Préparez-vous enfants, préparez-vous au pire ! C. Ameche

Préparez-vous enfants, préparez-vous au pire !

Message de Jésus par l’entremise de Carol Ameche le 25 mars 2007 - Livré directement lors du rassemblement du groupe de prière

« Mes très chers, je suis votre Jésus de miséricorde. Moi aussi je suis votre Seigneur qui souffre; Moi aussi je suis votre champion en ces temps de luttes et de davantage de prières, en ces temps de formation, de mort et de résurrection; en ces temps de devenir, en ces temps où l’on apprend, désapprend et réapprend, où on louange et remercie le Père pour tout ce qu’il accorde dans votre vie, pour l’intensification de son plan dans le monde.

Bien qu’il y aura des évènements effroyables, mes enfants, vous connaissez les raisons de ces choses.

Vous savez que le Père doit agir vigoureusement et prochainement, afin de continuer de convaincre tous ses fidèles de demeurer fidèles, convaincre que sa justice est réelle, que sa justice est nécessaire pour le monde, que son amour pour vous tous est réel et tellement nécessaire pour vous maintenir en vie, pour vous soutenir dans sa volonté, pour vous préparer, toujours vous préparer à plus, à le servir davantage, à souffrir davantage, à dire davantage de prières.

Priez pour ceux qui souffrent de ces évènements cataclysmiques qui éclatent actuellement.
C’est toujours l’innocent qui souffre, le pauvre qui souffre. « Les pauvres que vous avez toujours avec vous », mes enfants; et ils vous sont donnés pour que vous preniez soin d’eux, pour que vous priiez pour eux, pour leur envoyer de l’encouragement, leur envoyer votre force et quand vous faites cela, vous donnez à partir de votre dénuement.


Mes enfants, je connais votre terrible fatigue et néanmoins je vois l’engagement qui grandit dans votre cœur. Il doit devenir plus solide pour que vous restiez sur le chemin de la volonté de mon Père, dans mon Sacré Cœur et le Cœur Immaculé de ma Mère, dans des période changements, de plus de batailles, plus de pertes, plus de changements.

Ce sont ces choses qui sont si contraires à votre nature humaine et pour lesquelles les cieux entiers prient. Souvenez-vous de cela; souvenez-vous que vous êtes soutenus; souvenez-vous que vous êtes assez forts pour faire tout ce que je vous demande, personnellement, collectivement et mondialement. Certes, je parle à mes chéris de partout dans le monde. Je suis présent dans vos pays comme je suis ici dans ce pays.
Je suis présent avec chacun de vous mais également à travers les paroles particulières des miens qui reflètent la volonté du Père et qui vous soutiennent.

Oh, mes chéris, ne désespérez pas; n’abandonnez pas. Ne vous demandez pas pourquoi ça prend autant de temps; demandez-vous pourquoi vous mettez autant de temps à devenir l’instrument de miséricorde, de patience et de paix dont le monde aura bientôt besoin pour ce que vous appelez le « énième degré ».

Préparez-vous enfants, préparez-vous au pire ! Préparez-vous pour le plus grand défi que vous n’avez jamais connu dans vos vies. Ne soyez pas effrayés, mais préparez-vous comme de bons soldats, comme de forts guerriers, comme de fidèles et obéissants enfants de votre Dieu.

Si vous réfléchissez à ces paroles à plusieurs reprises cette semaine, vous préparant pour le dimanche des Rameaux, vous préparant pour la Semaine Sainte, elles vous emmèneront à un nouveau rang, à un nouveau niveau de force et de compréhension, d’engagement, de joie dans votre engagement, de joie dans votre fatigue, capables de souffrir pour les habitants du monde et ainsi toucher leurs cœurs et leurs vies…leurs vies éternelles.

N’abandonnez pas mes enfants, car l’attente se continue encore pour un temps.
Les grâces dont vous avez besoin, individuellement et collectivement comme notre peuple restant, sont répandues aujourd’hui.
Je vous bénis mes chéris, au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen! Amen! »


--------------------------------------------------------------------------------


Apportez-moi vos fardeaux

Message personnel de Dieu le Père à Carol Ameche, le 22 mars 2007

Dieu le Père parle des pauvres âmes perdues qui vont errer dans la fatigue, la confusion et le chaos. (C.A.)

« Pensez à elles et priez pour leur ouverture à tout ce que nous souhaitons leur donner, y compris la guérison, la paix de l’esprit, l’espérance, la compréhension et la sagesse. Notre Esprit Saint attend pour répandre, au moment opportun, ce qui sera très efficace pour produire l’ouverture à la miséricorde et au pardon de leurs péchés, qui les amènera dans la bergerie où un jour il n’y aura qu’un seul troupeau et qu’un seul Pasteur.

Si tous mes fidèles continuent de prier pour le don du salut obtenu par la souffrante obéissance de mon Fils et servent humblement les besoins de ces âmes blessées, malheureuses et effrayées et qu’ils réalisent que tous les dons, grâces et miracles viennent de mes mains et qu’ils me louent et me rendent grâce pour tout…constamment, la victoire sera aussi parfaite que possible pour toutes les âmes réfugiées et tout notre peuple restant.

Oh! mon enfant, c’est « la formule pour réussir » dans mes plans pour enrayer le mal du monde et chacun qui en fait partie. C’est la dynamique qui fera entièrement échec aux plans de Satan, en assénant un coup à son mal et en donnant la victoire à tout ce qui est bien, comme ce le fut toujours voulu dans mon plan pour mes bien-aimés enfants, le peuple du monde entier.

Médite et prie ces paroles, fille, et vois le manque de véritable charité dans les cœurs de tous ceux qui continuent de dénombrer leurs propres réussites, sans en remercier leur Dieu et permettre à ma miséricorde de fleurir dans les cœurs de tous les hommes.
Sur ce point, c’est beaucoup trop d’amour et de gratitude sur lesquels s’attendre chez bien des cœurs tellement remplis d’une vision de richesse, de pouvoir et de satisfaction, particulièrement chez ceux qui projettent de conquérir le monde au nom de Satan et de ses disciples, qui ne connaissent pas l’amour, la compassion ou la douce patience, ni ne désirent le bien et la paix pour les autres ou ne saisissent pas l’opportunité de partager les denrées alimentaires du monde et n’exercent pas les talents que je leur ai donnés afin de contribuer aux besoins des infortunés.

Sans la présence du mal dans le monde, ces dynamiques seraient possibles et bien sûr, seraient vécues en dehors de l’Ère de Paix et de Pureté sur une terre renouvelée. Mon peuple, continuez de toucher le fond de vos cœurs et conduites. Apportez-moi vos fardeaux de péchés, confessez-les et laissez-les derrière et vous serez transformés à l’image et à la ressemblance de votre Dieu, tel que vous avez été créés à être.

Avant qu’il n’y ait une nouvelle vie, une nouvelle manière d’exister et de voir selon les yeux de votre Dieu Créateur, les vieilles manières d’exister dans le monde doivent mourir. C’est par cette mort constante et cette montée que vous en aiderez la réalisation au moment où je renouvellerai la terre et ses habitants avec grâce et beauté et que les cœurs seront remplis de paix et de pureté.

Relisez souvent ces paroles, mon très cher peuple fidèle. Trouvez la zone où vous, vous-même, avez encore besoin de changer pour que cette guérison et cette authentique transformation durable puissent avoir lieu à l’intérieur de vous et pour accomplir la tâche ardue un pas à la fois. Soyez guéris, mon peuple. Devenez mes instruments des plus parfaits de paix, d’espoir, de guérison et de miséricorde. Dis à mon peuple, fille, qu’il y a toujours de l’espoir! »

Mes enfants, la patience du Père est terminée.
Vous lisez cela ailleurs. Étant donné que je le dis à haute voix, les conséquences de cela se rapprochent.

Message de la Mère de Dieu par l’entremise de Carol Ameche le 18 mars 2007
Livré directement lors du rassemblement du groupe de prière

« Mes très chers, je suis votre Mère des Douleurs; je suis votre championne dans les douleurs, mes enfants. Je ne dis pas ces choses pour me répéter, je me rends compte que vous les connaissez déjà, mais je dois vous rappeler combien je suis avec vous dans vos peines.

Une période douloureuse s’en vient, mon peuple de partout dans le monde; une période douloureuse s’en vient et je suis, partout dans le monde, avec chacun de vous.
Je suis avec vous avec ma force, mon soutien, mon amour, mes prières pour vous, prenant vos intentions, les tenant dans mon cœur, vous tenant dans mes bras, chacun de vous dans le monde qui êtes un enfant fidèle.
Nous faisons face à des évènements difficiles, mon cher peuple. Je suis moi-même remplie de douleurs.
C’est difficile de vous convaincre encore de quelque chose, donc, je vous signale simplement que je suis avec vous.

Ce n’est rien de nouveau non plus, mais je vous le rappellerai et vous préparerai toujours par des paroles et par ma présence. Vous avez besoin de moi, mes enfants; souvenez-vous de cela! Rappelez-vous le les uns les autres.

Comme vous avez besoin de moi! Comme le monde a besoin de vous! Souvenez-vous de ces choses, mes enfants. Re-consacrez-vous vous même encore aujourd’hui lorsque vous serez seuls et que vous aurez du temps tranquille, pour que vous puissiez donner votre force, votre cœur et votre esprit en entier à cette consécration, en ressentant chaque parole et en faisant cette consécration avec votre amour.

Mes enfants, la patience du Père est terminée. Vous lisez cela ailleurs. Étant donné que je le dis à haute voix, les conséquences de cela se rapprochent.

Oh mes enfants, priez les uns pour les autres. Je parle brièvement aujourd’hui car je parle dans une telle douleur, mais je parle en comptant sur vous, mes bien-aimés, pour prier sur l’éternité, pour prier sur l’éternel salut de beaucoup, beaucoup qui sont emmenés. Souvenez-vous que cela fait partie de votre mission.

Je vous aime, mes chéris.
Les temps deviennent plus graves et vos prières doivent correspondre à la gravité de mes paroles et de mon ton et malgré tout, je vous rappelle que tout est bien, que tout sera bien pour nos fidèles.
Une nouvelle force vous est donnée aujourd’hui, mes enfants de partout dans le monde. Vous en aurez besoin; servez-vous en maintenant. Amen, mes enfants. Je vous aime; je suis avec vous. »

(Il y avait une grande lourdeur dans sa voix et l’ambiance de sa présence…cta).