun peut le confirmer en examinant les cas les plus célèbres de l’histoire, les fruits en ont été très abondants et les conversions innombrables. Regardez simplement la Rue du Bac, Lourdes, Fatima, ou Thérèse Neumann, sans parler des millions de conversions qui se sont produites au cours des dernières décénies dans ce petit village anonyme perdu au milieu de l’Europe. Je parle ici à nouveau de Medjugorje.
Maintenant que je repense à Medjugorje, je voudrais ajouter autre chose à propos de la communion dans la main…


Oui, qu’est-ce que c’est? Et, je vous en prie, Maria, dites-moi tout ce que vous savez sur tous les aspects possibles de la question, parce que je sais que bien des braves gens sont à la recherche de la bonne réponse à cette question.


Dans les villes comme Medjugorje, Schio, Garabandal et les autres où Notre-Dame a choisi d’apparaître, cela se produit souvent à l’extérieur. Prenons l’exemple de Medjugorje. Elle est souvent apparue, et elle apparaît encore, sur l’une ou l’autre des deux montagnes. À ces apparitions, vous allez trouver une assistance allant d’une petite poignée de gens, au cœur de l’hiver, jusqu’à une foule de cinq mille personnes les jours de grandes fêtes et pendant la belle saison. Sans la moindre hésitation, tous ceux qui sont là, et quel que soit le temps, vont se bousculer dans la boue, parmi les pierres coupantes et les buissons épineux afin de pouvoir s’agenouiller pendant que Marie est avec eux. Cela leur vient à tous naturellement, et c’est normal; mais à peine deux ou trois heures plus tôt, dans l’église, en recevant Jésus lui-même dans la sainte Hostie, presque tous se tenaient fièrement debout comme des soldats! Est-ce là ce que Notre-Dame attend de nous? Que l’on s’agenouille devant elle et pas devant son Divin Fils? Non, assurément!
De grâce, que les braves gens écoutent et suivent leur propre conscience, et ne fassent pas les choses simplement parce que les autres les font.
Oui, et j’ai pour vous une autre confirmation sur cette question. Elle n’est peut-être pas aussi frappante que la précédente concernant la femme avec les mains noircies, et il n’y a pas eu de mal si on considère la chose comme amusante; mais elle est pour moi certainement aussi convaincante que n’importe quelle histoire.
Je connais personnellement une femme très bonne et très pieuse qui avait également des problèmes avec la communion dans la main, et elle a simplement prié en demandant à Jésus de lui envoyer bien vite un signe afin de clarifier la question pour elle. C’est ce qu’il a fait! Le jour même où elle est retournée communier, le prêtre, comme il l’avait fait jusqu’alors, a placé l’hostie dans sa main. Mais à peine l’avait-il déposée que l’hostie s’est élevée pour s’envoler et disparaître sans laisser de traces. Plusieurs personnes ont été témoins de ce petit miracle.


Maria, vous êtes convaincante !


Et Mère Teresa préférait également que les communiantes communient à genoux et sur la langue, et c’est la seule forme permise dans ses communautés.
C’est que la communion dans la main, du point de vue de l’Eglise, est seulement une tolérance; ce n’est pas ce que l’Église veut réellement.


Lorsque les prêtres au Purgatoire sont venus vers vous, qui s’est chargé des prières ou de ce dont ils avaient besoin pour être délivrés?


Ce-sont les prêtres qui doivent s’occuper des prières dont ils ont besoin; mais s’il y a autre chose, je m’en occupe moi-même.


Combien de fois les prêtres devraient-ils célébrer la sainte messe?


Pas moins d’une fois par jour, et la loi de l’Église leur permet d’en célébrer tout au plus deux si la deuxième est une messe de funérailles ou de mariage. Mais Dieu comprend certainement qu’il puisse y avoir des circonstances extraordinaires permettant aux prêtres de célébrer plus de messes, par exemple lorsqu’un autre prêtre n’est pas disponible. C’est que la célébration de la sainte messe est le cœur même de leur travail. C’est leur plus grand devoir et il devrait devenir leur plus grand amour pour Dieu envers qui ils ont prononcé leurs vœux.


Peut-on présumer qu’il y a également des sœurs au Purgatoire?


Oui, et pour elles, c’est la plupart du temps le manque d’humilité, le manque de modestie et la désobéissance qui les y amènent.


Et les prêtres qui vont en Enfer?


Il n’y a pas très longtemps, un prêtre qui avait récemment été très malade, est venu me voir ici. Il avait été hospitalisé plusieurs fois au cours des dernières décennies et avait failli mourir trois fois. Il est venu très près de la mort dans sa dernière maladie et il a eu, dans son agonie, la vision de prêtres qui tombaient en Enfer comme des flocons de neige. Il en a été tellement affecté qu’il n’a pas cessé de pleurer pendant des semaines. Il lui a fallu beaucoup de temps pour se remettre de cette vision.


Puis-je vous demander pourquoi il était venu vous voir?


Oh! Je l’avais rencontré brièvement il y a très longtemps, et après cette vision il était revenu me remercier pour ce que je lui avais dit alors, et aussi de l’avoir aidé pour son mal de dos. C’était seulement une visite de courtoisie qui prenait maintenant pour lui beaucoup d’importance.


Est-ce que des amis ou des parents de prêtres décédés sont déjà venus vous voir pour savoir s’ils étaient sauvés, parce qu’ils s’inquiétaient du fait que ces prêtres avaient eu, comment dire, un comportement peut-être différent et inquiétant?


Oui, c’est arrivé il n’y a pas longtemps.
Un couple d’Alsaciens est venu à cause d’un prêtre qu’ils avaient connu. Il avait été très agité pendant un certain temps et un jour, dans sa rage, il avait jeté hors de son église une statue du Sacré-Cœur de Jésus qui s’était fracassée. Il s’était suicidé peu de temps après et ces gens se demandaient naturellement avec inquiétude ce qui lui était arrivé. Il se trouve qu’il était sauvé après tout, mais à un niveau très bas du Purgatoire d’où il ne pouvait pas encore être délivré.


Beaucoup de gens disent que les prêtres ont perdu le contact avec le monde. Quel est votre avis sur cela?


Je pense que cela ressemble beaucoup à cette orgueilleuse propagande qui circule partout de nos jours. Je voudrais dire à ces gens que le plus savant des hommes sur cette terre a souvent besoin de Jésus de façon beaucoup plus urgente que le plus simple des hommes. Dire que les prêtres ont perdu le contact n’est pas exact, si les prêtres prient. C’est seulement lorsqu’ ils ne prient pas que les grâces seront limitées. Je trouve cette critique en particulier, très peu judicieuse. On peut, et on devrait, critiquer le manque de prières, mais jamais le fait de ne pas vivre comme le reste d’entre nous. Nous participons tous à l’expérience humaine et par conséquent à sa nature pécheresse et, encore une fois, ce n’est pas en allant chercher des doctorats en psychologie, en philosophie ou en quoi que ce soit d’autre que l’on changera jamais ce fait. Je dirais plutôt que les prêtres modernes sont éloignés de Jésus, et non des autres hommes.


Combien de prêtres et d’évêques avez-vous pu délivrer du Purgatoire depuis Vatican II par vos prières, vos messes ou vos souffrances?


Eh bien, je ne pourrais pas vous dire exactement combien, mais je suis certaine que c’est entre quarante et cinquante.


Et de ce nombre, combien étaient au Purgatoire à cause de leurs modernisation de la messe?


Presque tous. Et la majorité pour avoir préconisé la communion dans la main.


Si très peu de prêtres aujourd’hui croient à votre témoignage, faut-il en conclure que très peu demandent l’aide des Pauvres Ames aujourd’hui?


Oui, j’en ai bien peur. Très peu le font.


Pouvez-vous me citer un cas où un prêtre a bien reçu leur assistance?


Oui. Un prêtre de Budapest, en Hongrie, voulait récemment rénover son église et construire un petit monastère. Il est donc allé voir son évêque pour lui demander de l’aider. L’évêque lui a dit de faire ce qu’il voulait mais que ses propres coffres ne contribueraient pas à son projet. Le prêtre a donc prié en disant qu’il allait dépendre de Notre-Dame pour l’aider par l’entremise des Pauvres Ames. Il est venu ici peu après et j’ai vite accepté de l’accompagner dans sa paroisse et dans la région voisine pour parler de son projet. Dans les deux semaines qui ont suivi mon retour il avait reçu 100.000 $ pour son église et son monastère. Les Pauvres Ames lui ont très vite répondu.


Ça fait pas mal de plumes d’oie!


Non, non (elle rit), ce n’était pas avec les plumes d’oie! Mais Dieu aide très rapidement ceux qui font confiance à Notre-Dame et aux Pauvres Ames.


Je suis sûr que vous savez mieux que nous que bien des séminaires sont vides de nos jours. Quelle en est la cause et comment pourrions-nous y remédier?


Le remède serait de recommencer à mettre l’accent sur l’esprit de prière, de sacrifice et de pénitence. Les hommes reviendraient alors par vagues. Les âmes qui se sentent appelées à servir Dieu de cette manière savent clairement que leur voie est la prière, et lorsque cela n’est pas entretenu, alors à quoi bon, finalement, des séminaires?! S’ils faisaient cela, ils verraient venir une vague de postulants et, après quelque temps, il ne serait plus nécessaire de faire distribuer la sainte communion par les mains non consacrées des laïcs. Dans les séminaires, cela suffirait pour rendre plus forte la foi active de chacun et maintiendrait Satan à une bien plus grande distance.


Vous avez beaucoup insisté sur la confiance en la Vierge Marie pour conduire le peuple à Jésus Avez-vous par conséquent constaté une différence entre les prêtres marials et ceux qui sont devenus, comme vous dites, modernes, et ont par conséquent laissé Marie en dehors du tableau?


Oh! Oui! Je peux facilement reconnaître un prêtre marial. Ils sont beaucoup plus gentils, humbles, pénitents, aimants et protecteurs que les autres. Dans leur humilité, ils deviennent forts, et dans leur force, leurs fruits deviennent beaucoup plus clairs que ceux des prêtres qui agissent sans Elle. Ils ont aussi beaucoup moins de problèmes avec le célibat et, avec Notre-Dame à leur côté, ils en viennent à connaître les immenses grâces qui accompagnent le célibat. C’est Elle qui, avec notre aide, écrase la tête de Satan. Et ce n’est pas un simple symbolisme; c’est un fait. Satan La fuit et il fuit ses prêtres. Les prêtres marials et l’Armée mariale des laïcs avec eux, sauveront finalement l’humanité, ni plus ni moins! Et cela arrivera avec le triomphe du Cœur Immaculé de Marie.


Le monde a donc ici un Pape ouvertement marial et une Armée mariale de prêtres et de laïcs qui conduiront cette armée par le triomphe du Cœur Immaculé de Marie. Pour ceux qui veulent se joindre au Saint-Père et à son Armée mariale, quelle est la meilleure façon de procéder? Comment les gens pourraient- ils le mieux contribuer au triomphe du Cœur Immaculé de Marie?


En commençant à prier, en commençant à vivre les messages de Medjugorje et en se consacrant, eux et leurs familles, au Cœur Immaculé de Marie.

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MessageSujet: Les églises : Maria Simma    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:27

LES ÉGLISES




Lorsque les Pauvres Ames vous ont prévenue concernant la condition actuelle de l’Église, ont-elles également parlé des bâtiments des églises d’aujourd’hui?


Oui, cela aussi. Bien des choses que l’on pourrait associer aux églises modernes les dérangent beaucoup. Les églises sont là uniquement pour prier et rencontrer Jésus et Marie. Les Pauvres Ames disent qu’elles ne veulent pas y voir de l’équipement compliqué, des moquettes moelleuses, ni rien qui les rendent aussi confortables que des salons luxueux. Les églises sont là pour que vous puissiez y être seuls avec Jésus. Les décorations qui n’ont d’autre but que de décorer doivent être enlevées, car elles distraient. Et les Pauvres Ames ont mentionné qu’une grande partie de ce prétendu art moderne les horrifie. Il est souvent horriblement laid, pour ne pas dire historiquement incorrect. Et Marie devrait toujours y occuper une place éminente.
Et les prêtres devraient aussi recommencer à utiliser la chaire. C’était encore une ruse de Satan que de faire descendre les prêtres au niveau des paroissiens. Ils obtiendraient beaucoup plus de respect du haut de la chaire.
Aucune activité sociale ne devrait être organisée dans les églises; uniquement des cérémonies religieuses. Faites également revenir les saints, au moins saint Joseph, saint Michel Archange et le saint qui a donné son nom à l’église. J’ai déjà parlé de la table de communion. Toutes ces choses qui ont disparu et tous les conforts qui ont été ajoutés au cours des dernières décennies nous séparent de Jésus, et cela réjouit beaucoup Satan. Je sais qu’on sert parfois du café, que des gens amènent des animaux domestiques et que des écrans de télévision ont été installés dans des églises. J’ai vu des églises sans bénitiers à l’entrée et sans agenouilloirs. Rien de tout cela n’est bon, et rien ne répond aux souhaits de Jésus.


Alors on peut dire qu’elles n’aiment tout simplement pas les églises modernes, non?


Non, parce que j’ai vu des églises modernes où tout était très bien. Il y en a une par exemple à Lienz, au Tyrol, qui est très moderne mais également très édifiante et bien faite. On ne paut pas dire que ce qui est laid, peu édifiant et incomplet soit nécessairement moderne, mais ce qui est moderne est, dans la plupart des cas, laid, peu édifiant et incomplet.


Y a-t-il des cérémonies religieuses que les églises modernes auraient pu oublier?


Oui, cela également. Elles regrettent… Les Pauvres Ames regrettent les processions, qui sont comme de petits pèlerinages. Les processions en l’honneur de Notre-Dame ou les processions en l’honneur des saints, qui faisaient autrefois partie intégrante de notre vie spirituelle. Nous organisons des parades pour les équipes sportives et les politiciens. Pourquoi est-ce qu’on n’organise plus de processions pour Jésus, Sa Mère et leurs saints? Ce sont les choses de cette nature qui amènent Jésus et Ses saints dans le monde, comme il faudrait que ce soit, et non l’inverse, en faisant entrer le monde dans les maisons de Jésus, comme cela se passe actuellement.
Et dans bien des parties du monde les prêtres ne vont plus bénir les maisons au moins une par année. Cela aussi affaiblit la foi, l’amour et le respect qui doivent demeurer intacts entre les prêtres et les laïcs. Cela permet aussi à Satan et à ses démons de pénétrer beaucoup plus facilement dans les maisons.
La perte de ces saintes cérémonies fait le bonheur de Satan. Oui, et on a aussi oublié dans bien des régions du monde la dévotion des premiers samedis du mois. Cela aussi, il faudrait le ramener! C’est précisément pour les choses de cette nature que les prêtres nous ont été donnés. Nous avons besoin d’eux, et ils ont besoin de nous pour les rappeler à leurs responsabilités.


Pouvez-vous me dire comment on célèbre la messe dans votre propre église de Sonntag, et si les âmes sont satisfaites de la façon dont les choses se passent ici?


Oui, elles sont satisfaites de la façon dont nous avons conservé les choses ici.
La table de communion n’a jamais été enlevée et on distribue la sainte communion uniquement sur la langue. Il n’y a jamais de femmes autour de l’autel et cela même pour les lectures, et les servants de messe sont uniquement des garçons. Jésus dans le tabernacle est au centre et des tableaux et des statues de Notre-Dame et de quelques saints sont disposés bien en vue. Il y a confession chaque semaine et les paroissiens y vont régulièrement. Ils assistent aussi régulièrement à l’Adoration du Saint Sacrement et à la récitation du Rosaire.
Tous nos enfants sont en avant durant toute la messe et je les y garde jusqu’à ce que les adultes soient sortis de l’église. C’est la seule façon de maintenir l’ordre et le silence et d’empêcher qu’ils ne courent partout en se faufilant entre les jambes des adultes.

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MessageSujet: La confession : Mrria Simma    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:28

LA CONFESSION




Les Pauvres-Ames-vous ont-elles parlé du sacrement de réconciliation, ou de la confession?


Oh! Oui, elles en ont souvent parlé. Elles s’attristent beaucoup de ce que ce sacrement soit maintenant si impopulaire, si négligé. Ce don de Dieu est si grand que seul Satan pourrait vouloir le détruire. Et je crains ici encore qu’il y soit bien parvenu.
La confession, comme on devrait l’appeler, est une chose vers quoi il faudrait courir et non pas, comme Satan le souhaite, quelque chose que nous devrions craindre. Ne vous inquiétez pas, il n’y a rien que vous puissiez dire à un bon prêtre qu’il n’ait déjà entendu. Un bon prêtre sait très bien qu’il est lui-même, avec tout ce qu’il a appris et reçu, un bien plus grand pécheur que vous ne l’êtes. C’est une grande joie pour Jésus et tous les habitants du Ciel lorsque nous lui apportons nos blessures et nos faiblesses.
Les Pauvres Ames m’ont dit que soixante pour cent des dépressions du monde entier disparaîtraient si les gens voulaient profiter de ce grand don. Naturellement, beaucoup de médecins et de compagnies pharmaceutiques feraient faillite si tout le monde allait régulièrement à confesse. Notre Seigneur peut sauver qui Il veut et guérir ce qu’Il veut, à condition qu’on veuille faire appel à Lui! Notre-Dame a dit, et je crois que c’est à Medjugorje, que la confession mensuelle pourrait guérir l’Occident.
La confession est très mal comprise. La plupart n’ont pas de difficulté à discerner le mal du bien, mais cela devient beaucoup plus intéressant et bien plus exigeant lorsqu’il s’agit de différencier entre ce qui est bien et ce qui est mieux. La confession ne nous est pas donnée pour avouer que nous avons dévalisé une banque, car les voleurs de banque sont en réalité peu nombreux. Elle est surtout là pour nous permettre de chercher des façons de devenir toujours meilleurs aux yeux de Dieu: au cours du mois dernier, comment aurais-je pu agir plus saintement? Voilà ce que nous devons nous demander, et je défie n’importe qui d’affirmer qu’au cours du mois qui vient de s’écouler il a tout fait comme Jésus l’aurait fait.
L’humilité nous vaut les plus grandes des grâces. Jésus accorde les plus grandes choses aux humbles de cœur. La confession nous rappelle continuellement la petitesse que Jésus désire pour nous afin qu’Il puisse nous faire des dons énormes.


Que répondriez-vous à tous ces gens qui disent, et avec sincérité, qu’ils n’ont pas besoin d’un prêtre pour se confesser, qu’il n’est pas nécessaire de tout raconter à une autre personne et qu’ils peuvent eux- mêmes s’adresser directement à Dieu?


Si c’était vrai, les psychiatres et les psychologues ne feraient pas d’aussi bonnes affaires. Le plus intelligent comme le plus simple pourraient aller voir le même prêtre, et être tous deux également émerveillés des fruits et des grâces qui découleraient de cette brève et libre rencontre avec Jésus. Tout être humain éprouve le même besoin de confesser sa culpabilité et ces interminables et très onéreux groupes de rencontre et thérapies ne seraient nullement nécessaires si seulement les gens allaient à Jésus! Qui plus est, les grandes grâces ne viennent pas de là, elles ne viennent pas des docteurs ou des laïcs séculiers, elles viennent de Jésus et uniquement de Jésus! Il est si facile d’amener les gens à se duper eux-mêmes.
Ne croyez-vous pas que Celui qui, pour commencer, nous a donné la vie, n’est pas également capable de nous donner infiniment plus que ce verbiage de la majorité des psychologues sur « la façon de faire face » ? Que Dieu les bénisse! La plupart n’osent même pas aborder la réalité du péché, comment pourraient-ils évoquer la réalité du pardon? Ils doivent compter sur une clientèle d’habitués, et le refus d’aller se confesser leur garantit l’achat de leur prochaine grosse voiture. Ils prospèrent à cause de nos péchés alors que Jésus est mort pour que nous puissions les vaincre et les effacer à jamais!


Et si l’on réplique que Jésus n’a jamais enseigné que nous devions entrer dans un confessionnal pour se confesser?


C’est exact. Je leur suggère alors d’aller se confesser à un prêtre à voix haute, mais en public. Le fait est qu’il faut que ce soit à voix haute. Jésus nous a dit de nous repentir et si nous le faisons il enlève nos péchés, et c’est alors seulement que Satan ne les connaît plus. Il ne peut plus s’y attacher ou attaquer la personne par ce maillon brisé ou affaibli entre Dieu et nous.


Mais c’est un prêtre qui est dans le confessionnal, ce n’est pas Jésus.


En êtes-vous bien sûr?
Une grand-mère italienne voulait amener son petit-fils de huit ans à Padre Pio pour sa première confession. Elle était naturellement très excitée en arrivant dans son église. L’enfant est donc allé se confesser et il en est ressorti rayonnant de joie. La grand-mère connaissait Padre Pio Elle savait qu’il était petit, rondelet, un peu chauve, avec les yeux noirs, et qu’il avait environ soixante-cinq ans; mais elle a quand même demandé à l’enfant: « Allez, raconte-moi, de quoi est-ce qu’il avait l’air? ». Très calmement et en détail le jeune garçon lui a répondu:
« Oh il était grand et bien bâti, avec les yeux bruns; il avait de longs cheveux châtains et il devait avoir environ trente ans. »


Vous plaisantez !


Non. Ces choses-là arrivent souvent dans des lieux très saints et où l’on prie beaucoup.


Permettez-moi de vous présenter un cas hypothétique et de vous demander ensuite votre avis. Prenons deux familles. Les deux mènent des existences relativement bonnes et saines. Une de ces familles va se confesser de façon assez régulière tandis que l’autre n’y va pas. Y aura-t-il des différences chez leurs descendants et, si oui, quelles seront-elles?


La première famille aura une base solide pour se rapprocher toujours plus de Jésus au cours des générations, tandis que l’autre aura des fardeaux qu’elle n’aurait pas eu à porter si les parents étaient allés se confesser régulièrement. Ces fardeaux comprendront des maladies et des faiblesses qui auraient pu être évitées. L’attitude équilibrée et continuellement pénitente de la première famille apparaîtra dans la force et la foi de leurs descendants, alors que ceux de l’autre famille seront bien plus vulnérables aux attaques de Satan.


Êtes-vous en train de nous dire que les gens auxquels on rappelle constamment leur condition de pécheurs finissent par être en meilleure santé que les autres?


Oh! Oui! Avec l’humilité de la confession, la prière et l’amour de Dieu qui en résultent, une force et un équilibre se développent qui constituent des gens beaucoup plus sains. Ce qui veut dire en meilleure santé émotionnelle, mentale et physique. Et cela se transmet à travers les générations.
Nous pouvons donc avec notre amour, nos prières et la confession garantir une santé meilleure à nos enfants, nos petits-enfants et nos arrière-petits-enfants?


Oui, exactement. Une partie beaucoup trop grande de la médecine aujourd’hui se limite à réparer les dégâts. Si les bons médecins d’aujourd’hui, dans tous les domaines, devaient consacrer le même temps et la même énergie à la prévention - la prévention telle qu’elle nous est demandée dans les Dix Commandements - le monde n’aurait qu’une fraction des maladies qu’il connaît aujourd’hui. La médecine préventive ne coûte rien et, de plus, elle nous fait prendre conscience beaucoup plus clairement de l’immensité de l’amour de Dieu pour nous. Ce n’est pas un jeu de Dieu; il est plein de joie lorsque nous sommes remplis de la paix et de la joie qui en résultent. Tout ce que Dieu veut, c’est que nous soyons heureux, libres et en bonne santé!


Pourriez-vous alors nous expliquer le rôle de la contrition et du repentir au moment de la mort?


Avec une bonne confession, une contrition sincère et une totale honnêteté, toute culpabilité est enlevée, mais il reste la réparation. Nous ne sommes pas complètement libérés de ces péchés. Et pour obtenir une absolution totale, l’âme doit être libre de toute dépendance.
Par exemple, si une mère devait mourir en laissant de nombreux petits enfants, elle devrait s’abandonner au point de pouvoir dire véritablement, « Mon Dieu, je vous donne tout, que votre volonté soit faite ». Et cela peut être très, très difficile.
La liberté, après avoir payé jusqu’au dernier centime, comme Jésus l’a dit, est entre Dieu et nous, entre nous et les autres, avec réparation supplémentaire et une libération totale de toute forme de dépendance vis-à-vis des choses autres que Dieu lui-même.


Ainsi, pour être entièrement libre de tout péché, c’est réellement un processus à trois volets. Est-ce exact?


Oui. Premièrement une réparation entre nous-mêmes et Dieu, puis une réparation entre nous et les personnes que nous avons blessées, ce qui signifie toujours aussi nous-mêmes, et, finalement une réparation sous forme de prières et de bonnes œuvres. Le péché ne doit pas simplement être effacé, il a aussi besoin d’être réparé.


Ceux qui ne sont ni catholiques ni chrétiens devraient-ils aussi aller se confesser?


Oh! Oui! Tout bon prêtre qui veut faire ce que Jésus lui a demandé ne renverra jamais personne. Si cela devait arriver, je conseille d’aller voir ailleurs et de prier pour ce prêtre. Peu importe le pénitent, la manière dont il a été élevé ou son origine, la seule chose nécessaire est un profond regret pour tout ce que l’on a fait de mal. Ce pénitent trouvera bientôt un prêtre selon le cœur de Jésus. Je peux l’en assurer. Bien que les non-catholiques ne puissent pas recevoir le sacrement de confession, aller se confesser leur fera à l’âme un bien immense! Je peux le leur promettre, et si un non-catholique allait se confesser, les grâces qu’il recevrait de Dieu seraient très, très grandes.

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MessageSujet: Maria Simma : Le Rosaire    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:28

LE ROSAIRE




Quel est votre sentiment sur le Rosaire?


Oh! Le Rosaire est très important! Oui! Le Rosaire a un grand pouvoir de guérison et il est une grande source de grâces, spécialement lorsqu’il est prié en famille. Satan déteste le Rosaire précisément pour cela!
La chose suivante est arrivée le 16 décembre 1964. Vous verrez dans une minute pourquoi je me souviens de la date exacte. Je suis rentrée chez moi fatiguée ce jour-là et j’ai vu que j’avais reçu une pile de lettres. Je me suis dit que j’allais les parcourir rapidement et ne répondre qu’aux plus urgentes. J’en ai choisi deux et j’ai discerné que ce qui manquait chez les deux était la récitation du Rosaire en famille, que cela dissiperait la détresse que connaissaient ces deux familles.
Je me suis donc assise et j’ai pris mon classeur avec le papier à lettres et les enveloppes. Je l’ai mis ici au centre de la table, je l’ai ouvert et j’ai sorti deux feuilles de papier et deux enveloppes. Comme je le fais d’habitude, j’ai commencé à mettre l’adresse sur les enveloppes avant d’écrire les lettres. J’ai entendu soudain un sifflement perçant et Satan se tenait là debout, sur ma droite. Il avait pris la forme d’un personnage d’environ trente ans, sombre et plutôt bel homme, et il me fixait d’un regard méchant et bouillant de haine. Je l’ai ignoré et j’ai continué à adresser mon enveloppe. Puis j’ai senti une odeur de fumée et cela m’a surprise. J’ai même regardé dans le classeur et par la fenêtre ouverte. Rien. Alors je me suis dit, « Je n’ai rien allumé aujourd’hui, ça doit venir de chez le voisin ». Puis j’ai de nouveau regardé sur ma droite et Satan avait pris les deux feuilles de papier, les avait tirées jusqu’au bord de la table et avait placé sa main dessus. Il y avait une trace parfaitement noire de brûlé sur la feuille où il avait mis sa main, et c’est cela que j’avais senti. Je lui ai alors ordonné de s’en aller au Nom de Jésus-Christ Notre Seigneur, ce qu’il fit rapidement. J’ai ensuite terminé mes deux lettres et j’ai d’abord voulu jeter les deux feuilles brûlées, mais j’ai remarqué que seule la première était brûlée et que la feuille du dessous était simplement noircie. J’ai pensé alors que je ferais mieux de montrer cela à mon prêtre; il était très heureux que je ne les aie pas jetées car il voulait les faire étudier par un laboratoire de physique à Innsbruck. A mon avis, c’est parce qu’il était physiquement impossible de faire brûler une des deux feuilles de papier sans brûler également celle qui se trouvait au-dessous. Il leur a donc envoyé les deux feuilles en leur demandant s’ils pouvaient faire la même chose. Ils nous ont renvoyé les feuilles au bout de trois mois en disant que c’était impossible et que nous avions dû nous tromper en croyant que la deuxième feuille se trouvait sous la feuille brûlée.
L’originale a été perdue lorsque ma maison a brûlé, mais nous avions déjà une photo que nous avons gardée. La photo a été prise après que la feuille du bas eut été détachée. Bref, voilà à quel point Satan hait le rosaire!


Qu’est-ce que vous dites à ceux qui trouvent le Rosaire ennuyeux et inutile à cause de sa répétivité?


L’humilité exige de ne parler que des choses que l’on connaît. Ceux qui disent cela n’ont pas prié le Rosaire. Méditer sur les Mystères, méditer sur la vie de Jésus apporte tant de paix et de joie que Satan en devient enragé. Marie a fait beaucoup de promesses à ceux qui le prieront et elle les a faites par saint Dominique.
Je connais une femme qui a acheté un chapelet neuf à environ une centaine de mètres de l’église où elle se rendait pour prier avec un grand nombre de pèlerins. Agenouillée dans une rangée, elle a voulu prendre le chapelet dans son sac et n’a trouvé qu’un tas de petits grains et beaucoup de petits bouts de fils métalliques. Satan avait aplati tous ces petits anneaux de métal simplement pour l’empêcher de prier! Satan hait la paix, il hait la guérison; le Rosaire a un grand pouvoir de guérison et c’est une arme très puissante contre lui.


Une Pauvre Ame vous est-elle déjà apparue pour vous demander de prier le Rosaire avec elle?


Oui, c’est déjà arrivé. Une fois, je m’en souviens maintenant, c’était dans les années cinquante, je prenais le train pour Bludenz. Il y avait beaucoup de voyageurs ce jour-là et, comme je le fais souvent, j’ai choisi le dernier wagon du train. Je suis montée et j’ai vite trouvé un compartiment occupé par une seule passagère et je me suis jointe à elle. Je ne m’étais pas encore installée qu’elle avait déjà sorti un chapelet de son sac en disant, « Bon, voilà quelqu’un qui va prier le rosaire avec moi. » Ma première réflexion a été « Eh bien, si vous faites cela avec tout le monde, ce n’est pas étonnant que vous soyez assise toute seule ». Mais j’ai été naturellement très heureuse de prier avec elle et personne n’est entré dans notre compartiment pendant que nous priions. En terminant, elle a dit : « Dieu soit loué », et elle a disparu. Je me suis donc retrouvée seule dans un compartiment avec une foule de gens qui couraient partout. Pas une seconde il ne m’était venu à l’idée que c’était une Pauvre Ame.

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MessageSujet: Les sacramentaux : Maria Simma    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:29

LES SACRAMENTAUX




Qu’est-ce que les sacramentaux, sont-ils importants pour nous et pour les Pauvres Ames?


Très importants. Nous devrions toujours en faire usage et les Pauvres Ames aiment les sacramentaux comme l’eau, l’huile, le sel, les médailles, les cierges bénits, etc. Je connais justement à ce sujet une merveilleuse et très intéressante histoire. J’ai connu une femme qui avait fait aux Pauvres Ames la promesse d’allumer pour elles un cierge bénit tous les samedis. Un de ces samedis, son mari lui dit: « Oh! Arrête ça! Tu n’as pas à faire ça, c’est vieux jeu, et les morts sont heureux là où ils sont. Ils n’en ont pas vraiment besoin et ça m’est égal ce que tu leur as promis. » La femme était naturellement désolée et voulait continuer, mais sans être désobéissante envers son mari. Elle s’est dit: « Bon, je mettrai simplement le cierge dans le poêle à bois où Georges ne le verra pas. Il n’ira pas chercher là- dedans ». C’est ce qu’elle fit, en refermant la petite porte du poêle qui, soit dit en passant, avait une petite fenêtre. Elle quitta ensuite la maison et son mari rentra peu après. Comme il se préparait à jeter quelque chose il regarda du côté du poêle et constata avec surprise qu’il y avait une sorte de lumière à l’intérieur. Intrigué, il ouvrit la petite porte pour regarder à l’intérieur. À sa grande surprise, le visage soudain très pâle, il ne vit pas seulement le cierge allumé mais six paires de mains parfaitement croisées qui l’entouraient. Il referma la porte du poêle et attendit le retour de sa femme. Lorsqu’elle arriva, il lui dit: « Pourquoi aller mettre ton cierge dans le poêle? Tu ferais aussi bien de le placer ici, sur la table. »


Vous parlez ici d’un cierge bénit. Est-ce qu’elles aiment aussi une musique en particulier?


Oui, elles aiment la musique sacrée et tout spécialement le son des cloches des églises qui appellent les familles à la prière. Faut-il alors s’étonner d’entendre des personnes dans le monde séculier prétendre que le son des cloches des églises est une incursion dans leur vie privée? C’est un point de plus gagné par Satan lorsque des villes deviennent à ce point spirituellement mortes qu’elles optiennent le « silence » des cloches.


Comment l’eau bénite peut-elle nous aider, nous et les Pauvres Ames?


Il faudrait toujours avoir de l’eau bénite dans nos maisons ou nos appartements. Nous devrions nous en servir régulièrement. Si quelque chose d’inquiétant se produit ou qu’un grand péché y est commis, il faudrait asperger l’espace avec de l’eau bénite. C’est une grande protection contre Satan. Les Pauvres Ames en veulent sur chaque tombe et elles se réunissent et nous aident lorsque nous nous en servons souvent. L’eau bénite nous permettra aussi de savoir rapidement si une activité est démoniaque ou non. Les démons la fuient et la paix revient lorsque nous l’utilisons.
Des études prouvent également aujourd’hui que l’eau bénite protège aussi contre les radiations dangereuses.


De quelle autre manière le fait d’avoir sur nous un objet béni par un prêtre peut-il être une protection dans la vie courante?


Les prêtres devraient revenir le plus possible à la bénédiction. Ce qui devrait inclure la bénédiction des foyers, des récoltes, des voitures et de toutes les entreprises. Ce serait une bonne idée de bénir tout le sel qui va être utilisé pendant l’hiver pour éviter la glace sur les routes. Cela diminuerait considérablement le nombre des accidents et profiterait à tout le monde.

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MessageSujet: Protection et orientation pour les âmes : Maria Simma    Maria Sima  EmptyDim 17 Fév 2013, 10:31

PROTECTION ET ORIENTATION




Maria, les Pauvres Ames donnent-elles parfois des orientations, des directives ou des conseils aux membres vivants de leurs familles?


Oh! Oui! Cela arrive. C’est arrivé souvent en 1954 quand les âmes venaient me donner la date de leur mort et le nom de la ville. Elles me demandaient de dire à leur famille de corriger certaines choses. C’était souvent au sujet d’un héritage injustement réparti ou exécuté contre les volontés du défunt.
Dans un autre cas qui me vient maintenant à l’esprit, une âme m’a demandé de dire à son fils, un prêtre qui vit là-bas de l’autre côté de la vallée, de replacer sa table de communion. J’ai d’abord transmis le message à une de ses connaissances, mais cette personne m’a dit, « Oh allez le lui dire vous-même; il vous croira plus que moi ». C’est ce que j’ai fait et je lui ai écrit. Mais jusqu’à maintenant il n’a pas suivi ce conseil. Je crois que ce prêtre est un brave homme, mais il a tout simplement peur de le faire.


Est-ce qu’elles vont également nous aider si nous intervenons en leur faveur, que nous prions et que nous faisons des bonnes œuvres pour elles?


Oui. Faites-leur simplement confiance et commencez à les aider.


Est-ce que des agences ou des groupes, par exemple des agences gouvernementales, des groupes sociaux ou des fraternités ont déjà essayé de saper votre témoignage, de vous attaquer ou de vous bloquer d’une manière ou d’une autre?


Eh bien même s’ils essayaient, ils ne pourraient pas faire grand-chose. Oui, c’est arrivé une fois mais je ne l’ai appris que plus tard. Nous avions eu pendant un certain temps dans la région un policier qui était un peu difficile. Il avait entendu parler ici et là dans les bars d’une femme qui vivait là-haut dans la montagne, qui voyait des fantômes et parlait tout le temps avec eux. Et il ne voulait pas entendre parler de choses comme ça dans ses bars! Alors il a décidé d’aller lui rendre visite avec un collègue pour lui dire de se tenir tranquille. Ils sont donc arrivés avec leur grosse voiture, revêtus de leur uniforme le plus imposant. Ils se sont arrêtés là en bas devant le restaurant et ont entrepris de faire le reste du chemin à pied jusqu’à ma porte. Tout au moins presque jusqu’à ma porte, parce qu’à environ trois mètres de chez moi ils se sont soudain arrêtés. Impossible d’aller plus loin! Ils ont essayé une seconde fois en baissant leurs larges épaules, et à nouveau ils ont été bloqués par quelque chose qu’ils ne pouvaient pas voir. Ils ont vite abandonné et sont retournés au bar du restaurant où ils ont commandé un grand verre de bière, sans jamais reparler de la question! C’est un de mes voisins qui les a vus et m’a dit le lendemain: «Maria, j’ai vu que vous avez eu des visiteurs importants hier. » « Qui? Je n’ai pas eu de visiteurs hier. » J’ai su par la suite exactement ce qui s’était passé.


Les Pauvres Ames vous ont-elles déjà donné des directives, à vous personnellement?


Elles m’ont demandé de ne pas m’absenter plus de cinq jours de suite à cause du courrier que je reçois.


Des gens sont-ils déjà venus vous voir avec des intentions louches; et si oui, quelle a été votre réaction, ou bien avez-vous été prévenue à l’avance?


J’essaye de recevoir tout le monde mais, oui, j’ai déjà été avertie de ne pas donner un très long témoignage. Si les gens ne viennent que par curiosité, je ne parle pas beaucoup. Il m’est déjà arrivé d’avoir chez moi des gens avec des intentions discutables et mes cordes vocales ne voulaient tout simplement pas fonctionner. J’étais incapable de parler librement comme nous le faisons maintenant. Ils me disaient: « Pourquoi est-ce que vous ne nous en dites pas plus. » Et tout ce que je pouvais répondre, c’est: « Pourquoi est-ce que vous ne me posez pas plus de questions? » C’est arrivé assez souvent.


Eh bien, je suis certainement ravi et très reconnaissant que vous ayez maintenant passé tant d’heures à parler avec moi! Avez-vous demandé à une Pauvre Ame avant que je vienne si mes intentions étaient bonnes?


Non, mais si elles ne l’avaient pas été, vous auriez trouvé cela très ennuyeux! (rire)


Est-il exact que nous emmenons avec nous tout ce que nous avons appris ici sur terre?


Oui, c’est exact.


Si tel est le cas, avez-vous des exemples montrant que les Pauvres Ames nous aident avec ce qu’elles ont appris quand elles étaient ici? Ainsi, lorsqu’une couturière a besoin d’aide, ne devrait-elle pas de préférence faire appel à des couturières maintenant au Purgatoire?


Oui, et on en a des preuves. Si l’on devait recevoir rapidement de l’aide au cours d’un accident d’auto, il y a de bonnes chances que se serait de la part de quelqu’un qui connaissait la mécanique plutôt que le tricot.
Je connais un homme qui devait souvent passer des marchandises en contrebande ici durant la guerre. Il demandait toujours à des douaniers au Purgatoire de l’aider à ne pas se faire prendre. Il a passé la frontière durant des années sans se faire attraper une seule fois. Mais ce qu’il passait en fraude était pour le peuple de Dieu, sous forme de Bibles et d’objets de piété. Un contrebandier qui voudrait faire passer de la drogue, de l’argent ou des armes ne devrait pas essayer d’obtenir l’aide des Pauvres Ames. Elles ne participeraient jamais à une action malhonnête.


Comment les Pauvres Ames pourraient-elles aussi nous guider?


Nous pouvons demander à une Pauvre Ame de nous guider spirituellement, et ce serait particulièrement utile si le temps devait venir où on ne pourrait plus avoir recours à un bon prêtre et qu’on se sentirait seul. Les Pauvres Ames pourraient alors nous aider. J’ai connu des cas où cela s’est produit; je n’ai cependant jamais su comment cela se passait, mais les Pauvres Ames m’ont dit que cela arrivait.


Les Pauvres Ames peuvent-elles agir de façon protectrice envers nous de telle sorte que cela freine véritablement notre libre arbitre?


Oui, d’une certaine façon, mais uniquement d’une manière positive. Elles pourraient intervenir pour nous empêcher d’attraper la bouteille, de conduire trop vite ou de faire quelque chose qui nous mettrait en danger. Elles pourraient certainement aider les fumeurs à cesser de fumer beaucoup plus rapidement que s’ils essayaient d’y arriver sans leur aide.
C’est peut-être le bon moment pour vous parler un peu du libre arbitre. Lorsqu’elles nous aident à bloquer une mauvaise habitude, notre volonté devient plus libre et non plus limitée. Nous n’agissons jamais librement lorsque nous sommes faibles vis-à-vis du péché ou que nous cédons à une dépendance. Avant de choisir une chose qui nous lie ou nous contrôle, il faut commencer par la tourner et la retourner dans sa tête jusqu’a pouvoir se mentir à soi-même en se disant qu’après tout, c’est très bien et que c’est une bonne chose. Cette distorsion ne nous rend pas libres. Ce n’est qu’au Ciel que nous serons libres de nous concentrer uniquement sur le Bon absolu, notre Dieu.


Pouvez-vous me donner un exemple montrant comment une Pauvre Ame a libéré ou protégé quelqu’un?


Oui, mais c’était d’une autre façon.
Un jeune homme désirait trouver une bonne et sainte épouse. Il avait des vues sur une jeune femme et allait lui rendre visite à l’occasion. Cependant, chaque fois qu’il se rendait chez elle, un homme était là quelque part sur le côté qui lui criait : « Ne va pas là, tu ne seras pas heureux avec elle ». Les premières fois, il n’a pas fait attention à lui et il est rentré. Mais après trois ou quatre fois, il s’est arrêté et a regardé cet homme de plus près. C’était son propre père, décédé bien des années auparavant. Cette fois-là, il a tenu compte de l’avertissement et il est allé voir ailleurs. Il avait été protégé contre des ennuis futurs.
Et puis il y a un autre cas. J’ai connu une jeune femme qui a essayé à plusieurs reprises d’entrer au couvent mais à qui on refusait toujours l’entrée pour différentes raisons. Elle avait ensuite pris l’habitude d’aller s’asseoir à un endroit agréable au bord d’un lac pour trouver la paix avec Dieu. Un jour où elle se dirigeait vers cet endroit, elle entendit une voix très proche qui dit: « Reviens! » Elle a poursuivi sa route sans y faire attention. De nouveau, la voix lui disait « Reviens! » Elle a néanmoins continué son chemin jusqu’au point où elle a senti deux mains qui la repoussaient. Elle n’est pas allée plus loin. Par la suite, elle a raconté son histoire à un psychologue croyant qui lui a dit: « Je comprends tout à fait, car dans l’état où vous étiez vous auriez facilement pu être hypnotisée par l’eau et tomber ou sauter dans le lac sans vous en rendre compte, et peut-être vous noyer. »
Et j’ai une autre histoire amusante concernant la protection d’une propriété. Tout près d’ici, un homme nommé Hans a été réveillé durant la nuit par une voix qui lui disait d’aller voir sa grange- Il s’est retourné sans y prêter attention. De nouveau: « Va voir ta grange! » La troisième fois peut-être, il s’est finalement décidé à aller voir. Il est sorti et a regardé partout. Tout allait bien, et il s’est dit : « C’est étrange. Qu’est-ce que je devrais faire? Je vais m’asseoir ici dans la grange et attendre un peu ». Quelques instants plus tard la porte s’est ouverte et un étranger est entré. Hans est resté caché sans faire de bruit. L’étranger s’est dirigé tout droit vers la porcherie, il est passé par-dessus la barrière et a saisi deux jeunes cochonnets. Hans comprenait tout à présent. C’était la voix de son père. Il s’est précipité vers l’homme qui a couru vers la porte en abandonnant les deux cochonnets. C’était un autre cas où les Pauvres Ames ont protégé la propriété et ont évité un vol.
Elles connaissent exactement notre monde et notre situation, de sorte que nos demandes devraient être aussi variées que peuvent l’être nos existences.


Vous dites qu’elles nous protègent toujours un peu, mais vont-elles nous protéger davantage si nous prions souvent pour elles?


Oh! Oui. Bien davantage! On pourrait dire qu’elles ont alors notre adresse. Lorsque nous commençons à prier pour elles, la nouvelle doit circuler rapidement. Elles ont un si grand besoin de notre attention qu’elles vont faire bien des choses pour nous faire réaliser qu’elles sont en train de nous appeler. Lorsque je demande leur aide pour une chose en particulier, je dis, « Aidez-moi à faire ceci ou cela et je vous donnerai une messe de plus la semaine prochaine; et si vous ne m’aidez pas, je ne le ferai pas ». Vous pourriez penser que c’est faire un marché avec Dieu ou le mettre au défi, mais je ne le pense pas; pour la simple raison que l’intention est bonne. Essayez-le, et vous verrez que les Ames deviennent très actives.


Peuvent-elles nous retrouver des objets perdus?


Oui, cela aussi, et j’en ai un bon exemple. Il y a deux ans, une sœur a fait une tournée de conférences avec Vicka, une des visionnaires de Medjugorje. Les déplacements étaient naturellement rapides et très bousculés, et la sœur transportait un sac d’avion contenant une forte somme d’argent qui devait servir à payer les chambres d’hôtels. Elles partageaient souvent la même chambre et un matin, se préparant en hâte à partir pour la réunion suivante, elles ne retrouvèrent plus le sac. La sœur se rappelait exactement où elle l’avait déposé la veille, mais elles ont dû naturellement partir et interrompre leur recherche pour ne pas faire attendre les milliers de personnes qui voulaient voir et entendre Vicka. Avant de partir, elles ont cependant demandé à la propriétaire de fouiller la chambre et, si nécessaire, partout dans la maison pour retrouver ce sac qui contenait beaucoup d’argent destiné à payer des factures déjà existantes. Le sac n’a pas été retrouvé dans la maison et le voyage a continué. Vicka a poursuivi sa route vers l’Allemagne et la sœur est retournée à Medjugorje, toujours très affectée par cette perte. Elle se sentait naturellement très responsable. En arrivant à Medjugorje, elle a fait appel aux Pauvres Ames: « Retrouvez-nous ce sac, et je vous promets une neuvaine de messes ! »
Trois jours plus tard, une lettre est arrivée à Medjugorje. C’était de la propriétaire de la maison où elles avaient logé en France. La lettre disait: « Nous venons de retrouver le sac et tout l’argent qu’il contenait. Rien ne manque. Il était à l’endroit exact où vous nous aviez dit que vous l’aviez vu pour la dernière fois avant de partir! »
Cela ne m’étonne pas du tout. Une neuvaine de messes fait certainement entrer bien des âmes au Ciel. Je n’ai appris cette histoire que lorsque la sœur est venue me voir pour poser la question à une Pauvre-Ame: « Est-ce qu’une-Pauvre Ame a retourné le sac perdu avec l’argent pendant le voyage de Vicka en France? » J’ai reçu la réponse un mois plus tard: « Oui. »


Est-il possible qu’un soir le sac soit, pour ainsi dire, revenu tout seul en flottant dans les airs à cet endroit précis?


Avec Dieu, tout est possible, mais je croirais plutôt que les Pauvres Ames sont allées bavarder dans le subconscient du voleur qui a rapporté le sac. Et c’est cette pression sur sa conscience, qui s’exerce dans notre subconscient, que le « bon larron » a trouvée intolérable. Mais est-ce qu’il est revenu secrètement dans la maison pour replacer le sac à l’endroit exact où il l’avait trouvé? Je dois admettre que c’est un mystère. Ou alors il lui était possible de circuler librement dans la maison? En tout cas, les Pauvres Ames ont reçu neuf messes de la sœur, et elles n’oublieront jamais de prier et d’agir en sa faveur.


Pouvez-nous nous donner un autre exemple de protection qui toucherait un grand nombre de gens?


Un grand nombre de gens? Oui. Celui-ci devrait intéresser le monde entier. Les Pauvres Ames m’ont dit qu’elles avaient aidé à éteindre l’incendie de la centrale nucléaire de Tchernobyl et, plus récemment, j’ai appris qu’elles avaient contribué à écourter la Guerre du Golf. Et cela à cause de tous ceux qui priaient.
Il n’y a pas un domaine où elles ne peuvent intervenir en notre faveur! Elles ont sauvé une bonne partie du village voisin situé ici plus haut, en 1954, une année terrible pour les avalanches. De l’autre côté de la vallée, plus de soixante-quinze personnes ont perdu la vie sous des amas de neige. Blons a été presque entièrement détruit mais là-haut, dans le village de Fontanella, les âmes sont intervenues à cause d’une femme alitée qui offrait depuis trente ans toutes ses prières et ses souffrances pour le bien de la paroisse. On peut donc dire que c’est elle qui a sauvé toutes ces maisons et certainement bien des vies. Lorsque les experts ont examiné le terrain le matin suivant, tout ce qu’ils ont vu c’est que quelque chose de très puissant, plus puissant naturellement que l’avalanche elle-même, l’avait arrêtée dans sa course.
Voilà ce qu’elles sont capables de faire, et nous perdons beaucoup à ne pas demander chaque jour leur protection. Ne les oubliez jamais!


Si nous pouvons leur demander de nous protéger ici sur terre, pouvons-nous demander aux âmes des niveaux supérieurs de descendre vers les étages inférieurs pour protéger les âmes qui sont tout en bas?


Non, on ne le peut pas. La raison en est qu’elles ne connaissent que ce qui est devant elles et n’agissent que dans ce sens. Elles aspirent à la Lumière de Dieu et ne se dirigent que dans cette direction. Nous devons demander à saint Michel et aux autres anges de protéger et d’aider les âmes qui sont dans les profondeurs.


De quelle autre manière peuvent-elles nous aider?


Je crois que leur aide n’est limitée que par notre imagination, pour autant que celle-ci demeure sainte et bonne. Elles ne nous aideront jamais à accomplir quelque chose qui serait contraire au désir de Dieu. Et ne perdez pas espoir si, à l’occasion, l’aide n’apparaît pas clairement. N’oubliez pas que quoi qu’elles fassent, il leur faut obtenir la permission de Jésus par Sa sainte Mère. Et comme nous le savons, les plans de Jésus ne sont pas toujours conformes à nos désirs, même lorsqu’ils sont bons. Leur travail passe fréquemment inaperçu parce que la paix qui résulte de leur protection est souvent silencieuse et invisible.
Par exemple, vous traversez à une intersection quand la lumière est verte. Une voiture arrive dans cette direction mais ce que vous ne savez pas, c’est que le conducteur vient de s’endormir au volant. Une Pauvre Ame peut rapidement le réveiller et la voiture s’arrête sans que vous ayez remarqué quoi que ce soit. On vient de vous sauver la vie mais vous n’en savez rien. Les âmes travaillent souvent pour nous sans que nous le sachions.


Pourriez-vous me donner un autre exemple qui concernerait, disons, une aide de nature générale plutôt que spirituelle ou physique?


La chose suivante est arrivée en France. Une femme avait fait la promesse d’offrir une messe pour les âmes tous les mois. C’était une personne pieuse et réservée qui travaillait comme domestique dans les grandes maisons. Il arriva qu’elle perdit son emploi et se retrouva sans travail plus longtemps qu’elle ne s’y attendait. Elle n’avait presque plus d’argent mais un jour, en sortant de la messe, elle se rappela qu’elle n’avait pas encore fait son offrande de messe pour le mois. Mais il y avait un problème. Si elle faisait son offrande ce mois-là, il ne lui resterait bientôt plus un sou, et elle hésitait. Elle fit cependant très vite confiance à Jésus, sachant qu’il ne l’abandonnerait pas en ce moment difficile. Elle alla donc vers le prêtre pour lui demander comme d’habitude d’offrir une messe pour les âmes du Purgatoire. Puis elle rentra chez elle. Comme elle quittait l’église, un beau jeune homme habillé avec élégance s’approcha d’elle et lui dit qu’il avait entendu dire qu’elle cherchait du travail. Elle acquiesça tout en se demandant comment il pouvait le savoir. Il était aimable mais convaincant, et il lui dit de se rendre dans telle rue et de frapper à la troisième porte sur la droite. Elle se mit en route, toujours un peu intriguée, et trouva rapidement la maison qui lui fit immédiatement très bonne impression. Elle frappa à la porte d’entrée. Une vieille dame très gentille vint ouvrir et la fit entrer avec joie lorsqu’elle apprit que cette femme cherchait du travail comme domestique. Elles se mirent rapidement d’accord sur les tâches à effectuer, très heureuses d’avoir trouvé toutes les deux ce dont elles avaient grand besoin. Comme elle entrait dans le grand et élégant salon, la nouvelle venue aperçut un encadrement sur le manteau de cheminée. C’était le portrait de l’homme qui venait de lui parler à la porte de l’église quelques minutes auparavant! « Madame, demanda-t-elle, qui est le monsieur sur cette photographie?» - « Oh! répondit la vieille dame, c’est mon fils Henri. Il est mort il y a quatre ans. »
Si nous connaissons quelqu’un, par exemple, qui a beaucoup souffert étant enfant à cause de ses parents ou de la société, une Pauvre Âme peut-elle protéger cet enfant contre les attaques de Satan à travers ces plaies qui sont, naturellement, toujours ouvertes, jusqu’à ce que cette personne puisse, disons, reconnaître et soigner ces blessures en s’adressant à un prêtre ou à un médecin?


Absolument, et la Pauvre Ame peut aussi la guider vers la personne qui convient. Je connais des cas où c’est exactement ce qui est arrivé et ce n’est que plus tard que les Pauvres Ames m’ont dit que c’était elles qui étaient intervenues pour aider.


Qu’est-ce qui se passe lorsque quelqu’un leur demande de l’aide pour quelque chose qui n’est pas tout à fait saint? Vous avez dit plus tôt qu’elles n’apporteront pas leur aide dans ces cas-là.


Non, non! Si quelqu’un leur demande de les aider avec de mauvaises intentions, ce ne sera jamais d’elles que viendra cette aide, si elle arrive. Il n’y que Satan pour aider quelqu’un dont les intentions sont mauvaises, mais il peut aussi, naturellement, singer leurs activités.


Connaissez-vous un cas où elles sont apparues à quelqu’un qui leur a ensuite demandé de l’aider à faire quelque chose de malhonnête?


Eh bien, oui. Au cours d’un grave accident de voiture, trois âmes sont apparues au conducteur en lui disant, « Maintenant, vous allez nous aider ». Elles l’avaient clairement maintenu en place parce que la voiture avait fait au moins un tonneau et il en était sorti sans une égratignure. Lorsqu’il eut vraiment compris qu’elles l’avaient protégé d’une mort certaine, il leur demanda de continuer à l’aider pour ses assurances. Il avait bien assisté à des messes pour elles et il s’attendait à ce qu’elles l’aident encore. Il est devenu clair, après quelque temps, que les âmes ne l’aidaient pas parce qu’il n’avait pas obtenu un centime des assurances pour sa voiture. Il en était fâché et semblait ne pas comprendre pourquoi elles n’avaient pas continué à l’aider. Mais le fait est qu’il n’avait pas dit toute la vérité à sa compagnie d’assurances et déclaré des faussetés au sujet de l’accident. Cette malhonnêteté ne lui a occasionné que des problèmes supplémentaires.

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MODERATION
JohanleRoy avait créé en ce seul dimanche 24 posts différents sur Maria Simma ce qui est vraiment contraire aux règles de ce forum. De plus, chaque post renvoie au forum fin des temps qui mélange tout et n'importe quoi et que je déconseille fermement. Ami de la miséricorde a déjà modéré à juste titre les nombreux messages de Johan le Roy mais c'est insuffisant face à un tel comportement. Je rappelle par exemple que sur le forum en question on parle de Véronica Lueken, l'Eglise s'est prononcée contre cette pseudo voyante voir à ce sujet sur notre forum : https://coeurs-unis-en-j-m.forumactif.com/t1979-veronica-lueken-la-voyante-de-bayside. Vu l'attitude de JohanleRoy, qui ne respecte pas les règles du forum et nous inonde de références peu sûres, je vais supprimer son compte. Merci pour votre compréhension.

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