promotion de l'avortement par le planning familial

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Honteuse, insultante et exaspérante. La nouvelle campagne d’affichage du Planning familial déchaîne à juste titre les pundits de la blogosphère catho-conservatrice. Son slogan, “Sexualité, Contraception, Avortement, Un droit, mon choix, notre liberté“, implique une banalisation de l’avortement réduit à un simple aller-retour à la poste. Parmi les billets que l’on peut retenir, celui du blogueur Koz est excellent.

Pour ma part, je crois au contraire que cette campagne est bon signe. Signe que la bête à peur. Que les « objectifs » des avorteurs et du Planning Familial ne sont pas atteints. Signe également que la société civile, au delà de la propagande médiatique totalitaire, n’accepte toujours pas l’idée de l’avortement. Du moins, n’accepte pas l’idée que l’avortement puisque constituer un « acte d’hygiène banal ». Et pourtant, les opposants à l’avortement sont, disons-le carrément, interdits d’antenne. D’où peut donc venir cette défiance, et ces oppositions que fustige le « planning familial » ? Il existe des récits poignants, qui circulent dans le pays, et qui permettent de comprendre l’impact profond et dramatique de la pratique d’un tel acte. Sous le manteau, évidemment, car la « religion officielle », non seulement nie les conséquences psychologiques des avortements, mais encourage sa pratique comme un « progrès » en soi. Drôle de monde, paradoxal ou crétin, obsédé par la psychologie, où des enfants ayant perdu leur hamster sont présentés à des conseillers, alors que que la jeune fille victime d’un avortement sera présumée « insensible » à l’acte qu’elle a dû subir.

On apprend que le nombre d’actes d’IVG baisse continuellement aux Etats-Unis (1,2 million en 2005 contre 1,3 million en 2000 et 1,6 million en 1990) et qu’en Italie ce nombre est passé de 234 000 en 1982 à 130 000 (en 2007 ?). Voila pourquoi le planning familial peut s’inquiéter : il existe bel et bien une opposition sociale à la banalisation de l’IVG, au delà des cathos. C’est dans cette voie que les opposants à l’avortement doivent s’engager : si la remise en cause des lois assassines serait un symbole majeur, leur « inactivation sociale » serait une victoire aussi importante à mes yeux. Dénoncer inlassablement les conséquences de l’avortement, cachées et tenues secrètes par le black out médiatique et la furie féministe, non pas dans une perspective moralisante, et sans « stigmatiser », mais pour énoncer simplement la vérité et pour appliquer le principe de précaution.

« Jeune fille, si tu commets l’irréparable, peut être le regretteras-tu amèrement toute ta vie ». Est-ce là un discours si excessif, si liberticide, si rétrograde qu’il convient de l’interdire et de le dénoncer ?

Source : Leconservateur
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Seigneur ??? comment peut on promouvoir la mort de jeunes enfants ????

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Communiqué des évêques d’Ile de France à propos de la campagne "Sexualité, contraception, avortement, un droit, mon choix, notre liberté."

22 janvier

Promouvoir l’avortement, c’est renoncer à nos responsabilités

L’avortement n’est pas un épisode banal de la vie d’une femme. C’est toujours une blessure et un échec, pour les femmes, les couples et la société.

Est-il responsable de la part de certains élus de soutenir une campagne de communication qui laisse croire que c’est un progrès ? Pire encore, qui en fait la promotion ?

Trop de femmes se trouvent désemparées face à une grossesse mal supportée. On ne peut présenter leur détresse comme une liberté. Des associations s’efforcent de les aider à garder leur enfant et les accompagnent, quoi qu’il arrive. Elles méritent d’être soutenues.

Au lieu de promouvoir l’avortement comme solution d’avenir, il est temps que tous participent résolument à la promotion d’une culture respectueuse de la vie et de la dignité des femmes.

Les évêques de la Province d’Ile-de-France :

Cardinal André VINGT-TROIS, Archevêque de Paris

Mgr Michel SANTIER, Evêque de Créteil

Mgr Michel DUBOST, Evêque d’Evry-Corbeil-Essonnes

Mgr Albert-Marie de MONLEON, Evêque de Meaux

Mgr Gérard DAUCOURT, Evêque de Nanterre

Mgr Jean-Yves RIOCREUX, Evêque de Pontoise

Mgr Olivier de BERRANGER, Evêque de Saint-Denis

Mgr Eric AUMONIER, Evêque de Versailles

Mgr Jérôme BEAU, Evêque auxiliaire de Paris

Mgr Jean-Yves NAHMIAS, Evêque auxiliaire de Paris

Mgr Michel POLLIEN, Evêque auxiliaire de Paris

promotion de l'avortement par le planning familial Espaceur

Source : http://catholique-paris.cef.fr/spip.php?article5231

Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde

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De 9 à 12 semaines

Les principaux organes internes fonctionnent (coeur, poumons, reins, foie et estomac) Votre bébé-embryon a maintenant des oreilles et un nez et son sexe est identifiable. Il possède même ses propres paupières qui se ferment sur ses yeux.
Au bout de 12 semaines, bébé mesure environ 8 cm et pèse 30 gr.
Il bouge, ouvre la bouche, parfois suce son pouce!

A l'extérieur sur votre corps, quelques signes apparaissent parfois : une ligne marron au milieu de votre abdomen, une pigmentation accentuée sur certaines parties du corps. Ne vous étonnez pas si vous avez encore parfois des nausées et si vous êtes d'humeur lunatique.

voici une echographie en video d'un bébé de 12 semaines, émouvant ! cheers

http://video.google.fr/videoplay?docid=-6063505299643783816

Vous savez a l'époque ou j'étais encore en école de soin infirmier, on a souvent eu des cours du planning familial histoire de bien nous ancrer dans le crâne que la pilule du lendemain et l'avortement était normalisé.Donc c'était un peu laissez pas ces jeunes dans la misére il y'a des solutions , envoyez les nous, on va les aider. Mais c'est les aider a vivre qu'il faudrait .
Après ... tout est question d'éthique personnel car il faut le dire il y'a de moins en moins de chrétien, moi dans ma tranche d'âge c'est a dire 28/ 30 ans je n'ai pas un seul ami Chrétien............Donc il faut quand même une bonne part d'étique malgré le "for-matage " qui condamne la plupart des nos jeunes....