Voici ce que j'ai relevé sur divers forums :
Préfaces
I Chers lecteurs et lectrices,
Après avoir lu ces courts messages d’amour et de tendresse, je constate qu’il n’y a pas d’affirmation contraire à la
foi catholique et que la finalité de ces inspirations nous aident à nous tourner vers Dieu.
Le chemin que le Seigneur nous propose est un chemin d’amour et d’abandon à la Volonté du Père, en passant par
la Vierge Marie qui nous fait comprendre la grandeur et la valeur de la souffrance offerte à Jésus qui nous conduit à
la croix, source de joie et d’espérance qui est le vrai chemin de conversion.
C’est aussi une constante invitation à répondre aux appels continuels de Jésus et de notre bonne Maman du Ciel, Maman
Marie, que sont les sacrements, la prière, l’adoration, le jeûne et la charité.
J’ai trouvé qu’à chaque invitation à la conversion, le Ciel nous bénit ; profitions de cette bénédiction trinitaire et mariale
pour y puiser les grâces dont nous avons besoin.
Père J. Rubén Riveros, prêtre
St-Étienne de Bolton, QC
II En lisant ce volume, on pourrait se dire : pas encore une personne qui reçoit des messages du Ciel.
Eh oui ! Dieu, dans sa bonté et sa miséricorde, ne cesse de se choisir des témoins pour réveiller ses enfants qui se sont
endormis et qui ne savent plus pourquoi ils sont sur la terre.
La situation ressemble au temps de Noé : on fêtait, on mangeait, on buvait sans se préoccuper d’écouter l’appel de Dieu
à la conversion.
Beaucoup de gens croient que l’Église vit ses derniers moments. Tout semble s’écrouler, mais le Seigneur a promis
d’être avec elle jusqu’à la fin des temps. Je le crois profondément ; Il le fera car Il est toujours fidèle à ses promesses.
L’Église doit passer par son Vendredi saint afin de vivre le dimanche de Pâques.
Ces messages sont remplis de fraîcheur et ne cessent d’inviter à la prière, à la conversion, aux sacrements du
pardon et de l’Eucharistie. En effet, l’amour s’est refroidi ; un peu partout dans le monde, nous voyons la violence se
répandre. Dieu souffre de voir ainsi ses enfants s’entredéchirer. Le remède à cette situation : lever les yeux vers
Dieu, demander la Lumière de son Esprit. En recevant cette Lumière, comme saint Paul, des écailles tomberont de nos
yeux pour que nous puissions mieux voir et mieux vivre.
Rappelons-nous la grande ville de Ninive qui s’est convertie suite à la proclamation de Jonas. La miséricorde de Dieu
est toujours à l’oeuvre. Des Jonas sont là un peu partout dans le monde. Ils parlent avec force, mais nous sommes sourds,
trop préoccupés par des babioles. La justice de Dieu va nous faire découvrir ce qui est essentiel : préparer nos coeurs à la
Grande Rencontre.
Des événements bouleversants sont annoncés, mais le Seigneur nous dit : « N’ayez pas peur. »
Ces événements arriveront pour le bien de tous. L’homme a besoin de vivre des épreuves pour lever les yeux vers Dieu
et crier vers lui.
Pour lire ce livre, je conseille de prendre un message par jour, le méditer, le prier et vous demander comment vous
pour riez changer votre vie pour qu’elle soit conforme à l’Évangile.
Je bénis chaque lecteur, lectrice. Je demande à Dieu de vous envahir de son Esprit pour que vous goûtiez sa paix et
que vous la répandiez autour de vous.
Guy Giroux, prêtre
Paroisse St-Philippe, Windsor, QC
11
Introduction
Dialogue entre Marie, Jésus et Sulema
Marie : Paix à toi, ma fille. Pourquoi ce chagrin, ce malaise que tu portes dans ton petit coeur ? Pourquoi ? Tu ne
veux pas continuer à écrire ? Ne sais-tu pas, mon enfant, que c’est à cause de ta nullité que tu as été choisie ? Sans rien com -
prendre, tu as dit oui, tu as prononcé ton fiat sans savoir où cela t’amènera, tu as sauté dans les bras de mon divin Fils
dans un abandon total.
Ouvre le livre des 24 heures de la Passion du Christ (éd. Résiac, 1999) et regarde ce que tu vas y trouver.
Sulema : J’ai ouvert le livre et j’ai lu en fin de page 5 que Luisa Piccarreta n’a fait que sa première année de scolarité ;
que ses écrits étaient bourrés de fautes bien que les termes appropriés étaient en parfaite correspondance avec ses révé -
lations inspirées par Notre-Seigneur.
Marie : Elle est une grande sainte et pourtant ses écrits ont touché seulement un certain nombre d’enfants. On ne veut
pas accueillir ses miels ruisselants. Regarde autour de toi, on suscite d’un peu partout des porte-paroles pour aller rejoindre
différents groupes d’enfants, car vous ne pouvez pas plaire à tous les coeurs.
Ma fille, on essaiera de trouver des failles, on disséquera les dons de prophéties et de voyance qui sont déposés en toi,
laisse-les faire, garde ta paix et n’oublie jamais que tu es sous notre protection.
Voici venir mon Fils : Jésus : Et c’est pour cela qu’il y a tant de messagers, car chacun d’eux est destiné à aller rejoindre un groupe de per -sonnes. Regarde-Moi, Je n’étais pas accepté par tout le peuple ; seuls les petits, les humbles m’ont accueilli, moi, Jésus, le Fils de Dieu, la Parole de Dieu.
Pourquoi croire qu’un messager peut aller toucher tous les coeurs ? Non, mes enfants, vous devez me suivre. Moi qui
suis pourtant la Tête de l’Église, j’ai aussi été rejeté, méprisé et on me traitait de blasphémateur alors que je prêchais la vérité.
Regarde quand j’ai choisis les douze, je n’ai pas choisi des docteurs de la loi, ni des scribes ; J’ai choisi des pêcheurs,
des collecteurs d’impôts, ceux qui n’étaient rien aux yeux du monde et par ma grâce, ils sont devenus les Apôtres, ceux qui
jugeront les douze tribus d’Israël.
Je t’ai choisie comme tu es, par ta nullité, la grâce passe. Par toi, j’irai rejoindre les coeurs endurcis ; par toi, je ferai de
grandes choses ! Je t’ai choisie parce que je n’ai pas trouvé une autre plus petite que toi. Tu as su t’oublier toi-même en
renonçant à tout pour moi ; tu aimes rester cachée dans les bras de ma Très Sainte Mère car sans Moi tu n’es rien. Oui, je
suis tout en toi. Aurais-tu peur de me suivre tous les jours ?
Sulema : Non, mon Seigneur et mon Dieu.
Jésus : Les critiques, vous les aurez toujours. Lisez les Évangiles pour mieux me comprendre. Chose certaine, mon
petit coeur d’amour, si tu étais quelqu’un qui maîtrise bien la langue française, je ne t’aurais pas choisie. Alors, reste en
paix, continue d’écrire, car ce que tu as écrit jusqu’à aujourd’hui n’est rien à comparer à ce que tu écriras. Reste
dans les bras de ma Mère, fais tout ce qu’elle te dira, car rien ne saura arrêter cette oeuvre que le Père a confiée à sa fille
bien-aimée, Marie, Mère de Dieu. Vous serez étonnés de tout ce que je ferai et ce que je suis en train de faire par ce volume.
Continue à écrire, nous devons rattraper le temps perdu.
Le Père respecte votre liberté et votre volonté. C’est à vous de faire le bon choix. Moi, j’ai fait mon choix. Un peu
partout dans le monde j’ai choisi mes prophètes, mes messagers, mes porte-paroles et pour cette oeuvre, c’est vous
que j’ai choisis de toute éternité pour être auprès de mon instrument. Merci à vous tous mes collaborateurs que j’aime
tant. Merci de votre désir de la protéger et de la soutenir. Tout ce que vous faites pour elle, c’est à Moi que vous le faites. Je
vous enveloppe de ma bénédiction toute spéciale, je dépose sur chacun de vos fronts, Mon baiser de Paix.
Au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Jésus, votre crucifié d’amour
2010
Marie, Reine de la paix 30 novembre 2010
Première semaine de l’Avent
1 – On pense à tout, sauf au suprême Sacrifice de Jésus-Amour, prisonnier dans une petite Hostie.
Merci, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur,
pour la Gloire de Dieu son Père. Oui, mon enfant, le moment est à l’adoration, à la méditation des Saintes Écritures qui nous parlent de la Passion de mon Fils, mon Dieu et mon Seigneur.
Dans les temps où vous vivez, mon enfant, on parle de tout, sauf du suprême Sacrifice, le crucifiement de mon divin Jésus-Amour. On a oublié ses souffrances atroces, tout ce qu’il a enduré pour vous sauver, sa douloureuse agonie au Jardin des Oliviers. On ne pense plus à tout cela. Qui est là pour Le remercier ? Qui pense à Lui dire : « Merci Jésus de t’être fait homme par amour pour moi, pour tout le genre humain ? »
Lui, de condition divine, a tout quitté : sa Gloire auprès du Père, pour se faire l’un de nous. On a oublié qu’il est vrai Dieu et vrai homme. De plus en plus, on se sent gêné de parler de Lui, de penser à Lui, l’auteur de la Vie, l’auteur de tout le créé visible et invisible, Lui qui n’a rien épargné, qui vous a tout donné jusqu’à la dernière goutte de son Précieux Sang…
Remerciez-le souvent, mes enfants, pour tant d’amour. Comme il l’a dit (Jn 15, 13) : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime ! » Il est allé jusqu’à devenir prisonnier dans une petite hostie. Lui, l’infiniment grand est devenu l’infiniment petit : sottise aux yeux des hommes, merveille aux yeux des anges !
Quand vous allez le recevoir, faites-le avec un grand respect, une grande dévotion, une grande reconnaissance, une grande humilité et surtout un grand amour. Qu’il trouve l’amour dans vos coeurs. Réchauffez-le avec votre amour.
Il meurt d’amour pour ses enfants. Suivez-le tous les jours et ne craignez rien, Il est là votre Jésus-Amour, aimez-le, aimez-le, mes enfants.
Merci de consoler la Vie de ma vie, la Lumière de mes yeux, le Coeur de mon coeur, mon Dieu mon Seigneur.
Merci, mon enfant, d’écouter mon Coeur de Mère si affligé par tant et tant d’enfants qui ne pensent plus que Dieu existe, qu’il y a un Dieu qui les a créés et qui les attend. Soyez bénis, mes enfants, au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 4 décembre 2010
Premier samedi du mois
2 – S’exercer à la vertu de patience ; la paix et la sérénité suivront.
Signe-toi et écris, mon enfant, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur, pour la Gloire de
Dieu son Père.
Il faut, mon enfant, exercer la vertu de la patience envers soi-même et surtout envers les autres. Tu sais, pour arriver aux
autres il faut se vaincre soi-même pour arriver à l’oubli de soi. On peut y arriver autrement, mais c’est plus difficile.
Tous les jours, je dirais même à chaque instant, on doit se pratiquer sans se décourager. Mes enfants de lumière, comme
vous vous êtes exercés dans la foi et dans la confiance, vous devez aussi le faire avec la patience. Et vous verrez ce qui se
produira en chacun de vous : vous vivrez une paix plus intense et la sérénité s’installera peu à peu dans votre coeur, grâce à
votre persévérance. Merci, mes enfants, de continuer à prier à mes intentions.
Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 6 décembre 2010
3 – Méditons sur la foi.
Chantez comme les enfants dans la fournaise. Béni soit mon divin Fils Jésus Christ le Seigneur. Signe toi et écris, mon enfant, couverte de son Précieux Sang, pour la Gloire de Dieu son Père.
Mon enfant, méditons sur la foi d’Abraham. Il a tout quitté pour suivre son Seigneur et son Dieu. Il est allé jusqu’à offrir
en sacrifice son fils unique, car il était sûr que le Seigneur allait ressusciter Isaac pour accomplir sa promesse de lui
donner une grande descendance plus nombreuse que les étoiles dans le ciel, plus nombreuse que les grains de sable de la mer
(c.f Gn). C’est-à-dire que sa foi était absolue et inébranlable, une foi sans défaillance et totale en Dieu son Père. Il n’a
pas eu d’arrière-pensée, encore moins de doute, il écoutait la voix du Très-Haut et à l’instant même il accomplissait ce qu’il
avait entendu.
Pour le mettre à l’épreuve, le Seigneur lui a demandé le sacrifice suprême de son fils et, merveille des merveilles, aussitôt
dit aussitôt fait, jusqu’à la venue de l’ange qui l’a arrêté. Quelle foi ! C’est pour cela qu’on l’a appelé le père de la foi.
Tout cela pour vous faire comprendre que le Seigneur tient ses promesses, qu’il est fidèle, et qu’il soutient les accablés. Donc, n’ayez pas peur, ne vous laissez pas effrayer. Soyez forts, prenez courage, car il est le Dieu de l’impossible.
Vous le savez très bien, il vous a manifesté sa Gloire, et cela à plusieurs reprises. Réfléchissez-y mes enfants…
Alors, persévérez et chantez comme les enfants dans la fournaise (Da 3, 51), ils ne se sont pas apitoyés sur eux mêmes,
ils avaient foi en Dieu, leur Père. Ils savaient que jamais Il n’était pour les abandonner. Enfin mes enfants, que
votre foi soit plus ferme et plus forte. Continuez à prier, à chanter, à rendre grâce, à croire et surtout à espérer dans la
paix que seul le Seigneur peut vous donner.
Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 10 décembre 2010
4 – Que vos coeurs soient très reconnaissants et pleins d’amour pour accueillir le Nouveau-Né.
Que la paix soit avec toi, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le
Seigneur, pour la Gloire de Dieu son Père.
Oui, mon enfant, que la paix soit avec vous tous, en ce beau temps de l’Avent qui prépare les coeurs de bonne volonté
à accueillir Dieu fait homme, l’Enfant de la crèche, le Créateur de tout l’univers, cet Enfant d’amour qui vous a aimés jus qu’à
la folie de la croix. Que vos coeurs soient très reconnaissants.
Remerciez-Le en tout et partout. Mes enfants, ce temps est très important pour préparer vos coeurs à l’arrivée de ce
Nouveau-Né qui a tout changé sur la face de la terre. Préparez-vous pour qu’il puisse trouver un endroit chaud,
accueillant et plein d’amour. Que vos coeurs soient des berceaux où Il puisse se reposer, en ce temps où l’on pense seulement
aux cadeaux, aux achats, au réveillon… en excluant totalement le vrai sens de Noël, la naissance du Sauveur du monde.
Mon Coeur Immaculé saigne de voir tant et tant d’indifférence chez la grande majorité de nos enfants, l’oubli presque
total de la naissance du Fils de Dieu, Jésus l’Emmanuel.
Soyez bénis de penser à lui, au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Mère des affligés 14 décembre 2010
5 – Quand un pauvre appelle, le Seigneur entend. Croyez et vous ne serez pas déçus.
La paix soit avec toi, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le
Seigneur, pour la Gloire de Dieu son Père.
Ne vous découragez pas, mes enfants. Soyez forts, tenez bon, car rien n’est impossible au Dieu Trinitaire ; Il a tous vos
soucis en main, faites-Lui confiance.
Quand un pauvre appelle, le Seigneur entend pour de vrai mes enfants (Ps 33). Plus que jamais, croyez et vous ne
serez pas déçus, car le Seigneur est proche de tous ceux qui espèrent en sa Divine Providence, proche de ceux qui se
confient à Lui, le Père trois fois saint. Continuez à prier, à croire et à espérer.
Moi, votre céleste Maman, l’Immaculée Conception, je me tiens près de vous, avec vous. Jamais je ne vous abandonnerai, croyez-moi.
Soyez bénis de continuer à prier à mes intentions au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen,
alléluia.
Jésus-Eucharistie 15 décembre 2010
Le monde s’en va vers un chaos économique. Apprendre à vivre avec l’essentiel, savoir partager.
Ne craignez pas, mes enfants. Signe-toi et écris, couverte de mon Précieux Sang, pour la Gloire de Dieu mon Père. La
paix soit avec toi, mon enfant. Pourquoi toute cette agitation ? Pourquoi cette angoisse ? Pourquoi cette insécurité ? Où est votre confiance ? Je sais, moi, ce qu’il y a de mieux pour vous tous, mes enfants. Je connais, Moi, le moment précis de ce qui doit survenir. Il est
écrit : il y a un temps pour chaque chose, et chaque chose en son temps (Qo 3, 1). Alors, pourquoi ? Avez-vous confiance
en moi votre Jésus, votre Seigneur et votre Dieu ? Je vous ai dit : rien de mal ne saurait vous arriver. Croyez-le. Mes enfants, vous devez comprendre et accepter vos limites. Je ne peux pas vous dire que tout va changer, non mes enfants. Le monde s’en va vers un très grand chaos économique. Il va falloir apprendre à vivre uniquement avec l’essentiel, savoir partager. Ce n’est pas parce que Dieu veut
qu’il en soit ainsi, c’est parce que l’homme a tout détruit ! Et là, on met la faute sur l’un, on accuse l’autre, personne ne
prend sa responsabilité. On dit des paroles inutiles, pleines de poison pour tuer les âmes, pour tuer les esprits fragiles qui
se laissent empoisonner par le démon qui s’est bien déguisé.
C’est pour cela que je vous dis : soyez vigilants, faites attention, ne vous laissez pas entraîner par les faux courants de
pensée du monde.
Restez en prière, accrochez-vous aux sacrements, venez vous réfugier dans le Coeur Immaculé de ma très Sainte Mère.
Et vous, mes tout-petits, n’ayez pas peur, car elle vous garde sous son manteau de protection. Soyez humbles de coeurs,
continuez à prier à ses intentions. Donnez-lui la main. Ce faisant, vous serez protégés de tout le mal qui est à vos portes.
Gardez courage, soyez forts, soyez fidèles. Je vous porte tous dans mon Sacré-Coeur ; n’ayez pas peur, votre délivrance est
proche (Lc 21, 28) ; continuez à prier, à adorer et à croire.
Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen alléluia.
L’Enfant-Dieu 25 décembre 2010
Le Jour de Noël, le matin