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| Discours en français d'OBAMA | |
| | Auteur | Message |
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Danielle Assidu
Nombre de messages : 1850 Localisation : Québec Canada
| Sujet: Discours en français d'OBAMA Mer 21 Jan 2009, 04:54 | |
| Version intégrale du discours d'Obama en française prise sur Radio Canada
20 janvier 2009
Mes chers compatriotes,
Je me tiens ici aujourd'hui plein d'humilité devant la tâche qui nous attend, reconnaissant de la confiance que vous m'avez accordée, conscient des sacrifices consentis par nos ancêtres. Je remercie le président Bush d'avoir servi notre pays, ainsi que de la générosité et la coopération qu'il a déployées pendant toute cette transition. Quarante-quatre Américains ont désormais prêté le serment présidentiel. Les mots ont été prononcés alors que gonflaient les eaux de la prospérité et que reposaient les eaux de la paix. Pourtant, de temps à autre, le serment est prononcé alors que les nuages s'amoncellent et que les tempêtes font rage. Dans ces moments, l'Amérique n'a pas simplement continué grâce au talent ou à la vision de ceux qui sont haut placés, mais parce que nous, le peuple, avons gardé la foi dans les idéaux de nos prédécesseurs, et sommes restés fidèles à nos textes fondateurs. Ainsi en a-t-il été. Ainsi doit-il en être pour cette génération d'Américains.
Il est entendu maintenant que nous nous nous trouvons au beau milieu d'une crise. Notre pays est en guerre, contre un vaste réseau de violence et de haine. Notre économie est sérieusement affaiblie, conséquence de l'avidité et de l'irresponsabilité de certains, mais aussi de notre échec collectif à opérer des choix difficiles et à préparer le pays pour une nouvelle ère. On a perdu des logements; détruit des emplois; fermé des entreprises. Notre couverture de santé est trop coûteuse; nos écoles laissent de c`té trop de gens; et chaque jours apporte une nouvelle preuve de ce que la façon dont nous utilisons l'énergie renforce nos adversaires et menace notre planète.
Voilà pour les signes de la crise, tels que les reflètent données et statistiques. Moins mesurable mais non moins profond est le minage de la confiance dans tout notre pays -la peur tenace de ce que le déclin de l'Amérique est inévitable, de ce que la prochaine génération doit viser moins haut.
Aujourd'hui, je vous dis que les défis qui nous attendent sont réels. Ils sont graves et ils sont nombreux. Ils ne seront pas facilement ni rapidement relevés. Mais sache-le, Amérique: ils seront relevés. En ce jour, nous nous rassemblons parce que nous avons choisi l'espoir plut`t que la peur, l'unité tendue vers un but commun plut`t que le conflit et la discorde.
En ce jour, nous proclamons la fin des rancunes mesquines et des promesses non tenues, des récriminations et des dogmes éculés qui ont trop longtemps étranglé notre politique.
Nous restons une nation jeune, mais pour citer les Écritures, il est temps de «faire disparaître ce qui était de l'enfant». Il est temps de réaffirmer notre force de caractère; de choisir une histoire meilleure; de porter ce cadeau précieux, cette noble idée transmise de génération en génération: la promesse obtenue de Dieu que nous sommes tous égaux, tous libres et méritons tous une chance d'aspirer à la plénitude du bonheur.
En réaffirmant la grandeur de notre nation, nous comprenons que la grandeur n'est jamais donnée. Elle doit être gagnée. Notre cheminement n'a jamais fait de raccourcis et de résignation. Cela n'a pas été le chemin des timorés, de ceux qui préfère l'oisiveté au travail ou ne recherchent que les plaisirs des richesses et de la gloire. Non, cela a été le chemin de ceux qui prennent des risques, qui agissent, qui font des choses -certains que l'on a célébrés mais le plus souvent des hommes et des femmes ayant oeuvré dans l'obscurité, qui nous ont guidés sur les chemins accidentés de la prospérité et de la liberté.
Pour nous, ils ont rassemblé leurs maigres possessions et traversé les océans en quête d'une vie nouvelle. Pour nous, ils ont sué sang et eau et conquis l'Ouest; enduré la morsure du fouet et labouré la terre dure.
Pour nous, ils se sont battus et sont morts, dans des endroits comme Concord et Gettysburg; en Normandie et à Khê Sahn. Encore et encore, ces hommes et femmes ont lutté, se sont sacrifiés et se sont usé les mains au travail pour que nous puissions vivre une vie meilleure. Ils ont vu dans l'Amérique plus que la somme de nos ambitions individuelles; plus que toutes les distinctions de naissance, de richesse ou de clan.
C'est le cheminement qui nous continuons aujourd'hui. Nous demeurons le pays le plus prospère, le plus puissant sur Terre. Nos travailleurs ne sont pas moins productifs qu'au début de la crise. Nos esprits ne sont pas moins inventifs, nos biens et nos services pas moins demandés qu'ils ne l'étaient il y a une semaine, un mois ou un an. Nos capacités demeurent intactes. Mais le temps où nous résistions au changement, où nous protégions des intérêts étriqués et repoussions les décisions déplaisantes, ce temps est assurément fini. Dès aujourd'hui nous devons nous reprendre, nous secouer et nous remettre à construire l'Amérique.
Car où que nous regardions, il y a du travail à abattre. L'état de l'économie appelle une action audacieuse et rapide, et nous agirons, non seulement pour créer de nouveaux emplois, mais pour jeter les bases d'une nouvelle croissance. Nous construirons les routes et les ponts, les réseaux électriques et numériques qui irriguent notre commerce et nous relient. Nous rendrons sa place à la science et exploiterons les merveilles de la technologie pour améliorer la qualité des soins de santé et abaisser leur coût. Nous maîtriserons le soleil, le vent et la terre pour alimenter nos voitures et faire tourner nos entreprises. Et nous transformerons nos écoles, lycées et universités pour répondre aux exigences d'une nouvelle ère. Tout cela, nous pouvons le faire. Et tout cela, nous le ferons.
Certes, certains s'interrogent sur l'étendue de nos ambitions, laissent entendre que notre système ne peut pas supporter trop de grands projets. Ils ont la mémoire courte. Car ils ont oublié en effet ce que ce pays a déjà accompli; ce que des hommes et des femmes libres peuvent accomplir lorsque l'imagination rejoint le bien commun, et la nécessité, le courage. Ce qui échappe aux cyniques est que le sol s'est dérobé sous eux, que les vieilles querelles politiques qui nous consument depuis si longtemps sont dépassées. La question que nous posons aujourd'hui n'est pas de savoir si notre gouvernement est trop large ou trop resserré, mais s'il fonctionne, s'il aide les familles à trouver des emploisdécemment rémunérés, des soins à leur portée, une retraite digne. Si la réponse est oui, nous avons l'intention de continuer. Si la réponse est non, ce sera la fin de ces programmes.
Et ceux d'entre nous qui gèrent les dollars publics devront rendre des comptes, pour dépenser sagement, changer les mauvaises habitudes et travailler au grand jour, parce que ce n'est qu'ainsi que nous pouvons restaurer la confiance cruciale entre un peuple et son gouvernement.
La question n'est pas non plus de savoir si le marché est une force bonne ou mauvaise. Sa capacité à générer de la richesse et étendre la liberté est sans égale, mais cette crise nous a rappelé que sans un oeil attentif, le marché peut échapper à tout contr`le et que la nation ne peut pas prospérer quand elle ne donne qu'à ceux qui sont prospères. Le succès de notre économie a toujours a toujours dépendu, non seulement de l'importance de notre produit intérieur brut mais aussi de l'étendue de notre prospérité, de notre capacité à offrir une chance à toute bonne volonté, pas par charité, mais parce que c'est la plus sûre voie de notre bien commun.
Pour ce qui est de notre défense commune, nous refusons de faire un mauvais choix entre notre sécurité et nos idéaux. Nos pères fondateurs, confrontés à des périls que nous pouvons à peine imaginer, ont élaboré une charte pour établir l'état de droit et les droits de l'homme, une charte qui se poursuit dans le sang des générations.
Ces idéaux éclairent toujours le monde et nous n'y renoncerons pas par opportunisme. Aussi, à tous les autres peuples et gouvernements qui nous regardent aujourd'hui, des plus grandes capitales au petit village où naquit mon père: sachez que l'Amérique est l'amie de chaque nation et de chaque homme, femme et enfant qui aspire à un avenir de paix et de dignité, et que nous sommes prêts une fois encore à ouvrir le chemin.
Rappelez-vous que les générations précédentes ont tenu tête au fascisme et au communisme non par les seuls missiles et chars, mais grâce à de solides alliances et de fortes convictions. Ils ont compris que notre puissance ne nous protège pas seule, ni ne nous donne le droit d'agir à notre guise. Ils savaient que notre puissance grandit de son usage prudent; que notre sécurité émane de la justesse de notre cause, de la force de notre exemple, des qualités pondérantes d'humilité et de retenue.
Nous sommes les gardiens de cet héritage. Guidés une nouvelle fois par ces principes, nous pouvons affronter ces nouvelles menaces qui exigent un effort encore plus important, davantage de coopération et de compréhension entre les nations. Nous commencerons par laisser l'Irak à son peuple de façon responsable et forger une paix durement méritée en Afghanistan. Avec nos vieux amis et nos anciens ennemis, nous travaillerons inlassablement à réduire la menace nucléaire, repousser le spectre du réchauffement de la planète. Nous ne présenterons pas d'excuses pour notre mode de vie, ni n'hésiterons à le défendre, et à ceux qui tentent d'atteindre leurs buts en semant la terreur et en massacrant des innocents, nous disons aujourd'hui que notre détermination est plus forte et ne peut être brisée; vous ne pouvez pas nous vaincre et nous vous battrons.
Car nous savons que le patchwork de notre héritage est une force et non une faiblesse. Nous sommes une nation de chrétiens et musulmans, juifs et hindous et non-croyants. Nous sommes issus de chaque langue et chaque culture venue de chaque coin de cette Terre; et parce que nous avons goûté à l'amertume de la guerre civile et de la ségrégation, et que nous sommes sortis plus forts et plus unis de cette épreuve, nous ne pouvons pas nous empêcher de croire que les vieilles haines finiront par disparaître; que les frontières tribales seront bient`t dissoutes; qu'à mesure que le monde devient plus petit, notre humanité commune se révélera, et que l'Amérique doit jouer son r`le en ouvrant la voie à une nouvelle ère de paix.
Au monde musulman: nous cherchons une nouvelle façon d'avancer fondée sur notre intérêt mutuel et notre respect mutuel. Aux dirigeants à travers le monde qui veulent semer le conflit ou imputent les maux de leur société à l'Occident: sachez que votre peuple vous jugera sur ce que vous pouvez construire, et non sur ce que vous détruisez. A ceux qui s'accrochent au pouvoir par la corruption, la tromperie et en réduisant la contestation au silence, sachez que vous êtes du mauvais c`té de l'histoire. Mais que nous tendrons la main si vous voulez desserrer votre étau.
Aux peuples des pays pauvres: nous promettons de travailler à vos c`tés pour que vos fermes s'épanouissent et que coulent des eaux propres; d'alimenter les corps affamés et de nourrir les esprits assoiffés. Et aux nations comme la notre qui jouissent d'une relative abondance, nous disons que nous ne pouvons plus nous permettre de rester indifférents à la souffrance au-delà de nos frontières; que nous ne pouvons pas non plus consumer toutes les ressources du monde sans nous soucier des conséquences. Car le monde a changé et nous devons évoluer avec lui.
Quand nous regardons le chemin qui nous attend, nous pensons avec gratitude et humilité à ces courageux Américains qui, en ce moment même, patrouillent dans les déserts et montagnes reculés. Ils ont quelque chose à nous dire aujourd'hui, tout comme les héros qui reposent à Arlington et murmurent à travers les âges. Nous leur rendons hommage non seulement parce qu'ils sont les gardiens de notre liberté mais parce qu'ils incarnent l'esprit du service public; la volonté de trouver un sens dans quelque chose de plus grand qu'eux. Et en ce moment même, un moment qui définira une génération, c'est précisément cet esprit qui doit tous nous habiter.
Car quoi qu'un gouvernement puisse et doive faire, en fin de compte c'est sur la foi et la détermination du peuple américain que repose cette nation. C'est la bonté d'accueillir un étranger chez soi quand les digues cèdent, le désintéressement des travailleurs qui préfèrent travailler moins que voir un ami perdre son emploi, qui nous permet de surmonter nos heures les plus sombres. C'est le courage du pompier qui se précipite dans un escalier enfumé, mais aussi la volonté d'un parent d'élever un enfant, qui en définitive décide de notre sort.
Les défis qui nous attendent sont peut-être nouveaux. Les instruments avec lesquels nous les affrontons sont peut-être nouveaux. Mais ces valeurs dont dépend notre succès, l'ardeur au travail et l'honnêteté, le courage et le respect des règles, la tolérance et la curiosité, la loyauté et le patriotisme, tout cela est ancien. Tout cela est vrai. C'est ce qui a fait la force tranquille du progrès au fil de notre histoire. Ce qu'il faut, c'est revenir à ces vérités. Ce qu'il nous faut aujourd'hui, c'est une nouvelle ère de responsabilité, la reconnaissance, chez chaque Américain, des devoirs que nous avons envers nous-mêmes, notre pays et le monde, des devoirs que nous n'acceptons pas à reculons mais que nous saisissons volontiers, sachant bien qu'i n'y a rien qui satisfait plus l'esprit, qui forge plus la personnalité, que de nous donner complètement à une tâche difficile.
C'est le prix et la promesse de la citoyenneté. C'est la source de notre confiance, savoir que Dieu nous demande de définir un destin incertain.
C'est la signification de notre liberté et de notre foi, c'est la raison pour laquelle les hommes, femmes et enfants de toutes les races et toutes les religions peuvent partager les célébrations sur cette magnifique esplanade, et pour laquelle un homme dont le père il y a moins de 60 ans n'aurait peut-être pas pu être servi dans un restaurant peut aujourd'hui se tenir devant vous pour prononcer un serment des plus sacrés. Marquons donc ce jour du souvenir, de qui nous sommes et de tout le chemin que nous avons parcouru. Dans l'année de la naissance de l'Amérique, dans les mois les plus froids, un petit groupe de patriotes se serrait près de feux de camps mourants sur les berges d'une rivière gelée. La capitale était abandonnée. L'ennemi avançait. La neige était teintée de sang. Au moment où le sort de notre révolution était le plus douteux, le père de notre nation a ordonné que l'on lise ces mots au peuple:
Que l'on dise au monde à venir (....) qu'au coeur de l'hiver, quand seuls l'espoir et la vertu avaient survécu (...), la ville et le pays, confrontés à un danger commun, y ont fait face.
Amérique, face à nos dangers communs, dans cet hiver de difficultés, bravons une fois encore les courants glacés, et affrontons les tempêtes qui surgiront. Que les enfants de nos enfants puissent dire que quand nous avons été éprouvés nous avons refusé que le chemin s'arrête, que nous n'avons pas rebroussé chemin ni faibli; et qu'avec les yeux fixés sur l'horizon et par la grâce de Dieu, nous avons continué à porter ce formidable cadeau de la liberté pour le remettre aux générations futures.» _________________ | |
| | | canard mystique Assidu
Nombre de messages : 70 Localisation : France
| Sujet: Re: Discours en français d'OBAMA Mer 21 Jan 2009, 11:08 | |
| Mes chers amis bonjour. Dans ce beau discours,il y a un mot que semble apprécier le nouveau président des Etats Unis:patchwork. Pouvez-vous me dire ce qu'il signifie,car mes connaissances en anglais sont partielles. Patch,c'est une rustine que l'on met sur la peau pour infiltrer un médicament,work signifie le travail.Danc que veut dire Obama par le travail de la rustine? | |
| | | Danielle Assidu
Nombre de messages : 1850 Localisation : Québec Canada
| Sujet: Re: Discours en français d'OBAMA Jeu 22 Jan 2009, 03:50 | |
| Patchwork : mosaïque- différentes racines- aux États-Unis tout comme au Canada, nous sommes des peuples qui proviennent d'Europe, soit de la France (surtout au Québec) de l'Irlande, de l'Angleterre, de la Bretagne, etc... donc, plusieurs cultures et religions, (mais la religion Chrétienne domine toujours, catholique chez les francophones et protestants chez les anglophones, quelques anglicans, quelques orthodoxes,c'est tout nouveau que nous ayons des musulmans et des bouddhistes...et comme race il y a toute une mosaïque ausssi (patchwork) broderie de toutes les couleurs, la couleur blanche domine cependant, et c'est pourquoi nous sommes heureux que le Président soit plutôt noir, cela démontre que nous sommes tous égaux, et que ce n'est pas la couleur de la peau qui fait une différence. Les Amériques sont des peuples pacifiques...en général... C'est pourquoi Bush n'était pas populaire.... La liberté pour tous et l'égalité sont de très grandes valeurs, c'est pourquoi, c'est difficile de savoir que dans d'autres continents plusieurs meurent de faim, de tortures, sont obligés de se voiler, de se cacher pour pratiquer leur religion etc....
Le patchwork était aussi (ce que nos arrières grands-mères faisaient avec des bouts de tissus pour récupérer...et elle cousaient ensemble toutes sortes de petits carreaux de différents tissus multicolores pour en faire des couvertures chaudes...n'oubliez pas que nos ancêtres qui arrivaient des anciens continents gelaient et mouraient de froid avant qu'ils s'habituent au climat dur en hiver... alors elle confectionnaient des couvertures avec de vieux manteaux...etc...) Des patchs (des morceaux de tissus pour réparer un trou sur un vêtement usé...) work (travail à la main) | |
| | | dane Assidu
Nombre de messages : 209
| Sujet: Re: Discours en français d'OBAMA Jeu 22 Jan 2009, 08:04 | |
| DE BEAUX DISCOURS, BEAUCOUP d'ARGENT DEPENSE POUR L'INVESTITURE...
OUI, mais...
Chers amis,
> C’est pendant la neuvaine à Notre-Dame de Pontmain que Soeur Emmanuel vient de nous transmettre ce message.> Le voici afin que vous puissiez vous unir à l’intercession de milliers de personnes à travers le monde.> " Vous ne le savez peut-être pas: le Freedom Of Choice Act doit être visé voire signé par le Congrès américain les 21-22 Janvier 2009, lendemain de la prise de fonctions de B.Obama. Le FOCA est une nouvelle percée négative dans la triste histoire de l'avortement. Si le FOCA passe comme loi, les dernières barrières à l'avortement voleront en éclat, provoquant ce qui suit: > > > > > > 1) Tous les hôpitaux, incluant les hôpitaux catholiques, devront procèder à des avortements sur demande. Dans ce cas, les Evêques américains envisagent de fermer tous les hôpitaux catholiques, soit plus de 30% des hôpitaux américains.. > > > 2) Les avortements à naissance partielle seront légalisés et sans limitations. > > > > > > 3) Tous les payeurs d'impôts américains financeront les avortements. (ça vous intéressera de savoir ça quand ça passera en France...) > > > > > > 4) Il ne sera plus demandé de prévenir les parents - même pour les mineurs. > > > > > > 5) L'effet en sera une augmentation minimale de 100,000 avortements tous les ans. > > > > > > Peut-être plus grave encore: le gouvernement américain aura désormais le plein contrôle du problème de l'avortement. Ceci pourrait amener à de futurs amendements: pourquoi ne pas obliger légalement des avortements dans certains cas (viol, maladies/handicaps lourds, etc...) et même aller jusqu'à réguler le nombre d'enfants par famille? > > > > > > Nul besoin de redire à quel point c'est grave, mais c'est malheureusement réel. En tant que Catholiques, Chrétiens, ou tout simplement opposants au meurtre de bébés innocents, nous devons tous réagir, et empêcher cet acte fou de devenir une loi.. > > > Le Plan : > > > > > > Dire une neuvaine ( 9 jours de prière) et jeûner à partir du 11 janvier. Pour les catholiques, la prière dite sera le rosaire avec comme intention de stopper le FOCA. Les non Catholiques sont encouragés à prier les plus fortes prières dans la même intention, pendant 9 jours également. Nous avons l'espoir que celà bourgeonnera pour devenir un effort mondial, avec un impact maximal. Nous avons très peu de temps, nous devons donc agir très rapidement; 3 choses: > > > > > > 1) Passez ce mail à au moins 5 personnes > > > > > > 2) Faites le en moins de 3 jours > > > > > > 3) Si vous le pouvez, commencez la neuvaine le 11 janvier, sinon rejoignez-la le plus vite possible > > > > > > (Souvenez-vous également de jeûner pendant au moins 2 jours durant la neuvaine) > > > > > > Rappelez-vous qu'en Dieu tout est possible, et que la puissance des prières est indéniable. Si vous êtes opposé au meurtre insensé d'enfants dépourvus de toute défense, il est temps de faire quelque chose! > > > > > > Dieu vous bénisse!! > > > > > > "Si vous priez bien, vous vivrez bien, si vous vivez bien, vous mourrez bien; et si vous mourrez bien, tout sera bien." -St. Augustin > > > > > > "On ne peut pas se battre de façon crédible contre d'autres mauvaises choses incluant la pauvreté et la violence, en même temps que l'on tolère le massacre par l'avortement." - Mère Theresa de Calcutta."> En communion de prière du chapelet chaque jour à midi à toutes vos intentions et à celles qui nous sont confiées..> Fraternellement.> > A bientôt sur notre site http://www.msvie.com/.
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| | | fuya Assidu
Nombre de messages : 741 Age : 45 Localisation : france
| Sujet: Re: Discours en français d'OBAMA Jeu 22 Jan 2009, 23:22 | |
| Pendant la campagne, il en avait fait les futures mesures symboliques de son début de mandat en cas de victoire. Il l'avait réaffirmé pendant la longue période de transition. Pour montrer sa volonté de rupture avec l'ère Bush et qu'une nouvelle Amérique, plus respectueuse, est en marche, Barack Obama a donc tenu sa promesse. Au 3e jour de son mandat, lors d'une cérémonie organisée à la Maison-Blanche, le président américain, entouré d'une partie de son gouvernement, a en effet promulgué jeudi matin, heure locale, deux décrets. Tout d'abord, la fermeture dans un délai d'un an de la prison militaire de Guantanamo (lire : [url=http://tf1.lci.fr/infos/tag/guantanamo/guantanamo-1.html]Guantanamo : le casse-tête de la fermeture[/url]"). Ensuite, l'interdiction de pratiquer des interrogatoires poussés dans le cas des terroristes présumés. Enfin, la fermeture le plus vite possible des centres de détention que la CIA à l'étranger pour les suspects de terrorisme. Le camp installé à Cuba, qui accueille des détenus principalement capturés en Afghanistan, était devenu le symbole des dérapages commis dans le cadre de la lutte contre le terrorisme par l'administration Bush. Les interrogatoires poussés des détenus -à la limite de la torture- avaient également terni l'image des Etats-Unis. Désormais, les militaires chargés d'interroger les prisonniers devront donc se conformer aux conventions de Genève. Reste à savoir s'ils appliqueront ces nouvelles directives. La Maison Blanche a dit jeudi ne "pouvoir imaginer" renvoyer en Chine les Ouïgours détenus à Guantanamo et s'est engagée à ne pas transférer des prisonniers dans des pays où ils risqueraient d'être maltraités, après la fermeture du centre. Barack Obama a aussi affirmé son engagement à défendre le droit des femmes à l'avortement. Obama demande l'ouverture des points de passage vers Gaza Autre mesure symbolique de l'administration Obama : l'amiral à la retraite Dennis Blair, désigné pour diriger le renseignement américain (DNI), s'est engagé à "ne pas soutenir des activités de surveillance réalisées sans autorisation légale". Au nom de la guerre contre le terrorisme, la CIA, principale agence américaine de renseignement, chapeautée par le DNI, a en effet mis en place un programme controversé d'écoutes extrajudiciaires. Dans un autre registre, mais d'actualité lui aussi, le président américain se fera rendre compte quotidiennement de la situation économique par ses principaux conseillers, sur le modèle du compte-rendu quotidien que font les services de renseignement, a dit jeudi le porte-parole de la Maison Blanche. Le premier de ces briefings a eu lieu jeudi matin. Dernier sujet abordé par le président au 2e jour de Barack Obama dans ses fonctions : le Proche-Orient. Un thème sur lequel il s'était peu exprimé avant le 20 janvier, arguant toujours du fait qu'il ne devait y avoir qu'un seul et unique président américain aux commandes, ce qui avait pu lui être reproché. Barack Obama demandé l'ouverture des frontières et des points de passage vers la bande de Gaza pour permettre l'entrée de l'aide internationale. Il a aussi annoncé que George Mitchell, tout juste nommé émissaire américain pour le Proche-Orient, irait dans la région le plus vite possible. | |
| | | annonciade Assidu
Nombre de messages : 427 Localisation : P.Q.
| Sujet: Re: Discours en français d'OBAMA Ven 23 Jan 2009, 13:59 | |
| Le président américain Barack Obama a affirmé jeudi son engagement à défendre le droit des femmes à l'avortement.
"Je reste déterminé à protéger la liberté des femmes de choisir" entre avoir un enfant ou pas, a dit M. Obama dans un communiqué publié à l'occasion du 36ème anniversaire d'une décision de justice capitale sur le droit des femmes à l'avortement aux Etats-Unis.
Ce 36ème anniversaire "nous rappelle que cette décision non seulement protège la santé des femmes et la liberté de reproduction, mais symbolise un principe plus large: que le gouvernement n'a pas à se mêler des affaires de famille les plus intimes", a-t-il dit, marquant une nouvelle fois de manière spectaculaire sa différence avec son prédécesseur George W. Bush.
M. Obama évoquait l'une des décisions les plus fameuses et les plus controversées de la Cour suprême. L'arrêt du 22 janvier 1973, "Roe contre Wade", dit que le droit à la vie privée, présent en filigrane dans la Constitution, garantit aux femmes la liberté d'avorter.
Cet arrêt est depuis lors soumis aux attaques constantes de ceux qui militent contre l'avortement et qui se sont encore mobilisés jeudi à l'occasion du 36ème anniversaire. M. Bush adressait régulièrement un message de soutien aux opposants à l'avortement à l'occasion de cet anniversaire.
Les opposants à l'avortement s'inquiètent à présent que M. Obama ne publie rapidement un décret revenant sur des politiques de M. Bush interdisant que de l'argent américain ne finance des programmes internationaux qui promeuvent l'avortement ou conseillent les femmes sur le sujet.
souce AFP | |
| | | majuscule soleil Assidu
Nombre de messages : 792 Localisation : chatanooga
| Sujet: Re: Discours en français d'OBAMA Ven 23 Jan 2009, 20:37 | |
| La réponse d'Obama est un coup d'épée dans l'eau,car il est bien évident que l'état ne va pas obliger les femmes à avorter,et celles qui veulent garder l'enfant ne vont pas se présenter à la clinique! Le problème est que la loi obligerait les cliniques chrétiennes à pratiquer les avortements.Donc:pas de liberté. | |
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