Être capable de bonheur !La joie est solidaire de la générosité.
La joie profonde,
qui est compatible avec la souffrance,
est à la fois condition
et fruit du désintéressement :
on n’aime que dans la joie,
on ne connaît la joie
que dans l’oubli de soi.
Par contre, le dégoût de soi emprisonne l’âme :
tout péché est triste et comporte,
plus ou moins explicitement, un « tant pis ».
La joie est un devoir fondamental du chrétien ;
pour être chrétien, il faut être capable de bonheur.
Robert Guelluy